MIROIR FIDÈLE DE NOTRE ÉPOQUE DÉPRIMÉE – Décryptage de la propagande bisexuelle bobo actuelle (50 codes)

50 CODES BOBOS

 

… ou les conséquences de la fuite de la différence des sexes (sexuation) et de la différence entre Créateur et créatures (Dieu et Église catholique) : la déprime, la bisexualité (nommée « hétérosexualité ») et la mise en place d’une religion profane imposant la dictature des sensations/des pulsions individualistes.

 

« Chez le bobo, tout est rituel ; rien n’est sacré. » (Marie Pinsard)

 

Dans l’univers bobo, tous les rituels sacrés (repas, sexualité, enterrement, processions à la bougie, fêtes, vie communautaire) sont là… vidés de sens, d’incarnation, de Dieu.

 

Autrement dit, chez le bobo (que nous sommes tous quand on ne va pas bien), l’intention (esthétique, politique, sentimentale, écologique) est là : pas les faits. La culture bobo se sert de nos bonnes intentions pour nous transformer :

–        en bébés

–        en athées

–        en bisexuels (homosexuels)

–        en consommateurs (anti-société de consommation !)

–        en rebelles anti-conformistes qui n’existent qu’en s’opposant, qui dénoncent sans rien faire

–        en dandys qui cachent leur argent et qui dépriment comme la pin-up suicidaire.

 

La culture bobo, extrêmement positive en théorie (« positive attitude » du dépressif), mais déshumanisante et déprimante dans les faits, veut nous arracher aux deux trésors qui fondent notre existence et l’Amour : la différence des sexes et l’Église catholique.

 

Ce n’est pas un mythe. C’est un programme gouvernemental planifié. Notre ministre de l’Éducation nationale actuel, Vincent Peillon, dans son ouvrage récent  Une religion pour la République (Seuil, 2010, p. 277) est très clair : 

« ( il faut ) arracher l’élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel » ( afin de ) « s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités ».

« Car toute l’opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l’Eglise. »

 
 
 
CHAPITRE I – La déprime sincèrement politique : (Recherche de la Révolution sans le pouvoir et sans les autres)

1 – Baba-cool libertaire/ petits enfants des hippies 68

2 – Haine du banquier, du « commercial », des médias et du « politique »

3 – Optimisme (« Crois en toi » quelque part, « Fais-toi du bien », « Bats-toi et réalise-toi ! » ; « Sois ce que tu es de toute éternité » ; « La vie est belle. », « Tu es génial »)… sans l’Espérance.

4 – « La Nature me domine et prouve la méchanceté de l’Humain »

5 – Objets, paysages et animaux parlants (animisme ; les fleurs ; héroïc fantasy) Prêter des intentions aux passants

6 – « Ces petits rien qui font ces petits tout »

7 – Scooter (cheval ou vélo)

8 – Globe-trotteur

9 – Mosaïques (multiculturalisme de supermarché / éclatement de l’identité)

10 – Ville européenne exotique (et la ville tout court)

11 – Vent

12 – Mer (espace de l’infini où se dilue mon désir)

13 – Parler étranger (Anglais)

14 – Fanfare jazzy (ou tsigane)

15 – Vieux marin breton

16 – « Vive le vieux ! » (brocante)

17 – Chapeau Charlie Winston (bonnet)

18 – Clope (drogues)

19 – Jargon vulgos-pédant (poussif, logorrhée, jubilatoire, lumineux, …)

20 – Canapé (dilettante)
 
 
 

CHAPITRE II – La déprime sincèrement religieuse : (Recherche de la Divinité sans Jésus ni son Église)

21 – Habits blancs (Nuisette)

22 – Voix-off anesthésiante insupportable (Voix androgyne)

23 – Bougies (lampions et guirlandes électriques)

24 – Marché le dimanche / Brunch / Chanson du Dimanche

25 – Barbu

26 – Le bloggeur catho

27 – Bouddhisme / Psychologie magazine / Laïcisme

28 – Terrasse d’un building à ciel ouvert

29 – Fête profane hédoniste (« alors on danse » ; concert où on « s’éclate »). Cf. Philippe Muray Festivus

30 – Silence / pudeur sacrés

31 – Guerre iconoclaste (anti-préjugés/anti-clichés) : protestantisme
 
 
 

CHAPITRE III – La déprime sincèrement artistique : (Recherche de la Beauté sans le Réel, dans l’anti-conformisme misanthrope) Queer & Camp

32 – Promenade chorégraphique urbaine nocturne, « Je suis dans mon clip minimaliste »

33 – Ralenti (avec rotation à la Matrix) ou nonchalance

34 – Spectateur oisif à sa fenêtre / balcon

35 – Photographe (Peintre / Réalisateur / Critique d’art Télérama ou Inrock) ;  Loft d’artistes

36 – Piano (guitare)

37 – « J’aime / J’aime pas » (le bobo pense « philosopher » en disant ce qu’il aime et ce qu’il ressent) ; – Bal de sensations

38 – Effet listes (Zapping)

39 – Sifflotements et xylophones qu’on entend dans toutes les pubs actuelles (banjo / décontraction travaillée)

40 – Nostalgie seventies

41 – « Je prends en photo ce que je mange » (table de travail cuisine Herta) « Je prends en photo ma bibliothèque / ce que je lis » (je rédige mon journal intime)

42 – Pas d’humour ou rire crispé (artistes contemporains un chouilla déjanté)
 
 
 

CHAPITRE IV – La déprime sincèrement amoureuse : (Recherche de l’Amour sans la différence des sexes, sans l’Église et sans mon désir)

43 – « L’Amour s’impose à moi/Je le construis par mon ressenti »

44 – Trio bisexuel (en plein déménagement)

45 – Mademoiselle (Mam’zelle, « théorie de la Jeune Fille » de Tiqqun)

46 – « Je t’embrasse / Prends soin de toi »

47 – « Je ne drague pas. C’est pas sexuel. »

48 – « Je suis vivant » ou « J’ai aimé »

49 – Tatouage

50 – Pro-Homosexualité mais anti-milieu gay, pro-méthodes naturelles mais pro-homoparentalité, pro-avortement, PMA, préservatif. Hétérosexuels.