La BlockChain : l’Arbre de la Connaissance de l’Antéchrist, bref la puce électronique (L’Empire Richard Branson)

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Je vous en supplie. Vous devez absolument écouter ces 4 minutes sur l’Antéchrist et la puce électronique, que j’ai entendues « par accident » dans mes écouteurs hier &16 octobre 2016) en marchant sur le chemin de la messe à Saint-Roch (Sachant que certains d’entre vous n’arrivent pas à l’écouter sur I-Tunes, j’ai retranscrit en intégralité l’interview ci-dessous en fin d’article). Étonnamment, c’était sur France Info, juste avant midi. Le journaliste Patrick de Saint-Exupéry y parle de l’Empire invisible de Richard Branson, un multimilliardaire blond, ancien patron de Virgin, possédant une île paradisiaque dans les Caraïbes (Necker Island), et qui a programmé le hold-up mondial que nous allons connaître d’ici peu, c’est-à-dire la Blockchain (ce que j’essayais de vous expliquer maladroitement dans l’article suivant) : ce processus informatique qui permet de suppléer à l’humain, et qui DÉSINTERMÉDIALISE tout (banque, école, notaire, politique, médias, Église, etc.) pour isoler l’être humain avec lui-même à travers une technologie invisible (de la taille d’une puce autocollante quasi invisible). La Blockchain, Patrick de Saint-Exupéry la décrit dans « Nous les Césars du Monde » dans la Revue 21. Alors s’il vous plaît, toute votre attention sur mon article. Le visage du Gouvernement Mondial antéchristique devient de plus en plus net. Et ce ne sont pas uniquement des cathos qui le dénoncent. Donc vous pouvez me croire !
 

 

P.S. : J’attire enfin votre attention sur le logo de la communauté d’Ethereum (Blockchain), qui rejoint exactement ce que j’ai décrit sur mon article sur le triangle, le V, le X et le W.
 

Ethereum DecentralizedAutonomous Organization (La décentralisation et l'autonomie sont les mots d'ordre du boboïsme)

Ethereum Decentralized Autonomous Organization (La décentralisation et l’autonomie sont les mots d’ordre du boboïsme)


 
 
 
 

Présentatrice : « Nous retrouvons au micro de ‘France Info’ Patrick de Saint-Exupéry, rédacteur en chef de la ‘Revue 21’. On s’intéresse aujourd’hui à Necker Island. C’est une île perdue au milieu de la Mer des Caraïbes. Un paradis fiscal qui appartient au milliardaire Richard Branson. Dites-nous tout. »

Patrick de Saint-Exupéry : « Richard Branson, c’est une légende. Quelques mots suffisent. ‘Virgin’. Voilà. c’est le propriétaire de Virgin. La musique, les disques, cet Empire qui s’est étendu avec les avions. Le Low Cost. C’est aussi une star avec son côté un peu playboy, avec ses longs cheveux blonds. C’est un homme qui sait faire parler de lui. Il a inscrit son histoire avec, entre autres, une provocation qui reste un concert des Sex Pistols devant Buckingham. Et ça a marqué les esprits à l’époque. Donc c’est un homme qui joue de la provocation, mais intelligente. C’est un homme qui est devenu multimilliardaire et qui est doté aujourd’hui de puissance de frappe extrêmement importante. C’est un homme qui est au cœur de ce qu’on appelle la modernité en marche. »

Présentatrice : « Et avec son argent, il a acheté une petite île qui fait partie des Îles vierges sur laquelle il a installé – certes c’est un paradis fiscal – une espèce de club des grands noms de la finance du monde entier ( ?) »

Patrick de Saint-Exupéry : « Oui. Il s’est créé son propre État. On est au milieu des Caraïbes. L’île s’appelle Necker Island. Il a fait construire sa résidence à Bali qu’il a ensuite fait déménager sur cette île pour l’installer. L’eau est à 30 degrés. Il fait tout le temps beau. On boit du champagne. On navigue entre le sexe et l’alcool revendiqués. Il a hébergé Lady Di sur cette île. Il reçoit ceux qui vont lui être utiles pour inscrire ses affaires dans la marche du monde. C’est donc un lieu très privilégié où se retrouvent quelques ‘Happy Few’ qui ensemble… et quand je dis ‘quelques Happy Few’, on a des conseillers de Clinton, on a des banquiers, on a des financiers, des investisseurs… »

Présentatrice : « Des hommes de l’ombre, vraisemblablement ( ?) »

Patrick de Saint-Exupéry : « C’est des gens qui ne sont pas très connus mais ce sont des hommes d’influence. Leur nom ne vous dirait rien. Si je vous dis comme ça ‘Hernando de Soto’, a priori, vous avez du mal à visualiser. Mais Hernando de Soto a été salué par Bill Clinton, l’ancien Président américain, comme le meilleur économiste de tous les temps. C’est un homme qui peut téléphoner en direct à Vladimir Poutine, et Poutine décrochera. Voilà le niveau d’influence ! Et donc voilà, Branson rassemble tous ces gens autour de lui, dans cette île. Il les accueille. Et puis on est dans une ambiance très feutrée. Et ils construisent l’avenir que vous découvrirez dans quelques années. Ils essaient de projeter leurs envies. »

Présentatrice : « Et alors justement, dans ‘La Revue 21’, vous parlez d’un mini-Sommet, comme ça, organisé autour de la Blockchain, et de la façon dont ce concept pourra révolutionner le monde demain ou après-demain. C’est quoi exactement la Blockchain ? »

Patrick de Saint-Exupéry : « La Blockchain… Alors déjà, le principe du récit, c’est l’auteure, Hannes Grassegger, qui s’est rendue sur l’île. Et donc elle raconte ce Sommet de la Blockchain qui s’est déroulé il y a un an. Quel est le principe ? C’est tout simple. C’est au travers d’un moyen informatique on désintermédiarise tout. C’est-à-dire le notaire, les actes de propriété, … on n’a plus besoin d’intermédiaires. »

Présentatrice : « C’est-à-dire que l’usager est lui-même le banquier, lui-même le notaire… ( ?) »

Patrick de Saint-Exupéry : « Absolument. Au travers d’un processus informatique. Mais voilà. Il n’y a plus de banquier, il n’y a plus de notaire, il n’y a plus de registre de propriété, il n’y a plus besoin de rien… »

Présentatrice : « Il n’y a plus besoin d’humains ( ?) »

Patrick de Saint-Exupéry : « Il n’y a plus besoin d’humains. C’est ça la Blockchain. L’informatique qui supplée à l’humain. Et donc il faut voir la réaction des gens, de ces 15 hommes d’influence qui sont présents, qui trouvent tout cela merveilleux ! ‘C’est formidable, dis ! Je suis le principal organisateur au travers de mon organisme financier de la fuite des capitaux en Chine !’ Et il me dit : ‘Mais c’est formidable. Je pourrais me passer de tous les intermédiaires ! Je n’ai plus besoin de personne pour faire ce que je suis en train de faire, à savoir organiser l’évasion des capitaux hors de Chine !’ Et tous réagissent avec un sentiment de puissance… une conviction mais terrible, parce qu’on parle de notre avenir, de notre destin. Et lorsqu’on vit ça, c’est juste effondrant parce que nous sommes dans un monde d’indécence la plus totale. C’est-à-dire qu’on va aussi construire tout un discours qui permettra d’habiller en fait cette idée-là. C’est-à-dire on va dire : ‘Mais c’est une idée généreuse. Elle va permettre par exemple aux plus pauvres qui vivent dans les favelas – dont l’une des difficultés est de ne pas avoir d’acte de propriété – ben ils vont pouvoir avoir leur acte de propriété. Donc ils vont pouvoir être intégrés dans le jeu économique.’ Et on va dire : ‘Mais c’est formidable !’ »

Présentatrice : « Ils vont pouvoir acheter leur bidonville… »

Patrick de Saint-Exupéry : « Donc voilà ! Alors qu’en fait, ce que l’on voit s’écrire sous nos yeux, c’est un RAPT. Un hold-up ! Et Branson, qui est cette figure au milieu de tout cela, est en train d’organiser un hold-up. »

Présentatrice : « Et alors justement, j’aimerais qu’on s’arrête sur les illustrations de ce reportage dans votre ‘Revue 21’. Et cette image qui représente Branson au milieu d’un banquet improvisé sur un canot pneumatique. Bon, là, on a vraiment l’impression que c’est la Cène, avec le Christ ( ?) »

Patrick de Saint-Exupéry : « Oui. Bien sûr. Bien sûr. C’est la Cène. Ce sont des démarches de type christique. Maintenant, cette illustration a été faite sur la base de photos. Et le titre de ce récit est ‘Nous, les Césars du Monde’. C’est-à-dire qu’il y a le côté soi-disant prophètes de paroles divines, messianiques, évangélistes, et puis en même temps cette volonté d’imposer son autorité. »

Présentatrice : « Merci Patrick de Saint-Exupéry. ‘Nous, les Césars du Monde’, aussi à lire dans la ‘Revue 21’. »
 
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