Les catholiques acceptent massivement la Marque de la Bête (c.f. la bande-annonce du film « Sacré-Coeur » de Steven Gunnell)

Voilà : en une bande-annonce, vous trouvez la preuve que les catholiques vont massivement accepter la Marque de la Bête, et au nom de Jésus, en plus, puisqu’ils l’appellent « Jésus »! Vous avez tout ce que je dénonce dans SINGULARITY IS DEVIL : le Jésus « Énergie », la mention de la singularité, la mention de la marque, la mention de la bête « curieuse », et tous les marchands du Temple actuel (Steven Gunnell, Vinz le mariachi, les Guetteurs, le frère Paul-Adrien…). Happy Fin des Temps! Pour ceux qui sont en mesure de comprendre (… donc pas grand monde…).
 

 

Et comme je ne délire pas, ce matin, sur Europe 1, au micro de Pascal Praud, le film « Sacré-Coeur » est décrit littéralement comme « un projet hybride et très singulier » (Olivier Ben Kemoun). Regardez en images. En présence du réalisateur. On dirait qu’ils le font exprès… mais nan.
 

 
 
 
RETOUR DE VISIONNAGE
 

Je suis allé voir le documentaire « Sacré-Cœur » de Steven Gunnell au cinéma. Je sentais que c’était une merde émotionnaliste et énergétiste (le Jésus « Énergie » des protestants) dont les adeptes « cathos » n’applaudissent que le thème (Jésus) et l’intention (évangéliser, se sentir aimé d’un amour « inconditionnel », etc.) au lieu d’en juger le contenu. Et ce fut le cas.
 

En résumé : 1) Jésus transformé en énergie et en Marque de la Bête numérique nommée « Sacré Cœur » ; 2) Jésus-doudou, à qui on fait un câlin (plus de distance de chasteté) ; 3) les pécheurs non-repentis sont totalement exclus du film et de l’Amour soi-disant « inconditionnel » de Dieu (par exemple, exit les deux larrons crucifiés à côté de Jésus ! Et le Salut est – comme chez les protestants – conditionné au mérite, au sacrement et à la conversion, est réservé aux victimes. Les autres: tintin!) ; 4) Et enfin, sponsorisation marchande de Paray-le-Monial (honnêtement, tel que c’est devenu, je vous déconseille d’y aller), récupération politique et viriliste du Sacré-Coeur.
 

Je n’ai pas le temps de développer mon analyse du film (j’ai pourtant noirci 8 pages de notes pendant la projection). Et, de toute façon, je vais m’appuyer sur mon prochain essai sur la « Singularité en tant que Marque de la Bête » pour reparler de « Sacré-Coeur » et de son lien avec cette singularité.