La propagande ahurissante et censurante des Kiss Cams en faveur d’une homosexualité qui ne dira pas son nom mais qui s’imposera à tous


 

À présent, « l’amour homosexuel » est promu comme un « amour sans étiquette », qui ne s’appelle plus homo, un amour qui ne doit plus être nommé, mais qui tacitement doit être à tout prix montré à tous, y compris aux plus fragiles. Le nommer et l’expliquer sera bientôt puni légalement, et est déjà qualifié de discriminant. Il est aligné sur les autres « amours » (couples mixtes et interraciaux, amour parental ou filial, couples interreligieux, amour des personnes handicapées, amour des personnages fictifs, amitiés, etc.). Derrière cette injonction à la diversité, à la liberté et à l’anti-norme, il y a en réalité une censure faite à l’étude et à l’énonciation de l’homosexualité, une fausse improvisation (car ces vidéos sont des montages avec des figurants triés sur le volet et pas du tout pris par surprise), une manipulation de masse, une intrusion dans la vie des gens (sauf que cette surveillance intrusive qui enferme les gens dans des cœurs prend la forme de l’amour universel, de la selfie narcissique flatteuse, du clip bobo émouvant), une dilution des lois et des limites de l’Amour vrai (à commencer par la plus importante : la différence des sexes ; et en finissant par Jésus et Marie). Ces vidéos prônent un amour désincarné, prônent l’homicide et le déicide. Au nom de « l’amour » (angéliste et squelettique). Alors par pitié, n’applaudissez pas.