Mgr Lebrun organise à Rouen la veillée contre l’homophobie et applaudit des deux mains « l’amour » homo


 

J’avais senti le coup venir. Ce soir, à Rouen, était organisée une veillée de prière contre l’homophobie à l’église saint Sever. J’ai des amis qui étaient présents pour me rapporter ce qui s’y est dit. Eux qui ne sont pourtant pas d’un naturel peureux ni paranoïaque ont été quand même affolés des discours entendus et du virage qui se vit dans l’Église actuellement : « On n’est pas dans la merde… » ont-ils conclu. O.K. les mecs… Je ne me sens pas du tout seul.

 

Tenez-vous bien : l’évêque, Mgr Lebrun, était présent. Je tiens à préciser au passage que c’est parce que j’avais dénoncé auprès des éditions Téqui (qui m’avaient commandé initialement mon livre Homo-Bobo-Apo) le cardinal Sarah et Mgr Lebrun comme faisant partie de la Franc-Maçonnerie (rien qu’en entendant le discours du second à la commémoration de la mort du père Hamel, j’avais compris), que j’avais perdu mes chances de publication chez elles. L’éditeur m’avait pris pour un fou et me disait qu’il connaissait très bien Mgr Lebrun, et qu’il n’avait « rien d’un franc-maçon »… Ce soir, les faits me donnent pourtant encore plus raison. C’est même cet évêque qui, à l’issue du temps de prière, a lancé la salve d’applaudissements finaux.

 

Alors la soirée était organisée par la « pastorale des personnes homosexuelles et leur famille » (autrement dit, pas d’association clairement identifiable… même si, sur le site du diocèse, une gentille description est faite du Refuge). De plus, l’angle de l’accompagnement, de « l’accueil » et de la lutte contre les discriminations, permet de faire facilement l’économie du traitement de l’homosexualité, du jugement de « l’amour » homo, et de la définition de l’homophobie. Et effectivement, rien, ce soir, n’a été dit sur ces sujets. Les organisateurs sont restés très évasifs, dans l’émotionnel, le compassionnel, et l’illusion de piété. Il y a eu le témoignage public d’un homme homo pacsé, qui vit avec un homme athée (et lui s’est annoncé « chrétien » mais ne va plus à la messe), et d’autres témoignages de personnes qui prétendaient se sentir incomprises et rejetées par leur propre Église. Tout était fait pour nous victimiser, nous personnes homos, et pour que les catholiques (laïcs et ecclésiastiques) s’auto-culpabilisent, jouent les écoutants formulant pieusement leur mea culpa face à la « fermeture » de leur Église à l’égard de la communauté homo. L’évêque non seulement ne s’est pas positionné sur la pratique homo, mais en plus, il a cautionné cette prise de parole et cette soirée en se taisant et en applaudissant. Hallucinant. Et personne ne le dénoncera de peur de perdre sa carrière ecclésiastique ou ses entrées dans le diocèse de Rouen.

 

Mes amis, à la fin de la veillée, sont restés discuter avec quelques personnes présentes à l’événement : les discours tournaient surtout autour de la notion de « tolérance » (comme par hasard). Quand ils leur ont demandé des détails concernant l’enseignement de l’Église sur l’homosexualité, elles se sont contentées de dire que « ça allait changer »… Par exemple, certaines présentaient même Pierre Berger comme un héros, qui était « courageux » et « avait ses combats ». Époustouflant !
 

 

Je peux vous montrer la feuille de chant où était inscrit le programme de cette veillée, pour que vous ne me preniez pas pour un mytho. Ce que je préfère, c’est quand même la « prière de Marie qui fait tomber les murs » looool : un best-of de Franc-Maçonnerie ! Les 3 lexiques de la FM y sont lisibles : lumière-textile, architecture et humanisme intégral. Je vous la cite pour que vous compreniez, en mettant en majuscules les mots les plus saillants à ce sujet : « Ô Marie, très sainte Mère de Dieu, nous vous invoquons comme Mère de l’Église, Mère de tous les chrétiens souffrants. Nous Vous supplions, par Votre ARDENTE intercession, de faire tomber ce MUR, les MURS DE NOS cœurs, et tous les MURS qui génèrent haine, violence, peur et indifférence, entre les HOMMES et entre les PEUPLES. Vous qui par Votre Fiat avez écrasé l’antique SERPENT, RASSEMBLEZ-nous et UNISSEZ-nous sous votre MANTEAU virginal, PROTÉGEZ-nous de tout mal, et OUVREZ à jamais dans nos VIES la PORTE de l’ESPÉRANCE. Faites naître en nous et en ce MONDE, la CIVILISATION de l’AMOUR jaillissant de la Croix et de la Résurrection de Votre Divin Fils, Jésus-Christ, notre Sauveur, qui vit et règne pour les siècles des siècles. Amen. » Le tout suivi par le chant « Regarde l’ÉTOILE ». (N.B. : Je vous promets que si vous chantez ce chant odieux à mon enterrement, je ressuscite exprès d’entre les morts et je me lèverai de mon cercueil pour vous hurler VOS GUEULES !!)
 

 

Le renoncement à la respectabilité


 

Je crois que le véritable disciple de Jésus, c’est celui qui a renoncé à la respectabilité (sans pour autant se rendre détestable ni perdre sa bonté). Comme il se refuse à rentrer dans les séductions de la diplomatie mondaine et les circuits de la bienséance, comme il ne s’étend pas en salamalecs, comme il a renoncé à toute perspective de carrière, il peut apparaître aux yeux des bien-pensants comme un malotru manquant de Charité, un « pas commode », et même comme un opposant à son Maître. Mais pourtant, c’est lui qui le suit le mieux.

Quand Koz Toujours joue les dramas gays friendly

 

Qu’est-ce qui me fait dire que Koz Toujours (Erwan Le Morhedec) joue en ce moment les « gays friendly », défend l’ « amour » homo, l’Union Civile et le « mariage gay », en faisant croire qu’il s’engage, qu’il est courageux et qu’il se situe dans une démarche papale (puisque le Pape François a reçu Marin, le jeune homme agressé pour avoir pris la défense d’un « couple » homo) ? C’est précisément qu’il ne nomme pas ce qu’il connaît (car il sait pertinemment que Marin est venu secourir deux hommes ensemble ; et sciemment, Koz tait cette information : or, comme dit l’adage, « qui ne dit mot consent »). Ce sont l’imprécision et l’omission (ô quel « courage »…) de son article. C’est que Koz feint de traiter d’homosexualité sans la nommer. C’est qu’il attribue, l’air de rien, le terme « couple » à une union homosexuelle. C’est que, par son emploi des termes « amour » ou « fraternité » qui brillent par leur duplicité (Koz suit docilement la feuille de route de la Conférence des Évêques de France, qui se met à parler de « fraternité » à tout bout de champ), il ne prend pas la peine de dissocier « l’amour » qui aurait stimulé l’interposition, du soi-disant « amour » défendu. Et cette confusion est recherchée.
 

L’article de Koz Toujours est un bel exemple de cette homophobie gay friendly, et de la compromission de ce journaliste avec le sentimentalisme pro-homos qui a fait passer le « mariage gay ». Ce petit faux-cul nous parle de « risque », mais concrètement, il n’est même pas prêt à prendre le risque de prononcer l’adjectif « homosexuel ».
 

Personne ne dénoncera la lâcheté, l’hypocrisie et l’ambiguïté du positionnement de cet homme. Personne ne dénoncera la duplicité du journal La Vie par rapport à l’homosexualité (Jean-Pierre Denis, son chef, ne cache pas qu’il croit en « l’amour » homo). Mais moi, je le fais. Avec de pareils leaders d’opinion, on est vraiment mal barrés pour voir à l’avenir des prises de parole courageuses et vraies. D’autant plus que ces bobos cathos sont applaudis par une large part de la cathosphère.
 

Entre parenthèses, je me garderai d’être aussi catégorique et sévère concernant l’accueil que le Pape François a réservé à Marin en avril dernier (car je ne sais pas ce qui habite son coeur ni ce qui a motivé leur rencontre), même si je trouve que l’implicite concernant un sujet (l’homosexualité) qui ne le mérite pas du tout, est maladroit, imprudent, voire malvenu de la part du Saint Père, et que finalement le Pape a peut-être fait preuve d’une démagogie similaire à celle de Koz Toujours. C’est fort probable. Mais je ne peux rien assurer.
 

Ci-dessous, le pamphlet « gay friendly » émouvant (… et surtout narcissique !) d’Erwan Le Morhedec :
 

 

1er entretien-vidéo avec Nathalie Cardon sur la visite maçonnique de Macron aux Bernardins (avril 2018)

Fruit de mon dernier voyage et tournage à Lourdes, voici la première vidéo (d’une série de 15 entretiens) avec la journaliste et amie Nathalie Cardon, sur les thèmes les plus tabous du moment : ici, nous revenons sur la visite de Macron aux Bernardins, et sur la massive compromission des catholiques avec la Franc-Maçonnerie.
 

 

Vous retrouverez l’article associé sur ce lien.
 

N’hésitez pas à partager cette vidéo, non seulement parce qu’elle a demandé énormément de travail, mais surtout parce qu’elle est claire et peut aider bien des gens, notamment nos évêques et cardinaux. Vous êtes notre seul pub (car vous pensez bien que les médias « chrétiens » n’en parleront jamais).
 

Je compte sur vous pour la relayer, et si besoin, pour vous abonner à la chaîne YouTube, afin d’être alertés pour la sortie des autres vidéos
 

Vous pouvez aussi retrouver cette vidéo par écrit, sur le lien suivant, ainsi que les autres vidéos lourdaises : vidéo 1 sur Macron aux Bernardins, vidéo 2 sur La Manif Pour Tous, vidéo 3 sur la transidentité, vidéo 4 sur la bisexualité, vidéo 5 sur Demain Nous Appartient, vidéo 6 sur les établissements scolaires, vidéo 7 sur les groupes pastoraux d’accompagnement, vidéo 8 sur Mylène Farmer et la Bête, la vidéo 9 sur le Synode des jeunes, la vidéo 10 sur la Bête Hétérosexualité, la vidéo 11 sur la Bataille d’Armageddon, la vidéo 12 sur l’émission The Voice, la vidéo 13 sur la Réacosphère (1ère partie ; 2e partie) ; la vidéo 14 sur l’homosexualité priorité niée; et la vidéo 15 sur la Honte.
 

Bonne Ascension à chacun de vous!

Le prieur du Barroux perd son sang-froid avec Thérèse Hargot

 

Je rajoute à mon article celui qui l’a précédé, par rapport au livre d’Arthur Herlin, Thérèse Hargot et Mgr Gobilliard Aime, et ce que tu veux, fais-le !. Ci-dessous, je cite la critique incendiaire du Père Louis, prieur de l’abbaye du Barroux, à l’égard de cet ouvrage, et commenterai ensuite cette réaction.

 

« Thérèse Hargot, ça suffit !

Aime, et ce que tu veux, fais-le ! C’est le titre du livre paru en avril 2018, écrit à deux voix par Mgr Emmanuel Gobilliard et la sexologue Thérèse Hargot, où les auteurs répondent aux questions du journaliste Arthur Herlin. Le sous-titre du livre, Regards croisés sur l’Église et la sexualité, laisse espérer que l’éclairage d’une professionnelle vienne opportunément compléter et soutenir sur le plan scientifique et humain la parole d’un pasteur de l’Église en matière de sexualité.

Hélas !, après avoir lu les propos lumineux de Mgr Gobilliard, je crains que les lecteurs tombent de haut en découvrant ceux de T. Hargot : « Heureusement que vous avez la masturbation ! répond-elle à des religieuses, c’est le seul moment où votre corps est touché, vos pulsions évacuées, votre sexe considéré » (p.79). Même si elle précise qu’elle dit cela « pour provoquer », cette provocation est insupportable, laissant entendre que la masturbation pourrait être facteur d’équilibre ! On ne voit pas que Mgr Gobilliard ait eu la possibilité de répondre à cette affirmation honteuse. Et on pourrait citer bien d’autres passages lamentables, comme : « l’Église est mal à l’aise pour parler de sexualité à ses consacrés » (p.27), et : « À force de maladresses, on aurait plutôt envie qu’elle se taise ! Elle a trop dit, mal dit. Ras-le-bol (…) Pour qu’elle cesse d’apparaître comme “donneuse de leçons”, il y a donc deux options aujourd’hui : soit l’Église décide de se taire sur ces sujets, soit elle décide de se former. Par pitié, qu’elle se forme ! » (p. 32 à 35).

Mais pour qui se prend-elle, cette jeune sexologue qui a à peine dix années d’expérience, pour faire elle-même la leçon à l’Église ? Certes, le jansénisme a laissé des blessures durables, mais le magistère récent a admirablement parlé de la sexualité. Quant aux Pères de l’Église et aux auteurs du Moyen-Âge, c’est avec une très grande liberté qu’ils ont commenté les images érotiques audacieuses de la Bible. Par pitié, qu’elle se forme, Thérèse, avant de salir l’Église en rapportant des propos de consultations avec quelques prêtres et religieuses ayant des difficultés avec la chasteté ! C’est un peu facile de ridiculiser ainsi les consacrés et de faire ricaner toute la galerie, en laissant croire que tous ceux qui vivent le célibat consacré sont des refoulés sexuels plus ou moins déséquilibrés. Et vous, Thérèse, parlez-vous avec justesse aux consacrés en leur suggérant la masturbation ? Et aux jeunes, n’avez-vous jamais “trop dit” ou “mal dit”, en utilisant un langage encore plus “trash” qu’eux ? Or, ce sujet exigerait tellement de tact et de délicatesse ! Ils en attendent une parole, certes, simple et directe, mais surtout, belle et attirante. Ne sont-ils pas déjà saturés, par ailleurs, d’une sexualité banalisée et écœurante à force d’être vidée de son mystère et rabaissée à une simple technique de jouissance ?

C’est sympathique de voir une jeune sexologue avoir l’audace d’affirmer que « la contraception est le plus grand scandale du siècle » et dénoncer vigoureusement les dégâts de la pornographie avec des réparties vives et pleines de bon sens. Toutefois, sa vision purement horizontale et écologique de la sexualité, déconnectée du don total de soi, n’est ni chrétienne ni humaine ! Quelle image de la féminité offre-t-on à nos jeunes en leur faisant écouter cette sexologue au style provocateur et au ton arrogant ? Qu’est ce donc que les catholiques en attendent pour aider leurs enfants à admirer et à respecter le mystère de l’amour et de la vie ? Saint Jean-Paul II nous a laissé une magnifique théologie du corps, dont nous sommes loin d’avoir tiré toutes les richesses… théologie du corps que T. Hargot a eu l’odieuse prétention de critiquer, en prétendant sur son blog qu’elle « pouvait avoir les mêmes effets désastreux que la pornographie sur la sexualité », l’une idéalisant la sexualité par le haut, et l’autre par le bas ! Stop ! Trop, c’est trop ! Qu’elle se taise, elle aussi ! »

Père Louis, prieur de l’abbaye du Barroux
 

Mon avis : Je trouve que ça balance dur… et par toujours bien. J’en pense que cet article est à la fois mérité mais trop peu proposant et argumenté. Les moines du Barroux (ou plutôt celui qui les représente) identifient intuitivement un problème réel… mais ne donnent pas les arguments pour en sortir. Ils sont dans la réaction (défensive), l’indignation (bien compréhensible), mais très peu dans la réflexion et l’identification du problème. Rappeler la Théologie du Corps de Jean-Paul II, ou encore l’épanouissement du célibat consacré, c’est un peu maigre. Ils ne nomment pas le mal car ils ne l’ont pas identifié – l’hétérosexualité -… ce qui ne leur enlève en rien le mérite d’avoir réagi, car un livre pareil doit être dénoncé. Par ailleurs, ils restent également cantonnés à un cléricalisme qui les aveugle, étant donné qu’ils tapent sur Thérèse Hargot pour mieux auréoler Mgr Gobilliard et son statut ecclésiastique … alors que c’est quasi bonnet blanc et blanc bonnet. Bref, pour moi, ça sent chez eux la susceptibilité puritaine et la déférence mondaine. À mon avis, le prieur a perdu son sang-froid et a manqué de discernement car il n’a dénoncé que la moitié des coupables du forfait.

Film « Paul, l’Apôtre du Christ » : MERCI SEIGNEUR de m’avoir fait naître en France (et pas aux États-Unis) et épargne-moi de devenir protestant !


 

Je reviens juste d’aller voir le film « Paul, Apostle Of Christ » (« Paul, Apôtre du Christ ») d’Andrew Hyatt, avec une amie. Une seule louange m’est montée aux lèvres à la bande-annonce finale : MERCI SEIGNEUR d’être né en France (et pas aux États-Unis) et MERCI SEIGNEUR de ne pas être protestant (…et garde-moi de le devenir jusqu’à la fin de mes jours!) !

 

Il paraît pourtant que ce film est moins cata que « Marie-Madeleine ». Mais en deux mots : que le traitement de l’histoire biblique par les évangéliques n’est pas subtil ! Il faut toujours qu’ils sur-esthétisent tout, cloisonnent Dieu dans la pleurniche, la sensation (exemple : le baptême de saint Paul et son ressenti aquatique d’immersion = ridicule), l’efficacité (exemple : le miracle physique effectif), le support papier (le « Sola Scriptura »= l’insistance qui est faite sur les manuscrits et les impressions est flagrante), la Foi et la Grâce (et leurs effets sensibles), le manichéisme (les méchants Romains et l’ignoble Néron, les clairs-obscurs), la bonne intention (le pardon, l’amour, le sacrifice de sa vie), etc. Tout est extériorisé, folklorisé (même la personne de Paul devient un folklore nostalgique), désincarné. Il n’y a quasiment pas d’intériorité spirituelle (même si on nous en montre tous les signes extérieurs). Quelle misère. Quelle beaufitude, même. Isaline, l’amie avec qui j’étais, a bien synthétisé ma pensée : « Ils ont un problème avec la simplicité. »

 

En plus, « Paul Apôtre du Christ » est le film bobo dans toute sa splendeur (il y a du blanc, des bougies, des torches, des rayons de soleil, de la verdure, du slow-motion, à toutes les scènes : sérieux, les gars, arrêtez deux secondes, grandissez dans votre Foi).

 

Je le dis comme je le pense : le protestantisme (pas les protestants en tant que personnes, bien évidemment) est une véritable maladie. Une maladie spirituelle. Et elle s’appelle l’illuminisme. Ses adeptes ne se voient pas idolâtres ni fétichistes, alors qu’en réalité, ils sont hyper matérialistes et attachés au paraître, à l’esthétisme, à l’émotionnel, aux images. D’ailleurs, dans le film, il y a du sang, mais très peu de chair, très peu d’Incarnation (j’en tiens pour preuve que Jésus n’y a pas de corps ni de visage). Il n’y a pas davantage de sainteté : comme les protestants ne reconnaissent pas la Communion des saints, saint Paul est transformé en simple grand prophète, en messager, en secrétaire, en scribe (et saint Luc en attaché de presse de saint Paul), et à l’extrême inverse en gourou-témoin (et saint Luc en mini-Jésus) ; même dans le titre du film, on voit leur mauvaise foi jusqu’au bout et leur peur/haine de la sainteté puisqu’ils enlèvent à saint Paul son titre de « saint ». Bref, un immense gâchis, car saint Paul a tellement de choses à nous dire aujourd’hui sur notre péché à l’intérieur de l’Église et de notre coeur !
 

Et ne comptez pas sur nos médiocres médias « catholiques » français pour vous le transmettre, ou pour nous offrir un regard critique digne de ce nom (Aleteia, par exemple, a adoré le film : c’est normal, ses « journalistes » sont tellement protestantisés et boboïsés dès le départ qu’ils ne pouvaient que manger le foin « christique » qui leur est distribué par Hollywood…). Dans quelle époque de fou nous rentrons, où même les chrétiens perdent la boule…

Nouvelle confirmation que l’homosexualité est la compagne de la Bête

Non, je ne me trompe pas quand je dis que la Bête (ou le monstre) est la compagne de l’homosexualité, et qu’elle s’appelle l’hétérosexualité. À l’instant, je découvre la bande-annonce d’une film traitant de l’homosexualité, défendant la pratique homo, et pourtant la mélangeant à la Bête : le film « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn. Je ne le fais pas exprès.
 

 

(cf. mon article « L’Hétérosexualité est la Bête de l’Apocalypse »)

Blague de l’année : Koz Toujours prétend « mettre le bazar »


 

De la part de l’intellectuel « catholique » le plus conventionnel et carriériste qui soit, qui défend l’Union Civile, qui ne dénonce pas l’hétérosexualité (voire même qui la défend, alors qu’elle est le diable déguisé en différence des sexes, car en réalité il croit secrètement en « l’amour » homo), qui ne prend jamais position sur les sujets vraiment polémiques (être contre l’euthanasie ou l’avortement, défendre les migrants et l’écologie, dénoncer les « identitaires », tout catholique peut et doit le faire, et c’est un minimum : c’est enfoncer des portes ouvertes), qui est l’incarnation de la tiédeur journalistique et de l’esbroufe euphémisante (franc-maçonne à la sauce « catholicisme pondéré »), qui est le roi de l’absence de prise de risques et le maître du boboïsme de la droite « Sens Commun » embourgeoisée, vraiment ça fait marrer de le voir déclarer « Mettez le bazar » ! Il représente au contraire l’ordre pharisien aux antipodes du risque de la Vérité qu’est Jésus.

Un documentaire sur la Prophétie des Papes, à voir

 

À voir absolument. Un documentaire sur la Prophétie des Papes, annonçant le Pape François comme le dernier pape avant la Fin des Temps : https://youtu.be/PAiYCM9ZpRo. je vous le conseille chaudement, en espérant que vous allez le regarder jusqu’au bout (une date est lancée : 2027 ; un Pape à la « tête noire » – l’Antéchrist ? – est également décrit après François).
 

Plusieurs éléments me démontrent que ce reportage sort du lot par rapport à beaucoup d’autres documentaires apocalyptiques sensationnalistes présents sur Youtube, et qu’il s’illustre par sa prudence et son sérieux : le respect du Concile Vatican II, le respect également de tous les papes de l’Église Catholique, les témoignages de personnalités crédibles du Vatican (excepté l’abbé de la Morandais) et d’experts solides.
 

Alors en regardant ce documentaire, essayez de faire abstraction de l’epic music à la « Seigneur des Anneaux », des effets d’annonce catastrophistes visant à créer un faux suspens (l’Apocalypse doit être comprise comme une Bonne Nouvelle et une fête, pas un scénario catastrophe), de la construction narrative façon « enquête policière » du reportage. Et vous verrez qu’on trouve plein de choses vraies (que j’avais écrites dans mon livre Homo-Bobo-Apo dans le 3e chapitre… même si je ne me suis pas risqué à poser une date : j’ai juste posé une fourchette de 20 ans grand max).
 
 

P.S. : Rien à voir (enfin, j’espère lol), mais je remercie déjà d’avance tous ceux qui m’ont fêté mon anniversaire ou bien ma fête. Il se trouve que vous pouvez me fêter les deux. Je suis né, sans que mes parents ne le calculent comme ça, le jour de ma fête (la saint Philippe) : le Seigneur fait bien les choses !

Erwann Binet, escroc !


 

« Avec le mariage pour tous, nous n’avons rien ôté à personne. » Ils se foutent du monde ? Ils ont enlevé la primauté de la différence des sexes dans l’identité, le mariage et la procréation humaines ; et ils ont surtout enlevé la protection et la défense de l’amour entre les deux parents biologiques de tout enfant dans les textes de loi nationaux (suppression symbolique qui a des conséquences concrètes sur la filiation puisqu’elle légalise la multiplication ET la suppression des « parents » des enfants, suppression qui par conséquent transforme concrètement le « mariage gay » en trafic de parents, d’enfants, et même avant toute chose de personnes homosexuelles). Mais à part ça, ça « n’enlève rien » ! Lui et ses idéologues prétendent que « ça n’a rien changé » (ça montre le présupposé mensonger de base et annonce bien la « profondeur » du débat !) Erwann Binet = ESCROC ! Et il ose se dire de « gauche »?? Ce n’est pas la gauche que j’aime. Et ce n’est pas non plus de sa part un véritable amour de nous, personnes homos. Il nous a instrumentalisés à des fins carriéristes, même si peu de mes frères le verront !