Publication de l’épisode 16/57 de SINGULARITY IS DEVIL : « Se former sur l’Antéchrist »

Épisode inédit (épisode 16/57) du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : « Se former sur l’Antéchrist » ! Efficace !
 

 

Avec la participation exceptionnelle du chanteur Jacky M (Monseigneur!) et de Jean-Pierre Darok ! Merci à eux !
 

Et je ne cache pas ma jubilation d’avoir fait dire à Reinhardt Schlossen – musulman pratiquant – la toute dernière phrase haha (Oui, je suis un coquin ^^).
 

Pour la petite histoire, l’enregistrement de Reinhardt s’est fait dans sa voiture !!! (loool) Pas le choix : on n’avait pas de lieu calme où le faire ailleurs…

Deux nouveaux épisodes de SINGULARITY IS DEVIL : les épisodes 14 et 15 !

Deux nouveaux épisodes du roman-podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL de Philippe Ariño sortent en même temps sur YouTube et sur Spotify : l’épisode 14 intitulé « Le Coin gâté » et l’épisode 15 intitulé « This is Singularity » !
 

Avec, pour l’épisode 14, la participation exceptionnelle du chanteur et présentateur télé Jacky M, dans le rôle du cardinal ivoirien Mgr Séka ! (Maintenant, vous devez l’appeler « Monseigneur » ! )
 

 

La Singularité en tant que Marque de la Bête, ce soir, sur France 2, dans l’émission Beau Geste


 

BINGO ! Ce soir (dimanche 8 juin 2025), alors que mon coloc regardait en dilettante la télé sur France 2, branchée en direct sur l’émission Beau Geste, j’ai entendu accidentellement la Singularité en tant que Marque de la Bête (j’avais une oreille qui traînait) !
 

En effet, l’acteur Tahar Rahim, présentant le film « Grave » (2017) de son amie réalisatrice Julia Ducourneau (présente face à lui), film dont l’héroïne est comme par hasard cannibale, s’est mis à parler de « singularité » en lien avec une signature et avec la monstruosité :
 

« Je me souviens, quand j’ai vu ‘Grave’ pour la première fois, que j’ai adoré, j’ai été d’abord très transporté, de manière sensorielle et émotionnelle. Et ensuite, à chaque fois, le film reste en tête, j’ai des images qui reviennent, des questionnements, des bouts de dialogues, des choses, et tout… Et en fait, quand on voit arriver une signature et une vision singulière unique, c’est-à-dire une grande cinéaste [Julia Ducourneau] qui arrive avec un premier film, c’est bouleversant. »
 

Vous pouvez regarder le replay, c’est de la 33e à la 38e minutes, dans le reportage sur le « Femgore » intitulé « Les réalisatrices s’emparent du cinéma de genre ! », agrémenté des commentaires bobos-féministes des journalistes cinéma Marine Bohin puis Fleur Hopkins-Loféron, qui abordent la « jouissance de la dévoration » et s’extasient sur l’empowerment féminin de la violence, comme un retournement magnifique, un coup de griffes à la supposée « Domination masculine »…

Ce qui risque d’être chaud…

Ce qui va être « chaud » pour mon essai traitant de la « Singularité en tant que Marque de la Bête », c’est d’aborder en conclusion le grand danger que constitue le/une certaine idée du Christ, le Christ-Énergie moniste ou « Christ cosmique » théorisé par le jésuite Teilhard de Chardin (qui a d’ailleurs, comme par hasard, écrit « Les Singularités de l’espèce humaine » en 1954). Car même si Jésus est la seule Singularité qui vaille, que nous devons suivre et défendre, il ne va pas falloir, pendant cette « christomania » qui va envahir toute l’Humanité à la Fin des Temps sous le règne de l’Antéchrist (y compris les Juifs et les Musulmans s’y mettront : on va revivre mondialement les Rameaux, l’entrée de Jésus à Jérusalem; et presque tous les êtres humains vont se revendiquer « chrétiens » et fans du « Christ »!), se tromper de Christ. Il ne va pas falloir se méprendre sur qui Il est. Non, Jésus n’est pas une Force physique et énergétique toute-puissante et éclatante, qui s’imposerait : il n’est qu’une force (d’Amour) fragile, vulnérable et misérable, qui nous laisse libres de le choisir ou non.

Ce qui est sidérant

Ce qui est sidérant, c’est de passer pour « homophobe » ou « de droite » (voire d’ « extrême-droite ») en s’opposant au « mariage gay », alors qu’il n’y a pas de loi plus « de droite », « homophobe », bourgeoise et libérale d’un point de vue économique, que celle-là… (trafic humain : d’enfants, de parents, et de personnes homos).

Plan de mon futur livre « La Singularité est la Marque de la Bête »

 

Une fois que j’aurai fini mon roman-podcast Singularity is Devil (ou peut-être en parallèle), j’ai de quoi écrire un petit livre de vulgarisation de 100 pages sur la Singularité en tant que Marque de la Bête apocalyptique. Je viens de m’amuser à écrire un plan.
 
 
 
Titre potentiel : « LA SINGULARITÉ EST LA MARQUE DE LA BÊTE »
 
 
INTRODUCTION :
 

– Le mot « singularité » apparaît depuis 3-4 ans sur nos écrans.
 

– Mon histoire avec ce mot-là (souvent en lien avec une marque-signature et avec un animal-bête-monstre) : Comment j’en suis arrivé là ? (boussole de l’homosexualité, de la Franc-Maçonnerie et des Saintes Écritures).
 

– Réactions générées par mon étude. Un mot mal-aimé autant qu’idolâtré (Ce n’est pas la réalité de la singularité qui pose problème, mais bien l’acception et l’instrumentalisation actuelles du concept en vue d’imposer universellement la Marque de la Bête).
 

– Description des caractéristiques de la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse.
 
 

CHAPITRE 1 : DIFFÉRENTES DÉFINITIONS DU MOT « SINGULARITÉ »
 

1 – Les neutres :
 

– Singularité en tant qu’unicité (acception du dictionnaire, ainsi qu’acception existentielle, anthropologique, propre à la condition humaine).

– Singularité en tant que nouveau Big Bang (trous noirs) (acceptation arithmétique et astrophysique).
 

2 – Les négatives :
 

– Singularité en tant que Grand Remplacement de l’Humain par la machine (acception anglo-saxonne).

– L’essai pionnier Singularity is near de Ray Kurzweil.
 

3 – Les positives et brillantes (la Singularité magnifique et luciférienne) :
 

– Vénération de la différence en soi, de l’exceptionnalité (d’opposition aux autres et à Dieu).

– Singularité en tant que bizarrerie autant rebelle que supposément victorieuse.
– Il n’y a que la dimension luciférienne du mot « Singularité » qui m’intéresse : la Singularité comme synonyme du « Vous serez comme des dieux » du serpent génésique, d’originalité, de force d’immanence et d’auto-création (acception franc-maçonnique, gnostique et spirite).
 
 

CHAPITRE 2 : EXEMPLES MÉDIATIQUES CONCRETS D’ASSOCIATION INCONSCIENTE DU MOT « SINGULARITÉ » À LA MARQUE DE LA BÊTE APOCALYPTIQUE
 

1) Ce qui me fait dire que la piste de la Singularité en tant que Marque de la Bête apocalyptique est la bonne et la meilleure :
 

– les échos et intersections improbables entre les énonciateurs involontaires du lien (Si tu ne le connais pas, impossible de le faire seul !)

– l’ignorance de ceux qui font le lien (le caractère inconsciemment prophétique de la culture populaire de merde)

– la pluralité et la diversité des sources (ça dépasse les époques et les espaces géographiques)

– l’infiltration de la singularité dans l’Église Catholique et l’adhésion inconsciente de la plupart des clercs à la Marque de la Bête (la « vaccination » anti-COVID : le galop d’essai, la préfiguration de la Marque de la Bête).
 
 

2) Les exemples concrets trouvés dans la culture de masse, ignorante du lien entre « Singularité » et « Marque de la Bête » :
 

– l’émission « La France a un incroyable talent » (Éric Antoine lors de la finale du 20 décembre 2024)

– la série nord-américaine « Elsbeth » (saison 1 épisode 8 intitulé « Arnaque artificielle » ; saison 2 épisode 5 intitulé « Cheffe oui cheffe ! »)

– l’émission « The Voice » (Jean-Louis Aubert lors de la demi-finale face au trio Il Cello, en avril 2025 + Big Flo et Oli parlant du Monstre en 2024 + présence de la chanteuse « Monstre » en 2019 + la chanteuse et jurée Rosario dans « La Voz Kids » Espagne)

– le Monde la musique (la chanson « Singularidad » de Suno + l’univers de Lady Gaga + concert d’Eddy Pretto tournée 2024-2025)

– la série « Demain Nous Appartient » (l’épisode 288, avec le personnage de Timothée, l’ado autiste)

– la B.D. jeunesse « Mortelle Adèle »

– le jeu vidéo « Singularity » de Dan Vondrak (2010)

– les romans libertins du XVIIIe siècle (Crébillon fils, Diderot) + les romans de Bernanos

– la série « Joséphine ange gardien » (épisode 91 « Retour vers le Futur » + l’ensemble de la série)

– l’article « The Dog Singularity » de Jeremy Kun (dans le site « Medium », 22 janvier 2016)

– l’émission « Star Academy » (Marlène Schaff)

– premiers mots de l’introduction de l’essai « L’Avènement de la singularité » (Éd. Textuel, 2024) de Paul Jorion

– le dessin-animé « Scooby-Doo »

– le discours de l’entrepreneur Oussama Ammar

– la série « Astrid et Raphaëlle » (dernier épisode de la saison 5, lors du mariage d’Astrid)

– la veste de Jarry dans « Games of Talents » (sur TF1 en août 2021)

– les noms des voitures, chars, avions de combat, fusée, actuels + la publicité du paiement sans contact (carte VISA)

– l’émission « Les Traîtres » et la popularisation du concept ludique des « Loups-garous » (Gérard-Brice Viret, à l’avant-première de « Loups-Garous » au cinéma le Grand-Rex de Paris, le 2 octobre 2024)

– films à l’affiche actuellement au cinéma (hybridation Humain-animal)

– les phénomènes de la transidentité et de la transsexualité
 
 
 

CONCLUSION :
 

La Singularité est bien la Marque de la Bête.
 

Comment lutter contre la singularité angélico-bestiale ? (la vraie et seule singularité que nous devons suivre, c’est la personne de Jésus-Christ… mais attention au Christ-Cosmique de Teilhard de Chardin)

Eddy de Pretto présente la Singularité comme la Marque de la Bête

Cet après-midi, en parlant de Singularité en tant que Marque de la Bête à une amie avec qui j’ai pris un pot, cette dernière m’a raconté qu’elle s’est rendue le 30 mars dernier au concert d’Eddy de Pretto (chanteur ouvertement homosexuel) à Cannes, et qu’il a forcé son public à lire et à scander bien fort à l’unisson le slogan « CULTIVEZ VOTRE SINGULARITÉ » écrit en rouge sur l’écran géant.
 

C’était juste après sa chanson « Parfaitement ». Et en conclusion, pendant que la phrase apparaissait, il s’est mis à conclure, par cette phrase mi-slamée mi-chantée qui célèbre une monstruosité magnifique :
 

« N’oubliez jamais de cultiver votre singularité… À tous les bizarres, les étranges, les bâtards… À tous les seuls, seuls dans leur chambre dans le noir. »