Du mal (mâle) avec l’hystérie féminine

chieuse
 

S’il y a bien quelque chose qui passe mal avec moi, avec lequel je me montre particulièrement intransigeant, c’est bien l’hystérie féminine. Hystérie qui se traduit en général par le caprice, le chantage aux sentiments, la justification émotionnelle et relativiste du « moindre mal », la paranoïa, la possessivité, la manipulation psychologique, la minauderie, les coups d’éclat, les bavardages incessants, le mensonge : elle défend d’ailleurs – en bonne maman gay friendly – l’Union Civile, l’« amour homo », l’homosexualité de son fils ou de sa fille, les thèses féministes agressives ou New Age, les divorces, les attaques contre l’Église catholique jugée comme une institution « archaïque », le qu’en dira-t-on et les peurs sociales, la politique du non-dit et de l’autruche, la « liberté » et le « progrès » et la « confiance en soi », etc. Cette hystérie, même si elle ne se base jamais sur des faits, même si elle ne recherche pas la Vérité et ne lit absolument pas ce que j’écris, trouve en général que ce que dit sur l’homosexualité et les réseaux sociaux serait « trop dur » et « négaticcce » (… alors qu’en réalité, c’est elle qui est trop molle et de mauvaise foi). Elle n’intervient que pour chier sur mon mur la puanteur de son relativisme. Elle flique et justifie tous les faits par la bonne intention, sans parler des faits en question en plus. Elle présente la Vérité comme une « Méchante » et La dissocie totalement de la Vérité, par un chantage aux sentiments qui se donne en plus l’apparence de la défense des plus faibles. Oui, j’avoue, cette forme d’orgueil qui gagne les femmes dépressives et de mauvaise foi, qui tente de m’empêcher de parler et d’être un homme, qui veut marchander la Vérité au profit des bonnes intentions, m’horripile. Sans m’emporter pour autant, j’ai décidé de ne pas lui faire de cadeau. Ce n’est pas les grognasses qui vont faire la Loi. Non mais !
 

Alors je vous rassure : plein de femmes non-révoltées et soumises échappent à ce tableau peu idyllique et je trouve chez beaucoup d’entre elles un véritable soutien amical et spirituel. Je n’ai rien contre les femmes en général, bien évidemment. Et je rends grâce à Dieu, et surtout à ma maman (maintenant décédée depuis quasiment 2 ans), de m’avoir transmis ce dégoût pour les bonnes intentions déconnectées de la Vérité, ce dégoût pour le caprice et les faux-semblants féminins. Je parle de ma maman car par son parcours de conversion incroyable, j’ai compris que Dieu avait sauvé toute ma famille du divorce, de la mauvaise herbe de l’hystérie, du naufrage. Grâce à la foi incroyable de mes deux parents unis. Maman est passée en l’espace de 20 ans de la révolte capricieuse féminine – qui s’appelle « dépression » en clair – à une obéissance courageuse, adulte et forte. J’ai été témoin, dès ma naissance, de la métamorphose de la gamine capricieuse en sainte. J’ai vu la lâcheté qui devient combat, l’orgueil qui devient sainteté, la révolte qui devient soumission, la bouderie qui devient joie, la timidité qui devient audace, la mollesse qui devient force. Et c’est en partie grâce à maman si j’aime autant la Foi, si j’aime autant la Vérité, si je La veille jalousement. Elle m’a enseigné l’obéissance, le respect de mon papa et de Dieu.