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De quel « mépris » parle-t-on ?


 

De quel « mépris », de quelle « offense » parle Mgr Rey ? Qu’est-ce que c’est que ces mots disproportionnés ? Où est le mépris dans le discours du premier ministre et dans les mesures gouvernementales ? Les mots ont un sens, voyons. Je regardais les infos de ce soir sur TF1 : à part les écoles (je ne compte pas les transports ni les lieux d’approvisionnement), tous les domaines publics (théâtres, cinémas, universités, concerts, festivals, restaurants) sont logés à la même enseigne. Qu’est-ce que c’est que cette victimisation, cette offuscation déplacée ? Certains évêques marchent sur la tête…

Fin du débat : moi j’écoute le Pape

Voilà. Concernant le retour des messes seulement le 11 juin, le Pape François, ce matin, à la messe qu’il célébrait, a appelé de ses voeux à l’observance des consignes gouvernementales de confinement par les fidèles catholiques : « En ce moment, alors que nous commençons à avoir des dispositions pour sortir de la quarantaine, prions le Seigneur de donner à son peuple, à nous tous, la grâce de la prudence et de l’obéissance aux dispositions, afin que la pandémie ne revienne pas. »
 

Fin du débat. Pas de comparaisons inutiles (notamment avec l’islam). Pas de récriminations ou de suppliques ou de tentatives de contournement de la loi civile (au nom de la primauté de l’obéissance au pouvoir spirituel). Pas d’accusation contre le Pape d’être franc-maçon, ni des évêques d’être des mous (ils sont bien assez mous pour tellement d’autres choses…!). Silence et on obtempère. Et les râleurs ou passionarias rebelles se verront conduits vers la sortie de mes contacts. Moi, j’écoute le Pape.

Pacte de bienveillance inconditionnelle (Untel est sans doute un gros con… mais j’ai décidé de l’aimer)


 

Réflexion libre qui me vient en ce temps de confinement où les appels téléphoniques se croisent…, et où les médisances peuvent aussi se libérer.
 

On aura toujours mille et une raisons de critiquer, de juger, de mépriser ou d’haïr quelqu’un, a fortiori quand il s’agit d’une personne qu’on connaît bien, dans notre famille ou dans nos cercles relationnels. Mais à un moment donné, il nous faut stopper nos « bonnes raisons » de la mépriser ou de la critiquer, et décider d’aimer la personne par-delà nos différences, nos vexations passées, nos ressentiments, nos écarts de conduite et d’opinion, nos désaccords.
 

Ça s’appelle l’option pour l’Amour.
 

Et il n’est pas inutile de nous rappeler que cette option existe, qu’elle fait vraiment du bien, et qu’elle est hyper facile à mettre en place. Il suffit de prendre la ferme résolution dans son coeur de défendre une personne (un ami, un membre de sa famille). Pas jusqu’à la mauvaise foi, mais presque ! 😂. Et de s’y tenir.
 

Oui : l’Amour se choisit. A fortiori quand on souhaite oublier cette vérité et qu’on a plutôt envie de se reposer sur la facilité, la rationalité et la victimisation pour se dire que ce serait plutôt la haine qui – dans notre contexte précis et avec la personne « chiante et méchante » en question – « s’imposerait à nous » et serait notre meilleur choix, notre seul « choix » !
 

À un moment donné, il faut arrêter de ruminer notre rancoeur et de ressasser les vieilles querelles. Il nous faut choisir – de manière certes un peu arbitraire… mais bon c’est bien sainte Thérèse de Lisieux qui a décrit la part d’arbitraire dans l’Amour, non? – d’aimer coûte que coûte une personne, en passant outre ses défauts et ses faiblesses (sans en faire pour autant abstraction comme si ces derniers n’existaient pas). À un moment donné, dans notre coeur, il nous faut poser le choix de l’Amour, prendre le parti de l’Amour, et faire amende honorable auprès de personnes qui à l’évidence souffrent trop ou ont trop de limites pour changer spectaculairement. Bref, il nous faut dire intérieurement : « Je sais tout ça de toi… mais j’ai quand même décidé de t’aimer. » Un peu comme un coup de poker ! Ou une promesse indiscutable ! Un parti pris fou, mais solide, indéfectible. Éternel. « Je t’ai choisi ! Et ça, pour toujours ! »
 

Et je crois que Là-Haut, nous découvrirons tous les moments où nous avons fait cette grâce de ne pas juger quelqu’un, de ne pas l’arrêter à ses défauts ou ses mauvais actions/paroles. Nous découvrirons tous les moments où notre prochain a été cet avocat forcené et insoupçonnable avec nous, et sans qu’on le sache. Nous entendrons ce « J’ai décidé un jour de t’aimer… et ça n’a pas bougé ! Tu vois? Je t’ai défendu par devant comme par derrière quand tes opposants te cassaient du sucre sur le dos, te médisaient et tentaient de me rallier à leur entreprise de démolition de toi. Parce que je t’aime et j’ai décidé de t’aimer. »
 

C’est pourquoi je m’efforce dès à présent, et de plus en plus, de poser ce choix inviolable de l’Amour inconditionnel pour certaines personnes de mon entourage, d’autant plus quand celles-ci sont mal-aimées, impopulaires, jugées « pas cools », pécheresses, donc facilement critiquables. Littéralement, je jette mon dévolu de bienveillance éternelle sur telle ou telle personne ! Je signe en secret ce pacte de non-agression (intérieure et extérieure). Par exemple, j’ai fait ça avec Morgan Priest, mais aussi avec certains amis et membres de ma famille. Et quand une personne tente de m’embarquer dans son persiflage à propos d’une connaissance commune, je lui dis gentiment : « Écoute, je vois très bien ce que tu veux dire à propos d’Untel, mais… te fatigue pas. Car j’ai décidé de l’aimer. Et que rien, au fond, même les meilleurs exemples ou arguments du Monde, n’altèrera cette décision que j’ai prise un jour de l’aimer inconditionnellement pour toujours. Donc pas touche. » Car au fond, les raisons de haïr une personne seront toujours moins nombreuses ou moins fortes que le défi de l’aimer malgré et avec ses défauts.

Le film « Hôtel Transylvanie » ce soir dans Ciné Dimanche : à l’exacte image de notre confinement. Est-ce un hasard ? Ou bien TF1 se fout vraiment de notre gueule ?

A – Ciné Dimanche ou le confinement singé


 

La programmation de Ciné Dimanche se calque-t-elle ironiquement sur notre confinement pour le singer, ou est-ce accidentel ? et prouve-t-elle que la crise sanitaire que nous vivons était préécrite et orchestrée d’avance, depuis facile 10 ans en arrière ? On est en droit de le penser. Car la grille de programme cinématographique de TF1 semble fonctionner comme un miroir tragi-comique, et surtout folklorisé/codé, de notre réalité mondiale actuelle. C’était déjà très vrai dans les premières semaines de confinement, lorsque nous, téléspectateurs, étions symboliquement réduits à des Minions braillards, froussards et surexcités, et ne pouvions qu’en sourire… jaune. Puis ça s’est confirmé avec « Baby Boss » la semaine dernière, vantant le puçage humain. Mais je crois que le climax de la correspondance symbolique a été atteint ce soir avec « L’Hôtel Transylvanie » (et encore… sur France 4, ils diffusaient « Comme des bêtes » : ben oui, en temps de confinement, n’est-on pas parqués… comme des bêtes ?). Démonstration !
 

 

B – Points communs entre « Hôtel Transylvanie » et confinement :

Je n’aurai pas le temps de vous faire la liste de tous les symboles francs-maçons que j’ai relevés dans « L’Hôtel Transylvanie » car je manque de temps (je vous renvoie à mon livre Homo-Bobo-Apo pour ceux qui veulent creuser le sujet). Je me contenterai juste de souligner quelques exemples de correspondances troublantes (et non-causales ! la symbolique n’est pas une science exacte, même si elle peut être d’une précision chirurgicale !) entre ce film d’animation datant de 2013 et notre crise Coronavirus actuelle (je pourrais presque faire un tableau avec 2 colonnes !) :
 

1 – Le film démarre précisément avec la sommation paternelle du confinement. Dracula déclare à sa fille Mavis : « Nous n’irons jamais dehors ! JAMAIS !! » (En entendant cette phrase, je ne sais pas pourquoi, j’ai pensé au Comte Macron et son « RESTEZ-CHEZ VOUS ! VOUS SAUVEZ DES VIES ! »…). Et tout l’objectif de Dracula, c’est de maintenir Mavis dans une bulle hermétique protectrice : « Ça a marché ! Maintenant, mon bébé sera en sécurité : pour toujours ! ».
 

2 – Pendant tout le film, on entend cette idée que ce sont les Humains les méchants et les monstres. Et c’est exactement ce qu’on nous serine en ce moment sur les réseaux sociaux : que le vrai virus, ce n’est pas le Corona, mais l’Humanité.
 

3 – Dans le film, l’Hôtel Transylvanie est présenté comme un hôpital où tous les malades vivent en paix : « On aime tellement la sécurité qui règne ici ! » se félicitent-ils. Et la crise du Coronavirus dresse également un trône au dieu « Sécurité » et au dieu « Paix ».
 

4 – Dans « Hôtel Transylvanie », c’est les avions les dangers et les méchants. D’ailleurs, à la fin de l’intrigue, l’avion est détourné : « J’ai une phobie de l’avion ! » déclare Frankenstein (« Francky »). Et transposé au réel et à la crise sanitaire, à l’heure actuelle, les avions sont quasiment interdits de voler ou cloués au sol.
 

5 – Dans le film, les Humains obèses mangeant dans les parcs sont montrés dans le diaporama que Dracula présente aux occupants de son hôtel comme des monstres. Et actuellement, c’est exactement le même procès qu’on observe : le consommateur oisif mangeant mal et pique-niquant dans les parcs est devenu la bête à abattre. Et par ailleurs, le Coronavirus s’attaque en particulier aux personnes masculines obèses et/ou âgées.
 

 

6 – Dans le film, les personnes âgées, justement, sont désignées comme monstrueuses en plus d’ennuyeuses (c.f. la scène mortelle de la loterie). Et dans la réalité, le Coronavirus est l’excuse/la couverture d’une euthanasie massive, en particulier dans les EHPAD.
 

 

7 – Tout l’objectif de l’héroïne Mavis Dracula est de « partir à la découverte du Monde », donc l’Humanisme intégral. Dans le dessin animé, on a aussi une sacralisation de l’extérieur : « C’est pas Hawaï mais c’est quand même un petit peu dehors. » affirme Mavis en découvrant le village des humains. Et ce « dehors », c’est exactement la carotte qu’on nous tend dans notre Monde actuel, en temps d’intériorité et d’introspection forcées, pour rendre notre confinement supportable voire « nécessaire ».
 

8 – À plusieurs moments dans le film, il est question de pandémie virale. À un moment, Mavis se répète à elle-même « Peste noire ! Peste noire ! ». Ou bien, face à un buffet servi à côté de la piscine, elle parle à nouveau de peste : « Peste bubonique : vous êtes en feu ! ». Un peu plus tard, on entend à nouveau un des monstres mentionner « la peste bubonique ». Je vous rappelle que la peste bubonique – qui attaque les voies respiratoires – est en réalité un synonyme du Coronavirus. J’dis ça, j’dis rien…
 

 

9 – Dans le film, Mavis s’identifie à une chauve-souris au point de se métamorphoser, comme son père, en chauve-souris… ce qui fait craquer Dracula : « Ne me fais pas ta bouille de chauve-souris battue ! ». Je vous rappelle que la chauve-souris est considérée comme l’animal d’où serait parti le Coronavirus en Chine. Là encore, c’est un « hasard », hein… Et le volatile, à la fin du film, est fortement décrié : un des personnages l’affuble du sobriquet « chauve-pourrie ».
 

10 – Dans le film, Mavis parle de traverser la rue : « Je vais survoler la rue juste pour jeter un coup d’œil. ». Toute ressemblance avec un certain président qui nous conseille de traverser la rue serait purement fortuite… (LOL).
 

11 – Dans le film, c’est absolument ahurissant comme le premier contact de Mavis Dracula avec l’Humanité est celui d’une arrivée dans une ville déserte, où il n’y a absolument pas un chat dans les rues, comme si elle était en confinement ou sous couvre-feu.
 

12 – Dans le film, même si les sorties sont tolérées et pas totalement interdites, elles sont étonnement encadrées, conditionnées. Par exemple, Dracula autorise à sa fille de sortir découvrir le Monde… ce qui étonne dans un premier temps son pote Franckenstein : « Dracky, j’en reviens pas que tu sois aussi calme pour sa première sortie. » Et nous, aussi bien pendant notre confinement que pendant la phase de déconfinement, tout est/sera progressif, méthodique, par paliers, et faussement calme. Par ailleurs, dans « Hôtel Transylvanie », même si l’intérieur est privilégié, l’extérieur est exceptionnellement permis en cas d’attaque précisément de l’extérieur : « On avait prévu une sortie de secours en cas d’attaque des humains. » (Dracula).
 

13 – La politique sécuritaire de Dracula lui fait désigner les fugitifs de son Hôtel comme des traîtres ou des êtres en grand danger, et à l’inverse les infiltrations humaines comme des contaminations fatales. Il associe d’ailleurs les êtres humains à des terroristes venus contaminer la pureté monstrueuse de ses convives et semer leur propre terreur : « Encore un humain paranoïaque… » se lamente-il face à Jonathan, le seul héros humain de l’intrigue. Et c’est drôle parce que dans la crise sanitaire du Coronavirus, les sécuritaires désignent exactement les ennemis ou les contestataires du confinement comme de « dangereux complotistes », des « terroristes paranoïaques », et donc comme le véritable virus.
 

14 – Le confinement imposé par Dracula repose sur les concepts d’unité et de paix : « Il faut faire la paix. » dit-il aux occupants de son Hôtel. Et c’est exactement les slogans des gouvernements sécuritaires actuels pendant la crise sanitaire…. pardon, la « guerre » sanitaire.
 

15 – À plusieurs reprises dans le dessin animé, on voit des concerts de confinés… à l’instar des concerts domestiques que nous servent actuellement les stars du Monde entier – Lady Gaga en première ligne – pour « rendre hommage aux soignants ».
 

16 – Dans le film, on voit au moins 3 fois la mouche se nettoyer les mains avec sa propre salive… comme si elle s’injectait du gel hydroalcoolique. En voyant ça, j’ai cru à une blague. Sérieusement.
 

 

17 – Dans le film est montrée une crise des colis qui ont du mal à s’acheminer : Dracula, au comptoir de son Hôtel, doit gérer le mécontentement croissant de ses clients. Et c’est exactement ce qu’on observe pendant notre crise sanitaire, avec Amazon ou La Poste quasi à l’arrêt par exemple.
 

 

18 – Dans le film, j’ai halluciné le nombre de fois où on nous montre des culs, et où il est référence à la scatologie (pet, pipi, vomi, caca…). Une fois, deux fois, passe encore. Mais là, c’est revenu au moins 4 fois ! Et nul besoin de vous rappeler la mystérieuse (et irrationnelle !) razzia sur le PQ qui s’est déroulée (oups… pas fait exprès pour le jeu de mots…) en tout début de confinement, et qui reste à ce jour incompréhensible.
 

 

19 – En lien avec la merde, dans « Hôtel Transylvanie », il est question de la perte d’odorat. En effet, le Loup-garou, au moment où il doit flairer la piste de Jonathan avec une chaussette malodorante que ce dernier a laissé échapper de son sac à dos de bobo, en perd les sens qui le caractérisent : « Tu sais combien de grosses commissions m’ont détruit l’odorat ? » se plaint-il à Dracula. Or, la perte de goût et d’odorat (l’anosmie) est un des symptômes les plus connus du COVID-19. Ainsi que les engelures aux orteils et aux doigts de pieds chez certains asymptomatiques confinés ! Et là encore, on en entend parler dans le film : « Mes orteils ont un talent fou. entend Dracula quand, à travers le hublot à l’intérieur de l’avion, Jonathan lui dit « Désolé je comprends rien du tout ! ».
 

 

20 – Dans le film, les héros monstrueux sont agoraphobes : « Très bien : on va traverser cette foule à pied ! » dit Dracula à ses compagnons. Or le propre du Coronavirus, comme je l’ai expliqué dans cet article, c’est qu’il est aussi anti-foule, c’est-à-dire agoraphobe.
 

21 – Dans le film, le sac à dos est considéré comme un être vivant, un concentré de vie. Jonathan Loughran dit que dedans, il a « toute sa vie ». Et au début de l’histoire, il lui fait carrément une déclaration d’amour : « Je l’aime ! » À la fin du film, au moment où il croit que son heure est arrivée puisqu’il est embroché comme une saucisse grillée sur un feu de cheminée, sa dernière pensée va… à son sac à dos ! : « Avant d’être à point, est-ce que je pourrais parler à mon sac à dos une dernière fois ? » Et cette réduction de l’Humain à un objet ou à un portable concentrant des données (d’ailleurs, Jonathan est suspendu à son téléphone portable) est observable à travers la crise de la Coronavirus, qui prétend implanter la puce (concentrée de vie et des données personnelles) à chaque être humain. Et ce, sous différentes formes : vaccins, revenu universel, etc.
 

22 – Dans le film, le confinement est dépeint comme un abus de pouvoir et une infantilisation humiliante. « Va tout de suite au coin ! Tu es puni ! » vocifère Dracula contre Jonathan. Et c’est exactement ainsi qu’est de plus en plus vécu le confinement. Du moins, en France.
 

23 – Le film « L’Hôtel Transylvanie » tombe pile au moment du confinement où un ras-le-bol et une révolte populaire commencent à monter. On a dépassé le stade de la peur de la contagion (la phase « Minions » ou « Moi moche et méchant 1, 2 et 3 ») : on est maintenant arrivés au stade de la révolte et de la rébellion. Rébellion exprimée par le personnage de Jonathan, qui sort à Dracula : « Ce serait quoi l’alternative ? Rester cloîtré chez moi ?? Ne jamais mettre mon nez dehors ?!? » Ou bien encore, à la toute fin, Mavis tenant tête à son tyrannique de père qui a osé la maintenir confinée : « Mais tu peux vivre avec ça [sur la conscience] ?!? Me mentir, m’espionner, m’enfermer ?!? En sachant que je rêve de sortir ?!? »
 

24 – L’accusation la plus récurrente qui est faite par tous les personnages contre Dracula, c’est celle de « mensonge » parce qu’il a dissimulé la réalité. Et c’est exactement la même récrimination qui est unanimement faite contre les dirigeants politiques du Monde entier pendant le confinement. Les masques manquent et c’est vous, les politiciens menteurs, qui les portez depuis le départ et qui nous les avez volés !! Le film finit d’ailleurs par un bal masqué dans la ville des humains, où tout le monde porte un masque.
 

25 – Le paternalisme protecteur de Dracula – que ce dernier présente comme un crève-cœur personnel car il a bien conscience que ça le fait passer pour un méchant aux yeux des êtres qu’il aime et qu’il veut préserver – fait penser au totalitarisme protectionniste de Macron qui, en gros, nous dit qu’il est bien obligé de prendre cette mesure contraignante et impopulaire du confinement pour « le bien commun » : « Un père doit tout faire pour garantir la sécurité des siens, même si pour ça, il doit trahir leur confiance. » Dracula et Macron ont ceci de commun qu’ils jouent sincèrement le rôle du dirigeant-bienfaiteur maudit.
 

26 – Tout le film est basé sur la destruction de la différence Créateur/créatures (c’est-à-dire Jésus et l’Église Catholique), puisque l’union Monstre/humain est célébrée comme un Amour vrai qui dépasse, transgresse et intègre la différence Homme/animal ou la différence Homme/ange démoniaque. Et c’est exactement la même transgression fusionnelle chimérique qu’on observe à travers la crise sanitaire : on nous fait croire que la Bête Coronavirus n’est finalement pas notre ennemie mais que de surcroît elle va nous apprendre à être plus humains.
 

27 – Hypocrisie totale et injonction paradoxale digne d’un Donald Trump : les dirigeants qui nous obligent à nous confiner critiquent leur propre politique hermétique. Comme ça, ils se disent qu’ils échapperont in extremis à la fronde anti-confinement ou au règlement de comptes post-confinement. Et en effet, « Hôtel Transylvanie » est typiquement un film qui nous confine chez nous devant nos écrans, qui nourrit et justifie la politique gouvernementale d’enfermement massif de la population, tandis que dans ses messages, il appelle pourtant à l’anti-confinement, à l’extase et à la sortie de toutes nos prisons et de toutes bulles protectrices.
 

28 – Dans le dénouement du film, après avoir bien tyrannisé et isolé sa fille Mavis, Dracula fait une entorse à sa propre politique de confinement et décide de lâcher du leste, de se contredire : « J’ai toujours cru que la chose la pire serait de te voir quitter la maison. »… mais finalement, je me suis trompé : le pire serait de te garder enfermée et de te voir malheureuse ! Car l’important, c’est ton bonheur ! C’est exactement le même retournement de veste démagogique que vont nous offrir nos gouvernants après nous avoir bien mis sous cloche… pour qu’on leur pardonne, qu’on les voit finalement comme nos grands libérateurs, en oubliant qu’ils ont été nos geôliers. « Vole ! Va construire ton Paradis ! » s’adresse tout ému le franc-maçon Dracula à sa fille.
 

 

29 – Dans le film, une place de choix est laissée au soleil. D’ailleurs, c’est l’astre qui ouvre le cœur et le regard de Marvis : « Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi extraordinaire… » s’extasie-t-elle face au coucher de soleil que lui fait découvrir Jonathan. Et plus tard, les monstres accompagnant Dracula craignent l’étoile solaire comme un dieu : « Mais t’as pensé au Soleil ??? » (la Momie). Or, pendant le Coronavirus, l’héliocentrisme est également au zénith. Et ceci est même illustré télévisuellement, comme je l’ai développé dans cet article.
 

 

30 – Je me suis amusé à trouver l’anagramme de l’héroïne du film : Mavis Dracula. Eh bien en espagnol, ça donne : « Acclamez le virus ! » (ACLAMAD VIRUS). Vous pouvez trouver ça capillotracté. Mais je m’en fous. C’est quand même un des anagrammes possibles de MAVIS DRACULA.
 

C – Conclusion : TF1 nous prend-t-elle pour des cons finis ?


 

En voyant tous les recoupements entre ces films dominicaux de Ciné Dimanche et le confinement, est-ce qu’on peut en conclure que les programmateurs de TF1 sont des pervers et qu’ils se foutent de nous ? Consciemment, je ne crois pas. Mais sincèrement, il y a de fortes chances que oui. Est-ce à dire aussi que le confinement et la crise du Coronavirus étaient planifiés de longue date et que la grille de programme des films de Ciné Dimanche obéit à un agenda politique censé nous singer et nous soumettre ? La preuve que oui, dans une certaine mesure. Même si une part de ces coïncidences sont inconscientes, non-préméditées, et que cette machination est plus à mettre du côté des démons et du surnaturel que des Humains (un baromètre ne fait pas pleuvoir !). En tout cas, l’effet-miroir – qui rendrait presque ces films d’animation « prophétiques » tellement il est anticipatoire et colle pile à notre actualité – est là et reste troublant. C’est pourquoi je trouve la thèse du foutage de gueule et de la manipulation de masse plausible. Car la correspondance involontaire entre fiction et réalité, contrairement à l’écho prophétique volontaire qui lui par définition dénonce le mal bien plus qu’il ne l’illustre, vire à la singerie et au mimétisme d’une situation réellement vécue au moment de la diffusion et du visionnage des œuvres fictionnelles. La chaîne TF1, toutou du Système mondialiste, renvoie comme un miroir à ses spectateurs zombifiés, le reflet de leur propre abrutissement, soumission et aveuglement dans lesquels elle souhaite les maintenir, en temps et en heure… même avec des films vieux de 7 ans ! C’est fascinant, cet alignement des planètes cathodiques. C’est sans doute même luciférien.
 
 

N.B. : Pour lire ma critique de l’opus 2, cliquez ici.

La Vigile Pascale de saint Nicolas des Champs cette année : l’occasion de voir que l’homosexualité arrive encore au top des attaques contre l’Église

Comme c’est prochainement « la Fin des Temps pour tous », c’est plus que jamais le moment de regarder chaque année avec attention les Vigiles pascales. Car il s’y passe plein de phénomènes paranormaux révélateurs de la puissance de Jésus, mais aussi, du coup, révélateurs des ultimes révoltes des démons (qui savent qu’ils ont perdu).
 

Ce soir, c’était très intéressant de regarder la Vigile Pascale de l’église Saint Nicolas des Champs (… pas du Chardonnet, hein) depuis le site de la paroisse sur Facebook. Non seulement parce qu’elle a été super bien préparée par les prêtres et les séminaristes (bravo à eux !), mais parce qu’on pouvait voir le fil de commentaires des spectateurs en parallèle. Donc on avait double « spectacle », ou « 2 spectacles pour le prix d’1 », si vous m’autorisez cette désastreuse expression (voici ici le lien pour revoir cette messe… sachant qu’il y a certainement eu un nettoyage des commentaires désobligeants malheureusement. J’ai quand même pu faire 2 captures d’écran pour prouver mes dires).
 

Alors évidemment, en cette (première ?) année du confinement, j’ai beaucoup moins de « scoops » à vous raconter et c’était largement moins spectaculaire, moins épique (… et surtout moins maçonnique !) que la Vigile Pascale de l’année dernière à l’église Saint-Sulpice avec Mgr Aupetit notre Vénérable Grand Maître (c.f. ici mon article descriptif). La Vigile de saint Nico était aussi beaucoup plus modeste (200 connexions sur Facebook) que la Vigile pascale du Chemin Neuf à Hautecombe (avec 4700 connexions en direct sur Youtube !). Mais bon, j’ai relevé 2 faits surnaturels intéressants, dont un miracle :
 

– Le premier fait surnaturel, c’est que nous, internautes, avons eu une fois de plus la preuve que l’homosexualité arrive première au Hit Parade des attaques du démon contre l’Église (autrement dit, elle est le fer de lance de l’anticléricalisme). Même si la plupart des catholiques, par orgueil, aveuglement, ignorance, jalousie, bêtise, refusent encore de m’écouter et de le reconnaître (Pourtant, ce n’est pas faute de leur avoir expliqué ! : c.f. mon livre Homosexualité la priorité niée). En effet, dans le fil de commentaires parallèle à la diffusion de la messe, ont débarqué à un moment donné, juste avant la consécration, 3-4 « trolls » venus cracher leurs inepties anticléricales ricanantes contre les prêtres et l’Église. Eh bien, je vous le donne en mille : la première attaque a concerné l’homosexualité ! Ensuite, en 2e position est arrivée la pédophilie sacerdotale. Puis en 3e position le physique des prêtres ou leur apparence/attitudes extérieures (avec une présomption d’alcoolisme). En 4e position, l’Islam et l’immigration (il a été question de burka). Et en 5e, loin derrière, le terrorisme (il a été fait mention des attentats et de l’incendie de Notre-Dame… que les encensoirs auraient provoqué). Voilà voilà. Donc quand on me dit que l’homosexualité n’est pas une priorité, mais serait une lubie personnelle, laissez-moi rire…
 

 

– Le second fait surnaturel, mais qui cette fois relève du beau et du miracle, c’est que les 4 trouble-fêtes ont immédiatement stoppé leurs commentaires vulgaires et sont partis du fil de discussion dès que les premières formules sacerdotales de consécration du Pain et du Vin eucharistiques ont été prononcées. Alors que pourtant, ils auraient très bien pu s’éterniser sur le Mur Facebook et continuer les ricanements en se moquant des chants ou des paroles stéréotypées des prêtres. Cette sorte d’autorité surnaturelle des sacrements sur les démons et leurs suiveurs est pour moi une preuve discrètement manifeste de la force, de la supériorité, des sacrements… force qui traverse les écrans. Merci Jésus ! Tu es grand ! Et tu es vraiment ressuscité !

Messes filmées ou pas filmées ? (… ou les paradoxes de la « présence »)


 

Je suis de ceux qui ne créent pas de séparation franche et caricaturale entre virtuel et Réel (même si je privilégie le second, et que je dis qu’il y a une distinction entre les 2). Je suis de ceux qui pensent que – si et seulement si la présence réelle n’est pas possible – la présence téléphonique/télévisuelle/internétique est possible, réelle (d’une certaine manière, puisque les personnes d’un bout à l’autre de l’interface technique existent bel et bien!) et peut faire beaucoup de bien. Désolé pour ceux qui diabolisent (à tort) les écrans, qui déshumanisent complètement Internet, et qui font de la présence physique l’alpha et l’oméga de l’authenticité et de la validité sacramentelle (par sacramentalisme ou humanisme intégral, finalement).
 

Je vois circuler déjà des caricatures et des dessins que m’envoient des catholiques qui hurlent hystériquement à la « fin de l’Église », à la « mort de son Incarnation » ! Les Judas modernes auraient vendu Jésus aux Big Data !! Euh… on va se calmer.
 

 

J’avais déjà averti dans Homo-Bobo-Apo sur le danger de cette numérisation de l’Église et de la prière. Néanmoins, il faut savoir distinguer les solutions par défaut TEMPORAIRES des trahisons apostasiques. Voilà personnellement comment je me situerais par rapport aux paroisses qui décident de se filmer (j’ai exprimé mon avis sur le mur Facebook d’un prêtre que j’aime pourtant beaucoup – l’Abbé Pierre – et qui ce matin a décrété qu’il ne filmerait pas ses messes de Pâques, en s’appuyant sur un article de la revue Limite).
 




 

Où sont les âmes ? Elles sont aussi sur Internet. Et Jésus a le pouvoir de traverser les écrans.
 

Journal de l’Antéchrist et de la Bête de l’Apocalypse, en temps de confinement COVID-19

Comme ce temps de bouleversement mondial dû au Coronavirus est un moment de diversion pour permettre en coulisses l’établissement d’autres desseins (la restructuration de l’organisation du Monde et l’avènement de l’Antéchrist), il est aussi particulièrement propice à l’observation des signes des Temps, des symptômes sociologiques autant que surnaturels. J’aimerais en souligner avec vous quelques-uns.
 

1) La Fête de la Bête :

Je l’ai déjà souligné récemment, mais j’insiste. Le Coronavirus (un des nombreux visages de la Bête de l’Apocalypse décrite par saint Jean dans la Bible) et le confinement mondial qu’il nous impose sous couvert de sécurité, prépare le sacre de la Bête. Et déjà, dans les discours, beaucoup d’Humains trouvent la Bête finalement très gentille et bien plus humaine que les Humains eux-mêmes. Certains la choisissent déjà pour Reine de l’Humanité, en se basant sur un écologisme naturaliste panthéiste. Et ils bestialisent les grands hommes en « monstres sacrés » pour leur retirer leur humanité sous prétexte de les flatter.
 

2) Hier soir, sur France 5, le dieu Soleil était au zénith !


 

Ça fait un moment que je vous dis et écris – notamment en rapport avec la série Joséphine ange gardien – que la Nouvelle Religion mondiale veut remplacer Dieu (Jésus) par le dieu « Énergie » (en gros Lucifer), en s’appuyant sur 3 matières : l’or, l’électricité et le Soleil (héliocentrisme). C’est pourquoi j’ai regardé hier soir (2 avril 2020) sur France 5 le documentaire « Du Soleil et des Hommes » de François Barré. Ce fut, comme c’était à prévoir, un parfait exemple d’idolâtrie héliocentrique contemporaine (l’héliocentrisme est une hérésie dénoncée depuis longtemps par l’Église Catholique : dans le livre du Deutéronome (Deut 4, 19), Dieu le Père précise que tout ce qui est en rapport avec l’adoration du Soleil est strictement interdit. Dans le livre d’Ézéchiel (Ez 8, 15-18), également, il est donné le culte au dieu Thammuz (dieu solaire) : « L’Éternel m’emmena vers la cour intérieure de la Maison du Seigneur : voici qu’à l’entrée du sanctuaire du Seigneur, entre le Vestibule et l’autel, il y avait environ vingt-cinq hommes tournant le dos au sanctuaire du Seigneur, et le visage vers l’orient. Ils se prosternaient en direction de l’orient, vers le soleil. Et il me dit : « Tu as vu, fils d’homme ? Est-ce trop peu pour la maison de Juda de commettre les abominations qu’ils commettent ici ? Oui, ils remplissent le pays de violence, ils provoquent encore mon indignation : les voici qui élèvent le rameau jusqu’à leur nez ! À mon tour d’agir avec fureur ; je n’aurai pas un regard de pitié, je n’épargnerai personne. Ils auront beau crier à mes oreilles d’une voix forte, je ne les écouterai pas. »).
 

 

J’ai relevé pour vous dans le documentaire de Science Grand Format de France 5 – pourtant prétendument « scientifique » – plusieurs phrases illuminati remplaçant le Dieu Créateur (Père-Fils-Saint Esprit) par le dieu solaire. Comme si le soleil, parce qu’il succède effectivement à l’acte créateur de Dieu et accompagne le développement de la Vie et de la création, devenait tout d’un coup le Créateur même, devenait la Vie… (Quelle prodigieuse dérive et inversion maçonniques !) : « Le Soleil nous a créés. Donc s’Il meurt, nous aussi. » ; « cet astre tout-puissant » ; « Ce que le Soleil fait, Il peut aussi le défaire » ; « Le Soleil est le Créateur de toute chose… dans le prodigieux système qui porte son nom. » ; « Le Soleil nous a façonnés au fil du temps. » ; « Le Soleil guide les hommes dans leurs grands déplacements. » ; « Le Soleil fait partie de nous autant que la Terre que nous foulons chaque jour. » ; « Nous établissons un lien étroit avec notre étoile. » ; « D’où lui vient une telle puissance ? Quelle Force l’anime ? » ; « Pourquoi faire des astres » ; « Sans le Soleil, il n’y aurait pas de vie sur Terre. » ; « Les astres sont immortels. » ; « Le savoir qui découle du Soleil est immense. » ; « tout le génie de ces observateurs du Soleil » ; etc. France 5 nous a offert un parfait exemple d’héliocentrisme luciférien (c.f. le chapitre 2 de mon livre Homo-Bobo-Apo sur la Nouvelle Religion mondiale).
 

 

Petits « détails rigolos » dans ce documentaire : le premier, c’est que l’observatoire solaire du pic du midi créé par Bernard Lyot dans les années 1930 s’appelle le « Coronographe » (donc en ces temps de Corona, ça ne s’improvise pas !) ; et le second, c’est que j’ai découvert que les premiers êtres vivants à être apparus sur Terre pour la peupler après les plantes sont les ARAIGNÉES (mais oui !).
 

3 – Scooby-Bête !


 

Dans mes temps de pause de confinement, vous allez peut-être trouver ça BÊTE mais je découvre des épisodes inédits d’un dessin animé que j’ai toujours aimé : Scooby-doo. Et je suis un peu sidéré de voir l’évolution antéchristique et illuminati de la série. Les monstres y ont toujours eu une place de premier plan. Mais là, il est étonnant de voir comme les pragmatiques « cartésiens », paradoxalement, multiplient et durcissent leurs liens avec la Bête et les entités spirituelles démoniaques invisibles. Par exemple, dans l’épisode 23 (« Un Fantôme à Crystal Cove ») de la nouvelle saison, Scooby-doo et ses amis font carrément une séance d’occultisme avec la planche de Ouija des satanistes. Et dans l’épisode 12 (« Le Chaos hurlant »), la Bête est carrément victimisée et défendue : « Les Monstres ne doivent pas être stigmatisés ! » (Ernesto Che Guevara) ; « Char Gar Gothakon, la Bête qui n’a pas de nom, a le droit de vivre parmi nous ! ». Dans ce même épisode, pour faire fuir les monstres, les héros se mettent même à jouer les exorcistes (mais sans Dieu, donc sans Jésus, donc les exorcistes profanes) : « On peut y arriver en psalmodiant une incantation » (Véra). Et le pire, c’est que les concepteurs de ce dessin animé vont dire après que les esprits n’existent pas et que tous les phénomènes paranormaux qu’ils illustrent ont une explication rationnelle, matérielle, humaine !
 

 

Clou du spectacle dans Scooby-Doo, c’est que la Bête finit par supplanter l’Humain. Déjà, à la fin de chaque épisode, les méchants démasqués (encore une histoire de masques COVID-19…) récriminent toujours la même accusation de Bête curieuse à l’équipe de détectives : « J’aurais réussi mon plan si je n’avais eu affaire à de sales petits fouineurs comme vooouuus! » Et je rappelle également que dans la nouvelle saison de Scooby-Doo, Sammy a quitté Véra pour un chien : Scooby-Doo ! Et ce délire zoophile et pro-Bête ne choque visiblement que Véra…
 

(L’Oeil maçonnique dans le triangle…)


 

4 – L’autisme : le nouveau dieu « génial » de la Bête (exemple avec la série maçonnique Astrid et Raphaëlle et Demain Nous Appartient

Timothée qui est le seul à voir sa soeur défunte Lola


 

Tant qu’on en est à parler des délires superstitieux et spiritualistes du cartésianisme anti-catholique, on trouve actuellement une parfaite illustration de la Nouvelle Religion mondiale énergétique avec la glorification du personnage de l’autiste, présenté par les bobos comme un nouveau Maître de Sagesse incompris mais aidant les êtres humains à s’extraire de la rationalité humaine basique et surtout de tout ce qui fait notre Humanité à savoir les émotions. Eh oui : comme les libertins ne maîtrisent plus leurs pulsions et souffrent désormais massivement d’hystérie paranoïaque (l’hystérie traduit une incapacité à gérer ses émotions), ils traînent en procès l’incarnation humaine sexuée et disent que les émotions c’est le maaaal. Le personnage hermétique de l’Autiste Asperger – que l’on retrouve dans pas mal de séries actuelles comme par exemple Astrid dans Astrid et Raphaëlle sur France 2 ou bien encore Timothée dans Demain Nous Appartient sur TF1 – serait l’incarnation humaine « réussie » (mais incomprise du « méchant Monde et de la méchante Humanité ») des algorithmes robotiques, l’Autre magnifique, la victoire de l’intelligence sur la sensation/l’émotion ! (je vous rappelle que l’Antéchrist veut remplacer l’Amour par l’Intelligence). Il a même des connexions mystérieuses avec l’Au-delà et les défunts ! Et voyez l’hypocrisie schizophrène des adeptes de la Nouvelle Religion mondiale : l’Autiste n’en reste pas moins pour eux un modèle de logique, d’obéissance et de refus du spirituel ! Je vous renvoie avec insistance au lien très fort entre handicap et Nouvelle Gouvernance mondiale. Leur autiste Asperger se comporte à la fois comme un robot et un animal à l’instinct infaillible, mais ce serait ça la vraie nature humaine !
 

Les gants blancs (maçonniques) d’Astrid tenant la Boîte à chiffrer d’Henri II


 

Pour la petite histoire, la série Astrid et Raphaëlle est un monument de Franc-Maçonnerie ! Je me contenterai de relever 3 symboles clés de ça. D’abord il y a l’insistance sur la confiance en soi (la « confiance en soi » et non en Jésus est la marotte du Gouvernement Mondial luciférien, c’est la soi-disant « Pierre Philosophale » de notre « Moi Intérieur »). Dans l’épisode 1 de la saison 1 (« Hantise »), à deux reprises il en est question : « C’est très important la confiance. Sans la confiance, pas de lien. » (William, le modérateur du groupe des personnes autistes) ; « Ton talent est là. Quelque part. La seule chose que tu as à faire, c’est le trouver. Il y a une seule personne en qui tu dois toujours avoir confiance : toi, Astrid. » (le papa d’Astrid s’adressant à sa fille; on voit ici que le talent, c’est l’orgueil appelé « confiance en soi »). En deuxième lieu, il y a le gnosticisme (l’idée maçonnique que le vrai trésor n’est pas matériel mais intellectuel, invisible, est le savoir, la connaissance, l’intelligence) : « Le trésor est du savoir. Ce n’est pas de l’or. Je trouve cela merveilleux. » (Astrid). Et en 3e lieu, on trouve la présence de l’alchimie (cette prétention hermétique et maçonnique à la création de l’Homme par lui-même, à la création de l’Amour, de l’Humanité, de la Divinité et de l’immortalité, par l’Homme, par ses talents et par le processus de transmutation du plomb en or) un peu dans tous les épisodes de la série, en particulier dans l’épisode 5 « L’Esprit de Famille ». De toute façon, quasiment tous les titres des épisodes de Astrid et Raphaëlle sont francs-maçons : « L’Homme qui n’existait pas », « Chaînon manquant », « La Nuit des morts vivants », « Chambre close », etc.
 

 

5 – L’Individu mondial commence à s’enchaîner

Cette période de confinement vise à nous enchaîner de plus en plus (au sens propre du mot « chaîne »), malgré ce qu’en disent les bobos qui la voient comme un merveilleux moment de déconnection et de retour à l’Essentiel (comprendre « La Nature »). L’idée, c’est de nous faire créer des sites, des blogs, et même de notre propre chaîne télé (Goldnadel TV, Polony TV, Zemmour TV…). En gros, une vie en mode « selfie » et « télé-travail ».
 

6 – Le Coronavirus au Pérou : l’occasion d’asseoir la transidentité et l’homosexualité

Au Pérou, pays où je suis allé pour parler d’homosexualité, le président Martin Vizcarra vient de prendre une mesure bien curieuse de déconfinement conditionnel qui en apparence a l’air de respecter et d’honorer la différence des sexes, mais qui en réalité la saborde et défend en filigrane la transidentité et l’homosexualité. En effet, il autorise à partir de la semaine prochaine les hommes à sortir faire les courses uniquement les lundis/mercredis/vendredis, et les femmes les mardis/jeudis/samedis (personne le dimanche), en spécifiant bien que les personnes trans devaient être respectées dans leur ressenti. Incroyable. Quand la petite bête cache la grosse.
 

7 – Soprano, Grand Maître vénérable :

(Oh ! La belle montagne maçonnique !)


 

J’ai découvert dernièrement (oui, je sais, j’ai du « retard ») l’album « Everest » de Soprano, la nouvelle caution « diversité raciale » après Omar Sy de notre société inclusive française. Et ça m’a horrifié. Les messages diffusés sont typiquement francs-maçons, même si le chanteur s’annonce comme un défenseur des valeurs traditionnelles, et même comme un ennemi de la Franc-Maçonnerie (comme son camarade Maître Gims dans son clip « Le Prix à payer »). En réalité, c’est un carriériste qui suit bien comme il faut Lucifer. D’ailleurs, dans sa chanson « Le diable ne s’habille plus en Prada », il flingue l’Humain en disant que ce dernier fait et est « pire que Lucifer » ; et tous les concepts qu’il déroule dans l’intro de son album « Everest » (la Force, les valeurs, la famille, la chance, la fierté, l’héroïsme, etc.) sont précisément tout le jargon humaniste intégral du Gouvernement Mondial.
 

8 – Pour finir sur une note d’Espérance…

On a de multiples occasions, en ce temps de confinement, de se laisser submerger par les menaces qui grondent ou par la morosité et les conflits que cache l’oisiveté ou la suractivité du confinement. Mais je voudrais vous dire que le confinement (et encore moins les médias) ne nous fait pas voir tout ce qui s’opère dans l’Invisible. Car ne croyez pas que certains membres de l’Église (les prêtres en particulier) ne bravent pas l’interdit du confinement ou soient des petits soldats passifs du Système. Déjà, rien qu’en Italie, 70 prêtres sont morts rien qu’en prêtant assistance concrète aux malades et à leurs familles. Et de mon côté, j’en vois qui vont distribuer des repas à des sans-logis, des personnes isolées, ainsi que des sacrements. Le mal fait beaucoup de bruit mais le Bien lui se trouve davantage dans la brise légère. Donc réjouissons des fruits non du confinement mais que produit et permet Jésus même à travers le confinement.
 
 

N.B. : Articles pour compléter la réflexion : article 1, article 2, article 3, article 4, article 5, article 6, article 7, article 8, article 9).

Pendant que le Monde se déchaîne contre ses dirigeants politiques, voilà ce qui passe derrière notre dos…

 

Pendant que certains complotistes parmi nous s’évertuent en ce temps de crise à taper sur nos gouvernants en jetant la faute sur le « mauvaise gestion de la situation » et en réclamant leur démission (réaction stupide parce que le but justement de la Nouvelle Gouvernance mondiale qui a lancé ce virus, c’est précisément de flinguer les hommes politiques visibles et la politique nationale en général… et ces gouvernants du Monde entier, au lieu de s’opposer directement, vont d’abord singer une « Unité » de façade, une « Union sacrée », pour « faire bloc » face à la Bête Corona), il y en a un, l’Antéchrist, qui se frotte les mains, qui nous laisse nous écharper entre nous et couper la tête de nos dirigeants, et qui surtout met son plan de sabordage de la différence des sexes (hommes/femmes) et de la différence Créateur/créatures (Jésus et l’Église Catholique) à exécution. Et là, bizarrement, concernant ce plan, tout le monde se tait, et personne ne dénonce. Parce qu’en réalité, les complotistes, avec leur vacarme accusateur stérile, creusent leur propre tombe (en s’imaginant en plus être des rebelles insoumis ! quelle blague…). Et que pendant ce temps-là, les lois homicides passent en douce…
 

1 – Exemples de destructions actuelles de la différence des sexes :

– Promulgation récente de la loi d’interdiction des thérapies de conversion au Canada.
 

– Approbation du « mariage » homo en Andorre.
 

 

– Approbation de l’avortement (hier) en Nouvelle-Zélande.
 

 

2 – Exemples de destructions actuelles de la différence Créateur/créatures :

– Des journaux jusque-là silencieux ou areligieux – tels que Le Parisien – se sont soudain mis à tirer à boulets rouges sur le Pape François. Pourquoi là, maintenant, et comme ça « gratuitement » ? Et bien sûr, la majorité des cathos ne dénonce pas (ils préfèrent mettre des bougies bobos à leur balcon).
 


 

– Le confinement, en plus de couper les catholiques de sacrements très importants (confession, Eucharistie) et de les priver de la Semaine Sainte, est l’occasion pour certains anticléricaux de se lâcher sur les chrétiens (en France, les Assemblées évangéliques du nord-est sont accusées d’être à l’origine de la pandémie nationale) ou de créer des attentats (au Pérou, dans le quartier de Miraflores à Lima où je suis allé, une église a été attaquée il y a 2 jours au cocktail molotov !). Voilà : vous avez compris, braves gens : le vrai Corona, ce serait le christianisme.
 




 

3 – Exemples d’installation de la Nouvelle Gouvernance mondiale :


 

– Les concertations actuelles entre Poutine, Trump et Macron (c’était hier), pour nous préparer une « petite surprise », comme ils disent.
 

– La géolocalisation pour tous (donc la puce) bientôt obligatoire. (Je vous invite vraiment à lire ou à écouter mon livre Homo-Bobo-Apo, en particulier le chapitre 3).
 

 

Mais bon, si tout ça vous affole ou vous semble trop compliqué à comprendre, sachez qu’au final la situation (et ce que nous devons faire) est beaucoup plus simple : la ligne de fracture, va se situer, comme le disent saint Paul et saint Pierre, dans le choix de Jésus comme Dieu ou la mort à cause de ce même choix entier. Donc pas besoin de se faire de nœuds au cerveau. C’est Jésus-Dieu ou rien.
 
 
 

N.B. : Et ce soir, je pense qu’il y a un vrai monument télévisuel de Franc-Maçonnerie sur France 2. J’ai vu la bande-annonce de l’épisode « Hantise » de la série policière Astrid et Raphaëlle. Ils nous vantent l’alchimie maçonnique à fond les ballons… Les francs-macs ont un boulevard qui s’ouvre devant eux, boulevard d’autant plus grand que les Français et la plupart des catholiques n’y voient que du feu puisqu’ils ont méprisé le sujet…

La fausse « guerre » de Macron


 

À un moment donné, il y a/aura forcément un point de rupture (ou un choc frontal) entre le dieu « Sécurité » et le vrai Dieu catholique (Jésus, qui est l’inverse de la sécurité… même s’il n’est ni imprudent ni désobéissant civilement pour autant), entre la peur et la Foi. Et quand certains évêques et cardinaux nous disent que le confinement est un acte proche de la Charité chrétienne, d’un pieux effort de Carême, et d’une obéissance au Christ lui-même (parce qu’au fond ils prennent le président de la République pour le Christ…), ils oublient que le Christ est allé vers les lépreux et a violé les règles mondaines de l’hygiène, de la sécurité, de l’asepsie, précisément parce que sa Miséricorde et sa Charité n’étaient pas qu’humaines et raisonnables (« responsables »). L’inconscience ou la folie de Dieu est humainement scandaleuse, car Il sort des sentiers battus et passe pour un « criminel » aux yeux des sages et des savants de ce Monde.
 

 

Bref, je ne dis pas que je transgresserai la consigne de l’enfermement. Au contraire. Je me contente simplement de souligner que cette consigne, en plus de cacher un asservissement des masses et un lavage de cerveaux imposé par la Nouvelle Gouvernance mondiale qui s’installe derrière notre dos (Oh ? Tiens ? Comme par hasard, un reportage sur France 5 promouvant les « bienfaits » de la PMA-GPA ce soir… Ça alors…) n’est pas catholique, fait violence aux catholiques, fait tout pour couper les catholiques des sacrements et même de leurs devoirs d’assistance aux autres, et rentrent en quasi contradiction avec leur Foi (je dis bien « quasi » car je n’oublie pas qu’il y a dans l’obéissance civile aussi une vraie démarche de Charité : sanitairement, si je suis porteur du virus sans le savoir, mieux vaut évidemment pour la collectivité que je ne sorte pas ; de plus, le confinement reste temporaire et circonscrit à un relatif « petit temps » donc pas de quoi non plus en faire un supplice odieux et se présenter comme une victime d’une « terrible dictature »… sauf ceux qui ont perdu leur boulot ou qui vivent dans des conditions d’enfermement précaires ; enfin, pendant mon repli, rien ne m’empêche de prier, d’être présent aux autres autrement, à Jésus et aux rares personnes qui m’entourent.)
 

Mais cette Charité est loin d’être complète. Ce confinement est loin d’être saint, héroïque, charitable, comme ça nous est dit, et ce, pour les 2 points de rupture inconciliables que j’ai relevés plus haut (Sécurité/Risque d’Amour ; Peur/Foi). Et oui, je le dis sans paranoïa ni complotisme : avec ce virus et le dispositif pour l’enrayer, « on » nous entube sous couvert de nous protéger et de nous sauver ; et « on » tue plus de vies qu’on en sauve (même si évidemment/apparemment « on » en sauve et « on » nous présentera dans 45 jours la tête coupée du virus comme un magnifique trophée gagné collectivement par les efforts de chacun).
 

Ci-dessous, l’échange pertinent qui a suivi mon post Facebook :
 




 

Les caricaturistes auraient pu rajouter à la place de la bulle « Restez chez vous = vous sauvez des vies et le Monde » ^^


 

Oh ben merde : quelle grande perte… et quel grand « sacrifice »… mdr


 

Et prendre son train à Montparnasse ce matin est le nouveau « Crime contre l’Humanité » à éradiquer mdr


 

Et pendant cette période, les bobos vont avoir tout le loisir de nous abreuver de leurs récits d’ « incroyable (re-)découverte » de leur dieu « Lumière » (luciférien, en réalité) et « Nature » lol. Ça va être chouette… :
 


 
 

N.B. : Voir l’article précédent, sur le même sujet.

La sommation aux cons-finement : d’ici demain ou après-demain, quasi obligation de rester cloîtré chez soi


 

L’étau se resserre. Je n’ai aucune certitude de ce que je vais dire là, mais je crois que : pour sortir de chez soi, c’est aujourd’hui ou demain. Du moins pour la France. Après, il sera trop tard. En France, et en particulier dans les grandes villes, ils vont imposer, sous contrôle de l’armée, et sous peine d’amende, un confinement total de la population à la maison, et un contrôle minutieux de chaque habitant, en se drapant derrière le (flatteur) slogan vitaliste : « Vous êtes des héros domestiques. Rester chez soi c’est sauver des vies ! » Rien que ça… L’infantilisation et la soumission déguisées en héroïsme altruiste sauveur, en « solidarité responsable ». Tout le monde y croit…
 

Le confinement ne sera évidemment pas « total » à proprement parler, mais ultra restrictif. Ce qui donnera à la population mondiale – réduite en esclavage, au rationnement et à la survie – une maigre illusion de liberté et de sécurité (Sainte Sécurité ! Sainte Protection ! Priez pour nous !). Dès après-demain, sur le territoire national, ça risque de fonctionner comme en Italie et en Espagne : pour sortir de chez soi, il va falloir être muni d’une auto-certification, c’est-à-dire d’un document téléchargé sur le site du Ministère du pays et qui justifie la raison du déplacement. Une raison bien « animale » : manger, boire, subvenir à ses « besoins », faire ses besoins, protéger ses biens, posséder, et… surveiller sa télé. Autant dire que l’amitié, la vraie solidarité, et même la simple relation de voisinage, seront considérées comme délictueuses. Génial… Là, on n’aura plus trop envie de rigoler de la razzia sur le PQ ou le gel hydroalcoolique !
 

De mon côté, d’un point de vue purement pratique et immédiat, le cloisonnement me fait « chier » car ce régime sanitaire semi totalitaire va m’empêcher de progresser dans l’enregistrement des voix-off de mon film (étant donné que je ne pourrai plus recevoir chez moi ni me rendre chez mes « voix »). Je vais donc devoir avancer autrement, et en solitaire. Ce n’est pas le travail qui me manque. Et en soi, la conjecture internationale ne change pas grand-chose à mon rythme de travail, ne perturbe en rien mon activité (il y a longtemps que je ne dépendais plus d’aucun employeur, et que je travaillais déjà en mode « free-lance et télétravail »… mais en indépendant et pour le Seigneur). Le seul « hic », c’est quand même l’enregistrement des voix-off. Car ça, je ne peux pas le faire tout seul. Tant pis : j’avancerai sur la retranscription/traduction des autres épisodes du documentaire.
 

D’un point de vue cette fois purement personnel, bien sûr que je m’inquiète de mon état (Même si je n’ai pas de symptômes apparents, le climat de paranoïa ambiante m’en fait imaginer ressentir certains. Tout comme vous, j’imagine !). Mais je m’inquiète surtout de 3 réalités que je vois se profiler, et que j’avais déjà annoncées dans mon livre Homo-Bobo-Apo (plus que jamais d’actualité !) : 1) la disparition ou le gel de l’argent en banque ; 2) la virtualisation de l’argent mondial qui va devenir cryptomonnaies… ce qui veut dire « la puce électronique subcutanée imposée à tous » (la Marque de la Bête de l’Apocalypse) au nom du « Bien commun » et même de la « Charité chrétienne » ; 3) l’instauration d’un Gouvernement Mondial antéchristique.
 

D’un point de vue enfin spirituel et religieux, je me dis aussi que Satan, avec ce surgissement « impromptu » du Coronavirus, a bien réussi son coup. Il est parvenu à nous couper des sacrements et de Jésus-Eucharistie en un rien de temps, en faisant passer ce renoncement/abandon pour un « douloureux mais magnifique effort de Carême » et un « merveilleux acte de Charité fraternelle » au nom du « Bien commun » ! Chapeau ! Il n’y a qu’à lire la lettre d’il y a 3 jours du très franc-mac archevêque de Paris Mgr Aupetit pour se rendre compte de la collaboration-lâcheté de la plupart des chefs de l’Église en France, dans ce coup de maître ! Dans cette missive cardinalice, le Sacrifice du Christ (l’Eucharistie) est remplacé par le sacrifice du Sacrifice, c’est-à-dire la privation-renoncement de ce Dernier (un comble ! et une totale inversion des valeurs… : je rappelle que le Carême c’est se priver du superflu, et non de l’Essentiel qu’est Jésus) ; la Communion est discrètement remplacée par la communion avec un petit « c », c’est-à-dire l’ « unité nationale » et un communisme international sécuritaire ; la Vérité est remplacée par l’humanisme intégral, la solidarité, la sécurité et le « Bien commun » (ce dernier étant un concept particulièrement antéchristique). Merci Mgr Aupetit de nous avoir fait passer le renoncement aux sacrements pour un « devoir chrétien » et finalement pour un… sacrement ! Quasiment tous les cathos gobent votre contrefaçon « oblative ».
 

Pour conclure, voici mon humble avis : que ceux qui voient dans la « pandémie » du Coronavirus une Apocalypse finale, la Tribulation et l’Épreuve ultime, se détrompent. Elle constitue « juste » un gentil apéritif – ou l’alibi pratique – pour l’établissement d’une dictature mondiale sans précédent et qui s’annonce comme « providentielle et indispensable », pour isoler/contrôler chaque individu, et surtout pour isoler l’Église.
 

Mais avant tout, cette peste n’est qu’une tribulation terrestre parmi tant d’autres qui vont lui succéder (catastrophes naturelles, écologiques, conflits armés entre les Peuples, persécutions des chrétiens, etc. : les 10 plaies d’Égypte remasterisées). Pour moi, ce n’est pas la Fin avec un « F » majuscule. La Fin avec un « F » majuscule sera bien plus spectaculaire que cette déjà impressionnante crise sanitaire mondiale programmée, puisque ce sera non seulement la Terre qui sera ébranlée mais surtout le ciel (…et nos coeurs, par la même occasion). C’est dans le ciel que ça va être le bordel ! N’oublions jamais que nous avons avant tout affaire à une guerre spirituelle, surnaturelle, invisible, cosmique, angélique (entre la petite armée de Lucifer et la grande armée des anges de Jésus). Elle n’est pas prioritairement humaine et terrestre, même si notre liberté humaine et notre incarnation sont sollicitées et impliquées.

 

N.B. : Voir l’article suivant sur le même sujet.