Le rouage satanique derrière les attentats (rouage mis en place par ceux qui les déplorent) : le cas de Manchester


 

Toute action du Mauvais offre et possède, à la base, une lecture et une explication surnaturelles qui lui sont concomitantes. Par exemple, l’interruption du concert des Eagles of Death Metal au Bataclan par les 4 djihadistes pile sur la chanson « Kiss the Devil » (Embrasse le diable). Ou encore, hier soir, l’attentat de Manchester à l’issue du concert « Dangerous Woman » d’Ariana Grande. Le diable signe ses forfaits avec les humains qui lui obéissent parfois (et loin de moi l’idée de dire que la chanteuse en question est un suppôt de Satan, ni qu’elle aurait contribué/mérité ce qui s’est passé). Le monde, rejetant Dieu et l’existence des forces du mal, prend à tort cette lecture surnaturelle pour une justification des faits, un déni des événements, un terrible affront, un ignoble refus d’empathie, une culpabilisation des victimes. Alors qu’une fois comprise et accueillie, elle apporterait la vraie paix et une réponse à ce qui, sans elle, reste une « absurdité », une « folie terroriste » ou une « barbarie », et provoque le même défilé (bien humain) d’indignations. Nous vivons, plus qu’une guerre humaine, un conflit spirituel et surnaturel. Que nous y croyions ou non.
 

Peu de personnalités et de gens semblent prêts à tirer les bonnes conclusions (la conversion en profondeur de notre mode de vie, de consommation, la conversion au Christ) d’un tel drame pointe. Au contraire : la plupart de nos contemporains se drapent dans l’irrationnel, l’émotionnel et la victimisation, pour s’excuser de ne pas changer : « C’est une fois de plus notre mode de vie, notre culture qui ont été attaqués. » déclare par exemple notre Ministre de l’Intérieur Gérard Collomb (Ariana Grande, c’est notre « culture »… ?? Ok… Alors nous avons du souci à nous faire !) Certains vont user de termes spirituels mais de manière très manichéenne, et sans spiritualiser pour autant le combat. Par exemple, le Daily Mail titre sa Une « Le Massacre des Innocents », en lien avec le massacre des saints Innocents de la Bible ainsi qu’en hommage à la jeunesse clairement visée par l’attentat (entre parenthèses, est-ce « innocent » de s’identifier à Ariana Grande ? Ou d’amener son enfant à son concert ?). Autre exemple : le Premier Ministre britannique Theresa May réunit son plan Cobra, sorte de cellule sécuritaire de crise, pour faire face à la logistique préventive de l’événement. La lecture analytique spirituelle est en revanche absente, voire interdite. Le silence s’imposerait, dans ces cas-là.
 

Le seul qui, semble-t-il, adopte la grille de lecture adéquate est le maire de Manchester, Andy Burnham, puisqu’il a immédiatement qualifié l’attentat d’« acte diabolique ». Par ailleurs, au-delà de la responsabilité directe qu’on doit moralement attribuée au kamikaze (et à ses intentions sataniques), il n’est absolument pas faux, sans tomber dans les excès du complotisme, de voir une « stratégie » et une « manipulation » derrière cet homicide. En effet, il y a fort à parier que ceux qui tiennent les ficelles de ce meurtre de masse perpétré par un djihadiste, ce sont les starts-up du Gouvernement Mondial qui entendent imposer, sous le prétexte de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme, leur maillage de surveillance technologique à l’ensemble de la planète. Quand j’entends par exemple la réaction du député LR Claude Goasguen, cela ne fait aucun doute : « Il faut aller plus loin. Il faut améliorer la technologie. » Les attentats sont les pivots et les sordides alibis du totalitarisme technologiste de la Blockchain planifié par l’Antéchrist.