Archives par mot-clé : Apocalypse

Croire que Jésus est Dieu (ou le Christ) ne suffira pas


 

Concernant le linceul de Turin, ce qui va être difficile pour les catholiques, c’est de comprendre que l’enjeu autour de cette preuve surnaturelle incontestable ne va pas être sa contestation (puisque cette dernière est impossible, comme le démontre brillamment cette vidéo), ni même être le déni de la déité de Jésus (puisque celui-ci est impossible : par exemple, les musulmans qui soutiennent que Jésus n’a pas été crucifié sont pris scientifiquement en flagrant délit d’ignorance !). Ce qui va être en revanche archi difficile pour les chrétiens et pour l’Humanité, et en particulier pour les protestants et les catholiques, c’est de faire le distinguo entre LES Jésus (étant donné qu’à la Fin des Temps, la croyance en la déité de Jésus sera communément et universellement validée, y compris par les athées chevronnés et les cartésiens!). Ce sera la question de la SINGULARITÉ. C’est d’être capable de dissocier (comme le fait la vidéo) la « singularité » vantée par l’Antéchrist – qui prendra les apparences singées de Jésus – et la « Singularité absolue » qu’EST le vrai Jésus.
 

C’est donc tout un travail d’identification de la contrefaçon christisante d’une part et d’identification de qui est Jésus d’autre part, qui nous attend. Il ne va pas falloir nous reposer sur nos lauriers, nous catholiques, ni nous sentir « flattés pour Jésus », ni penser que, parce que le Monde va reconnaître Jésus comme Dieu et Fils de Dieu, ce serait « gagné » (pour Lui comme pour nous). Car l’Antéchrist va se faire passer pour Jésus et le singer « à la perfection »! La croyance en la déité de Jésus ne suffit pas, et ne constitue en rien une preuve que les gens sont dans le juste. Rappelons-nous de la « foi des démons » (c.f. Hadjadj), ainsi que de l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem pendant les Rameaux : à proximité de la fin du Monde, Jésus est reconnu en tant que Dieu par TOUS, y compris par les démons et ceux qui vont le crucifier une semaine après.
 

La reconnaissance de la déité de Jésus ne suffira pas. Vous m’entendez bien : la reconnaissance de la déité de Jésus ne suffira pas. Ce ne sera pas encore la Fin. Et ce ne sera pas, en dépit des apparences, Jésus-Christ.
 

Le Troisième Temple de Jérusalem (palais de l’Antéchrist) est déjà en construction

Le millénarisme antéchristique est vraiment à nos portes. Les serviteurs de l’Antéchrist (dont le PDG d’Optical Center, Laurent Lévy, de qui je vous ai parlé il y a peu, en décryptant les messages maçonniques et déistes dans la dernière pub de sa marque, et à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession) sont à pied d’oeuvre pour construire le Troisième Temple de Jérusalem (« Maison de Dieu universelle ») où siégera précisément l’Antéchrist qui se fera passer pour le Christ.
 

Vous devez absolument regarder cette vidéo sur l’ « Arabaït ». Elle dure seulement 18 minutes, mais illustre parfaitement la volonté de construire un Dieu humain sur Terre (sans y reconnaître Jésus, évidemment… même si les protestants l’appelleront ainsi) et un règne humano-divin sur Terre (LA tentation millénariste par excellence, précisément !).
 

Courses de Noël apocalyptiques !

Courses de Noël faites ! Et le moins qu’on puisse dire, c’est que j’ai tapé dans l’eschatologique (étude des Fins dernières) ! haha. Et que je compte bien arroser apocalyptiquement amis, famille, coloc, enfants du caté ! (Trop ras-le-bol qu’en ce moment on nous fasse lire de la merde.). Au total, ça fait :
 

– Trois exemplaires du roman Le Maître de la Terre de Robert-Hugh Benson (livre de chevet de nos deux papes actuels).

– Sept exemplaires du roman Père Élijah : une Apocalypse de Michael o’Brien. (J’ai littéralement dévalisé la Procure de Saint Sulpice ! lol).

– Un exemplaire du roman Père Élijah à Jérusalem de Michaël o’Brien (que je n’ai pas encore lu, mais je vais me rattraper^^).

– Deux exemplaires de mon livre Homo-Bobo-Apo (sur Amazon).

– Un exemplaire de la B.D. fraîchement sortie du Père Élijah : une Apocalypse… que je compte bien faire lire en entier tout au long de l’année à mon équipe de catéchisme de Saint Médard (treize enfants de CM2), et offrir à la fin à l’enfant le plus méritant après lecture et analyse collective.
 

Il ne manquait plus que Les 3 entretiens sur la guerre, la morale et la religion + le court récit sur l’Antéchrist de Vladimir Soloviev pour boucler la boucle… mais ce sera pour plus tard !^^
 
 

N.B. : Et en ce moment, avec mon ami trans iranien, nous sommes en train de projeter d’écrire ensemble un essai sur l’Armageddon et la place eschatologique/prophétique centrale de l’Iran dans le scénario des Fins dernières…

La série Les Combattantes de TF1 : bilan, décryptage et constat inquiétant pour notre Monde (la déshumanisation des Humains)


 

Ce qui est très inquiétant pour notre Monde, c’est le progressif retrait d’Humanité des pourtant êtres HUMAINS (qui n’ont que ça, leur humanité, pour exister !), déshumanisation de plus en plus présente dans le discours de nos contemporains. Résultante d’un noachisme misanthrope galopant ainsi que d’une Marque de la Bête (Apo 13, 17) de plus en plus hégémonique pour cette Fin des Temps générale.
 

 

Je le remarquais déjà dans le discours de certains mes élèves (même musulmans), qui n’hésitaient pas à nier l’humanité d’Hitler (en soutenant mordicus que « ce n’était pas un humain mais un monstre » : le déshumaniser par la diabolisation, c’est le meilleur moyen de l’imiter inconsciemment !). Ou quand un pédophile (genre Marc Dutroux ou Nordahl Lelandais) ou un psychopathe (Jeffrey Dahmer) fait les gros titres. Ou quand Trump niait sérieusement devant les caméras l’humanité des migrants mexicains passant illégalement les frontières des États-Unis (il a qualifié ces derniers d’« animaux »). Ou encore quand le Connard (Emmanuel Macron), à plusieurs reprises, nie l’humanité des rebuts de sa Start-up Nation (À la Station F, il a distingué publiquement les entrepreneurs « des gens qui ne sont rien ») ou l’humanité de ceux qu’il veut écraser de son caractéristique mépris (Devant les princes du Sahel, il s’est permis de dire très sérieusement, à propos des ravisseurs de Sophie Pétronin, que – je cite – « ces gens ne sont rien »).
 

Cette tendance à retirer à l’Humain son humanité (en plus, finalement, de sa divinité en Jésus) est très préoccupante mondialement, car elle s’appuie sur une croyance à avoir droit de vie ou de mort, d’éradication ou de Salut, sur toute personne qu’on estime « utile » ou « inutile », « gentille » ou « méchante/dangereuse », du simple fait de la voir comme un objet ou un animal ou un esprit démoniaque monstrueux. Autrement dit, c’est un eugénisme/génocide déguisé.
 

 

Je l’ai vue, cette tendance déshumanisante, dans la dernière série (« création ») de TF1, Les Combattantes, sur fond de Première Guerre mondiale 1914-1918. Je vous passe les détails de cette fresque « historique » presque totalement immorale (féministe, misandre, anticatholique, pro-avortement, pro-homosexualité et pro-inceste) et insultante de la mémoire des vrais combattants. Pour résumer : du sang, de la boue, des larmes, du sexe, des morts… on se serait cru dans un navet cinématographique de Laurent Boutonnat. Mais pour revenir à ma démonstration sur le retrait d’Humanité des Humains, ce qui m’a vraiment marqué, c’est surtout cette insistance sincère à nous prouver qu’il existerait des « êtres humains qui ne seraient pas/plus humains ». Chacune des 4 justicières-pleurnicheuses professionnelles (Camille Lou dans le rôle de Suzanne l’avortrice, Sofia Essaïdi dans le rôle de Caroline la cheffe d’entreprise, Audrey Fleurot dans le rôle de Marguerite la prostituée, Julie de Bona dans le rôle de Mère Agnès) avait son monstre humain déshumanisé qu’elle marquait du sceau « indélébile » et « justicier » de la Bête et de « l’Inhumanité » : Suzanne a sorti au mari de Jeanne Charrier, Lucien, qu’« il était un monstre » ; Caroline a sorti à sa belle-mère Éléonore à propos de son ignoble beau-frère Charles « Votre fils est un monstre » ; Marguerite a sorti à son maquereau Marcel – secrètement amoureux d’elle – qu’il n’était « rien pour elle » (ce dernier, à son tour, a dépersonnifié une autre camarade prostituée de Caroline, Juliette, en la traitant de « marchandise » : « Juliette, t’es rien. T’es personne. Ferme ta gueule ! ») ; et enfin, sœur Agnès a sorti à l’abbé Vautrin (prêtre pédophile et violeur que campe Laurent Gerrat) « Vous êtes un porc. Plus jamais vous ne poserez vos mains sur une de mes sœurs. Où que vous soyez, je serai là. Je les préviendrai pour qu’elles sachent quel genre de monstre vous êtes. Je ne vous lâcherai jamais. ». Je vous avais dit : chacune des héroïnes avait son être humain à monstruosifier ! Pour qui se prennent-elles ? Et surtout, pour qui se prennent les réalisateurs de ces fictions ?
 

Le comble, c’est que cet homicide-déicide luciférien se fait au nom d’un humanisme intégral (l’autre nom de la Bête) et au nom de Dieu (spiritualisme intégral) : les réalisateurs et acteurs se prétendent « humanistes » et croient qu’une fresque pareille – qui ne fait que semer la guerre – fait oeuvre de de « Paix », est « HOMMAGE historique et résurrectionnel des faits, de la vérité et des héroïsmes ». Sidérant.
 

Ce retrait d’humanité est une mode scandaleuse qui devrait tous nous insurger, mais que personne aujourd’hui ne voit et ne dénonce. Je me devais donc de faire ce constat.
 

 

N.B. : Petit détail qui m’a fait doucement sourire, et qui montre le caractère intrinsèquement spirituel et antichrétien de ce téléfilm : c’est la référence (inconsciente ?) à Agnès Thill (députée catholique homophobe). Car, qu’on ne me dise pas que le choix de prénoms de Mère Agnès et de son soldat allemand avec qui elle va être dépucelée, Till, relève du pur hasard…

Le Journal de l’Antéchrist : des nouvelles de la Marque de la Bête

Comme vous le savez, je m’intéresse depuis un certain temps à la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse (Ap 13, 17). La puce RFID subcutanée.
 

Et à 4 « endroits » médiatiques, j’ai vu que le Gouvernement Mondial nous l’impose. Comme si, en animalisant ce qui est par essence inhumain, c’est-à-dire la robotique, il prétendait « humaniser » cette dernière. C’est très étrange, cette humanisation par l’animalisation technologique, par l’image de la Bête.
 

Le premier, c’est la publicité de la marque Apple : « Votre prochain ordinateur n’est pas un ordinateur. » : autrement dit, « c’est vous ». Ou « c’est la Bête ».
 


 

Le deuxième endroit, c’est dans les « Battles » (traduction : « batailles ») de l’émission The Voice. Déjà, la mise en scène représente spacialement la Marque de la Bête (la lettre « V » surmontée d’un « W »). Et ensuite, au moment de l’apparition des deux candidats des « Battles » sur scène, une grille se lève devant eux, en mode « Lâchez les fauves! » L’idée des « Battles », plus que de figurer un ring de boxe ou de catch, c’est de symboliquement lâcher les taureaux dans l’arène. Et les 4 empereurs délibèrent ensuite pouce levé/pouce baissé en ayant droit de vie ou de mort sur la carrière des « bêtes de scène » défilant devant eux.
 


 

Le troisième endroit, c’est la Marque de la Bête présente dans la publicité des rasoirs Bulldog. La Bête s’adresse aux hommes comme un reflet d’eux-mêmes. Le massage tacite, c’est que nous serions la Marque de la Bête.
 

 

Le quatrième endroit, c’est la chanson « Fenomenology » de Lara Fabian, parlant d’un chien ou d’un papillon apocalyptique vénéré comme un Christ sacrifié.

Fin de la papauté pour 2027 ?


 

Dans le documentaire de François Barré sur la prophétie des Papes (dite « de saint Malachie », écrite en 1595), un documentaire certes sensationaliste mais qui a le mérite de dire certaines vérités, la fin de la papauté pourrait bien être fixée à 2027. Même si les prophéties sont élastiques, ne sont pas des sciences exactes (comme je l’explique dans Homo-Bobo-Apo).
 

Pourquoi cette date si précise ? « Axis in medietate signi » est le nom probablement attribué au Pape Sixte V (« l’Axe au milieu du signe »). Le pontificat de Sixte V se situe à mi-chemin de la prophétie des Papes. C’est donc grâce à lui qu’il est possible de dater la fin.
 

La première devise de la prophétie des Papes correspond à Célestin II, élu pape en 1143. Sixte V (le « Pape du milieu ») arrive au trône papal en 1585, soit 442 ans après. Ce qui veut dire que la prophétie doit prendre fin 442 ans plus tard, à savoir en 2027.
 

 

Par ailleurs, la tradition orale a ajouté à la prophétie un dernier pape (après le Pape François : vraisemblablement « Petrus Romanus ») qui n’est pas de Dieu – une certaine « Caput Nigrum » (Pourquoi d’ailleurs ne pas envisager le cardinal Sarah ? Selon moi, c’est tout à fait envisageable, étant donné la cote de popularité de ce dernier auprès des catholiques conservateurs du Monde entier. Ce qui invaliderait la thèse que la « tête noire » renverrait à un jésuite, donc au Pape François…). Et enfin, selon le Pape saint Jean XXIII, l’Apocalypse serait pour 2033. Ça vaudrait le coup de s’intéresser aux prophéties de ce Pape…

Alexandre Astier : Prophète ! (… de la Bête « Curiosité »)


 

Bienvenue à la Fête du Boboïsme qu’est le con-finement ! Les bobos (c.f. mes livres Les Bobos en Vérité et Homo-Bobo-Apo) – y compris catholiques – se cherchent en ces temps de panique et d’incertitude des Hommes providentiels auxquels se raccrocher (comme les morpions aux poils de la Bête). En ce moment en France, il y a bien sûr le Dr Didier Raoult (proposant une solution humaine) qui récolte un fort succès auprès des sphères bobos « alternatives ». Mais il y a aussi le Maître des bobos français, l’humoriste de Kaamelott (la série de Canal + qui ne m’a jamais fait rire) Alexandre Astier, au discours souvent « laconique », désabusé, aigri, cynique, condescendant, pince-sans-rire et résigné. Astier est le chouchou des bobos gauchistes (les droitards privilégient plutôt Jean Dujardin, Gaspard Proust, Pierre Desproges, Éric Zemmour, Fabrice Luchini). Il est considéré par les bobos comme un génie, comme un sage en même temps qu’un justicier et un sauveur. Une amie a posté cette vidéo de lui où il « philosophe ». Attention…
 
https://www.facebook.com/Huzy.J/videos/10222259765827206/
 

Vous pouvez retrouver le même extrait, en meilleure qualité, de 31’56 à 36’30 :
 

 

Et puis comme Astier a parlé de virus et de bactéries soi-disant « avant l’heure », c’est en plus un grand visionnaire ! Un grand prophète !
 

Personnellement, j’aimerais m’appesantir sur ce court extrait d’interview pour vous montrer combien les célébrités qui en ce moment dénoncent la Bête – mais sans l’Espérance catholique qui seule permettrait de la terrasser – la suivent et la soutiennent sans s’en rendre compte. Car vraiment, dans le discours d’Alexandre Astier, c’est un festival.
 

– La Bête de l’Apocalypse, comme je le signale ici, se caractérise entre autres par un Humanisme intégral qui se dégoûte lui-même à force d’avoir tout misé sur l’Homme et sur ses « droits ». La misanthropie humaniste transpire dans tous les mots de l’humoriste-philosophe. Il fait preuve de misanthropie (haine de l’Homme) sous prétexte de défendre la Nature et de lutter contre l’anthropocentrisme. En d’autres termes, Astier remet en question la primauté et la sacralité de Humains (en Jésus) sur les autres espèces du vivant.
 

– Astier insiste énormément sur le concept de curiosité : « On a des trucs très curieux » ; « Au-delà du level, y’a quand même la curiosité. Mais est-ce qu’on tombe sur des curieux ? » ; « On a des trucs très curieux. » ; « Je ne suis pas persuadé que la curiosité soit la première intelligence. » ; « On va exploser dans un torrent de curiosité. » ; « La curiosité est-ce que ce serait pas un symptôme ? » ; etc. J’avais déjà repéré depuis un certain temps que la Bête dans nos médias s’insérait dans nos coeurs et nos têtes par ce mot-là (par exemple lors du dernier concours de Miss France 2020 – des candidates se définissaient de manière très queerisante comme « curieuses » – ou dans des téléfilms tels que « La Bête curieuse » ; La curiosité est à Astier ce que la singularité est à Ray Kurzweil : un synonyme de la Bête). Mais là, c’est flagrant : « Si jamais nous on est curieux, est-ce du point de vue d’un tiers ce ne serait pas juste une maladie ? » Il est en train de décrire la Bête (le propre de la Bête c’est bien qu’elle est curieuse et pleine de curiosité, non ?) comme un élément étranger, monstrueux, qui s’additionne à notre Humanité sacrée au point de la contaminer/de fusionner avec elle, comme une excroissance cancéreuse logique et bien méritée venant illustrer/punir notre orgueil/consumérisme humain.
 

– Astier, dans cet extrait, traîne en procès l’intelligence humaine, sous prétexte de dénoncer les abus du gnosticisme ou de l’intellectualisme : « On a cette espèce de cerveau énorme. Et si tout ça était un défaut… » ; « Je ne suis même pas sûr que d’un point de vue planétaire l’intelligence soit une bonne chose en fait. » Plus que ça : il traîne en procès l’Humain : « On est le cancer, on est le virus de la Planète sur laquelle on est. »
 

– Il se met, comme tout vrai bobo (et finalement aussi comme cet « Autre » qu’est Lucifer : une Bête-outsider chimérique mi-homme mi-extraterrestre : « Je pense qu’un extraterrestre il se demanderait même qu’est-ce que les Humains foutent… »), à la place du spectateur ex-nihilo contemplatif, navré de la supposée « bêtise humaine » dont il s’extrait, et qui vient dire, en séparant les 2 camps d’« abrutis humains » qui s’étripent et qui n’ont pas son intelligence : « Eh les gars, c’est pas un peu fini c’te guéguerre absurde de celui qui a la plus longue ?? Et si on gagnait tous en humilité, et nous arrêtions de nous prendre pour les centres du Monde, et revenions à la Nature, à l’innocence des bêtes, à l’état sauvage… mais finalement bien moins sauvage et bien plus civilisé que notre humanité ? »
 

– Astier développe une vision très mécaniste (et donc franc-maçonne) de l’Humanité (mécanisme souvent retraduit dans le jargon des initiés par la notion de « Destin » et de « Sens de l’Histoire » : la quenouille, la rouerie de la montre ou du métier à tisser, la construction architecturale, l’alchimie, l’écriture d’un livre, etc. Ce n’est pas Macron, notre « Maître des Horloges » national, qui me désavouera là-dessus !) : « L’Histoire de cette Planète, c’est une horloge de 12 heures. » Ça me rappelle, dans l’idée, ce documentaire ultra bobo (et désenchanté) diffusé sur ARTE qui montre l’Humanité comme un soi-disant « accident », une poussière d’étoile et une insignifiance (limite une « erreur » !) dans l’Histoire du Monde. Or c’est faux, puisque Dieu a décidé d’habiter tout Homme (en Jésus) et non un arbre ou un animal ou le Cosmos, et c’est une volonté d’Amour ; pas un accident ni une erreur.
 

 

– La cosmovision d’Alexandre Astier obéit à l’héliocentrisme cosmique (culte solaire et du Cosmos) : l’acteur est d’ailleurs filmé dans la Salle Picard de l’Observatoire de Paris, entouré d’astrolabes, de mappemonde et de téléscopes. Ce n’est pas non plus un hasard qu’il porte une casquette avec « EXO » : l’exobiologie est une des « sciences » préférées des adeptes de la Nouvelle Religion mondiale. Ces derniers ne croient pas/plus que Dieu se soit fait homme en Jésus, mais au contraire qu’il existe d’autres formes de vie et de divinités dans le Cosmos. Ça, je l’ai entendu de mes propres oreilles dans des conférences menées par d’éminents exobiologistes !).
 

– Astier termine son discours homicide (donc anti-Humain) en nous ressortant tous les poncifs de la Nouvelle Gouvernance mondiale (l’unité – « On n’a pas d’Unité de l’espèce. » -, la boîte à outils maçonnique – « On ne va pas vivre très longtemps : on n’a plus les outils pour faire ça. ») et en signant la chronique d’une mort annoncée de l’Humanité en soutenant ensuite, par un lavage de mains pilatien au gel hydroalcoolique – qu’il ne fait que rester factuel car c’est l’Humanité toute seule qui s’est tirée une balle dans le pied : « On ne va pas vivre très longtemps ». Et l’Éternité humaine promise par Jésus, c’est quoi ?
 

– Bien évidemment, on s’en serait douté, après avoir flingué l’Humain et son intelligence au profit d’un culte naturaliste où la Bête est reine et « teeellement plus humaine, paradoxalement, que les Hommes », Astier conclut son prophétisme cartésien de malheur en jetant l’opprobre et la faute sur « les religions ». Ben voui… le bouc-émissaire pratique d’un Monde athée – ou plus déiste mais antithéiste – qui justement perd la boule parce qu’il ne croit plus en Dieu, et qui attribue ses conneries aux institutions religieuses qui lui auraient permis de ne pas les faire. « Le problème, c’est les religions. C’est de la barbarie complète. »
 
 
 

Je vais donc, chers amis, vous mettre sérieusement en garde contre cette inversion récurrente et antispéciste Hommes/animaux qu’on entend désormais chez énormément de faux prophètes d’aujourd’hui, acclamés pourtant par la foule (y compris catholique), et vous demande de vous tenir en alerte sur le langage de la Bête décrite par l’Apocalypse. Formez-vous, lisez le chapitre II de mon livre Homo-Bobo-Apo. Sinon, la Bête va vous bouffer tout crus, et en plus, avec votre inconscient consentement ! Alors au travail !
 

Le Retour du Roi

Le règne de l’Antéchrist, le prince de ce monde, n’est pas loin, étant donné que la royauté (ou le royalisme) a le vent en poupe en ce moment. On en entend parler un peu partout (surtout depuis le Roi Lion, le Seigneur des Anneaux, Games of Thrones, Star Wars, la Reine des Neiges et autres blockbusters nord-américains). Même dans les publicités pour hamburgers (Burger King) ou pour café, ils nous enjoignent à « être royal » (c.f. le Café Royal avec son slogan « Be Royal »… et en sous-titre : « La vraie couronne est dans la tête. »… comme si la puce électronique ou bien la conscience portaient le nom de « couronne » invisible et autrement plus puissante et noble qu’une couronne de diadèmes en toc.).
 

 

C’est simple. Tout le monde prétend être roi de quelque chose ! Et le Peuple veut/voudrait un Roi (un Roi, bien évidemment, qui n’est pas Jésus) ! Le concept de royauté, loin d’être proprement catholique et d’être tombé en désuétude, fascine beaucoup nos contemporains athées – ou plutôt agnostiques -, déçus de la politique, horripilés par les fonctions archaïques de « président », de « patron » et de « chef », mais paradoxalement nostalgiques des titres de « Roi », de « Maître », de « Héros », de « Génie », de « Chevalier », de « Seigneur », de « Monarque », de « Prince » ou de « Dieux », plein de majesté, de magnificence et de puissance cinématographiques, de brillance (héliocentrique : vive les néo Roi Soleil !), de naturalité (la Bête « voudrait déjà être roi »), de solennité ancestrale et du mysticisme chevaleresque qui plait tant aux francs-maçons mais également aux cathos bobos d’extrême droite (millénaristes monarchistes de la Réacosphère).
 

 

Les uns comme les autres n’ont rien compris à la réelle royauté de Jésus, les premiers (les antithéistes) parce qu’ils associent la royauté à la puissance individualiste et à l’insoumission, les seconds (suiveurs du Cardinal Sarah) parce qu’ils l’associent à leur idolâtrie de la soumission et de l’obéissance, et qu’ils oublient que Jésus n’est pas un Roi au-dessus de nous mais un Roi pauvre, impuissant, qui s’est fait serviteur et qui nous lave les pieds, qui ne nous appelle plus « serviteurs » mais « amis » (Jn 15, 15).
 

 

Très prochainement au cinéma en France va sortir le film « Wedding Nightmare » de Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin (un film d’horreur anti-mariage catholique, distribué par les studios Disney, consistant à décourager les rares personnes encore tentées de passer à l’église de se marier). Et l’une des répliques-phare, c’est quand la future mariée, qui s’apprête en réalité à signer un pacte avec le diable et sa famille, dit à son futur mari : « Je n’arrive pas à croire que d’ici une demi-heure, je ferai partie de l’incroyable lignée ou dynastie des… » et ce dernier lui coupe la parole en rectifiant le propos : « Le Royaume. On préfère ‘Royaume’. ».
 

 

 

Les principautés démoniaques et lucifériennes ont à cœur d’instaurer un Royaume, elles aussi. Contrairement à ce que s’imaginent les catholiques royalistes, qui pensent être les seuls à chérir la royauté et à vouloir son retour politique, le monarchisme, loin de faire peur ou de dégoûter à nos contemporains, vit un regain d’intérêt puissant. Et nous, catholiques, y sommes pour quelque chose dans l’installation prochaine de ce dernier. Le Roi des insoumis (l’Antéchrist) va succéder – pour un temps très court – au Roi des soumis (Jésus et les catholiques authentiques). Ne nous plantons pas de royauté, y compris au nom du Christ-Roi. La Royauté de Jésus n’est pas de ce monde (Jn 18, 36).
 

Ces abrutis de Riposte Catholique et leur Roi « Chrétienté » ou « Civilisation christique »

Podcast audio sur l’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 1980 en France

Voici un podcast de décryptage des dessins animés des années 1980 diffusés sur les chaînes de télé françaises (Youpi l’école est finie ! sur La Cinq, Récré à deux sur Antenne 2, Amuse trois sur FR3, Le Club Dorothée sur TF1, etc.), avec l’angle insolite du catholicisme : « L’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 80 ».
 

 

Philippe Ariño vous démontre que cela fait au moins 40 ans que les dessins animés jeunesse nous poussent à mépriser Jésus et la religion catholique, au profit de la religion énergétique.

 

Ce podcast se découpe en 3 parties :

1 – Les dessins animés clairement anti-catholiques

2 – Les dessins animés de la Nouvelle Religion mondiale, fondés sur l’Énergie et l’Or

3 – Les rares dessins animés « cathos-friendly » voire carrément cathos.

 

Vous pouvez retrouver d’autres podcasts de décryptages de Philippe, sur Youtube, comme par exemple celui sur les goûts musicaux homosexuels, celui sur la série Manifest, celui sur la série Sex Education ou encore celui du discours alchimique du Cardinal Sarah.