Archives par mot-clé : Antéchrist

Sortie des épisodes 22 et 23 du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL

Voici le nouvel épisode du podcast apocalyptique Singularity is Devil : épisode 22 (sur 57), intitulé « Le colonel Moutarde avec la matraque »
 

La suite tant attendue des aventures du père Gaboriau !
 

 

Ainsi que l’épisode 23 (sur 57), intitulé « Game Over » !
 

Matéo, le mec le plus populaire du lycée, découvre la véritable identité de son amie gameuse « Étoile du Matin » (Lilou)…
 

Sortie de l’épisode 19 (« Tu la veux ta vengeance? ») du podcast SINGULARITY IS DEVIL

Nouvel épisode du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL, en ligne sur YouTube ! : l’épisode 19 « Tu la veux ta vengeance ? »
 

 

Quand j’entends le dialogue entre le chanteur Jann Halexander (dans le rôle de l’Antéchrist) et la romancière Michelle Simon-Duneau, je me dis que le casting de mon roman audio est parfait !

Sortie de l’épisode 18 du roman apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : « Plan d’action mondial de l’Antéchrist »

Nouvel épisode de mon roman-podcast SINGULARITY IS DEVIL : épisode 18 (sur 57), intitulé « Plan d’action mondial de l’Antéchrist » !
 

 

Luc-Emmanuel, alias « Bar-Yeshua », présente à son cercle d’élus son plan d’ordre mondial par le chaos… Ça s’appelle « créer les problèmes qu’on prétend résoudre ».
 

Bravo au chanteur Jann Halexander, qui est brillant de perversité et de cynisme (haha!).

Sortie de l’épisode 17 « La Guilde du Droit divin » du roman-podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL

Nouvel épisode du roman-podcast Singularity is Devil (sur la Fin des Temps) : l’épisode 17 « La Guilde du Droit divin » ! Tellement d’actualité !
 


 

L’Antéchrist (campé par le très crédible et intriguant chanteur Jann Halexander) fait enfin son apparition…

Épisode 3 de la saga apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : COURSE-POURSUITE À CLICHY

Nouvel épisode du roman-podcast apocalyptique Singularity is Devil : épisode 3 intitulé « Course-poursuite à Clichy ».
 

 

Toujours avec le brillant Calvin Jean-Baptiste (comédien aux Cours Florent) ; et aussi Abdel (mon coloc), hyper crédible !
 
 
 

N.B.: En lien avec cette vidéo, l’épisode 1, l’épisode 2, le Bêtisier, ainsi que l’explication du podcast.

Croire que Jésus est Dieu (ou le Christ) ne suffira pas


 

Concernant le linceul de Turin, ce qui va être difficile pour les catholiques, c’est de comprendre que l’enjeu autour de cette preuve surnaturelle incontestable ne va pas être sa contestation (puisque cette dernière est impossible, comme le démontre brillamment cette vidéo), ni même être le déni de la déité de Jésus (puisque celui-ci est impossible : par exemple, les musulmans qui soutiennent que Jésus n’a pas été crucifié sont pris scientifiquement en flagrant délit d’ignorance !). Ce qui va être en revanche archi difficile pour les chrétiens et pour l’Humanité, et en particulier pour les protestants et les catholiques, c’est de faire le distinguo entre LES Jésus (étant donné qu’à la Fin des Temps, la croyance en la déité de Jésus sera communément et universellement validée, y compris par les athées chevronnés et les cartésiens!). Ce sera la question de la SINGULARITÉ. C’est d’être capable de dissocier (comme le fait la vidéo) la « singularité » vantée par l’Antéchrist – qui prendra les apparences singées de Jésus – et la « Singularité absolue » qu’EST le vrai Jésus.
 

C’est donc tout un travail d’identification de la contrefaçon christisante d’une part et d’identification de qui est Jésus d’autre part, qui nous attend. Il ne va pas falloir nous reposer sur nos lauriers, nous catholiques, ni nous sentir « flattés pour Jésus », ni penser que, parce que le Monde va reconnaître Jésus comme Dieu et Fils de Dieu, ce serait « gagné » (pour Lui comme pour nous). Car l’Antéchrist va se faire passer pour Jésus et le singer « à la perfection »! La croyance en la déité de Jésus ne suffit pas, et ne constitue en rien une preuve que les gens sont dans le juste. Rappelons-nous de la « foi des démons » (c.f. Hadjadj), ainsi que de l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem pendant les Rameaux : à proximité de la fin du Monde, Jésus est reconnu en tant que Dieu par TOUS, y compris par les démons et ceux qui vont le crucifier une semaine après.
 

La reconnaissance de la déité de Jésus ne suffira pas. Vous m’entendez bien : la reconnaissance de la déité de Jésus ne suffira pas. Ce ne sera pas encore la Fin. Et ce ne sera pas, en dépit des apparences, Jésus-Christ.
 

Zoé Sagan : mon modèle pour mon personnage de l’Antéchrist dans SINGULARITY IS DEVIL

Le récent engouement généré sur Twitter par Zoé Sagan (personnage d’accusateur public créé par un auteur portant encore un autre pseudonyme, Aurélien Poirson-Atlan), montre combien la sphère dissidente et contestataire actuelle est autant luciférienne que le satanisme qu’elle cherche à éradiquer. L’anthropologue suisse Jean-Dominique Michel, en particulier, a des propos de plus en plus nettement maçonniques (même s’il ne s’en rend pas compte : il s’annonce sous l’ogive de la FRANCHISE) et même antéchristiques (même s’il est aveuglé par ses intentions anti-satanisme). Là, dans son émission dédiée à Zoé Sagan justement, regardez comment, en une phrase, il nie Jésus : « ‘Que ceux qui ont des yeux pour voir, voient; et que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent!’ aurait dit une certaine figure spirituelle qui a vécu il y a 2000 ans en arrière. » Il ne cite ni Jésus explicitement, ni ne croit en ce qu’il dit, et il le relègue à l’état de « figure spirituelle ». Si ce n’est pas antéchristique, ça, qu’est-ce que c’est?

 

Résonne en moi cette phrase si juste du père Thierry Avalle à saint Nicolas des Champs qui, en pleine homélie, avait déclaré : « Dire ses 4 vérités à quelqu’un, c’est diabolique. » C’est très juste.

 

Et concernant la personnalité et les actions publiques de l’Antéchrist de ma saga, il aura tout ou presque de Zoé Sagan. Dans la Bible, le diable est, à juste raison, appelé « l’Accusateur » (y compris l’accusateur du satanisme, dont il s’exclue, évidemment ; contrairement à Jésus). Merci Jean-Dominique Michel ! Merci Aurélien Poirson-Atlan! Vous me servirez de modèles pour les méchants de l’histoire.
 

Courses de Noël apocalyptiques !

Courses de Noël faites ! Et le moins qu’on puisse dire, c’est que j’ai tapé dans l’eschatologique (étude des Fins dernières) ! haha. Et que je compte bien arroser apocalyptiquement amis, famille, coloc, enfants du caté ! (Trop ras-le-bol qu’en ce moment on nous fasse lire de la merde.). Au total, ça fait :
 

– Trois exemplaires du roman Le Maître de la Terre de Robert-Hugh Benson (livre de chevet de nos deux papes actuels).

– Sept exemplaires du roman Père Élijah : une Apocalypse de Michael o’Brien. (J’ai littéralement dévalisé la Procure de Saint Sulpice ! lol).

– Un exemplaire du roman Père Élijah à Jérusalem de Michaël o’Brien (que je n’ai pas encore lu, mais je vais me rattraper^^).

– Deux exemplaires de mon livre Homo-Bobo-Apo (sur Amazon).

– Un exemplaire de la B.D. fraîchement sortie du Père Élijah : une Apocalypse… que je compte bien faire lire en entier tout au long de l’année à mon équipe de catéchisme de Saint Médard (treize enfants de CM2), et offrir à la fin à l’enfant le plus méritant après lecture et analyse collective.
 

Il ne manquait plus que Les 3 entretiens sur la guerre, la morale et la religion + le court récit sur l’Antéchrist de Vladimir Soloviev pour boucler la boucle… mais ce sera pour plus tard !^^
 
 

N.B. : Et en ce moment, avec mon ami trans iranien, nous sommes en train de projeter d’écrire ensemble un essai sur l’Armageddon et la place eschatologique/prophétique centrale de l’Iran dans le scénario des Fins dernières…

« Hôtel Transylvanie 2 » : L’hégémonie planétaire de la coolitude


 

J’ai découvert à la télé ce soir sur TF1 la suite de la saga de l’« Hôtel Transylvanie » (c.f. l’article de la semaine dernière) racontant cette fois le mariage CON-sanguin (la possession hybride et chimérique, si vous préférez) entre les démons et les Humains.
 

Ce qui m’a marqué dans l’« Hôtel Transylvanie 2 », et que j’avais déjà relevé dans le n°1 (Dans « Hôtel Transylvanie 1 », on pouvait déjà en effet entendre des phrases telles que « Les humains sont tellement pas cools… » ou encore « Laisser couler, c’est cool », etc., mais en quand même beaucoup moins prononcé que dans le 2), c’est l’omniprésence de l’adjectif « cool ». Je l’ai entendu une quinzaine de fois, si je ne m’abuse. Comme si la coolitude était la consécration, le but principal du film, le précieux sésame à décrocher à tout prix.
 

D’ailleurs, en conclusion du film, le petit Dennis demande à son grand-père Dracula (rebaptisé « Drac’ » par les réalisateurs bobos, parce qu’évidemment ça fait plus cool : dans ce film d’animation, tous les noms de monstres d’« Hôtel Transylvanie » sont coolisés, comme par exemple « Francky » pour Frankenstein) : « Papy, je suis cool maintenant ? »… et son grand-père de répondre fièrement, comme un adoubement chevaleresque « Oui Dennis. Tu as toujours été cool. ». C’est tacitement la morale finale de l’histoire.
 

Plus encore que la victoire sur les méchants, que le bonheur ou l’unité familiale retrouvé(e), ou que la métamorphose/découverte par l’Homme de sa propre monstruosité, c’est la coolitude qui est recherchée comme le saint Graal… et qui est sans doute, à mon avis, la véritable monstruosité, bestialité, possession luciférienne, dictature mondiale, qui s’empare actuellement des Humains sans qu’ils ne s’en rendent compte puisque cette coolitude est étincelante et apparemment libérante, amusante, légère, peinturlurée de vert écolo, de noir rebelle et gothique, plus encore que de rose-bonbon. L’« être cool » a remplacé l’« être bon », ou même l’« être gentil ou méchant ».
 

Comme un rouleau compresseur, et en l’espace de quelques décennies, la coolitude est devenue la nouvelle morale. La Reine mondiale. Elle s’est substituée au Bon ou au Bien, donc à Dieu et à Jésus. Or, si la coolitude devient le nouveau Bon ou Bien, ça peut prêter à sourire… mais en réalité, je vous annonce qu’on a du souci à se faire ! Pourquoi ? Parce que c’est le début de la loi de la jungle, ou du Talion. Tous les conflits humains, si vous regardez bien (depuis la cour d’école, jusque dans votre propre famille, votre couple ou dans les partis politiques), s’originent presque toujours dans la coolitude et reposent sur celle-ci. Dès que la coolitude (autrement dit le culte de l’apparence, ou le boboïsme) s’immisce dans un groupe humain et devient le principe ordonnateur, le critère de distinction entre les Hommes, la ligne de démarcation « éthique » (et finalement manichéenne) entre les « cools » et les « pas cools » (qui passent leur temps à s’échanger leur rôle car selon l’axiome de la coolitude, on devient tous « le cool » et « le pas cool » de quelqu’un : c’est plus cool et imperceptible que le stigmatisant classement de bourreau/victime), c’est le début de la fin. Si les Humains se choisissent la coolitude comme principale morale, philosophie et justice, ça veut dire – qu’on le mesure ou non – que le démon a bel et bien pris le pouvoir de nos vies et de notre Monde.
 
 
 

N.B. 1 : La bonne nouvelle, c’est que j’ai aussi remarqué que la paix revient dans les familles ou les groupes d’amis une fois que l’idole de la coolitude est mise à mort d’un commun accord. Je l’ai vu avec mon frère jumeau. On s’est réconciliés quand on a cessé de rentrer dans la peau du « plus cool que l’autre », quand on a cessé la course à la coolitude. En revanche, dans ma propre famille, certaines tensions et tyrannies persistent (malheureusement) parce que certains croient avoir le monopole de la coolitude, et par conséquent jugent les autres de « tyrans ringards et pas cools ». C’est un cercle vicieux.
 

N.B. 2 : Et là (je ne l’ai pas fait exprès), je viens de regarder un épisode de « Scooby Doo » (« La Horde sauvage ») où le méchant, au moment d’être démasqué, dit que son plan de vengeance contre son équipe de geeks est né du fait qu’il s’est senti humilié par sa bande de « cools » qui ne le jugeait « pas cool ». Ce sont ses mots. Marrant, cette coïncidence, non?
 

 

N.B. 3 : Enfin, dans l’Église, un certain nombre de tradis (ceux que j’appelle les cathos-bobos anars d’extrême droite) sont persuadés que la vraie coolitude c’est d’être pas cools et intransigeants. Ils croient en la coolitude de l’incoolitude, si vous voyez ce que je veux dire. C’est pour ça qu’ils prônent un retour à l’autoritarisme : pour eux, l’archaïsme (passéisme mâtiné de royalisme christisé à la Cardinal Sarah), c’est le comble de la modernité. « Has been » ou « Rigide » is the New Black! C’est le raisonnement d’un Jacques de Guillebon (directeur en chef de L’Incorrect) ou encore le credo de Paul Picarreta (de la revue Limite). Pensez à Trump, Bolsonaro, côté politique. « Être réac, c’est cool ». La coolitude, c’est de curseur de l’orgueil.