Le film « Hôtel Transylvanie » ce soir dans Ciné Dimanche : à l’exacte image de notre confinement. Est-ce un hasard ? Ou bien TF1 se fout vraiment de notre gueule ?

A – Ciné Dimanche ou le confinement singé


 

La programmation de Ciné Dimanche se calque-t-elle ironiquement sur notre confinement pour le singer, ou est-ce accidentel ? et prouve-t-elle que la crise sanitaire que nous vivons était préécrite et orchestrée d’avance, depuis facile 10 ans en arrière ? On est en droit de le penser. Car la grille de programme cinématographique de TF1 semble fonctionner comme un miroir tragi-comique, et surtout folklorisé/codé, de notre réalité mondiale actuelle. C’était déjà très vrai dans les premières semaines de confinement, lorsque nous, téléspectateurs, étions symboliquement réduits à des Minions braillards, froussards et surexcités, et ne pouvions qu’en sourire… jaune. Puis ça s’est confirmé avec « Baby Boss » la semaine dernière, vantant le puçage humain. Mais je crois que le climax de la correspondance symbolique a été atteint ce soir avec « L’Hôtel Transylvanie » (et encore… sur France 4, ils diffusaient « Comme des bêtes » : ben oui, en temps de confinement, n’est-on pas parqués… comme des bêtes ?). Démonstration !
 

 

B – Points communs entre « Hôtel Transylvanie » et confinement :

Je n’aurai pas le temps de vous faire la liste de tous les symboles francs-maçons que j’ai relevés dans « L’Hôtel Transylvanie » car je manque de temps (je vous renvoie à mon livre Homo-Bobo-Apo pour ceux qui veulent creuser le sujet). Je me contenterai juste de souligner quelques exemples de correspondances troublantes (et non-causales ! la symbolique n’est pas une science exacte, même si elle peut être d’une précision chirurgicale !) entre ce film d’animation datant de 2013 et notre crise Coronavirus actuelle (je pourrais presque faire un tableau avec 2 colonnes !) :
 

1 – Le film démarre précisément avec la sommation paternelle du confinement. Dracula déclare à sa fille Mavis : « Nous n’irons jamais dehors ! JAMAIS !! » (En entendant cette phrase, je ne sais pas pourquoi, j’ai pensé au Comte Macron et son « RESTEZ-CHEZ VOUS ! VOUS SAUVEZ DES VIES ! »…). Et tout l’objectif de Dracula, c’est de maintenir Mavis dans une bulle hermétique protectrice : « Ça a marché ! Maintenant, mon bébé sera en sécurité : pour toujours ! ».
 

2 – Pendant tout le film, on entend cette idée que ce sont les Humains les méchants et les monstres. Et c’est exactement ce qu’on nous serine en ce moment sur les réseaux sociaux : que le vrai virus, ce n’est pas le Corona, mais l’Humanité.
 

3 – Dans le film, l’Hôtel Transylvanie est présenté comme un hôpital où tous les malades vivent en paix : « On aime tellement la sécurité qui règne ici ! » se félicitent-ils. Et la crise du Coronavirus dresse également un trône au dieu « Sécurité » et au dieu « Paix ».
 

4 – Dans « Hôtel Transylvanie », c’est les avions les dangers et les méchants. D’ailleurs, à la fin de l’intrigue, l’avion est détourné : « J’ai une phobie de l’avion ! » déclare Frankenstein (« Francky »). Et transposé au réel et à la crise sanitaire, à l’heure actuelle, les avions sont quasiment interdits de voler ou cloués au sol.
 

5 – Dans le film, les Humains obèses mangeant dans les parcs sont montrés dans le diaporama que Dracula présente aux occupants de son hôtel comme des monstres. Et actuellement, c’est exactement le même procès qu’on observe : le consommateur oisif mangeant mal et pique-niquant dans les parcs est devenu la bête à abattre. Et par ailleurs, le Coronavirus s’attaque en particulier aux personnes masculines obèses et/ou âgées.
 

 

6 – Dans le film, les personnes âgées, justement, sont désignées comme monstrueuses en plus d’ennuyeuses (c.f. la scène mortelle de la loterie). Et dans la réalité, le Coronavirus est l’excuse/la couverture d’une euthanasie massive, en particulier dans les EHPAD.
 

 

7 – Tout l’objectif de l’héroïne Mavis Dracula est de « partir à la découverte du Monde », donc l’Humanisme intégral. Dans le dessin animé, on a aussi une sacralisation de l’extérieur : « C’est pas Hawaï mais c’est quand même un petit peu dehors. » affirme Mavis en découvrant le village des humains. Et ce « dehors », c’est exactement la carotte qu’on nous tend dans notre Monde actuel, en temps d’intériorité et d’introspection forcées, pour rendre notre confinement supportable voire « nécessaire ».
 

8 – À plusieurs moments dans le film, il est question de pandémie virale. À un moment, Mavis se répète à elle-même « Peste noire ! Peste noire ! ». Ou bien, face à un buffet servi à côté de la piscine, elle parle à nouveau de peste : « Peste bubonique : vous êtes en feu ! ». Un peu plus tard, on entend à nouveau un des monstres mentionner « la peste bubonique ». Je vous rappelle que la peste bubonique – qui attaque les voies respiratoires – est en réalité un synonyme du Coronavirus. J’dis ça, j’dis rien…
 

 

9 – Dans le film, Mavis s’identifie à une chauve-souris au point de se métamorphoser, comme son père, en chauve-souris… ce qui fait craquer Dracula : « Ne me fais pas ta bouille de chauve-souris battue ! ». Je vous rappelle que la chauve-souris est considérée comme l’animal d’où serait parti le Coronavirus en Chine. Là encore, c’est un « hasard », hein… Et le volatile, à la fin du film, est fortement décrié : un des personnages l’affuble du sobriquet « chauve-pourrie ».
 

10 – Dans le film, Mavis parle de traverser la rue : « Je vais survoler la rue juste pour jeter un coup d’œil. ». Toute ressemblance avec un certain président qui nous conseille de traverser la rue serait purement fortuite… (LOL).
 

11 – Dans le film, c’est absolument ahurissant comme le premier contact de Mavis Dracula avec l’Humanité est celui d’une arrivée dans une ville déserte, où il n’y a absolument pas un chat dans les rues, comme si elle était en confinement ou sous couvre-feu.
 

12 – Dans le film, même si les sorties sont tolérées et pas totalement interdites, elles sont étonnement encadrées, conditionnées. Par exemple, Dracula autorise à sa fille de sortir découvrir le Monde… ce qui étonne dans un premier temps son pote Franckenstein : « Dracky, j’en reviens pas que tu sois aussi calme pour sa première sortie. » Et nous, aussi bien pendant notre confinement que pendant la phase de déconfinement, tout est/sera progressif, méthodique, par paliers, et faussement calme. Par ailleurs, dans « Hôtel Transylvanie », même si l’intérieur est privilégié, l’extérieur est exceptionnellement permis en cas d’attaque précisément de l’extérieur : « On avait prévu une sortie de secours en cas d’attaque des humains. » (Dracula).
 

13 – La politique sécuritaire de Dracula lui fait désigner les fugitifs de son Hôtel comme des traîtres ou des êtres en grand danger, et à l’inverse les infiltrations humaines comme des contaminations fatales. Il associe d’ailleurs les êtres humains à des terroristes venus contaminer la pureté monstrueuse de ses convives et semer leur propre terreur : « Encore un humain paranoïaque… » se lamente-il face à Jonathan, le seul héros humain de l’intrigue. Et c’est drôle parce que dans la crise sanitaire du Coronavirus, les sécuritaires désignent exactement les ennemis ou les contestataires du confinement comme de « dangereux complotistes », des « terroristes paranoïaques », et donc comme le véritable virus.
 

14 – Le confinement imposé par Dracula repose sur les concepts d’unité et de paix : « Il faut faire la paix. » dit-il aux occupants de son Hôtel. Et c’est exactement les slogans des gouvernements sécuritaires actuels pendant la crise sanitaire…. pardon, la « guerre » sanitaire.
 

15 – À plusieurs reprises dans le dessin animé, on voit des concerts de confinés… à l’instar des concerts domestiques que nous servent actuellement les stars du Monde entier – Lady Gaga en première ligne – pour « rendre hommage aux soignants ».
 

16 – Dans le film, on voit au moins 3 fois la mouche se nettoyer les mains avec sa propre salive… comme si elle s’injectait du gel hydroalcoolique. En voyant ça, j’ai cru à une blague. Sérieusement.
 

 

17 – Dans le film est montrée une crise des colis qui ont du mal à s’acheminer : Dracula, au comptoir de son Hôtel, doit gérer le mécontentement croissant de ses clients. Et c’est exactement ce qu’on observe pendant notre crise sanitaire, avec Amazon ou La Poste quasi à l’arrêt par exemple.
 

 

18 – Dans le film, j’ai halluciné le nombre de fois où on nous montre des culs, et où il est référence à la scatologie (pet, pipi, vomi, caca…). Une fois, deux fois, passe encore. Mais là, c’est revenu au moins 4 fois ! Et nul besoin de vous rappeler la mystérieuse (et irrationnelle !) razzia sur le PQ qui s’est déroulée (oups… pas fait exprès pour le jeu de mots…) en tout début de confinement, et qui reste à ce jour incompréhensible.
 

 

19 – En lien avec la merde, dans « Hôtel Transylvanie », il est question de la perte d’odorat. En effet, le Loup-garou, au moment où il doit flairer la piste de Jonathan avec une chaussette malodorante que ce dernier a laissé échapper de son sac à dos de bobo, en perd les sens qui le caractérisent : « Tu sais combien de grosses commissions m’ont détruit l’odorat ? » se plaint-il à Dracula. Or, la perte de goût et d’odorat (l’anosmie) est un des symptômes les plus connus du COVID-19. Ainsi que les engelures aux orteils et aux doigts de pieds chez certains asymptomatiques confinés ! Et là encore, on en entend parler dans le film : « Mes orteils ont un talent fou. entend Dracula quand, à travers le hublot à l’intérieur de l’avion, Jonathan lui dit « Désolé je comprends rien du tout ! ».
 

 

20 – Dans le film, les héros monstrueux sont agoraphobes : « Très bien : on va traverser cette foule à pied ! » dit Dracula à ses compagnons. Or le propre du Coronavirus, comme je l’ai expliqué dans cet article, c’est qu’il est aussi anti-foule, c’est-à-dire agoraphobe.
 

21 – Dans le film, le sac à dos est considéré comme un être vivant, un concentré de vie. Jonathan Loughran dit que dedans, il a « toute sa vie ». Et au début de l’histoire, il lui fait carrément une déclaration d’amour : « Je l’aime ! » À la fin du film, au moment où il croit que son heure est arrivée puisqu’il est embroché comme une saucisse grillée sur un feu de cheminée, sa dernière pensée va… à son sac à dos ! : « Avant d’être à point, est-ce que je pourrais parler à mon sac à dos une dernière fois ? » Et cette réduction de l’Humain à un objet ou à un portable concentrant des données (d’ailleurs, Jonathan est suspendu à son téléphone portable) est observable à travers la crise de la Coronavirus, qui prétend implanter la puce (concentrée de vie et des données personnelles) à chaque être humain. Et ce, sous différentes formes : vaccins, revenu universel, etc.
 

22 – Dans le film, le confinement est dépeint comme un abus de pouvoir et une infantilisation humiliante. « Va tout de suite au coin ! Tu es puni ! » vocifère Dracula contre Jonathan. Et c’est exactement ainsi qu’est de plus en plus vécu le confinement. Du moins, en France.
 

23 – Le film « L’Hôtel Transylvanie » tombe pile au moment du confinement où un ras-le-bol et une révolte populaire commencent à monter. On a dépassé le stade de la peur de la contagion (la phase « Minions » ou « Moi moche et méchant 1, 2 et 3 ») : on est maintenant arrivés au stade de la révolte et de la rébellion. Rébellion exprimée par le personnage de Jonathan, qui sort à Dracula : « Ce serait quoi l’alternative ? Rester cloîtré chez moi ?? Ne jamais mettre mon nez dehors ?!? » Ou bien encore, à la toute fin, Mavis tenant tête à son tyrannique de père qui a osé la maintenir confinée : « Mais tu peux vivre avec ça [sur la conscience] ?!? Me mentir, m’espionner, m’enfermer ?!? En sachant que je rêve de sortir ?!? »
 

24 – L’accusation la plus récurrente qui est faite par tous les personnages contre Dracula, c’est celle de « mensonge » parce qu’il a dissimulé la réalité. Et c’est exactement la même récrimination qui est unanimement faite contre les dirigeants politiques du Monde entier pendant le confinement. Les masques manquent et c’est vous, les politiciens menteurs, qui les portez depuis le départ et qui nous les avez volés !! Le film finit d’ailleurs par un bal masqué dans la ville des humains, où tout le monde porte un masque.
 

25 – Le paternalisme protecteur de Dracula – que ce dernier présente comme un crève-cœur personnel car il a bien conscience que ça le fait passer pour un méchant aux yeux des êtres qu’il aime et qu’il veut préserver – fait penser au totalitarisme protectionniste de Macron qui, en gros, nous dit qu’il est bien obligé de prendre cette mesure contraignante et impopulaire du confinement pour « le bien commun » : « Un père doit tout faire pour garantir la sécurité des siens, même si pour ça, il doit trahir leur confiance. » Dracula et Macron ont ceci de commun qu’ils jouent sincèrement le rôle du dirigeant-bienfaiteur maudit.
 

26 – Tout le film est basé sur la destruction de la différence Créateur/créatures (c’est-à-dire Jésus et l’Église Catholique), puisque l’union Monstre/humain est célébrée comme un Amour vrai qui dépasse, transgresse et intègre la différence Homme/animal ou la différence Homme/ange démoniaque. Et c’est exactement la même transgression fusionnelle chimérique qu’on observe à travers la crise sanitaire : on nous fait croire que la Bête Coronavirus n’est finalement pas notre ennemie mais que de surcroît elle va nous apprendre à être plus humains.
 

27 – Hypocrisie totale et injonction paradoxale digne d’un Donald Trump : les dirigeants qui nous obligent à nous confiner critiquent leur propre politique hermétique. Comme ça, ils se disent qu’ils échapperont in extremis à la fronde anti-confinement ou au règlement de comptes post-confinement. Et en effet, « Hôtel Transylvanie » est typiquement un film qui nous confine chez nous devant nos écrans, qui nourrit et justifie la politique gouvernementale d’enfermement massif de la population, tandis que dans ses messages, il appelle pourtant à l’anti-confinement, à l’extase et à la sortie de toutes nos prisons et de toutes bulles protectrices.
 

28 – Dans le dénouement du film, après avoir bien tyrannisé et isolé sa fille Mavis, Dracula fait une entorse à sa propre politique de confinement et décide de lâcher du leste, de se contredire : « J’ai toujours cru que la chose la pire serait de te voir quitter la maison. »… mais finalement, je me suis trompé : le pire serait de te garder enfermée et de te voir malheureuse ! Car l’important, c’est ton bonheur ! C’est exactement le même retournement de veste démagogique que vont nous offrir nos gouvernants après nous avoir bien mis sous cloche… pour qu’on leur pardonne, qu’on les voit finalement comme nos grands libérateurs, en oubliant qu’ils ont été nos geôliers. « Vole ! Va construire ton Paradis ! » s’adresse tout ému le franc-maçon Dracula à sa fille.
 

 

29 – Dans le film, une place de choix est laissée au soleil. D’ailleurs, c’est l’astre qui ouvre le cœur et le regard de Marvis : « Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi extraordinaire… » s’extasie-t-elle face au coucher de soleil que lui fait découvrir Jonathan. Et plus tard, les monstres accompagnant Dracula craignent l’étoile solaire comme un dieu : « Mais t’as pensé au Soleil ??? » (la Momie). Or, pendant le Coronavirus, l’héliocentrisme est également au zénith. Et ceci est même illustré télévisuellement, comme je l’ai développé dans cet article.
 

 

30 – Je me suis amusé à trouver l’anagramme de l’héroïne du film : Mavis Dracula. Eh bien en espagnol, ça donne : « Acclamez le virus ! » (ACLAMAD VIRUS). Vous pouvez trouver ça capillotracté. Mais je m’en fous. C’est quand même un des anagrammes possibles de MAVIS DRACULA.
 

C – Conclusion : TF1 nous prend-t-elle pour des cons finis ?


 

En voyant tous les recoupements entre ces films dominicaux de Ciné Dimanche et le confinement, est-ce qu’on peut en conclure que les programmateurs de TF1 sont des pervers et qu’ils se foutent de nous ? Consciemment, je ne crois pas. Mais sincèrement, il y a de fortes chances que oui. Est-ce à dire aussi que le confinement et la crise du Coronavirus étaient planifiés de longue date et que la grille de programme des films de Ciné Dimanche obéit à un agenda politique censé nous singer et nous soumettre ? La preuve que oui, dans une certaine mesure. Même si une part de ces coïncidences sont inconscientes, non-préméditées, et que cette machination est plus à mettre du côté des démons et du surnaturel que des Humains (un baromètre ne fait pas pleuvoir !). En tout cas, l’effet-miroir – qui rendrait presque ces films d’animation « prophétiques » tellement il est anticipatoire et colle pile à notre actualité – est là et reste troublant. C’est pourquoi je trouve la thèse du foutage de gueule et de la manipulation de masse plausible. Car la correspondance involontaire entre fiction et réalité, contrairement à l’écho prophétique volontaire qui lui par définition dénonce le mal bien plus qu’il ne l’illustre, vire à la singerie et au mimétisme d’une situation réellement vécue au moment de la diffusion et du visionnage des œuvres fictionnelles. La chaîne TF1, toutou du Système mondialiste, renvoie comme un miroir à ses spectateurs zombifiés, le reflet de leur propre abrutissement, soumission et aveuglement dans lesquels elle souhaite les maintenir, en temps et en heure… même avec des films vieux de 7 ans ! C’est fascinant, cet alignement des planètes cathodiques. C’est sans doute même luciférien.
 
 

N.B. : Pour lire ma critique de l’opus 2, cliquez ici.