Peut-on être satisfait du rapport de la CIASE sur les abus sexuels dans l’Église?

Je ne comprends pas comment certains catholiques parviennent encore à se féliciter de la CIASE (rapport sur les abus sexuels dans l’Eglise) ou de la délation victimaire d’une Natalia Trouiller par exemple, qui constituent concrètement un travail de sape de l’Église, et pas du tout des avancées. Plutôt le contraire ! Elles créent ce qu’elles dénoncent ! Deux vérités – pourtant énormes et essentielles – leur échappent, et n’ont pas été conclues par la CIASE (alors que paradoxalement, celle-ci les prouvent inconsciemment et factuellement):
 

1 – Ce que les rapporteurs (à 4 chandelles) appellent « pédophilie sacerdotale » ou « abus sexuels », se rapproche plus de l’homosexualité sacerdotale (bien plus conséquente et prégnante dans les abus sexuels sacerdotaux, y compris sur mineurs : 80% des viols cléricaux ont été perpétrés sur des jeunes garçons… donc majorité masculine homosexuelle écrasante): c’est toute l’ambivalence de l’homosexualité adolescente d’une part, et le sexe des « victimes » d’autre part, qui sont passés sous silence. La responsabilité des ados dans la chute pédérastique de certains prêtres, aussi (c.f. je vous renvoie à mon article important à propos de la projection du film « La Déposition », où d’ailleurs Natalia Trouiller a tenu des propos lamentables).
 

2 – Défendre les victimes sans aimer ni s’occuper prioritairement des bourreaux (qui, je le rappelle, sont d’anciennes victimes), c’est non seulement contre-productif (ça devient le travail du pompier pyromane) mais ce n’est pas catholique. Comme le soulignait feu pape Benoît XVI, la spécificité du catholicisme, ce n’est pas l’amour des pauvres et des victimes, mais le pardon et l’amour des criminels, de ceux qui ne méritent pas ces derniers. Or, que fait la CIASE? Elle ne focalise que sur les « victimes »… et en off, ça crache sur les bourreaux, et il se met même en place dans chaque diocèse de France actuellement une guerre invisible entre deux camps sacerdotaux qui se détestent : les prêtres « hétéros » contre les prêtres homos pratiquants (les uns reprochant aux autres de salir leur image). La victimisation générée par la CIASE et Natalia Trouiller, même si elle semble utile et juste (car elle s’habille de charité/solidarité et se muscle en vengeance accusatrice justicière), est en réalité dramatique et anti-catholique.
 

L’homophobie généralisée des catholiques fait plus de ravages que la pédophilie sacerdotale, au fond.

Publication de l’épisode 29 ((« Adoubement d’Usman ») du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL

Épisode inédit du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : le n°29, « Adoubement d’Usman » ! (Avec le comédien Calvin JEAN-BAPTISTE en narrateur)
 


 

Une surprise vous attend à la fin ! Avec l’Intelligence Artificielle, j’ai écrit une chanson qui est vachement sympa (hihi!) Les paroles, ça donne ça :
 

« La Singularité c’est ton style.
La Singularité c’est vinyle.
La Singularité c’est ton île/il
où ton monstre repose tranquille.  »
 

En espérant que ça vous plaira…

Parler d’Apocalypse c’est manquer d’Espérance?

C’est quand même formidable…
 

Parce que tu traites des Fins dernières et de l’Apocalypse, certains cathos (et même cardinaux!) te taxent d’emblée de prophète de malheur (sans même prendre la peine d’écouter ou de lire ce que tu dis et comment tu le dis), te reprochent de « manquer d’Espérance ». Alors qu’en réalité, ce sont eux qui se voilent la face sur la Bonne Nouvelle (grave) de l’Apocalypse, fuient la Croix, manquent d’Espérance !

Sortie de l’épisode 28 (« Le Baiser de la Honte ») du roman-podcast apocalyptique Singularity is Devil

Épisode inédit du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : le n°28, « Le Baiser de la honte » ! (Avec la chanteuse Steph Bach en narratrice)
 

 

Résumé : Au lycée, Matéo décide de déclarer sa flamme à Lilou, de la manière la plus maladroite qui soit…
 

N.B. 1 : Vous y retrouverez notamment Robin Durand dans le rôle de Matéo (Robin est mon ancien voisin de palier de la rue Buffon, qui s’est lancé dans le théâtre suite à son expérience de voix-off avec mon podcast. #Véridique. Avant, il n’avait jamais osé jouer la comédie… alors que ça lui va pourtant si bien!) ainsi que la chanteuse Steph Bach en narratrice (Steph Bach s’est fait connaître par des tubes comme « Fucking Friend – FF », « Petites Connes », « Y’a ceux »… et je suis allé l’enregistrer exprès dans le sud de la France : il me la fallait! C’était ELLE ou personne, pour raconter la romance Lilou-Matéo !).
 

N.B. 2 : Exceptionnellement, les bandes-sons de ce même épisode seront différentes sur Spotify et sur YouTube (pour des raisons de droits) : Spotify refusait que j’utilise « Dead in the Water » d’Ellie Goulding. J’ai dû la remplacer par Didier Squiban et Michel Berger. Deux salles = deux ambiances ! Vous testerez la différence. Mais je trouve que les deux versions fonctionnent. Vous me direz.

Le cardinal Sarah : l’idolâtre du « sacré », le fanatique de l’« adoration »


 

J’ai écouté en entier l’homélie du cardinal Sarah hier à Auray. Elle me débecte.
 

« Dieu n’est pas à notre service : c’est nous qui sommes à son service ! » (11’00) : Ah bon ?
 

Le cardinal Sarah se plante complètement sur Dieu, en fait. Il fait de Jésus un roi… alors que c’est un roi serviteur, qui a toujours refusé son rang royal terrestre, et qui nous lave les pieds. Lui, ce cardinal malade, il veut, à l’instar de Judas ou de Pierre, d’un Dieu grandiose, sur un piédestal/trône, et il refuse de se laisser laver les pieds par Lui, il refuse que ce dernier s’agenouille et se prosterne.
 

Comme d’habitude, son discours est empreint de sacramentalisme idolâtre (il répète le mot « sacré » un nombre incalculable de fois), de liturgisme (focalisation sur la vénération, la posture sublimée de l’adorateur : « Notre seule réponse face au mystère du mal, c’est l’adoration ! L’adoration silencieuse ! »), et empreinte de flatterie régionaliste/nationaliste (« La Bretagne et la France ont été choisies par Dieu ! »). Il fait de l’adoration un dieu.
 

Ce type est un grand malade. Et personne ne s’en rend compte : tout le monde applaudit, en trouvant ses obsessions psychorigides de vénération sacramentelle « magnifaïques et nécessaires » ! Fachonews (CNews) adore, évidemment… Bande de grands malades !
 
 

Pour compléter :
 


 

Je vous enjoins aussi à écouter mon roman audio Singularity is Devil, où le discours du cardinal Sarah est dénoncé.

Sortie de l’épisode 27 « Penser la Marque de la Bête », du podcast SINGULARITY IS DEVIL

Épisode inédit du podcast apocalyptique Singularity is Devil : le n°27 (sur 57), intitulé « Penser la Marque de la Bête » !
 

Résumé : Depuis son manoir bourguignon, l’Antéchrist échafaude son plan de marquage de tous les êtres humains, et organise aussi des messes noires…
 

Âmes sensibles, s’abstenir…
 

 

Sur YouTube : cliquez ici.

 

Sur Spotify : cliquez ici.

 

Le chanteur Jann Halexander joue le diable à la perfection.

Sortie de l’épisode 26 « Le pape François en danger », du roman-podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL

Épisode inédit du podcast apocalyptique Singularity is Devil : le n°26 (sur 57), intitulé « Le pape François en danger » ! Sur les prophéties de saint Malachie (à propos du dernier pape) et le 3e secret de Fatima.
 

Sur YouTube : cliquez ici.
Sur Spotify : cliquez ici.
 

 

Bravo au chanteur Jacky M et à Jean-Pierre Darok : votre duo fonctionne à merveille !
 

Résumé de l’épisode : Le cardinal ivoirien, Monseigneur Séka, fait un retour de lecture à son ami Barthélémy sur les prophéties apocalyptiques proches de s’actualiser (le portrait de l’Antéchrist, la prophétie des papes de saint Malachie, la 3e partie du secret de Fatima, les prédictions johanniques de l’Apocalypse…). Il va prendre une décision importante pour passer à l’action…

C’est pas toi, c’est notre époque

À ceux parmi vous qui en ce moment paniquent ou dépriment parce qu’ils ont l’impression d’être extrêmement isolés et d’avoir peu d’amis (voire pas d’amis du tout : et quand je dis « amis », j’entends des personnes équilibrées, drôles, intelligentes, lucides, de bon conseil et fortes) : je vous demande de ne pas vous inquiéter. C’est complètement normal ! On est plusieurs dans ce cas à vivre ce désert amical. Et c’est notre époque qui veut ça : nos contemporains deviennent de plus en plus limités intellectuellement et spirituellement, de plus en plus faibles, incrédules, individualistes, agressifs et teubés. Ne vous en attristez pas, et ne prenez pas ça pour vous. Ça n’a quasiment rien de personnel. C’est générationnel et global. Alors : COURAGE ! Nous sommes quand même nés à la bonne époque ; on se serre la ceinture… et les coudes ; on prend de nos prochains ce qu’il y a de bon et on écarte le reste ; on ne se laisse pas éteindre sa joie. La Grande Fin est proche et on n’en a plus pour beaucoup à tenir. Et malgré le désert amical, amoureux, intellectuel, qu’on est beaucoup à traverser, malgré la nuit même ecclésiale que nous connaissons (car il y a aussi une épidémie généralisée de cathos cons, carriéristes, méchants et aveugles en ce moment : ça touche particulièrement l’Église, faut pas croire), le Seigneur (Jésus) ne nous laisse jamais complètement seuls : il nous donne toujours, dans notre entourage, 1 ou 2 tarés comme nous (ou comme Lui!) pour que nous ne connaissions pas son isolement total, et pour que nous nous marrions un peu, et continuions la route. Donc force et joie au cœur ! On se ressaisit !

Je reçois l’homophobie des homos en pleine gueule (Je suis la voyante de la Communauté homosexuelle)

Je reçois un coup de massue, ou bien une gifle, ce soir. C’est très dur d’être rejeté par les siens. Je me prends l’homophobie de mes frères homos en pleine figure.
 

 

Ce soir, une fois n’est pas coutume, je me suis inscrit à une soirée jeu « loups-garous » sur une appli d’événementiel homo à Paris. Soirée étonnamment très conviviale, pas sectaire, pas peste ou drague : une vingtaine d’invités, tous adorables. J’ai vraiment été accueilli (nous étions 4 nouveaux) et la soirée s’est très bien passée.
 

Et de retour à la maison, sur le fil de l’événement, après le défilé des remerciements, à 23h30, l’organisateur écrit ce message qui m’est très certainement et tacitement adressé (même si son rédacteur aura la lâcheté de ne pas m’écrire personnellement, et de me balancer en privé à tous les autres participants, sans que je puisse me défendre : et ma page Wikipédia, qui est un tissu de mensonges, leur servira d’alibi, et scellera définitivement mon sort).
 

En lisant ces lignes, et face à mon coloc Abdel qui m’a vu me décomposer sur place (sueurs au front, profonde tristesse après la joie : je suis rejeté juste parce que je pense différent, c’est ça la réalité), je sais que je suis « persona non grata » dans ma propre famille homosexuelle… et sans doute à vie. C’est très dur.
 

 

N.B. : L’ironie du sort (ou plutôt la Vérité plus forte que tout) dans cette sombre histoire, c’est que, pour les deux parties qu’on a jouées durant cette soirée, j’ai eu deux fois le rôle de la Voyante… une voyante redoutable et efficace, qui plus est (le Seigneur fait des cadeaux et des consolations). La Voyante qui, parce qu’elle voit, et à cause de sa clairvoyance, sera détestée et incomprise, puis bannie, de tous. (Cela dit, ce n’est pas moi qu’ils rejettent – puisqu’ils ne me connaissent pas – mais le personnage qu’ils se créent autour de ma personne. Donc je ne le prends pas pour une attaque personnelle. Et à leur décharge, mon opposition au « mariage » gay ainsi que mon scepticisme à l’égard de la pratique homo, sont complexes à comprendre et à accueillir dans la paix. Ma seule consolation, je le redis, c’est que je suis, à mon insu, la voyante de la Communauté homosexuelle).