Saga apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL (épisode 1)!
Rien de tel pour fêter la Bonne Année!
Saga apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL (épisode 1)!
Rien de tel pour fêter la Bonne Année!
Concernant le linceul de Turin, ce qui va être difficile pour les catholiques, c’est de comprendre que l’enjeu autour de cette preuve surnaturelle incontestable ne va pas être sa contestation (puisque cette dernière est impossible, comme le démontre brillamment cette vidéo), ni même être le déni de la déité de Jésus (puisque celui-ci est impossible : par exemple, les musulmans qui soutiennent que Jésus n’a pas été crucifié sont pris scientifiquement en flagrant délit d’ignorance !). Ce qui va être en revanche archi difficile pour les chrétiens et pour l’Humanité, et en particulier pour les protestants et les catholiques, c’est de faire le distinguo entre LES Jésus (étant donné qu’à la Fin des Temps, la croyance en la déité de Jésus sera communément et universellement validée, y compris par les athées chevronnés et les cartésiens!). Ce sera la question de la SINGULARITÉ. C’est d’être capable de dissocier (comme le fait la vidéo) la « singularité » vantée par l’Antéchrist – qui prendra les apparences singées de Jésus – et la « Singularité absolue » qu’EST le vrai Jésus.
C’est donc tout un travail d’identification de la contrefaçon christisante d’une part et d’identification de qui est Jésus d’autre part, qui nous attend. Il ne va pas falloir nous reposer sur nos lauriers, nous catholiques, ni nous sentir « flattés pour Jésus », ni penser que, parce que le Monde va reconnaître Jésus comme Dieu et Fils de Dieu, ce serait « gagné » (pour Lui comme pour nous). Car l’Antéchrist va se faire passer pour Jésus et le singer « à la perfection »! La croyance en la déité de Jésus ne suffit pas, et ne constitue en rien une preuve que les gens sont dans le juste. Rappelons-nous de la « foi des démons » (c.f. Hadjadj), ainsi que de l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem pendant les Rameaux : à proximité de la fin du Monde, Jésus est reconnu en tant que Dieu par TOUS, y compris par les démons et ceux qui vont le crucifier une semaine après.
La reconnaissance de la déité de Jésus ne suffira pas. Vous m’entendez bien : la reconnaissance de la déité de Jésus ne suffira pas. Ce ne sera pas encore la Fin. Et ce ne sera pas, en dépit des apparences, Jésus-Christ.
Le récent engouement généré sur Twitter par Zoé Sagan (personnage d’accusateur public créé par un auteur portant encore un autre pseudonyme, Aurélien Poirson-Atlan), montre combien la sphère dissidente et contestataire actuelle est autant luciférienne que le satanisme qu’elle cherche à éradiquer. L’anthropologue suisse Jean-Dominique Michel, en particulier, a des propos de plus en plus nettement maçonniques (même s’il ne s’en rend pas compte : il s’annonce sous l’ogive de la FRANCHISE) et même antéchristiques (même s’il est aveuglé par ses intentions anti-satanisme). Là, dans son émission dédiée à Zoé Sagan justement, regardez comment, en une phrase, il nie Jésus : « ‘Que ceux qui ont des yeux pour voir, voient; et que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent!’ aurait dit une certaine figure spirituelle qui a vécu il y a 2000 ans en arrière. » Il ne cite ni Jésus explicitement, ni ne croit en ce qu’il dit, et il le relègue à l’état de « figure spirituelle ». Si ce n’est pas antéchristique, ça, qu’est-ce que c’est?
Résonne en moi cette phrase si juste du père Thierry Avalle à saint Nicolas des Champs qui, en pleine homélie, avait déclaré : « Dire ses 4 vérités à quelqu’un, c’est diabolique. » C’est très juste.
Et concernant la personnalité et les actions publiques de l’Antéchrist de ma saga, il aura tout ou presque de Zoé Sagan. Dans la Bible, le diable est, à juste raison, appelé « l’Accusateur » (y compris l’accusateur du satanisme, dont il s’exclue, évidemment ; contrairement à Jésus). Merci Jean-Dominique Michel ! Merci Aurélien Poirson-Atlan! Vous me servirez de modèles pour les méchants de l’histoire.
Courses de Noël faites ! Et le moins qu’on puisse dire, c’est que j’ai tapé dans l’eschatologique (étude des Fins dernières) ! haha. Et que je compte bien arroser apocalyptiquement amis, famille, coloc, enfants du caté ! (Trop ras-le-bol qu’en ce moment on nous fasse lire de la merde.). Au total, ça fait :
– Trois exemplaires du roman Le Maître de la Terre de Robert-Hugh Benson (livre de chevet de nos deux papes actuels).
– Sept exemplaires du roman Père Élijah : une Apocalypse de Michael o’Brien. (J’ai littéralement dévalisé la Procure de Saint Sulpice ! lol).
– Un exemplaire du roman Père Élijah à Jérusalem de Michaël o’Brien (que je n’ai pas encore lu, mais je vais me rattraper^^).
– Deux exemplaires de mon livre Homo-Bobo-Apo (sur Amazon).
– Un exemplaire de la B.D. fraîchement sortie du Père Élijah : une Apocalypse… que je compte bien faire lire en entier tout au long de l’année à mon équipe de catéchisme de Saint Médard (treize enfants de CM2), et offrir à la fin à l’enfant le plus méritant après lecture et analyse collective.
Il ne manquait plus que Les 3 entretiens sur la guerre, la morale et la religion + le court récit sur l’Antéchrist de Vladimir Soloviev pour boucler la boucle… mais ce sera pour plus tard !^^
N.B. : Et en ce moment, avec mon ami trans iranien, nous sommes en train de projeter d’écrire ensemble un essai sur l’Armageddon et la place eschatologique/prophétique centrale de l’Iran dans le scénario des Fins dernières…
J’ai découvert à la télé ce soir sur TF1 la suite de la saga de l’« Hôtel Transylvanie » (c.f. l’article de la semaine dernière) racontant cette fois le mariage CON-sanguin (la possession hybride et chimérique, si vous préférez) entre les démons et les Humains.
Ce qui m’a marqué dans l’« Hôtel Transylvanie 2 », et que j’avais déjà relevé dans le n°1 (Dans « Hôtel Transylvanie 1 », on pouvait déjà en effet entendre des phrases telles que « Les humains sont tellement pas cools… » ou encore « Laisser couler, c’est cool », etc., mais en quand même beaucoup moins prononcé que dans le 2), c’est l’omniprésence de l’adjectif « cool ». Je l’ai entendu une quinzaine de fois, si je ne m’abuse. Comme si la coolitude était la consécration, le but principal du film, le précieux sésame à décrocher à tout prix.
D’ailleurs, en conclusion du film, le petit Dennis demande à son grand-père Dracula (rebaptisé « Drac’ » par les réalisateurs bobos, parce qu’évidemment ça fait plus cool : dans ce film d’animation, tous les noms de monstres d’« Hôtel Transylvanie » sont coolisés, comme par exemple « Francky » pour Frankenstein) : « Papy, je suis cool maintenant ? »… et son grand-père de répondre fièrement, comme un adoubement chevaleresque « Oui Dennis. Tu as toujours été cool. ». C’est tacitement la morale finale de l’histoire.
Plus encore que la victoire sur les méchants, que le bonheur ou l’unité familiale retrouvé(e), ou que la métamorphose/découverte par l’Homme de sa propre monstruosité, c’est la coolitude qui est recherchée comme le saint Graal… et qui est sans doute, à mon avis, la véritable monstruosité, bestialité, possession luciférienne, dictature mondiale, qui s’empare actuellement des Humains sans qu’ils ne s’en rendent compte puisque cette coolitude est étincelante et apparemment libérante, amusante, légère, peinturlurée de vert écolo, de noir rebelle et gothique, plus encore que de rose-bonbon. L’« être cool » a remplacé l’« être bon », ou même l’« être gentil ou méchant ».
Comme un rouleau compresseur, et en l’espace de quelques décennies, la coolitude est devenue la nouvelle morale. La Reine mondiale. Elle s’est substituée au Bon ou au Bien, donc à Dieu et à Jésus. Or, si la coolitude devient le nouveau Bon ou Bien, ça peut prêter à sourire… mais en réalité, je vous annonce qu’on a du souci à se faire ! Pourquoi ? Parce que c’est le début de la loi de la jungle, ou du Talion. Tous les conflits humains, si vous regardez bien (depuis la cour d’école, jusque dans votre propre famille, votre couple ou dans les partis politiques), s’originent presque toujours dans la coolitude et reposent sur celle-ci. Dès que la coolitude (autrement dit le culte de l’apparence, ou le boboïsme) s’immisce dans un groupe humain et devient le principe ordonnateur, le critère de distinction entre les Hommes, la ligne de démarcation « éthique » (et finalement manichéenne) entre les « cools » et les « pas cools » (qui passent leur temps à s’échanger leur rôle car selon l’axiome de la coolitude, on devient tous « le cool » et « le pas cool » de quelqu’un : c’est plus cool et imperceptible que le stigmatisant classement de bourreau/victime), c’est le début de la fin. Si les Humains se choisissent la coolitude comme principale morale, philosophie et justice, ça veut dire – qu’on le mesure ou non – que le démon a bel et bien pris le pouvoir de nos vies et de notre Monde.
N.B. 1 : La bonne nouvelle, c’est que j’ai aussi remarqué que la paix revient dans les familles ou les groupes d’amis une fois que l’idole de la coolitude est mise à mort d’un commun accord. Je l’ai vu avec mon frère jumeau. On s’est réconciliés quand on a cessé de rentrer dans la peau du « plus cool que l’autre », quand on a cessé la course à la coolitude. En revanche, dans ma propre famille, certaines tensions et tyrannies persistent (malheureusement) parce que certains croient avoir le monopole de la coolitude, et par conséquent jugent les autres de « tyrans ringards et pas cools ». C’est un cercle vicieux.
N.B. 2 : Et là (je ne l’ai pas fait exprès), je viens de regarder un épisode de « Scooby Doo » (« La Horde sauvage ») où le méchant, au moment d’être démasqué, dit que son plan de vengeance contre son équipe de geeks est né du fait qu’il s’est senti humilié par sa bande de « cools » qui ne le jugeait « pas cool ». Ce sont ses mots. Marrant, cette coïncidence, non?
N.B. 3 : Enfin, dans l’Église, un certain nombre de tradis (ceux que j’appelle les cathos-bobos anars d’extrême droite) sont persuadés que la vraie coolitude c’est d’être pas cools et intransigeants. Ils croient en la coolitude de l’incoolitude, si vous voyez ce que je veux dire. C’est pour ça qu’ils prônent un retour à l’autoritarisme : pour eux, l’archaïsme (passéisme mâtiné de royalisme christisé à la Cardinal Sarah), c’est le comble de la modernité. « Has been » ou « Rigide » is the New Black! C’est le raisonnement d’un Jacques de Guillebon (directeur en chef de L’Incorrect) ou encore le credo de Paul Picarreta (de la revue Limite). Pensez à Trump, Bolsonaro, côté politique. « Être réac, c’est cool ». La coolitude, c’est de curseur de l’orgueil.
Comme ce temps de bouleversement mondial dû au Coronavirus est un moment de diversion pour permettre en coulisses l’établissement d’autres desseins (la restructuration de l’organisation du Monde et l’avènement de l’Antéchrist), il est aussi particulièrement propice à l’observation des signes des Temps, des symptômes sociologiques autant que surnaturels. J’aimerais en souligner avec vous quelques-uns.
Je l’ai déjà souligné récemment, mais j’insiste. Le Coronavirus (un des nombreux visages de la Bête de l’Apocalypse décrite par saint Jean dans la Bible) et le confinement mondial qu’il nous impose sous couvert de sécurité, prépare le sacre de la Bête. Et déjà, dans les discours, beaucoup d’Humains trouvent la Bête finalement très gentille et bien plus humaine que les Humains eux-mêmes. Certains la choisissent déjà pour Reine de l’Humanité, en se basant sur un écologisme naturaliste panthéiste. Et ils bestialisent les grands hommes en « monstres sacrés » pour leur retirer leur humanité sous prétexte de les flatter.
Ça fait un moment que je vous dis et écris – notamment en rapport avec la série Joséphine ange gardien – que la Nouvelle Religion mondiale veut remplacer Dieu (Jésus) par le dieu « Énergie » (en gros Lucifer), en s’appuyant sur 3 matières : l’or, l’électricité et le Soleil (héliocentrisme). C’est pourquoi j’ai regardé hier soir (2 avril 2020) sur France 5 le documentaire « Du Soleil et des Hommes » de François Barré. Ce fut, comme c’était à prévoir, un parfait exemple d’idolâtrie héliocentrique contemporaine (l’héliocentrisme est une hérésie dénoncée depuis longtemps par l’Église Catholique : dans le livre du Deutéronome (Deut 4, 19), Dieu le Père précise que tout ce qui est en rapport avec l’adoration du Soleil est strictement interdit. Dans le livre d’Ézéchiel (Ez 8, 15-18), également, il est donné le culte au dieu Thammuz (dieu solaire) : « L’Éternel m’emmena vers la cour intérieure de la Maison du Seigneur : voici qu’à l’entrée du sanctuaire du Seigneur, entre le Vestibule et l’autel, il y avait environ vingt-cinq hommes tournant le dos au sanctuaire du Seigneur, et le visage vers l’orient. Ils se prosternaient en direction de l’orient, vers le soleil. Et il me dit : « Tu as vu, fils d’homme ? Est-ce trop peu pour la maison de Juda de commettre les abominations qu’ils commettent ici ? Oui, ils remplissent le pays de violence, ils provoquent encore mon indignation : les voici qui élèvent le rameau jusqu’à leur nez ! À mon tour d’agir avec fureur ; je n’aurai pas un regard de pitié, je n’épargnerai personne. Ils auront beau crier à mes oreilles d’une voix forte, je ne les écouterai pas. »).
J’ai relevé pour vous dans le documentaire de Science Grand Format de France 5 – pourtant prétendument « scientifique » – plusieurs phrases illuminati remplaçant le Dieu Créateur (Père-Fils-Saint Esprit) par le dieu solaire. Comme si le soleil, parce qu’il succède effectivement à l’acte créateur de Dieu et accompagne le développement de la Vie et de la création, devenait tout d’un coup le Créateur même, devenait la Vie… (Quelle prodigieuse dérive et inversion maçonniques !) : « Le Soleil nous a créés. Donc s’Il meurt, nous aussi. » ; « cet astre tout-puissant » ; « Ce que le Soleil fait, Il peut aussi le défaire » ; « Le Soleil est le Créateur de toute chose… dans le prodigieux système qui porte son nom. » ; « Le Soleil nous a façonnés au fil du temps. » ; « Le Soleil guide les hommes dans leurs grands déplacements. » ; « Le Soleil fait partie de nous autant que la Terre que nous foulons chaque jour. » ; « Nous établissons un lien étroit avec notre étoile. » ; « D’où lui vient une telle puissance ? Quelle Force l’anime ? » ; « Pourquoi faire des astres » ; « Sans le Soleil, il n’y aurait pas de vie sur Terre. » ; « Les astres sont immortels. » ; « Le savoir qui découle du Soleil est immense. » ; « tout le génie de ces observateurs du Soleil » ; etc. France 5 nous a offert un parfait exemple d’héliocentrisme luciférien (c.f. le chapitre 2 de mon livre Homo-Bobo-Apo sur la Nouvelle Religion mondiale).
Petits « détails rigolos » dans ce documentaire : le premier, c’est que l’observatoire solaire du pic du midi créé par Bernard Lyot dans les années 1930 s’appelle le « Coronographe » (donc en ces temps de Corona, ça ne s’improvise pas !) ; et le second, c’est que j’ai découvert que les premiers êtres vivants à être apparus sur Terre pour la peupler après les plantes sont les ARAIGNÉES (mais oui !).
Dans mes temps de pause de confinement, vous allez peut-être trouver ça BÊTE mais je découvre des épisodes inédits d’un dessin animé que j’ai toujours aimé : Scooby-doo. Et je suis un peu sidéré de voir l’évolution antéchristique et illuminati de la série. Les monstres y ont toujours eu une place de premier plan. Mais là, il est étonnant de voir comme les pragmatiques « cartésiens », paradoxalement, multiplient et durcissent leurs liens avec la Bête et les entités spirituelles démoniaques invisibles. Par exemple, dans l’épisode 23 (« Un Fantôme à Crystal Cove ») de la nouvelle saison, Scooby-doo et ses amis font carrément une séance d’occultisme avec la planche de Ouija des satanistes. Et dans l’épisode 12 (« Le Chaos hurlant »), la Bête est carrément victimisée et défendue : « Les Monstres ne doivent pas être stigmatisés ! » (Ernesto Che Guevara) ; « Char Gar Gothakon, la Bête qui n’a pas de nom, a le droit de vivre parmi nous ! ». Dans ce même épisode, pour faire fuir les monstres, les héros se mettent même à jouer les exorcistes (mais sans Dieu, donc sans Jésus, donc les exorcistes profanes) : « On peut y arriver en psalmodiant une incantation » (Véra). Et le pire, c’est que les concepteurs de ce dessin animé vont dire après que les esprits n’existent pas et que tous les phénomènes paranormaux qu’ils illustrent ont une explication rationnelle, matérielle, humaine !
Clou du spectacle dans Scooby-Doo, c’est que la Bête finit par supplanter l’Humain. Déjà, à la fin de chaque épisode, les méchants démasqués (encore une histoire de masques COVID-19…) récriminent toujours la même accusation de Bête curieuse à l’équipe de détectives : « J’aurais réussi mon plan si je n’avais eu affaire à de sales petits fouineurs comme vooouuus! » Et je rappelle également que dans la nouvelle saison de Scooby-Doo, Sammy a quitté Véra pour un chien : Scooby-Doo ! Et ce délire zoophile et pro-Bête ne choque visiblement que Véra…
Tant qu’on en est à parler des délires superstitieux et spiritualistes du cartésianisme anti-catholique, on trouve actuellement une parfaite illustration de la Nouvelle Religion mondiale énergétique avec la glorification du personnage de l’autiste, présenté par les bobos comme un nouveau Maître de Sagesse incompris mais aidant les êtres humains à s’extraire de la rationalité humaine basique et surtout de tout ce qui fait notre Humanité à savoir les émotions. Eh oui : comme les libertins ne maîtrisent plus leurs pulsions et souffrent désormais massivement d’hystérie paranoïaque (l’hystérie traduit une incapacité à gérer ses émotions), ils traînent en procès l’incarnation humaine sexuée et disent que les émotions c’est le maaaal. Le personnage hermétique de l’Autiste Asperger – que l’on retrouve dans pas mal de séries actuelles comme par exemple Astrid dans Astrid et Raphaëlle sur France 2 ou bien encore Timothée dans Demain Nous Appartient sur TF1 – serait l’incarnation humaine « réussie » (mais incomprise du « méchant Monde et de la méchante Humanité ») des algorithmes robotiques, l’Autre magnifique, la victoire de l’intelligence sur la sensation/l’émotion ! (je vous rappelle que l’Antéchrist veut remplacer l’Amour par l’Intelligence). Il a même des connexions mystérieuses avec l’Au-delà et les défunts ! Et voyez l’hypocrisie schizophrène des adeptes de la Nouvelle Religion mondiale : l’Autiste n’en reste pas moins pour eux un modèle de logique, d’obéissance et de refus du spirituel ! Je vous renvoie avec insistance au lien très fort entre handicap et Nouvelle Gouvernance mondiale. Leur autiste Asperger se comporte à la fois comme un robot et un animal à l’instinct infaillible, mais ce serait ça la vraie nature humaine !
Pour la petite histoire, la série Astrid et Raphaëlle est un monument de Franc-Maçonnerie ! Je me contenterai de relever 3 symboles clés de ça. D’abord il y a l’insistance sur la confiance en soi (la « confiance en soi » et non en Jésus est la marotte du Gouvernement Mondial luciférien, c’est la soi-disant « Pierre Philosophale » de notre « Moi Intérieur »). Dans l’épisode 1 de la saison 1 (« Hantise »), à deux reprises il en est question : « C’est très important la confiance. Sans la confiance, pas de lien. » (William, le modérateur du groupe des personnes autistes) ; « Ton talent est là. Quelque part. La seule chose que tu as à faire, c’est le trouver. Il y a une seule personne en qui tu dois toujours avoir confiance : toi, Astrid. » (le papa d’Astrid s’adressant à sa fille; on voit ici que le talent, c’est l’orgueil appelé « confiance en soi »). En deuxième lieu, il y a le gnosticisme (l’idée maçonnique que le vrai trésor n’est pas matériel mais intellectuel, invisible, est le savoir, la connaissance, l’intelligence) : « Le trésor est du savoir. Ce n’est pas de l’or. Je trouve cela merveilleux. » (Astrid). Et en 3e lieu, on trouve la présence de l’alchimie (cette prétention hermétique et maçonnique à la création de l’Homme par lui-même, à la création de l’Amour, de l’Humanité, de la Divinité et de l’immortalité, par l’Homme, par ses talents et par le processus de transmutation du plomb en or) un peu dans tous les épisodes de la série, en particulier dans l’épisode 5 « L’Esprit de Famille ». De toute façon, quasiment tous les titres des épisodes de Astrid et Raphaëlle sont francs-maçons : « L’Homme qui n’existait pas », « Chaînon manquant », « La Nuit des morts vivants », « Chambre close », etc.
Cette période de confinement vise à nous enchaîner de plus en plus (au sens propre du mot « chaîne »), malgré ce qu’en disent les bobos qui la voient comme un merveilleux moment de déconnection et de retour à l’Essentiel (comprendre « La Nature »). L’idée, c’est de nous faire créer des sites, des blogs, et même de notre propre chaîne télé (Goldnadel TV, Polony TV, Zemmour TV…). En gros, une vie en mode « selfie » et « télé-travail ».
Au Pérou, pays où je suis allé pour parler d’homosexualité, le président Martin Vizcarra vient de prendre une mesure bien curieuse de déconfinement conditionnel qui en apparence a l’air de respecter et d’honorer la différence des sexes, mais qui en réalité la saborde et défend en filigrane la transidentité et l’homosexualité. En effet, il autorise à partir de la semaine prochaine les hommes à sortir faire les courses uniquement les lundis/mercredis/vendredis, et les femmes les mardis/jeudis/samedis (personne le dimanche), en spécifiant bien que les personnes trans devaient être respectées dans leur ressenti. Incroyable. Quand la petite bête cache la grosse.
J’ai découvert dernièrement (oui, je sais, j’ai du « retard ») l’album « Everest » de Soprano, la nouvelle caution « diversité raciale » après Omar Sy de notre société inclusive française. Et ça m’a horrifié. Les messages diffusés sont typiquement francs-maçons, même si le chanteur s’annonce comme un défenseur des valeurs traditionnelles, et même comme un ennemi de la Franc-Maçonnerie (comme son camarade Maître Gims dans son clip « Le Prix à payer »). En réalité, c’est un carriériste qui suit bien comme il faut Lucifer. D’ailleurs, dans sa chanson « Le diable ne s’habille plus en Prada », il flingue l’Humain en disant que ce dernier fait et est « pire que Lucifer » ; et tous les concepts qu’il déroule dans l’intro de son album « Everest » (la Force, les valeurs, la famille, la chance, la fierté, l’héroïsme, etc.) sont précisément tout le jargon humaniste intégral du Gouvernement Mondial.
On a de multiples occasions, en ce temps de confinement, de se laisser submerger par les menaces qui grondent ou par la morosité et les conflits que cache l’oisiveté ou la suractivité du confinement. Mais je voudrais vous dire que le confinement (et encore moins les médias) ne nous fait pas voir tout ce qui s’opère dans l’Invisible. Car ne croyez pas que certains membres de l’Église (les prêtres en particulier) ne bravent pas l’interdit du confinement ou soient des petits soldats passifs du Système. Déjà, rien qu’en Italie, 70 prêtres sont morts rien qu’en prêtant assistance concrète aux malades et à leurs familles. Et de mon côté, j’en vois qui vont distribuer des repas à des sans-logis, des personnes isolées, ainsi que des sacrements. Le mal fait beaucoup de bruit mais le Bien lui se trouve davantage dans la brise légère. Donc réjouissons des fruits non du confinement mais que produit et permet Jésus même à travers le confinement.
N.B. : Articles pour compléter la réflexion : article 1, article 2, article 3, article 4, article 5, article 6, article 7, article 8, article 9).
Hier soir, je me trouvais invité à un dîner chez un « couple » d’amis homo. Soirée très sympathique. D’autant plus sympathique qu’elle s’est déroulée en toute vérité. Ils savent que je ne suis pas d’accord avec ce qu’ils vivent, et pour autant, on a pu en parler calmement et j’ai pu argumenter tout en étant respecté, sans qu’on se foute sur la gueule. Et le plus beau, c’est qu’ils se sont cotisés pour nourrir Porcigay (le cochon-tirelire du tournage de Lourdes en septembre prochain)… Tous les « couples » homos amis – et même les amis homos célibataires qui ne se sentent pas prêts à vivre chastes – qui ont donné de l’argent pour un projet qui défend la continence homosexuelle et qui est par conséquent aux antipodes de ce qu’ils vivent ou pensent, me touchent à un point que vous n’imaginez pas. Leur don vaut plus que de l’or. C’est leur manière de dire : « Je ne peux pas encore vivre ce que Dieu m’appelle à vivre, mais j’aide à ma manière mes frères homos à emboîter le pas de ma sainteté. »
Bien sûr, ce genre de rencontres, en même temps qu’elles réveillent en moi de l’émerveillement, de l’envie et de la fascination, me font mal et soulèvent de nouvelles interrogations sur la validité de mon choix de continence, sur mes résistances et mes gênes par rapport à la pratique homo. Mais je dirais que le fond de ma tristesse ne se situe pas dans ce dilemme « Est-ce de l’Amour ? Pourquoi je me prive de ça ? », car j’ai au fond de moi la réponse, et parce que j’ai quand même vu des choses qui n’allaient pas dans ce « couple » homo en apparence « parfait », des choses que je ne souhaitais pas reproduire. Ça a surtout été de découvrir toutes les trahisons des prêtres que chacun des deux hommes avaient rencontrés sur leur chemin de foi et qui expliquent pourquoi ils en sont là aujourd’hui. Oui, ça, ça m’a fait vraiment mal. Ça va de l’évêque qui conseille d’être en couple homo « à partir du moment où on ne fait pas de son corps et du corps de l’autre une marchandise », en passant par le recteur de tel lieu saint très célèbre découvert dans une boîte gay, aux prêches du père Zanotti-Zorkine invité dernièrement aux Semeurs d’Espérance (mai 2019) et défendant ouvertement les « couples » homos. Toutes ces trahisons ecclésiales me désarçonnent et me blessent beaucoup plus que la vue d’un « gentil couple homo respectueux et qui a l’air heureux. »
Concernant simplement la prise de parole de Zanotti-Zorkine (aux Semeurs d’Espérance à l’église bondée de Saint-Gervais, excusez du peu !) en mai dernier, je voulais simplement soulever, puisqu’elle est en ligne sur Youtube, combien c’est scandaleux qu’on laisse un prêtre, qui plus est médiatique et très écouté, tenir de tels propos (dissociation du sacerdoce du mariage, promotion de l’adultère et de l’« authenticité » des situations hors mariage, promotion des « goûts » individuels et de l’« amour homo », idolâtrie pour le célibat qui paradoxalement finit par cautionner la pratique homosexuelle et victimiser/mépriser le célibat…), sans les dénoncer, et combien notre Église Catholique en France va mal à cause de la désobéissance et du carriérisme de certains de nos prélats, avec la complicité de tous (je dis bien « tous ») nos médias chrétiens. Le plus fou, c’est que le père Zanotti a prémédité les choses puisqu’il lit son papier. On ne peut donc même pas l’excuser d’avoir dérapé ou proféré de malheureux lapsus. Non. Il sait ce qu’il dit et il veut les dire. En plus, les propos sont biaisés. Car pour le public ignorant l’homosexualité (supposée) de Léonard de Vinci et de Michel-Ange, ils peuvent tout à fait penser que Zanotti-Zorkine fait la promotion du célibat, et non de l’homosexualité. Je termine en le citant (57e minute de la vidéo) :
« Puisque je parle des enfants et que nous cherchons aussi leur bonheur, si vous voulez travailler vraiment à leur joie, à leur accomplissement, surtout ne collez pas sur leur dos ce qui vous semble le meilleur avenir pour eux. Écoutez bien leur personnalité, leur caractère et leurs rêves. Laissez-les choisir leur vie, en marchant à leur rythme, selon leurs goûts […]
Nous ne devons jamais regarder de haut les personnes qui, sur le plan affectif, ont apparemment échoué. Regardons plus profond. Et rappelons que le jugement des situations et des êtres ne nous appartient pas. Je suis convaincu que Dieu prend dans ses bras toutes les personnes qui, sur le plan affectif, ont souffert, et peut-être même ne cessent de souffrir. Comprenons aussi que certaines de ces personnes puissent un jour tuer la solitude qui les étreint en vivant un autre amour. En vous disant ça, j’espère que je ne vous scandalise pas. L’Homme est tellement fait pour aimer qu’il se retrouve mutilé dans son être profond quand il ne peut plus exprimer son amour en s’offrant à une autre personne. Nous sommes faits pour aimer un autre être. Et la solitude non-choisie n’est pas un chemin normal pour l’être humain. […]
Laissez-moi maintenant affirmer qu’on peut être heureux, et donc connaître un vrai bonheur en ne se mariant pas. J’en suis l’exemple parfait. [rires de l’assemblée et salve d’applaudissements.] Mais attention, attention. On ne peut pas être heureux si on n’aime pas, si on ne donne pas toute la puissance de son amour à un être, à une cause, à un idéal, à Dieu notre Père, autrement dit, à une réalité capable de remplir la vie et le coeur. Il n’y a pas que le couple sur la terre. Je le redis. Et chacun fait ce qu’il peut. Avec ce qu’il est. Chacun doit aimer dans sa lumière. Personne ne doit être privé de la possibilité d’aimer. Et j’en profite pour dire ce soir dans cette Maison de Dieu qu’il faut respecter les personnes dans leur affectivité propre. Sans les juger. À côté du plan divin, ou pire encore, indignes parce qu’elles n’emprunteraient pas le chemin dit ‘normal’ du couple homme-femme ou du mariage. Un père et une mère de famille comprennent parfaitement – en principe… à moins que les principes les étouffent – les chemins particuliers de leurs enfants. du moins, ils finissent par les comprendre. Chacun ici-bas doit rester dans sa couleur. Que Michel-Ange soit Michel-Ange. Que Léonard de Vinci soit Léonard de Vinci. s’ils avaient eu des enfants, ces deux-là, je ne suis pas sûr qu’ils auraient eu le temps de réaliser les chefs-d’oeuvres qui nous réjouissent encore. À chacun sa vie ! À chacun son être ! Et je suis sûr que le Christ en ce moment, Lui qui m’entend, bénit mes paroles ! »
N’en sois pas si sûr… vu le discours typiquement luciférien, franc-maçon et diabolique que tu tiens. Michel-Marie, si tu ne te convertis pas, tu vas avoir chaud aux fesses Là-Haut pour tout ce que tu as dit, et pour t’être pris pour Dieu et avoir parlé en son nom.
Voici un podcast de décryptage des dessins animés des années 1980 diffusés sur les chaînes de télé françaises (Youpi l’école est finie ! sur La Cinq, Récré à deux sur Antenne 2, Amuse trois sur FR3, Le Club Dorothée sur TF1, etc.), avec l’angle insolite du catholicisme : « L’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 80 ».
Philippe Ariño vous démontre que cela fait au moins 40 ans que les dessins animés jeunesse nous poussent à mépriser Jésus et la religion catholique, au profit de la religion énergétique.
Ce podcast se découpe en 3 parties :
1 – Les dessins animés clairement anti-catholiques
2 – Les dessins animés de la Nouvelle Religion mondiale, fondés sur l’Énergie et l’Or
3 – Les rares dessins animés « cathos-friendly » voire carrément cathos.
Vous pouvez retrouver d’autres podcasts de décryptages de Philippe, sur Youtube, comme par exemple celui sur les goûts musicaux homosexuels, celui sur la série Manifest, celui sur la série Sex Education ou encore celui du discours alchimique du Cardinal Sarah.
Je me moque de l’angle sensationnaliste de ce reportage de TMC, ou bien de l’inégalité de valeur des témoignages. Il vaut ce qu’il vaut, et mérite qu’on le considère. J’essaie d’écouter mon coeur et ce qui est juste. Si l’on en croit d’une part la prophétie de saint Malachie sur le dernier Pape, et d’autre part les prophéties du Pape Jean XXIII concernant la fin de la papauté et la Fin des Temps, le grand plongeon de l’Église Catholique est pour très bientôt (je dirais dans 4 ans : 2023), et l’arrivée de Jésus (la Parousie) peu d’années après. Entre-temps, le règne de l’Antéchrist et de son faux Pape.
Pourquoi poser des dates ? Parce que l’état de l’Église et l’orgueil-aveuglement des catholiques actuels sont des indicateurs forts. Parce que l’Esprit Saint parle à travers les prophètes. Par que Dieu, car Il est bon, est juste et ne va pas laisser le mal et le mensonge s’éterniser.
Et la prophétie de saint Malachie a désigné le Pape Sixte V comme « l’Axe au milieu du Signe » : la papauté risque donc de s’écrouler en 2027 (71e minute) ; ou alors la Fin du monde arrivera cette année-là.
Il nous reste donc peu ou prou 4 ans pour tout donner. Parler, aimer, annoncer que Jésus est Dieu, et un Dieu d’Amour qui aime les criminels. Après, il sera trop tard.
Si vous n’êtes jamais allés aux messes catholiques, et que ça n’a jamais été votre truc, c’est le moment faste pour commencer. Parce que, plus ça va, plus il y a du spectacle !
Pour la Vigile pascale, je devais être à l’église Saint-Sulpice de Paris. Mais au vue de la messe du Vendredi Saint vécue la veille au même endroit, messe glaciale et trop pompeuse à mon goût (habituellement, le Vendredi Saint est la messe de l’année que je préfère : j’y pleure à chaudes larmes ; mais à Saint-Sulpice, l’émotion n’était pas au rendez-vous, et ça ne m’a fait ni chaud ni froid. La maîtrise humaine tue l’âme), je m’étais dit que j’irais finalement dans une autre église plus familiale et plus petite (genre Saint Nicolas-des-champs ou Saint-Roch). Eh puis finalement, j’ai pris sur moi. Comme j’avais mon badge de Saint-Médard, et qu’en plus je voulais faire plaisir au Père Gambart et être solidaire à ma paroisse géographique, je me suis finalement rendu quand même à Saint-Sulpice hier soir. À vrai dire, je ne m’attendais pas à ce que ce soit la Méga Messe cardinalice télévisée, avec des caméras de KTO partout (selon un ami prêtre, il paraît que j’apparaissais à l’écran : à défaut de m’inviter, ces connards de KTO – et attention, j’aime les connards, mais il n’empêche qu’ils le sont quand même – me filment accidentellement). Je ne m’attendais pas non plus à ce qu’il y ait autant de rebondissements inattendus. Et rien que pour ça, même si j’ai à nouveau trouvé l’atmosphère inhabituellement aseptisée pour une Veillée pascale, je ne regrette finalement pas d’avoir fait le déplacement. Le Seigneur me voulait là, témoin de sa Résurrection et de la corruption de son Église. Ils se sont passées tellement de choses qui montrent qu’en ce moment l’Église de France est infestée par la Franc-Maçonnerie – et donc par le satanisme – que ça avait du sens que je voie ça !
Pour commencer, j’ai eu des voisins de compète juste sur mon banc : d’abord une espèce de chef militaire vendéen d’opérette, un hurluberlu qui se prend pour un soldat du XVIIIe siècle, qui ressemblait à Michel Houellebecq avec une perruque de cheveux longs, des grosses bagouzes, une veste de Colonel Sanders maçonnique napoléonienne, des fleurs de lys et un badge doré du Roi Soleil, les gants blancs francs-macs, les ranjos, le chèche royaliste blanc porté en turban frontal… Il avait tout du « croisé » bobo catho anar d’extrême droite qui se vit sa petite foi en égoïste avec Dieu, qui défend l’identité et la civilisation de la « chrétienté », mais qui concrètement déteste tout le monde : j’en ai eu la confirmation car d’après des paroissiens habituels de Notre-Dame, il se mettait régulièrement devant et à genoux à la Cathédrale de Paris, donnant en spectacle ses mortifications de « serviteur » adoubé, ne parlant à personne, et se montrant extrêmement désagréable voire agressif quand il n’avait pas les conditions de sa mise en scène de martyre. Et quand je lui ai demandé gentiment son nom pour faire connaissance, il m’a jeté comme un malpropre : « J’ai pas envie de vous le dire. » Mais bizarrement, je reste persuadé que ce catho lunaire n’est pas aussi bourru et rigide qu’il n’en donne l’air, car à un moment donné, pendant la messe, nos deux culs se sont percutés accidentellement au moment de nous rasseoir, et la scène était tellement cocasse/clownesque que même lui n’a pas pu s’empêcher d’esquisser un sourire. Quant à mes deux voisines de gauche, deux groupies (aveuglées) de l’archevêque de Paris Monseigneur Aupetit, elles étaient adorables. J’ai eu de la chance de les avoir pour vivre cette célébration dans la joie de Pâques. C’étaient mes deux mamans. L’une m’a prêté la parka kaki qu’elle venait d’acheter pour sa nièce l’après-midi même, parce que je grelottais de froid (comme un idiot, j’avais rappliqué seulement en chemise). L’autre a fait le trajet retour jusqu’à mon quartier à pied après la messe avec moi. Et c’est en lui parlant cash de mes livres qu’elle m’a avoué qu’elle avait passé trois années en Franc-Maçonnerie (à la GLF – Grande Loge Féminine), qu’elle était montée jusqu’au 3ème grade (juste avant d’en sortir il y a quelques années), et qu’elle y avait croisé énormément de « catholiques » à ses yeux « extrêmement pratiquants ». No comment.
– Ensuite, concernant la Messe pascale à proprement parler, j’ai vu qu’il se passait des choses bizarres. Le Christ avait beau être là (de toute façon, Il passe même par les mauvais prêtres ; et puis il y avait de saints prêtres hier soir puisqu’il y avait au moins le Père Gambart), j’ai eu des illustrations que la Franc-Maçonnerie sacerdotale rôdait dans les parages. D’ailleurs, même si on n’a pas vraiment eu le temps d’en parler, et encore moins en ces termes, j’ai croisé dans le fond de l’église à la fin de la messe le Père Gambart (qui a le charisme de prophétie et de lecture des âmes, je crois), et lui-même a senti qu’il se passait des anormalités. Il a mis ce cafouillage sur le compte de l’organisation précipitée d’une messe d’ordinaire notredamiste – donc réglée au cordeau – mais inadaptable à la logistique plus aléatoire de Saint-Sulpice… mais en tout cas, il a ressenti une agitation et une tension surnaturelles.
– Déjà, pendant toute la messe, nous étions entourés de cameramen de KTO (dont pas mal de bobos barbus ; certains bâillaient et avaient vraiment l’air de se faire chier comme des rats morts) : l’Église est de plus en plus peuplée de techniciens qui n’en ont rien à faire de la Foi, et d’évêques starisés, flattés d’être sous le feu des projecteurs. Mais je pense que le visage et le discours maçonniques transparaissait surtout à travers Mgr Aupetit (dont j’avais déjà identifié par le passé le discours franc-maçon : défense de l’Union Civile dans Paris-Match, discours sur l’amélioration et la construction architecturale lors des États Généraux de bio-éthique, etc.). Ça n’a pas loupé hier soir : homélie indigente (bien que rassurante parce que christo-centrée à la Cardinal Sarah), avec une phrase de conclusion que les initiés francs-maçons n’auraient pas reniée : Mgr Aupetit a dit aux catéchumènes (futurs baptisés) – juste après leur avoir prodigué le « sacrement d’initiation » (1h35) – que c’était à eux « d’écrire l’histoire des hommes, pour que cette histoire devienne une histoire d’amour » (1 h 30). Pouète-pouète. Mais le clou du spectacle franc-maçon offert par l’archevêque est arrivé au moment de la demande collective de renonciation au diable. Mgr Aupetit a fait un lapsus énorme (1 h 51’ 55) – que je pense personne n’a remarqué – qui montre ses sympathies pour la Franc-Maçonnerie : « Après avoir terminé l’entraînement du Carême, renouvelons la relation… euh… la renonciation à Satan, que l’on fait lors du baptême. » Moi, perso, je surkiffe les lapsus révélateurs.
– La suite, c’est-à-dire le pétage de plombs d’Amina, la première catéchumène qui devait se faire baptiser et qui s’est mise à gloser – face à l’archevêque, n’était qu’une réaction logique (1 h 54’35). Effectivement, à la surprise générale, cette femme noire, sans doute infestée par des démons, a créé le show en interrompant le rituel baptismal, en refusant de se faire baptiser, en se tournant face à l’assemblée pour se donner en spectacle. Elle parlait tout haut en mode glossolalie (vaguement dialectale), comme une personne sous emprise vaudou. Déjà, quelques minutes avant son numéro, elle semblait prise de convulsions, et ses lèvres tremblaient (1 h 44’ 22). Évidemment, les journalistes de KTO, avec leur « courage » légendaire, ont jeté un voile pudique sur la scène… mais comme c’était du direct, ils ont été pris de court et ont filmé quand même. Amina a tenté de refaire parler d’elle un peu plus tard, au moment du « Notre Père », en se dirigeant comme une automate vers l’archevêque et l’autel, mais cette fois-ci, le service d’ordre s’est chargé de la dégager. (J’avais assisté à une scène similaire à la Cathédrale d’Abidjan en Côte d’Ivoire, en 2014, lorsque pendant une homélie, une femme de la chorale, au premier rang, était sortie de ses gonds pile au moment où elle avait entendu le curé prononcer le mot « Franc-Maçonnerie », et s’était mise à hurler et à se débattre comme une dératée).
– La Veillée pascale s’est ensuite poursuivie sans encombres (nous ne savions pas qu’à l’autre bout du monde, au même moment, c’était la boucherie dans des églises chrétiennes du Sri Lanka : quelle tristesse). C’était Monseigneur Ribobo-Dumas qui m’a donné la communion. Si j’avais su, j’aurais mis mon badge rainbow flag : peut-être qu’alors son regard aurait pétillé. Qui sait ?
Bref, vous l’aurez compris, c’était une vraie Vigile pascale de Fin des Temps occidentale.