Bientôt la puce pour tous au nom du Coronavirus (la petite pour éviter la « grande » !)

« Moi Moche et Méchant » diffusé hier soir sur TF1. On s’occupe de vous pucer pour votre sécurité, braves confinés, soyez sans crainte c’est 100 % naturel…


 
N.B. : Article-complément.
 

Voilà : à cause du Coronavirus, la Gouvernance Mondiale rend le téléphone portable – donc la puce électronique – obligatoire pour tous. Pour Tous nous tracer et rendre public notre état viral. Comme à Taïwan. On va – selon leurs plans – tous être marqués (de la Marque de la Bête). Ce n’est pas encore la puce subcutanée dans la main ou le front, mais on s’en approche. J’ai vu un reportage hier soir au Journal Télévisé de TF1 présentant la géolocalisation publique de manière avantageuse et « temporaire ». Et montrant les sceptiques ou les inquiets se détendre face à ce traçage massif sécurisant. Le Monde se prépare massivement, au nom d’un virus, à porter la Marque de ce dernier. Effrayant de simplicité. Et ceux qui refuseront vont passer pour de dangereux criminels.
 

Selon eux, le virus serait une bénédiction, un antidote, la Bête finalement « gentille »


 

Par ailleurs, dans les articles et discours dominant, je constate une complète inversion des valeurs : de plus en plus de gens (y compris les catholiques) voient dans la Bête (le Coronavirus) une « gentille Bête », le Sauveur qui vient éradiquer la Mondialisation, la Nature justicière et vengeresse qui va nous réapprendre à être humains et écolos (je vois circuler des textes naturalistes et anticapitalistes comme ceux du Tchadien Moustapha Dahleb ; j’entends beaucoup de personnes célébrer le confinement comme « la vie » – « Le Confinement c’est la vie » -, ou dire que finalement, même s’ils en ont très peur, ce virus serait notre antidote universel, notre « mal nécessaire », notre Salut, notre virage salutaire, le Bien ayant l’apparence du mal ; j’ai même des amis qui me sortent « Tu sais Philippe, ce virus est ton ami »). Et le plus marquant dans cette inversion des valeurs (et des sauveurs !), c’est que la Bête (et sa cohorte d’animaux) devient la gentille, tandis que nous les Humains devenons au contraire « les Méchants » : les discours nous animalisent (« L’homme est un loup pour l’homme » entend-t-on ; « Le Français a encore du mal à être obéissant et à se plier au confinement, le Français est dur à dresser : il va falloir le tracer, le pucer, pour qu’il comprenne ! » ; « Restez chez vous ! » = À LA NICHE !!! Cette folie antispéciste, en plus d’être paradoxalement naturaliste et humaniste intégrale, est misanthrope et – pire – finalement homicide. Elle tue l’Homme au nom des droits de l’Homme et de la Nature. Je vous invite vraiment à lire le chapitre II de mon livre Homo-Bobo-Apo sur la Nouvelle Religion mondiale.