L’Hétérosexualité est la Bête de l’Apocalypse


 

En ce moment, la Bête apparaît partout et ne se cache même plus. Monstres, zombies, dragons, spectres, robots extra-terrestres, animaux tantôt féroces tantôt gentils… La Bête est devenue en un rien de temps notre personnalité, notre modèle mondial, notre maîtresse, notre amante, notre arme secrète, notre conscience, et l’icône de la diversité, de l’identité et de l’Amour pluriels, donc en gros l’ambassadrice de l’hétérosexualité.
 

 

En effet, l’hétérosexualité est le culte des différences, de toutes les altérités au niveau de la sexualité. D’ailleurs, comme vous allez le découvrir dans cette vidéo, il est étonnant de voir le nombre de films et de pubs actuels qui célèbrent la Bête, notamment la Bête technologique, ainsi que son image et sa marque ou griffe (le fameux « 666 » sur la main droite et sur le front, autrement dit la puce électronique décrite dans le livre biblique de l’Apocalypse, en Jn chapitre 13), en lien avec l’homosexualité. Homosexualité qui sera rarement nommée – elle est juste suggérée sur un panel de variété – mais qui portera le nom social et marketing masqué de l’hétérosexualité, à savoir la « diversité » (et suivent après, bien d’autres nom : « pluralité », « variété », « », « respect », « égalité », « tolérance », etc.).
 

 

 

 

 

Pour comprendre que l’hétérosexualité est le diable déguisé en différence des sexes et en diversité, et qu’elle est l’homosexualité cachée, revenons d’abord aux origines du concept.
 

1) Étymologie et histoire de l’hétérosexualité :
 

 

Quand je vous dis « hétérosexualité », vous entendez en réalité deux mots : « hétéro », qui vient du grec, et qui signifie « autre » ; et « sexualité », qui vient du latin « secare » (couper) et qui signifie également « autre ». En fait, en prononçant ce mot salade qui mélange du grec et du latin, sans le savoir, vous dites deux fois la même idée (autre/autre) : c’est un terme-piège qui contient sa propre redondance. Si nous étions logiques, pour parler de la différence homme-femme, nous ne devrions utiliser que le vocable « sexualité ». Mais comme, depuis 150 ans, le monde a perdu le sens de la sexualité et du Réel, il confond la sexualité avec l’hétérosexualité, cette dernière renvoyant à un comportement sexuel (en général violent) et à une orientation sexuelle calquée sur l’homosexualité. C’est historique, ce que je vous dis : le terme « homosexualité » a été créé pour la première fois en 1868, et le terme « hétérosexualité » un an après, en 1869 : 69, c’est facile à retenir… Maintenant, dans la tête des gens, y compris des catholiques, l’hétérosexualité équivaut à la différence des sexes, serait son synonyme ; et le monde ne se diviserait plus entre hommes et femmes, mais entre hétéros et homos (et les bis, pour faire la navette de l’hétérosexualité vers l’homosexualité).
 

Autre-Autre ! L’hétérosexualité, en gros, c’est une sexualité ou altérité forcée. D’ailleurs, les hétéros sont des caricatures vivantes et cinématographiques de la virilité et de la féminité, de la parenté. L’hétérosexualité n’est pas forcément opposée à la formation d’une famille. Elle peut être le support d’une idéologie familialiste et nataliste (La Manif Pour Tous l’a bien prouvé, puisque tous ses slogans étaient hétérosexuels : ils prônaient la différence en soi, la différence des sexes en soi, l’enfant et la famille comme des absolus et des fétiches). Mais en tout cas, l’hétérosexualité défend un mariage de façade et imposé, une différence des sexes productive et procréative mais sans amour.
 

 

Plus globalement, l’hétérosexualité défend les différences en soi. Elle est une sacralisation de l’ensemble des altérités au niveau de la sexualité, donc une célébration de toutes les sexualités, y compris l’homosexualité, au détriment de la différence des sexes et de la différence Créateur/créatures à savoir Jésus et l’Église Catholique. D’ailleurs, vous tapez « hétérosexualité » ou « diversité » sur Internet : vous ne tombez que sur des trucs homos. En réalité, l’hétérosexualité n’est qu’une pansexualité (le préfixe « pan » en grec signifie « tout »).
 

 

Déjà, l’origine historique du terme « hétéro » est bisexuelle : à la fin du XIXe siècle, les personnes qui se déclaraient « hétéros » – c’est écrit sur les manuels scientifiques de l’époque – se définissaient elles-mêmes comme des personnes attirées par les deux sexes, et défendaient « l’amour libre », en deçà des institutions d’Église et d’État. On retrouve aujourd’hui une forte résurgence de cette bisexualité historique du terme « hétéro » puisque vous remarquerez que ceux qui se présentent comme « hétéros » sont en réalité très gays friendly, très bisexuels, pro-mariage gay, et font parfois des coming out à la surprise générale. Ce sont eux, et non les personnes homos, qui ont défendu le « mariage » homo. Nous, on n’a rien demandé ! L’hétérosexualité est le pilier idéologique de l’homosexualité, son jumeau terrible et son alibi. Toutes les lois pro-gays sont adoptées au nom de « l’hétérosexualité » (c’est ce qui vient de se passer au Chili : Madame Bachelet, pour imposer le « mariage gay » à tous, s’est avancée avec le mot « hétérosexualité » pour revendiquer une « égalité » et une équivalence entre hétérosexualité et homosexualité… et le pire, c’est que cette équivalence est réelle ! ; en 2013 en France, Madame Taubira s’était également value de « l’hétérosexualité » pour justifier le « mariage homo », dans le journal La Croix : « Je ne me vois pas refuser l’adoption aux couples homos puisqu’elle est donnée aux couples hétéros. »).
 

 

 

 

À ce propos, le « lobby LGBT » n’a jamais été le lobby gay, contrairement à ce que les militants pro-Vie et les médias croient : le lobby LGBT, c’est le lobby hétéro. J’en tiens pour preuve que les seules institutions internationales défendant les « droits homos » dans le monde (Gay Straight AllianceGSA – à Bruxelles, aux Pays-Bas, aux États-Unis ; ILGA en Suisse et partout dans le monde) ne parlent quasiment jamais d’homosexualité, se présentent au contraire sous la bannière de la diversité, de l’égalité, des phobies ou de la lutte contre les discriminations ; et les rares fois où ils sont attaqués et taxés de prosélytisme homosexuel, ces organismes sortent leur joker de l’hétérosexualité. Erwann Binet, François Hollande, Najat Vallaud-Belkacem, Justin Trudeau, par exemple, s’annoncent hypocritement comme des défenseurs de la cause gay parce qu’ils seraient des « hétéros désintéressés ». « LGBT » (Lesbien, Gay, Bi, Trans) et « hétérosexualité », ça rime. Et le « H » d’Hétérosexualité est paradoxalement la seule lettre qui manque à ce sigle à rallonge, car elle englobe tacitement toutes les autres lettres, en fait.
 

 

Chose curieuse : la diversité hétérosexuelle prend très souvent dans les films la forme ludique du Rubik’s Cube (vous savez, ce cube à 6 faces colorées des années 80 ; en gros, sous prétexte de diversité, on nous met en boîte, le monde est transformé en cube et en puce). Ou bien elle prend la forme esthétique de l’arc-en-ciel, la forme romantique de « l’amour », la forme solidaire de la « diversité », ou bien la forme révoltée et pseudo engagée de la « rébellion » et de la « lutte contre les discriminations et contre les règles ». Dans les médias et le langage, il existe plusieurs synonymes d’« hétérosexualité » : pluralité, diversité, variété, différences, ouverture, changement, discriminations, droits, égalité, chances, rêves, amours, passions, rébellion, anticonformisme et anti-règles, etc. Beaucoup de catholiques nous bassinent actuellement avec leur dénonciation de l’idéologie du Gender, cette idéologie qui remplace le sexe par le genre, et qui nierait la différence des sexes… mais ils n’ont toujours pas compris que le Gender d’une part était une idolâtrie pour la différence des sexes (non une haine ou un rejet), et d’autre part que le Gender était l’hétérosexualité, c’est-à-dire le culte des différences et du ressenti/de la volonté individuels (Je suis qui je veux, j’aime qui je veux, et ma perception, mes sentiments, ma subjectivité, ma volonté personnelle, mes bonnes intentions, mes projets, sont rois !). Elle est un totalitarisme de l’individualisme tout-puissant. L’hétérosexualité est le culte à la différence. On est en plein dedans actuellement. Comme par hasard, la dernière cérémonie de l’Eurovision en 2017 avait choisi pour slogan « Celebrate Diversity ». L’hétérosexualité est le dieu « Diversité ». Selon sa logique, toute différence serait bonne en soi (même des différences mauvaises, même des fausses identités). L’hétérosexualité, c’est l’idolâtrie pour l’altérité… en sachant que « l’Autre » est un des noms du diable dans la Bible… donc elle est bien un culte satanique.
 

 

 

Pour résumer, l’hétérosexualité est, je le dis très sérieusement, le diable déguisé en différence des sexes. Les rares fois où j’entends le mot surgir pendant mes conférences, je sais que le diable sort de sa cachette, et que la personne qui s’énerve contre moi n’a que l’argument de l’« hétérosexualité » comme excuse pour contredire mon discours sur l’homosexualité ou pour quitter la salle. Elle ne sait pas encore que j’ai créé en 2013 un blog CUCH – Catholiques Unis Contre l’Hétérosexualité – en parallèle de l’Araignée du Désert, blog qui n’est absolument pas une blague. Je le sais et je peux le prouver : ceux qui défendent l’hétérosexualité ont un rapport blessé et haineux avec leur identité, la sexualité, le mariage et l’Église Catholique, et essaient de maquiller cette vengeance en justifiant l’homosexualité et les lois pro-gays. La gravité de l’Union Civile (qui est le mariage gay = ces deux lois incarnent la même réalité intentionnelle de justification de « l’amour » homo en tant qu’« amour universel ») repose principalement sur le fait que le partenariat civil est la première loi mondiale basée sur l’hétérosexualité, et qui a inauguré une nouvelle humanité, un nouvelle sexualité : l’Union Civile est une déshumanisation (y compris des personnes homos) de l’Humanité par voie légale. C’est pourquoi nous ne pouvons pas nous dire contre le « mariage gay » et pour l’Union Civile. Ces deux lois sont symboliquement homicides et homophobes.
 

 

Enfin, je crois que l’hétérosexualité est le pilier idéologique inconscient de la Franc-Maçonnerie internationale, puisque les loges francs-maçonnes défendent l’altérité absolue, l’anticonformisme total, et toutes les différences sans distinction. « Les différences sont nos richesses » bêlent les initiés. D’ailleurs, personne ne sera étonné qu’Emmanuel Macron, l’un des pontes de la Franc-Macronnerie mondiale, prétende (je le cite) « défendre la différence complète et radicale » (il a déclaré cela le 13 mars 2017 sur le plateau du Journal Télévisé de TF1). Et lors de son passage à Delhi, il a même appelé la jeunesse indienne à « n’acceptez aucune règle ». Avec Macron, on est en plein dans la rhétorique de l’hétérosexualité qui nie les vraies différences fondatrices de l’Humain (la différence des sexes et la différence Créateur-créatures), et donc dans la Franc-Maçonnerie.
 

 

Et si tout ce que je vous dis vous paraît capillotracté, ou parano, croyez au moins l’Église Catholique. Jusque dans les années 1975, les pères conciliaires du Concile Vatican II continuaient de condamner l’hétérosexualité comme une « perversion » et une sexualité hors mariage, au même titre que l’homosexualité active. L’Église Catholique n’a jamais défendu l’hétérosexualité. Le problème est qu’aujourd’hui, elle ne la dénonce pas non plus comme le diable en personne. C’est pourquoi il nous faut parler de l’hétérosexualité quand même, y compris si c’est un mot pourri et impropre à qualifier la sexualité. Sinon, au nom d’un humanisme intégral, d’un purisme de la Vérité autour du discours théologique sur la sexualité et le corps, nous ne nommons plus le mal, nous le laissons faire, et nous répétons le rengaine du monde boboïsé qui nie autant qu’il promeut ce libertinage généralisé qu’est l’hétérosexualité, en tenant le propos relativiste suivant : « Homo, hétéro, bis, tout ça, ce sont des étiquettes marchandes : c’est trop sexuel, c’est des comportements, c’est pas des identités. L’hétérosexualité, l’homosexualité, c’est l’amour tout court, c’est la diversité, c’est à l’appréciation de chacun. » L’hétérosexualité existe, au moins en tant que croyance et en tant qu’idéologie politisée planétaire. Nous ne devons pas mépriser le terme, mais au contraire, en encourager l’étude. C’est elle le nœud du problème, la planque mondiale du diable.
 

2) L’hétérosexualité, c’est la Bête de l’Apocalypse :
 

L’hétérosexualité, comme je le disais, est un culte à la différence (au détriment de la différence des sexes couronnée par l’Amour, et au détriment de la différence Créateur-créatures, c’est-à-dire l’Église et Jésus). D’ailleurs, la Bête dans l’Apocalypse, a plein de têtes, donc est en soi figure de diversité, d’altérité, d’hétérosexualité. C’est un diamant étincelant et multifacettes, asexué, si vous préférez.
 

 

Sexologiquement et anthropologiquement parlant, la Bête (de l’Apocalypse), je crois d’une part que c’est la transgression du Réel (et de ses 4 rocs : différence des sexes, différence des générations, différence des espaces et différence Créateur-créatures) à travers la technologie, je crois d’autre part que c’est l’hétérosexualité (dans son sens bisexuel puis dans le sens du culte de l’altérité absolue au détriment de la différence des sexes – mariage aimant homme-femme – et de la différence Créateur-créatures – à savoir Jésus et l’Église Catholique).
 

 

 

 

 

Tout ceci est illustré dans les films actuels parlant précisément de la Bête : par exemple « Lucy » (2014) de Luc Besson (avec cette féminité virile qui s’achève en Bête robotique ectoplasmique), « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn, « The Last Girl » (2016) de Colm McCarthy, « L’Apparition » (2018) de Xavier Giannoli, « La Bête curieuse » (2016) de Laurent Perreau, « Power Rangers » (2017) de Dean Israelite (avec Force Jaune qui se trouve être lesbienne), « The Jane Doe Identity » (2017) d’André Ovredal, « La Belle et la Bête » (2017) de Bill Condon, « Wonder Woman » (2017) de Patty Jenkins, « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh, « Star Trek » (2017) de Bryan Fuller (ce réalisateur est d’ailleurs ouvertement homo ; et plusieurs personnages de la série puis du film sont également homos : Zackary Quinto, George Takei), et là, le dernier Guillermo del Toro « La Forme de l’eau » (2018) ainsi que le dernier Steven Spielberg « Ready Player One » (2018) que je viens d’aller voir au ciné (un monument franc-maçon !) et où tout ce que je viens d’énumérer est nettement lisible.
 

 

 

 

 

Par exemple, dans le film « L’Apparition » de Giannoli, Jacques, joué par l’acteur Vincent Lindon, prend la jeune voyante Anna pour une lesbienne, lui propose de vivre son hétérosexualité ou son homosexualité latente, sur fond de recensement biométrique de rétines. Dans « Le Crime de l’Orient-Express », le train est figuré comme une Bête technologique démoniaque habitée par un Edward Ratchett (interprété par Johnny Depp) séducteur et androgyne. Dans « The Last Girl », la gamine zombie Mélanie, une humaine bestiale, et son institutrice Miss Justineau, tombent amoureuses et forment un couple intergénérationnel dit « christique », sur fond de guerre virale high-tech et d’hymne au dépassement des différences. Dans le film « Wonder Woman », dont l’héroïne est une icône gay bien connue, féminisme, homosexualité, et technologie sont au menu. Dans le téléfilm « La Bête curieuse », il est question des bracelets électroniques inquisiteurs, présentés comme la Bête ; et l’homosexualité féminine y est promue à travers le personnage de Céline.
 

 

 

 

Dans le film « La Belle et la Bête », la Bête est le personnage central et la technologie agit sous la forme de la magie et des images de synthèse… et comme par hasard, le personnage du Fou fait son coming out ! Dans « The Jane Doe Identity », la Bête satanique est incarnée par une sorcière androgyne qui sème la terreur dans une morgue. Dans le film « La Forme de l’eau », on nous fait croire que la Bête est plus humaine que les humains, et qu’une grande histoire d’Amour peut naître entre une femme mortelle (Elisa) et un amphibien, avec en toile de fond une transgression de toutes les différences du Réel : Giles, le meilleur ami d’Elisa, est un vieil homosexuel, draguant les petits jeunes et vivant à travers ses films en noir et blanc. Tout concorde pour relier Bête-Technologie-Homosexualité-Armageddon.
 

 

 

 

 

Dans le film « Ready Player One », l’hétérosexualité bisexuelle est promue avec force : la Bête technologique défend et génère de l’homosexualité (entre Artemis et Kira au bal des zombies, par exemple, et même entre Parzival et Artemis qui tombent amoureux sans savoir si dans la vie réelle ils correspondent à la sexuation de leurs avatars virtuels). Et tout le film tourne autour de la promotion de la variété (au sens de « diversité » mais également au sens musical et culture pop du terme), donc de la promotion de l’hétérosexualité. D’ailleurs, le personnage masculin virtuel d’Aech est interprété par une femme noire, Helen, looké lesbienne ou transgenre. Dans le film « Armageddon » (1998) de Michael Bay, le personnage de la Carotte est homosexualisé (il est dit qu’il est « toujours en chaleur ») et joue devant le psy de la NASA au Rubik’s Cube. Enfin, dans les chansons de Mylène Farmer, le culte de l’altérité (je pense en particulier aux chansons « Monkey Me », « L’Autre », « Sans Logique », « J’ai essayé de vivre », le clip de « City of Love »), autrement dit l’hétérosexualité, rend bestial et homosexuel, et entraîne à la damnation satanique : « Aucune déraison. Je suis dans la peau d’une autre. C’est mon autre Moi, c’est Monkey, l’animal-là, je connais ses pas, c’est Monkey Moi, je suis Monkey Me. » « Souffrir qu’une autre en moi se glisse. » « Moi j’ai tant voulu l’Autre. Ave, milliers d’âmes anonymes, ave. »
 

 

 

Comme vous pouvez le constater, énormément de films traitant ou représentant la Bête défendent comme par hasard la bipolarité hétérosexualité-homosexualité. C’est pourquoi je vous dis très sérieusement que l’hétérosexualité est le diable. Elle est la Bête. Et que tous ceux qui confondent la différence des sexes avec la Bête sont en réalité apostats, des suiveurs de la Bête, et font inconsciemment partie de la Franc-Maçonnerie, même s’ils se disent catholiques et opposés à la Franc-Maçonnerie.
 

 

 

Le but ultime de l’hétérosexualité, prônant la différence et la liberté absolue, pour repousser les limites de l’Humain, c’est non seulement de transgresser la différence des sexes, mais aussi de transgresser la différence Créateur-créatures. Autrement dit de faire autoriser la bestialité (l’« amour » entre l’Homme et la Bête), de nous faire coucher avec des animaux (c’est déjà le cas au cinéma avec « La Forme de l’eau ») ou d’être des animaux, de nous faire avec des robots (dans la série Franky, par exemple, est simulé l’amour entre des humains et des androïdes extraterrestres) et d’être des cyborg, de nous faire coucher avec des anges (esprits énergétiques) et d’être des anges. Le monde essaie de nous faire croire que nous pouvons aimer d’amour la Bête (je l’ai à nouveau constaté le 23 avril 2018 en regardant l’épisode 199 de la série Demain Nous Appartient sur TF1, face à Lucie – interprétée par Lorie – qui se persuade qu’elle est capable d’être vraiment amoureuse du « monstre » et tueur en série Marc Véry). La question est celle-ci : Et vous, seriez-vous capables, par amour, d’aimer la Bête, par-delà les codes, la raison, la morale et même le Bien ? Et même si c’est Satan ? C’est pourquoi – et je vais vous le prouver – l’hétérosexualité, dans le sens bisexuel du terme, est la Bête.
 

Pour compléter mon explication, je vous invite à regarder la suite de cette vidéo qui est intitulée « Les 4 armées à Armageddon pour la Fin des Temps », car ça parlera justement de la Bête « Hétérosexualité » qui réunit toutes les nations du monde pour une bataille finale en Terre Sainte.

 
 

Cet article bénéficiera bientôt d’une vidéo sur Youtube, intégrant une série de 15 entretiens tournés en avril 2018 à Lourdes avec la journaliste Nathalie Cardon, et dans le droit fil de mon livre Homo-Bobo-Apo. Voici les articles de chacun d’eux :
 

1 – « Les 11 messages subliminaux diffusés dans l’émission ‘The Voice’ »

2 – « Le Synode des jeunes : la cata »

3 – « Le raz-de-marée de la transidentité » (transsexualité)

4 – « Le Boom des pastorales d’accompagnement des personnes homosexuelles dans l’Église »

5 – « Mylène Farmer, Grande Architecte de la Franc-Maçonnerie gay friendly »

6 – « Pourquoi La Manif Pour Tous est un vrai désastre »

7 – « Pourquoi parler d’homosexualité dans les établissements scolaires est Mission Impossible »

8 – « L’homosexualité dans la série de TF1 Demain Nous Appartient »

9 – « Je me suis ridiculisé publiquement : Comment vivre avec cette honte ? »

10 – « L’Hétérosexualité est la Bête de l’Apocalypse »

11 – « Les 4 armées de la Bataille finale d’Armageddon »

12 – « Visite maçonnique de Macron aux Bernardingues »

13 – « Les 12 obsessions des cathos bobos de la Réacosphère »

14 – « Homosexualité, la priorité niée dans l’Église »

15 – « Définition de la bisexualité »