Ce qui va être « chaud » pour mon essai traitant de la « Singularité en tant que Marque de la Bête », c’est d’aborder en conclusion le grand danger que constitue le/une certaine idée du Christ, le Christ-Énergie moniste ou « Christ cosmique » théorisé par le jésuite Teilhard de Chardin (qui a d’ailleurs, comme par hasard, écrit « Les Singularités de l’espèce humaine » en 1954). Car même si Jésus est la seule Singularité qui vaille, que nous devons suivre et défendre, il ne va pas falloir, pendant cette « christomania » qui va envahir toute l’Humanité à la Fin des Temps sous le règne de l’Antéchrist (y compris les Juifs et les Musulmans s’y mettront : on va revivre mondialement les Rameaux, l’entrée de Jésus à Jérusalem; et presque tous les êtres humains vont se revendiquer « chrétiens » et fans du « Christ »!), se tromper de Christ. Il ne va pas falloir se méprendre sur qui Il est. Non, Jésus n’est pas une Force physique et énergétique toute-puissante et éclatante, qui s’imposerait : il n’est qu’une force (d’Amour) fragile, vulnérable et misérable, qui nous laisse libres de le choisir ou non.
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Ce qui est sidérant
Ce qui est sidérant, c’est de passer pour « homophobe » ou « de droite » (voire d’ « extrême-droite ») en s’opposant au « mariage gay », alors qu’il n’y a pas de loi plus « de droite », « homophobe », bourgeoise et libérale d’un point de vue économique, que celle-là… (trafic humain : d’enfants, de parents, et de personnes homos).
Eddy de Pretto présente la Singularité comme la Marque de la Bête
Cet après-midi, en parlant de Singularité en tant que Marque de la Bête à une amie avec qui j’ai pris un pot, cette dernière m’a raconté qu’elle s’est rendue le 30 mars dernier au concert d’Eddy de Pretto (chanteur ouvertement homosexuel) à Cannes, et qu’il a forcé son public à lire et à scander bien fort à l’unisson le slogan « CULTIVEZ VOTRE SINGULARITÉ » écrit en rouge sur l’écran géant.
C’était juste après sa chanson « Parfaitement ». Et en conclusion, pendant que la phrase apparaissait, il s’est mis à conclure, par cette phrase mi-slamée mi-chantée qui célèbre une monstruosité magnifique :
« N’oubliez jamais de cultiver votre singularité… À tous les bizarres, les étranges, les bâtards… À tous les seuls, seuls dans leur chambre dans le noir. »
La Singularité bestiale, dans Demain Nous Appartient
Je me trouve actuellement à la Bibliothèque François Mitterrand pour continuer mon enquête sur la Singularité en tant que Marque de la Bête (décrite par saint Jean dans l’Apocalypse). Je vais m’attaquer au fameux essai de Ray Kurzweil Singularity is near, ainsi qu’à plusieurs autres ouvrages, à la recherche de la moindre corrélation entre le mot « Singularité » et la présence d’un Monstre, d’une Bête, ou d’une marque/signature, dans des œuvres qui ne font pas du tout le lien consciemment. Je vous dirai ce qu’il en ressort, et si ma bonne intuition se poursuit.
Par ailleurs, j’ai retrouvé, de derrière les fagots, cette pépite télévisuelle, fruit de mes heures de visionnage de séries populaires débiles style Joséphine ange gardien ou Demain Nous Appartient : l’épisode 288 de Demain Nous Appartient, dans lequel le personnage de l’autiste, Timothée, parle de la « Singularité » cosmique à sa copine Nour, en regardant ensemble la Bête, la tortue de Timothée surnommée « Apollo 13″… CQFD !
La Singularité en tant que Marque de la Bête, décrite explicitement dans The Voice hier soir !
Qui parmi vous a regardé hier soir (26 avril 2025) sur TF1 l’émission « The Voice »?
J’ai entendu une nouvelle confirmation inédite de la thèse prophétique que je postule dans mon roman apocalyptique Singularity is Devil : que la Singularité est la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans le livre biblique de l’Apocalypse (Et attention : pas de montage possible puisque c’était pour la première fois du vrai direct !). En effet, en ce moment, il arrive que, très inconsciemment, dans les émissions populaires françaises, le mot « Singularité » soit associé à la fois à une Marque, une Signature, une empreinte manuelle ou frontale, ainsi qu’associé à une Bête, un monstre, un animal (en général brillant et qui donne l’illusion à celui qui accepte la Marque de s’enfanter lui-même, d’être son propre Créateur, d’être Dieu). Et cette association « Singularité = Bête » est faite par des gens qui ne me lisent pas, qui ne comprennent pas le prophétisme de leurs paroles, et qui ne connaissent pas le lien entre Singularité et Marque de la Bête : je suis le seul au Monde à faire ce lien.
Lors de la demi-finale The Voice d’hier soir, donc, Nikos Aliagas annonce en direct l’arrivée du trio « Il Cello » (le ciel, en italien), un groupe de ténors formé par leur coach Florent Pagny. Voici ses mots :
Nikos – « Trois voix SINGULIÈRES. Trois parcours. Mais attention : un même souffle ce soir. Face à vous, voici le trio Il Cello. Il chante ‘You Raise me up’ de Josh Groban. »
À la fin de la prestation, le 5e coach « guest spécial », le rockeur Jean-Louis Aubert, improvise un commentaire, pour couvrir le trio d’éloges :
Jean-Louis Aubert – « Ils ont des voix magnifiques. Mais ce que je trouve incroyable, c’est dans une émission où beaucoup partent, avec quelquefois la larme à l’œil, et tout ça, ben là, le destin a fait qu’ils se sont trouvés, ils se sont rencontrés, et quand je les regarde, je vois un vrai groupe, parce que je vois un seul être. Et en fait, tous, ils se regardent comme ça, ils sont complètement complices, et ça fait UNE GROSSE BÊTE. Un seul être. Et un grand chanteur : un chanteurs à 3 voix. »
Nikos – « Un seul être. Mais ils n’ont qu’un Dieu. Ils n’ont qu’un Dieu. À leurs yeux, il n’y en a qu’un. Le prophète, c’est Monsieur. C’est lui qui a eu la vision. Monsieur Florent Pagny ! Sous vos applaudissements ! »
Florent Pagny – « Mais non. J’ai eu la vision d’un destin qui s’est déroulé. »
Je ne rêve pas ! J’ai vu juste !
N.B. : Pour ceux qui veulent voir la référence à la singularité en tant que Marque de la Bête, dans La France a un incroyable talent, c’est sur ce lien !
Tout le monde sait
C’est marrant. Quand je m’entretiens seul à seul avec les catholiques de mon entourage (y compris les jeunes couples bien tradis avec plein d’enfants), et que je leur parle de l’homophobie généralisée dans l’Eglise catholique, je n’ai pas besoin d’argumenter longtemps : ils acquiescent immédiatement, et piteusement. J’ai l’impression que tout le monde sait, en fait. Que c’est le secret de Polichinelle. Et quand je leur dis que j’ai de quoi remplir un livre entier d’exemples et d’anecdotes d’homophobie concrète que j’ai subis, je vois qu’ils sont même étonnés que je reste encore dans notre institution malgré tout et que j’aille à la messe. Je m’en étonne aussi, car ça me dépasse : cette fidélité, c’est soit du masochisme scolaire de manipulé, de la naïveté-bêtise-aveuglement volontaire, soit un beau Mystère.
3 pensées interdites sur la mort du pape François
Concernant la mort du pape François, je n’ai pas dit grand-chose, car j’observe. Mais 3 grandes vérités-tabous m’apparaissent, ou bien 3 convictions personnelles… même si elles ne sont pas catholiquement correctes ou bien que j’aurai du mal à les prouver :
1) En toute honnêteté, je ne retiens du pape François aucune grande pensée, grande phrase ou grande nouveauté, « vérité-choc », de son pontificat. À l’instar de Carlo Acutis, par exemple. En terme de Vérité, c’est la misère. Bien que je le reconnaisse comme un pape valide et choisi par l’Esprit Saint, il n’a rien d’un Père de l’Église qui a révolutionné la pensée de l’Église. D’ailleurs, vous remarquerez que tout le monde le devine puisque personne ne brandit la pancarte « Santo subito! » (« Saint d’office! »). Mais chut! Faut pas le dire.
2) Je pense que le pape François a été assassiné : Vatican News a même révélé qu’il est mort d’un AVC (Accident Cardio-Vasculaire). Et ma blague d’hier sur le « Charcovid » (contraction de la maladie de Charcot et du Covid), était une manière de le signifier. Le pape François a été piqousé à mort. Euthanasié. D’ailleurs, je trouve le choix délibéré de « l’achever » un lundi de Pâques (alors que la veille, il était encore en état de faire un bain de foule en pleine Place Saint Pierre) d’un cynisme « piétiste et sanctifiant » absolument affreux.
https://twitter.com/camille_moscow/status/1914811056439910460
3) La Marque de la Bête, ainsi que la Bête, pousse à fond la candidature du cardinal Gobert Sarah comme nouveau pape. Il n’y a qu’à voir le compte X/Twitter « Wolf » (traduction : loup) qui lance ses pronostics (alors que Sarah a dépassé l’âge légal d’être élu) : et l’écrasante majorité des votes des internautes pousse pour le cardinal guinéen… pour des raisons autant intellectuelles, ritualistes, que politiques et terroristes (maintien de la chrétienté en Afrique face à l’invasion islamique). Dans mon roman Singularity is Devil, le cardinal Sarah incarne le faux pape qui, grâce à un régime d’exception, sera élu pape Pierre II. La Bête adore le cardinal Sarah.
Ce que le Monde actuel rejette de l’Amour
En discutant avec mes contemporains, je me rends compte qu’ils ne croient plus – voire rejettent carrément, dans un relativisme subjectiviste méprisant – quatre dimensions pourtant consubstantielles à l’Amour : son INCARNATION SEXUÉE (l’Amour n’aurait pas de sexe), son UNICITÉ (ils défendent le polyamour, ou le fait qu’on puisse aimer vraiment plusieurs personnes dans sa vie), son UNIVERSALITÉ (l’Amour serait une expérience individuelle non-partageable et non-transposable d’un couple à un autre), son ÉTERNITÉ (l’Amour vrai ne durerait pas, ou durerait le temps qu’il durerait).
Pas « Joyeuses Pâques! »
Je lis çà et là « Joie! Joie! Joie! » sur les messages et les murs des réseaux sociaux et de mes amis chrétiens. Ou bien certains articles de journaux cathos qui font péter le champagne à cause du soi-disant sursaut de conversions de néocatéchumènes au catholicisme.
Non. Désolé. Mon cœur n’est pas à la joie aujourd’hui. Ou, en tout cas, pas à la joie euphorique, extatique, forcée, des quelques catholiques pratiquants actuels qui singent les effets de puissance surprenante qu’ils prêtent à la Résurrection de Jésus.
Mon cœur est plutôt à la joie grave, intérieure, inquiète et même révoltée, de la Passion. Car la situation mondiale/nationale actuelle est tellement grave, douloureuse, tendue, et la Grande Résurrection, le Grand Retour de Jésus, tellement imminents et pourtant si peu effectifs, que – je l’avoue – je vais à la messe pascale de ce matin en traînant les pieds, en me forçant, et que j’ai à peine la force de répondre « Il est VRAIMENT ressuscité ! » à ceux qui me disent « Christ est ressuscité !! ». Je suis à deux doigts de ne pas y aller. Parce que ça me fait chier, toute cette mascarade. Mais j’irai par devoir.
Il est à la fois très proche et très loin, très opaque, ce temps de la Résurrection. Vu que nous rentrons progressivement dans les Tribulations, qu’on va en chier, et que les Trois Jours de Ténèbres approchent. Donc désolé les amis si aujourd’hui ma joie vous apparaît absente, éteinte, teintée d’amertume, ou qu’elle a du mal à sortir. Pour moi, l’augmentation des baptisés est un écran de fumée, un cache-misère reflétant l’apostasie générale et la chute du sacerdoce, la mort clinique de l’Église-Institution humaine. Et on est loin, très très loin, de la Résurrection effective! Même si temporellement la Parousie (le retour de Jésus en gloire) est imminente et n’a jamais été aussi proche.
Je ne vous dis pas « Joyeuses Pâques ! », mais juste « Pâques ! ».
On ne vit plus dans le même Monde?
On ne vit plus dans le même Monde qu’il y a seulement 70 ans. Et c’est pas grave. Pas de notre faute. Ni une folie venant de soi. Mais juste une réalité démographique. En me baladant à Paris hier dans les rues bondées de l’île saint Louis à Paris, en voyant les quais de scène surpeuplés, avec une amie (Marie-Claude) de 75 ans qui m’a appris que lorsqu’elle est née il y avait 2,5 milliards d’Humains, et qu’actuellement nous sommes 8 milliards, on se prend la mondialisation dans la gueule, et le peuplement (je n’ai pas dit « le surpeuplement ») dans la gueule. Les espaces – en particulier urbains – sont pris d’assaut et on doit se serrer. Voilà. On ne vit plus dans le même Monde. Ou plutôt, si : on vit dans le même Monde, mais pas avec la même densité.
Autre chose : hier soir, dans « The Voice », le mot « singularité » est sorti 4 fois, dont 2 en lien avec une « signature », une « marque ». Donc mon intuition se confirme : la singularité est bien la Marque de la Bête.