Archives par mot-clé : Thérapies de conversion

Le rouleau compresseur « LGBTQIste ++ » enclenché aujourd’hui par la ministre Élisabeth Moreno (dans l’indifférence générale)


 

Appuyée par Castaner, cette ministre (borgne : c’est un fait, pas une moquerie. Et symboliquement, ça a du sens qu’elle soit borgne, en plus de noire : dans mon Dictionnaire des Codes homos, vous pourrez trouver mes codes « prostituée borgne » et « prostituée noire »), Élisabeth Moreno – « Premier ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances » – est en train d’imposer aujourd’hui à toute la France son plan d’ « actions » échelonné sur 3 ans avec une quarantaine de mesures, toutes plus dingues et hors-sol les unes que les autres, pour « les LGBTQI+ » (comme elle dit) : dont l’une de ses mesures-phares (que j’ai dénoncée dans mon dernier livre sur les thérapies de conversion) est l’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité (en gros, la prohibition d’aider psychologiquement ou spirituellement toute personne homosexuelle demandeuse de l’être).
 

Cette ministre a toute l’apparence de la victime et de la femme providentielle à la fois. Et son plan arrive comme un rouleau-compresseur que personne – pas même les cathos qui n’en ont strictement rien à foutre – n’identifiera ni ne dénoncera, et ne pourra arrêter. Il est déjà trop tard, de toute façon, puisque notre Monde méprise en même temps qu’il applaudit l’homosexualité sans comprendre pourquoi. Moi, je me contente de vous prévenir et de vous dire qu’aujourd’hui est un jour important dans notre pays, car de nombreuses lois détruisant l’Humain et les personnes homosexuelles en croyant sincèrement les honorer sont signées.
 

#PlanLGBT20202023 #LGBT #Homosexualité #élisabethmoreno #Thérapiesdeconversion

Interview de Philippe Ariño par le journaliste Louis d’Avignon le 4 juillet 2020

Interview réalisée par le journaliste Louis d’Avignon à l’occasion de la sortie du livre Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité : la loi-bidon qui passera sans difficulté en France (Éd. Vérone) de Philippe Ariño.
 

 
 

Cher monsieur Ariño, merci d’accepter de répondre à quelques questions à propos de votre livre paru fin 2019 aux éditions Vérone : Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité.
 

Je l’ai lu attentivement et j’ai été agréablement surpris de découvrir une nouvelle perspective pour des personnes étant à la fois homosexuelles et catholiques, ou plus largement chrétiennes.
 

Le titre du livre est en rapport avec un projet de loi qui vise à faire interdire les thérapies de guérison de l’homosexualité, dans le contexte chrétien, mais aussi en dehors si j’ai bien compris.
 

Il est homophobe aujourd’hui de considérer l’homosexualité comme une maladie psychique, mais là nous parlons de spiritualité, ce qui est tout à fait différent. Il n’empêche que vous constatez, depuis des années, un grand nombre d’homosexuels en dépression et en recherche d’un sens à leur vie, comme peut l’être tout un chacun.
 

Pourriez-vous pour commencer par nous expliquer le fonctionnement de ces groupes de guérison que vous avez fréquentés ?
 

Bonjour. Alors ce sont en général des associations telles que Courage International (catholique) ou Torrents de vie (protestant), basées sur l’anonymat et le volontariat de leurs participants/organisateurs. Le but de ces groupes (aux effectifs très réduits) est davantage d’offrir un espace d’expression, d’accompagnement, de soutien fraternel, de parole, à des personnes homosexuelles croyantes et soucieuses d’accorder leur condition homosexuelle à leur Foi et au discours de l’Église (notamment orienté sur l’appel à l’abstinence, donc au renoncement à la pratique homo et au « couple » homo), que de guérir ou de supprimer la tendance homosexuelle, même s’ils sont – pour certains – basés sur les 12 étapes des Alcooliques Anonymes. Ce sont vraiment des groupes d’amitié et de convivialité « libérant la parole » bien plus que des groupes de thérapies à proprement parler. Ils sont donc très loin de l’image de mouvements sectaires, poussant au suicide et prétendant éradiquer/guérir l’homosexualité, transformer « les homos en hétéros », dépeinte par le livre Dieu est amour, le reportage d’ARTE « Homo-thérapies », et par la commission d’enquête dirigée par la très anticléricale députée lesbienne Laurence Vanceunebrock-Mialon qui entend les interdire en France !
 
 

A-t-on seulement constaté une seule fois que Dieu pouvait « guérir », entre guillemets, de l’homosexualité ?
 

Moi, personnellement, je ne l’ai jamais vu. Même si je ne doute pas que Dieu puisse libérer des personnes homos de leur peur (d’ailleurs, je préfère parler de « libération » que de « guérison », puisque l’homosexualité n’est pas une maladie mais une peur : peur de la sexualité, de la différence des sexes. Et on peut dépasser certaines peurs, s’en libérer). Toutes les personnes homos croyantes que j’ai vu maîtriser leur tendance homo (dans une vie consacrée équilibrée, dans un mariage procréatif heureux avec une personne de l’autre sexe) restent avec cette fragilité. Ils la maîtrisent, tout au plus. Et en m’entretenant avec des responsables de groupe de prière, des psys, des responsables d’Agapê Thérapies, je n’en ai entendu aucun me parler de « miracles » de ce côté-là. Et je me méfie de ceux qui se présentent comme « ex-gays »… et qui bien souvent sont issus du protestantisme et reviennent quelques années plus tard sur leur déclaration triomphale de « guérison totale ».
 
 

Vous relatez dans votre livre les différentes causes attribuées à l’homosexualité. Certains lient le « trouble d’homosexualité » à la faute générationnelle ou à une déficience éducative. Vous dites que ce sont des personnes qui vénèrent la généalogie. Aucune preuve scientifique ne semble aller dans ce sens. Il y a ensuite ceux qui sacralisent la nature : l’homosexualité « c’est contre-nature », disent-ils. Pourriez-vous nous citez ces différentes causes supposées ?
 

Vous avez raison de parler de « causes supposées ». Car en réalité, il n’y a pas de « causes » de l’homosexualité. Puisque la tendance homosexuelle ne se justifie pas (étant donné qu’elle rejette le socle d’Humanité et de Divinité qu’est la différence des sexes), et qu’elle n’est ni une « identité » ni de « l’Amour » (une personne ne se réduit pas à ses attirances érotiques ou sentimentales ; l’Amour, c’est l’accueil de la différence des sexes). En revanche, elle peut s’expliquer. Et elle donne à voir des terrains favorisant son apparition, des facteurs récurrents, des points communs, des coïncidences troublantes partagées entre personnes homosexuelles. Ces terrains ne suffiront jamais à essentialiser l’homosexualité sous forme d’espèce humaine à part entière (« les » homos). Mais ils nous orientent au moins à dire que la tendance homo est une peur de la différence des sexes qui, quand elle s’actualise, est très souvent limitée et devient violente. Ça fait 20 ans que je travaille non pas sur l’identification des causes de l’homosexualité mais sur les liens non-causaux entre désir homosexuel et viol, liens que j’ai tenté de répertorier dans mon Dictionnaire des Codes homosexuels sur mon blog L’Araignée du Désert. Parmi ces terrains, vous pourrez trouver par exemple la gémellité, l’inceste, le viol, la vengeance matricide, les guerres, le fétichisme, etc.
 
 

Pour comprendre l’homosexualité, il faudrait déjà définir l’hétérosexualité. Vous dites que l’hétérosexualité n’est pas la différence des sexes. Qu’est-ce que cela signifie ?
 

Ça signifie que la différence des sexes est la sexualité, est la réalité naturelle, culturelle mais aussi surnaturelle de la sexuation anatomique homme-femme, ainsi que de leur union. L’hétérosexualité, quant à elle, n’a quasiment rien à voir avec la sexuation : c’est une orientation sexuelle, promouvant en plus une différence des sexes en général forcée, caricaturale, cinématographique, romantique ou pornographique, bien souvent dénuée d’Amour, et opposée au mariage et à l’Église car elle rejoint la bisexualité. D’ailleurs, ceux qui se présentent comme « hétéros » sont quasiment tous libertaires/adultères, justifient la pratique homo, haïssent le mariage et l’Église, et s’appuient sur l’égalité entre homosexualité et hétérosexualité (égalité historique puisque les deux termes ont été créés en même temps à la fin du XIXe siècle et étaient à la base synonymes) pour imposer les lois pro-gays à toute la Planète. À la base, les « hétéros » étaient des personnes attirées par les deux sexes et qui prônaient un « amour libre ». L’hétérosexualité, c’est donc le culte de la Différence en soi (au détriment de la différence des sexes couronnée par l’Amour et de la différence Créateur/créatures, à savoir Jésus et l’Église), c’est aussi « toutes les altérités au niveau de la sexualité » (y compris l’homosexualité), et c’est enfin le diable déguisé en différence des sexes. Le drame, c’est qu’aujourd’hui, même la plupart des catholiques ont intégré ce mensonge anthropologique que l’hétérosexualité serait la différence des sexes. Or, non. Une orientation sexuelle n’est pas la sexuation homme/femme. Le Monde ne se divise pas entre homos et hétéros (… et les « bisexuels » pour faire la navette entre les 2). Il se partage entre hommes et femmes, et cette séparation est en plus source de vie et de survie de l’Humanité.
 
 

Vous décrivez un beau panorama de la propagande « gay friendly » dans beaucoup de films au cinéma et dans les séries. Que signifie ce terme de « gay friendly » et en quoi vous parait-il homophobe ?
 

Il signifie que les personnes se montrent comme « amis des homos ». Mais cet auto-étiquetage est souvent synonyme d’une hypocrite homophobie car en général, les personnes « gays friendly » utilisent les personnes homos comme faire-valoir social, politique et économique, comme vitrines de diversité et de coolitude pour briller en société, mais n’en ont absolument rien à faire de ce que nous vivons, nous applaudissent de loin et surtout à partie du moment où nous fermons notre gueule. Le jour où nous leur montrons le vrai visage de l’homosexualité et de la pratique homosexuelle, et que nous leur prouvons qu’elles se servent de nous pour se venger du mariage et de Dieu, il arrive bien souvent que les personnes « gays friendly » se retournent contre nous et nous traitent même d’« homosexuels homophobes » ! Vrai de vrai. J’en fais régulièrement les frais !
 
 

Entrons dans le cœur du sujet du livre. Le catholicisme et l’homosexualité sont-ils incompatibles ?
 

Le catholicisme et l’homosexualité ne sont pas incompatibles, bien sûr. La preuve : je suis homo et catho. Et nous sommes beaucoup dans ce cas-là, d’ailleurs. L’Église, tout en condamnant les actes homosexuels, accueille les personnes homos. En revanche, ce qui est incompatible, ce n’est pas la personne homo et l’Église, mais bien la pratique homosexuelle et la pratique religieuse, car la première rejette la différence des sexes, quand la seconde l’accueille et l’intègre pleinement étant donné que la différence des sexes est à l’image de Dieu, elle est l’Église. Et ceux qui essaient de les rendre compatibles finissent toujours par privilégier l’une et délaisser l’autre. On ne peut pas servir 2 maîtres : l’un qui rejette la différence des sexes, l’autre qui l’incorpore.
 
 

Vous expliquez que dans le cadre de la pratique catholique, l’homosexualité continente pourrait être un chemin de sainteté. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ? Et peut-être avant cela, nous devons bien distinguer entre chasteté, abstinence et continence.
 

L’homosexualité continente, c’est l’homosexualité non-pratiquée mais donnée au Monde et à l’Église, donc ni refoulée ni éteinte (comme c’est le cas de l’abstinence sèche ; la chasteté étant une vertu universelle qui n’induit pas nécessairement un renoncement au couple). Quand la tendance homosexuelle se révèle durable chez une personne, cette dernière n’a pas d’autre choix que de vivre avec sa tendance mais surtout de l’intégrer au don entier d’elle-même si elle veut s’offrir pleinement aux autres et à Dieu. Et comme le disait Michel Audiard, « ce sont les fêlés qui laissent le mieux passer la lumière ». Voilà pourquoi l’homosexualité – qui est une fêlure de l’affectivité et de l’identité sexuée – peut tout à fait rimer avec sainteté, et a un fort pouvoir en ce moment, a fortiori parce que dans notre Monde d’aujourd’hui elle se fait passer pour la nouvelle Humanité, la nouvelle Sexualité, la nouvelle Divinité et un Amour tout aussi beau voire plus beau que l’amour entre l’homme et la femme.
 
 

Vous nous expliquez que le projet mondialiste, qui se met en place sous nos yeux, aboutira à une grande persécution de l’Eglise à cause même de l’homosexualité. Quels éléments concrets vous font dire cela ?
 

Parce que l’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité s’impose désormais comme une circulaire mondiale. Le 15 juin dernier, l’ONU a carrément assimilé les groupes d’accompagnement scientifique ou religieux des personnes homos à – je cite – de la « torture », et a ordonné leur interdiction mondiale, en se valant notamment de la protection de la jeunesse. Déjà, en 2018, le Parlement Européen a sommé tous ses États-Membres de faire appliquer cette interdiction sur leur territoire. Depuis, la crise du Coronavirus a permis notamment à l’Allemagne et au Canada de l’approuver sans que personne ne la conteste. Et c’est imminent pour la France. L’opinion publique est prête : vous demandez à n’importe quelle personne si elle est d’accord pour la suppression de tels groupes, elle vous répondra qu’elle ne connaissait même pas leur existence et ensuite signera immédiatement à leur abolition puisqu’ils lui ont été présentés comme d’« horribles sectes homophobes ». Ça va être vite réglé ! Et les catholiques ne diront rien : la sortie de mon livre n’a fait l’objet d’aucune conférence et d’aucune invitation presse, pas même de la part des médias catholiques (qui préfèrent inviter Benoît Berthe, un gars qui n’a jamais mis les pieds dans les groupes de thérapies de conversion mais qui se fait passer pour une victime de ces groupes où il y aurait vécu – je cite – « l’enfer », plutôt que moi qui les connais bien, qui les ai fréquenté, qui a écrit un livre là-dessus, qui ne les défend même pas mais qui s’oppose à leur interdiction/diabolisation !). L’Église, d’un point de vue humain, est donc au bord de l’asphyxie. Non seulement les gens d’Église laissent faire, mais en plus sont d’accord pour ignorer les témoins comme moi qui la défendent. L’homosexualité, on le voit, est le fer de lance de l’anticléricalisme, et transperce déjà l’Église, avec – c’est ça le pire – le consentement aveugle de ses membres et de ses chefs !
 
 

Et pour conclure, revenons au titre du livre. En quoi une loi qui interdirait les groupes de guérison serait contreproductive et même homophobe ?
 

Parce que derrière cette loi, c’est toute parole publique ou tout débat questionnant la notion d’ « identité » ou d’« amour » homo qui est jugé(e) délictueux/-se et passible de condamnation. Selon nos législateurs « gays friendly », l’homosexualité doit être acceptée mais surtout pas débattue ou analysée. Sinon, ça veut dire qu’on la remet en doute, qu’on ne la présente pas sous son meilleur jour, donc qu’on créerait du malaise, de la culpabilité, du suicide et qu’on empêcherait les gens de s’aimer et d’être heureux comme ils l’entendent. À partir de cette vision totalitaire là, même les personnes homosexuelles un peu trop bavardes sur leur tendance ou bien en désaccord avec les lois passant en leur nom sont considérées comme de dangereux traîtres et des ennemies d’elles-mêmes. Ça va loin. Alors il est vrai que très concrètement, cette loi peut difficilement être appliquée (les législateurs ne pourront pas placer des caméras et des micros dans tous les cabinets de psy du Monde ni dans toutes les églises). En revanche, elle a un pouvoir symbolique non négligeable d’intimidation, de terreur, de dissuasion, d’incitation à la délation (30 000 € d’amende et 1 an d’emprisonnement, qui veut se prendre ça dans les dents ? Une réputation d’homophobe, qui veut s’en défendre ?) et un pouvoir d’action finalement très large, car elle renforce/étend la législation contre l’homophobie, noyaute toujours plus la communauté aussi bien scientifique que religieuse (que celle-ci soit catholique, ou protestante, musulmane, juive), mais surtout musèle encore plus les soi-disant premières personnes concernées par cette loi c’est-à-dire les personnes homosexuelles (qui n’auront plus le droit d’être aidées par un psy ou par un prêtre ou un groupe, qui n’auront plus le droit de souffrir à cause de leur tendance ou pratique homo, et qui ne pourront plus témoigner ouvertement d’homosexualité ni s’opposer à des lois qui passent en leur nom, sous peine d’être traînées en procès de haute trahison interne à la Cause homosexuelle). Ça craint du boudin, en fait. Malgré les apparences, cette loi de prohibition des thérapies est plus homophobe qu’anticléricale et anti-scientifique. Quelle contradiction ! Elle réduit les libertés des personnes homosexuelles sous prétexte de les protéger.
 
 

N.B. : À ce sujet, voir l’interview-vidéo de Philippe Ariño avec Morgan Priest.

L’Allemagne profite de la crise sanitaire pour faire passer sa loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité


 

Comme je l’avais annoncé dans mon dernier livre Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité : la loi-bidon qui passera sans difficulté en France (éd. Vérone) pour l’Allemagne et la France en 2020, l’Allemagne profite de la crise sanitaire pour faire passer par étapes la loi d’interdiction des thérapies de conversion. D’abord les moins de 18 ans, puis après les adultes. Ce sera la même chose en France. Laurence Vanceunebrock-Mialon, la députée lesbienne qui porte la loi et qui a complètement orienté ses auditions à l’Assemblée Nationale pour faire passer les groupes d’accompagnement psychologique ou religieux pour des « sectes dangereuses », s’appuiera d’abord sur la jeunesse et les mineurs. C’est plus victimisant et persuasif. Raison de plus pour lire mon livre, même s’il arrive trop tard.
 

Interview avec Morgan Priest de promotion du livre de Philippe Ariño sur les thérapies de conversion de l’homosexualité

Première et seule interview de promotion de mon livre Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité boycotté y compris par les médias cathos :
 

 

Merci Morgan Priest d’être actuellement le seul journaliste vraiment catholique que je connaisse. Merci aussi aux éditions Vérone de m’avoir fait confiance. #MorganPriest #LGBT #Ariño #Therapiesdeconversion #Vérone

Le tout premier retour de lecture de mon livre

Voici une critique de mon nouveau livre, bien sympathique ! D’un ami polonais, Filip. Ça me fait extrêmement plaisir. D’autant plus que, pour tout vous avouer, c’est le premier retour de lecture qui me parvient. Car il n’y a aucun article, aucune critique, aucune recension, qui est sorti. Et pas même mes amis ne m’écrivent pour me dire ce qu’ils en pensent… ce qui est bien triste et bien dommage. Car un livre, c’est comme une lettre qu’on envoie à un ami et qui demande logiquement un retour, une réponse :
 

« Bravo Philippe Ariño!
 

Ça vaut le coup, je viens de terminer ton nouveau livre et c’est vraiment très intéressant, à conseiller vivement. Ca me tente d’écrire un texte plus long pour faire connaître tes idées, peut-être en polonais (quitte à trouver quelqu’un qui serait intéressé par la publication d’un tel compte rendu). Pas mal de questions et de remarques (une petite partie de négatives aussi😉) qui s’imposent. Je me permets d’en partager quelques-unes (juste en guise d’esquisse et d’introduction).
 

À commencer par des valeurs littéraires de ton livre, parmi lesquelles on peut compter ton empressement (au sens paulien aussi: « Caritas Christi urget nos »), c’est parfois comme si tu courais😉. Je pense que le Ier chapitre où tu dénonces toutes les manoeuvres mensongères et vicieuses de ceux qui prônent l’interdiction est un vrai bijoux rhétorique (en plus d’une belle analyse cinématographique). D’ailleurs juste à la fin tu y reviens, en soulignant que cette nouvelle loi risque de nous fermer de façon efficace la bouche (plus possible de traiter publiquement d’homosexualité et d’en faire débat). D’où l’importance d’en parler maintenant..Finalement, ton livre dépasse largement ce qu’indique son titre. Né de la nécessité du moment présent, il va plus loin: il s’agit aussi (et surtout) de chercher une juste place aux personnes homosexuelles continentes dans l’Eglise et dans le monde.
 

Tu n’es ni pour les thérapies réparatives, ni contre..(même si, de façon ferme tu t’opposes à leur anéantissement). Tu ne considères pas l’homosexualité comme une identité, surtout celle sur laquelle se fonderait l’Amour, mais tu refutes également l’idée de maladie, de pathologie et même de souffrance (en préférant ta sacrée définition: »désir homosexuel comme basé sur la peur de la différence des sexes »😉). Tu rejettes en bloc et sans pitié toutes les nouvelles lois promulguées par LGBT, mais tu es loin de diaboliser gender, tu te sens membre de la communauté homosexuelle, en conseillant plus d’humour envers « lobby gay ». Tu dénonces aussi bien le discours traditionnel visant le déracinement de la tendance que celui nommé « gay friendly », les deux homophobes, ne respectant pas les personnes homos.Tu n’exclus pas la possibilité de la transfiguration d’attirance homosexuelle vers le mariage homme-femme, mais tu constates que c’est peu probable (surtout dans le cas des tendances profondément enracinées). Et à toi donc d’encourager les personnes homosexuelles de faire un don gratuit et radical de leur tendance, de leur peur de la différence des sexe. Tu sembles dire: « Ne cachez pas ce trésor difficile, choisissez la continence en vue du Royaume, le Seigneur se servira de vos peurs (ici s’impose le mot que tu n’aimes pas du tout: « de vos fragilités😀 ») et les transformera en Amour ». Il y a une seule phrase dans le texte où tu parles de l’homosexualité comme d’un handicap. Ceci m’a fait tout de suite pensé à la théologie de Jean Vanier, philosophe et fondateur de l’Arche qui accueille des personnes porteuses d’un handicap mental, qui est d’ailleurs mentionné par toi à une autre occasion. Ce n’est qu’en descendant aux plus bas de nous-mêmes que…
 

Merci bien Philippe Ariño! »

L’imposture Benoît Berthe

Mon livre Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité : la loi-bidon qui passera sans difficulté en France est sorti aux éditions Vérone.
 

 

Bizarrement, pour le moment, zéro invitation presse ou médiatique, que ce soit des médias généralistes comme des médias « catholiques » (qui préfèrent inviter Benoît Berthe qui n’a jamais suivi de thérapies, qui joue les victimes, et qui appuie la loi d’interdiction des thérapies, plutôt que moi qui parle des thérapies de l’intérieur et avec objectivité sans pour autant les cautionner). On en est là. L’Église en France n’a plus de journalistes catholiques ni de clercs vraiment courageux. La corruption morale est généralisée. Le mauvais accueil réservé à mon livre, qui pourtant en mériterait un grand, en est la preuve.
 

Juste je souhaite bon courage aux quelques rares croyants catholiques authentiques et clairvoyants qui restent, et un saint Noël quand même. Les persécutions (orchestrées par leurs autres frères catholiques) ne sont pas loin.
 

(Photo : Philippe Piron)
 
 
 

Réponse de Benoît Berthe sur ma page Facebook :
 








Aucune envie de plaindre les catholiques

Je devais animer une retraite spirituelle dans une communauté religieuse à la fin décembre. Par peur des persécutions et des infiltrations journalistiques, les responsables de la session ont annulé ma venue. Alors même que je suis inattaquable. L’Église va très mal pour donner raison à ses persécuteurs et pour isoler ainsi ses prophètes. Je crois que la grande majorité des catholiques sont complices de leurs persécutions et finalement les méritent.
 

Je n’ai aucune envie de plaindre pas les catholiques qui vont être ou qui sont persécutés. Car pour la plupart d’entre eux, à cause de leur peur (qu’ils appellent hypocritement « prudence »), de leur lâcheté et de leur manque de zèle apostolique, ils donnent raison à leurs agresseurs, donnent des bâtons pour se faire battre, et se rendent complices des persécutions dont ils font/feront l’objet. Ils ne sont pas attaqués pour leur courage ni leurs paroles de Vérité, mais pour leur peur. Alors je leur dirais que qui veut sauver sa vie et sa réputation les perdra ; et qui perdra sa vie et sa réputation à cause de Jésus et de la Vérité les gagnera.
 

Comme les prophètes sont isolés aujourd’hui ! Ils l’ont toujours été. Donc je n’annonce pas de scoop. Mais comme ils le sont aujourd’hui ! Car même ceux qui sont d’accord avec eux ne les soutiennent pas, ne les invitent pas, les ignorent, annulent leur invitation, jouent la carte de la prudence, rentrent dans le terrorisme où les anticléricaux veulent les enfermer… et ils creusent ainsi leur propre tombe. Vous, catholiques, êtes majoritairement complices des attaques que vous subissez/allez subir. J’en ai la preuve avec le thème de l’homosexualité, qui est le fer de lance de l’anticléricalisme actuel. Si vous êtes attaqués sur ce sujet-là, c’est de votre faute : parce que vous n’avez pas voulu en parler. Je n’ai même pas envie de verser une larme pour vous ou de vous plaindre. Je ne pleurerai que la mort et le martyre des catholiques courageux. Et je n’en vois pas beaucoup à l’heure qu’il est.
 

P.S. : Je vois que la soeur dominicaine Véronique Margron, qui occupe une place de leader religieux en France, défend le projet de loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité. Lamentable. Et je vous avais dit que l’un des 4 noms de la Bête de l’Apocalypse était « la passion ».
 



Sortie de mon nouveau livre sur les thérapies de guérison de l’homosexualité

 

C’est marrant comme les nouvelles vont vite !^^ Mon nouveau livre « Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité », qui sort officiellement le 19 décembre, est déjà en vente et en commande sur Amazon, Furet, Decitre… Ça ne me pose pas de problème tant que le prix de vente est respecté (16,50€) et que vous pouvez l’avoir pour Noël. Tant qu’à faire !^^
 

Bonne lecture à vous ! (Les tableaux d’annexes récapitulatifs sur les définitions de « sexualité », « homosexualité », « hétérosexualité », « homophobie », « transidentité » devraient vous plaire).
 

N’hésitez pas à partager cette info, à prévenir votre entourage par mail, et à faire connaître ma démarche (car je ne défends pas les thérapies de conversion, que les choses soient claires).
 

#Vérone #Thérapiesdeconversion #Guérison #Homosexualité #LGBT #Homophobie
 
 

N.B. : Je voudrais remercier d’une part Philippe Michel Piron, le photographe de la photo de couverture, et d’autre part les éditions Vérone dont je suis très fier.
 

N.B. 2 : C’est « marrant », mais ce que j’ai écrit en note de bas de page dans mon livre sur le Mexique va se réaliser dans un mois : l’État va incarcérer et faire payer une amende à tout thérapeute ou prêtre qui aide une personne qui veut changer d’orientation homosexuelle. Les petits despotes pro-gays prévoient la même censure en France pour l’année prochaine. Incroyable.
 

C’est le facteur !

Journée efficace ! Ce matin, j’ai réceptionné le colis Chronopost contenant les 20 exemplaires de mon tout nouveau livre Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité offerts par ma maison d’édition Vérone. Et j’ai fait la tournée des organes de presse, des sièges sociaux des télés ainsi que des journalistes qui seraient susceptibles de m’inviter (je n’ai même pas gardé un exemplaire pour l’offrir à mes proches ou à mes mécènes ou à mon papa pour Noël ou pour moi ! haha. À quoi ça sert ? Et pour Noël, je n’offre rien de matériel parce que je suis fauché de chez fauché lol, tout comme je ne veux aucun cadeau. Voilà, ça, c’est fait ! Et c’est ça, en vrai, Noël : la pauvreté).
 

Je disais donc que la tournée du facteur a été efficace. J’ai arrosé presque tous les présentateurs télé qui m’intéressaient, de mon livre. Ceux que j’ai ciblés :
 

– Olivier Barnot (Un Livre un jour) sur France 3
– Éric Naulleau (De quoi je me mêle?) sur C8
– François Busnel (La Grande Librairie) sur France 5
– Augustin Trapenard (21 cm) sur Canal +
– Natacha Polony sur Polony TV
– Laurent Ruquier (On n’est pas couchés) sur France 2
– Cyril Hanouna (Touche pas à mon poste) sur C8
– Léa Salamé sur France Inter
– Anne-Élisabeth Lemoine (C à vous) sur France 5
– Karim Rissouli (C politique) sur France 5
– Yves Calvi (L’Info du vrai) sur Canal +
– Frédéric Taddeï (Interdit d’interdire) sur RT France
– David Pujadas (L’Info en question) sur LCI
– Jean-Jacques Bourdin sur RMC Découvertes.
– Perrine Tarneaud sur Public Sénat.
 

Je voulais Thierry Ardisson mais je n’ai pas toqué à la bonne porte…
 

Pas mal, hein?^^.
 

Au passage, le réceptionniste de France Télévision est juste un amour de monsieur sur cette terre : bonne humeur, patience, toujours le mot pour rire. Il m’a même offert des grandes enveloppes. Et sinon, j’ai eu un échange prometteur avec un proche collaborateur de Polony, qui a regardé de très près et avec intérêt mon livre, surtout quand j’ai dit par rapport au documentaire d’ARTE (« Homo-thérapies : conversion forcée« ) que ses réalisateurs « mentaient comme ils respiraient » (ce qui est vrai, en plus).
 

Désormais, il ne me reste plus que 4 journalistes à ravitailler. Et bizarrement, je n’ai pensé ni aux despotes de la bienpensance (Quotidien) ni aux chaînes « catholiques » (qui ne servent presque plus à rien et qui ont signé leur arrêt de mort depuis qu’elles refusent de traiter de la Reine de ce Monde actuel, à savoir l’homosexualité).
 

Et là, ce soir, comme si je n’étais pas fatigué, je file à la librairie Le Genre urbain pour la causerie sur la clé USB (donc la Marque de la Bête dans l’Apocalypse). Je vous raconterai !^^

Ça y est : Laurence Vanceunebrock-Mialon se « réveille »…



 

Ça y est : La députée lesbienne Laurence Vanceunebrock-Mialon, portant le projet de loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité, vient de découvrir la sortie (dans 2 semaines) de mon livre sur le sujet, et ironise déjà. C’est bien : cette femme si ouverte et si tolérante (… avec les gens qui pensent comme elle 😂) va avoir l’occasion d’entendre pour la première fois parler des thérapies de conversion de l’intérieur, et pas seulement par des gens de l’extérieur… même si je doute que, pour le coup, ça l’intéresse. Elle, elle préfère s’en tenir aux fantasmes victimisants… C’est plus lucratif.