Ce qui va être « chaud » pour mon essai traitant de la « Singularité en tant que Marque de la Bête », c’est d’aborder en conclusion le grand danger que constitue le/une certaine idée du Christ, le Christ-Énergie moniste ou « Christ cosmique » théorisé par le jésuite Teilhard de Chardin (qui a d’ailleurs, comme par hasard, écrit « Les Singularités de l’espèce humaine » en 1954). Car même si Jésus est la seule Singularité qui vaille, que nous devons suivre et défendre, il ne va pas falloir, pendant cette « christomania » qui va envahir toute l’Humanité à la Fin des Temps sous le règne de l’Antéchrist (y compris les Juifs et les Musulmans s’y mettront : on va revivre mondialement les Rameaux, l’entrée de Jésus à Jérusalem; et presque tous les êtres humains vont se revendiquer « chrétiens » et fans du « Christ »!), se tromper de Christ. Il ne va pas falloir se méprendre sur qui Il est. Non, Jésus n’est pas une Force physique et énergétique toute-puissante et éclatante, qui s’imposerait : il n’est qu’une force (d’Amour) fragile, vulnérable et misérable, qui nous laisse libres de le choisir ou non.