La Singularité en tant que Marque de la Bête, ce soir, sur France 2, dans l’émission Beau Geste


 

BINGO ! Ce soir (dimanche 8 juin 2025), alors que mon coloc regardait en dilettante la télé sur France 2, branchée en direct sur l’émission Beau Geste, j’ai entendu accidentellement la Singularité en tant que Marque de la Bête (j’avais une oreille qui traînait) !
 

En effet, l’acteur Tahar Rahim, présentant le film « Grave » (2017) de son amie réalisatrice Julia Ducourneau (présente face à lui), film dont l’héroïne est comme par hasard cannibale, s’est mis à parler de « singularité » en lien avec une signature et avec la monstruosité :
 

« Je me souviens, quand j’ai vu ‘Grave’ pour la première fois, que j’ai adoré, j’ai été d’abord très transporté, de manière sensorielle et émotionnelle. Et ensuite, à chaque fois, le film reste en tête, j’ai des images qui reviennent, des questionnements, des bouts de dialogues, des choses, et tout… Et en fait, quand on voit arriver une signature et une vision singulière unique, c’est-à-dire une grande cinéaste [Julia Ducourneau] qui arrive avec un premier film, c’est bouleversant. »
 

Vous pouvez regarder le replay, c’est de la 33e à la 38e minutes, dans le reportage sur le « Femgore » intitulé « Les réalisatrices s’emparent du cinéma de genre ! », agrémenté des commentaires bobos-féministes des journalistes cinéma Marine Bohin puis Fleur Hopkins-Loféron, qui abordent la « jouissance de la dévoration » et s’extasient sur l’empowerment féminin de la violence, comme un retournement magnifique, un coup de griffes à la supposée « Domination masculine »…