Divisé par Di Vizio


 

Malgré la nécessité de cette voix de contestation qu’est l’avocat Di Vizio, malgré son courage, malgré l’urgence de la situation et de l’unification des forces au-delà des désaccords et des clivages partisans, j’ai le regret de dire qu’il y a beaucoup de choses qui ne vont pas dans le discours de Di Vizio et de Florian Philippot. Et ce n’est pas de ma part « chercher la petite bête » ni une « crise d’égo d’éternel insatisfait » (J’ai beaucoup plus confiance en l’humilité et l’humour d’une Alexandra Henrion-Caude ou d’un Dr Louis Fouché, par exemple). C’est juste qu’il ne faut pas, même si les intentions semblent bonnes, se planter de Combat. Déjà, à la Manif parisienne du 24 juillet dernier, il y avait dans le discours d’un Philippot énormément de mimétisme (donc de haine, de vengeance, d’imitation inconsciente de l’ennemi dénoncé, de Franc-Maçonnerie aussi) et de propos qui m’ont laissé mal à l’aise car ils étaient maçonniques. Et j’entends dans les mots de Di Vizio les mêmes problèmes idéologiques (la reprise du slogan macroniste de « guerre » ou de la rhétorique libertaire des libertins, le refus catégorique de la confiance, un orgueil et un gnosticisme caractéristiques de la Franc-Maçonnerie. D’ailleurs, à la fin de sa vidéo, Di Vizio déclare textuellement, dans la lignée du mouvement intellectuel et scientifique #NousSavons, qu’il veut lancer « la Guerre de la Connaissance ». Y’a quand même un gros souci). Je ne dis pas que l’arsenal intellectuel, scientifique, politique, juridique, n’est pas nécessaire ni rassurant (bien au contraire). Je ne dis pas qu’en temps de persécution écrasante, la véhémence et la menace n’ont pas non plus leur place. Mais dans l’opposition un peu trop sanguine et impulsive, le risque est d’imiter inconsciemment ce que nous dénonçons, voire de le créer… Ce n’est pas parce que nous appartenons au même mouvement et que nous avons des buts communs que nous devons nier nos différences voire même que nous partageons finalement le même combat. L’unité dans le combat peut être une chimère. Et je me méfie des justiciers auto-proclamés, en général, et autres que Jésus.
 

Le discours de Philippot suinte l’humanisme intégral (l’autre nom de la Bête) et le scientisme. Exactement comme le Gouvernement Mondial qu’il dénonce.

Le fossé incommensurable d’incompréhension entre les pro « vaccins » qui ne trouvent pas le Pass Sanitaire « grave » (c’est juste le mouvement de contestation de ce dernier qui leur paraît « grave »…) et les anti « vaccins » qui alertent de la gravité du tournant civilisationnel irréversible que ce Pass reflète


 

Il ne vous aura pas échappé, depuis l’allocution hallucinante du Président Macron le 12 juillet 2021 dernier qui a littéralement divisé la France, que deux camps (pas si « caricaturaux » que ça, contrairement aux dires de ceux qui souhaitent la paix des ménages, la paix civile, et éviter les amalgames fracturant notre pays) – « vaccinés » et non-« vaccinés » (ou, plus subtil : les pro « vaccin » et les anti « vaccin »… étant donné qu’il existe de plus en plus de personnes « vaccinées » s’opposant à l’injection qu’ils ont reçue à contre cœur et par chantage) – se sont formés et ne pourront plus ni se comprendre ni se retrouver.
 

On constate, avec sidération pour ceux qui comprennent les enjeux du « vaccin » et du Pass Sanitaire, à un fossé énormissime dans les réactions. Ça part dans les extrêmes… donc ça illustre un dialogue de sourds et une incommunicabilité forte : soit côté pro « vaccins » c’est la banalisation complète et décomplexée de la situation (et le pire, c’est qu’ils sont très sincères quand ils nous disent qu’ils ne comprennent pas nos manifestations contre le Pass Sanitaire, les qualificatifs de « dictature » affublés au régime politique français actuel ; ils jugent aussi que, par la facilité que nous aurions à pouvoir éviter le chômage ou l’apartheid social que nous dénonçons – il suffirait que nous acceptions une petite piqûre de rien du tout pour que notre « cauchemar » s’achève ! – ce seraient nous-mêmes qui nous auto-exclurions et qui serions nos propres dictateurs ! Les enfants gâtés nous prennent pour les enfants gâtés : c’est sidérant), soit côté anti « vaccin » COVID c’est la panique puis la révolte, ou bien, de manière plus catholique et sainte, l’opposition ferme, déterminée, dans l’Espérance mais quand même la conscience qu’un virage extrêmement dramatique a été pris d’un point de vue national et mondial.
 

C’est hallucinant et paradoxal mais c’est ainsi : La Fin du Monde, ou l’horreur, aux yeux des méchants et de ceux qui leur sont soumis, paraît et paraîtra, grâce aux commodités qu’il ou elle leur apporte (pain et jeux, sécurité, facilité, confort matériel, praticité, côté « élection » et « préférence » conféré par le privilège, etc.), quelque chose de tout à fait « acceptable », « rassérénant » voire « divin ». Comme le soulignait le philosophe français Michel Foucault (décrivant par exemple la mitoyenneté des camps de concentration nazis avec des quartiers pavillonnaires bourgeois respirant la quiétude et le bonheur en pleine Seconde Guerre mondiale), l’horreur côtoie le bonheur et la banalité de très près !
 

Et pour le privilégié qui se trouve à l’abri et au sec, il a beau voir qu’il pleut dehors, il ne comprend pas le malheur et la gravité de ceux qui, dehors, souffrent concrètement de la pluie, du déluge et de ses conséquences, mais aussi de son rejet : tous les drames lui paraissent, sinon existants, au moins exagérés. « Rien n’est grave puisque rien ne l’atteindra ! » pense-t-il, dans son immense orgueil et son immense naïveté. Pourtant, même son sentiment de paix (teinté chroniquement de peur, émaillé de quelques crises d’angoisse irrationnelles et de paranoïa : comme vous pouvez le constater, même les « vaccinés », qui pourtant devraient dormir désormais sur leurs deux oreilles vu qu’ils se croient « protégés », s’imaginent encore et toujours qu’ils peuvent être contaminés par la minorité de gens non « vaccinés » ou par un variant du virus initial qui a muté) est funestement prophétique, eschatologique. Je citerais volontiers, dans la Bible, la Première Lettre de saint Paul aux Corinthiens : « Quand les gens diront : ‘Quelle paix ! Quelle tranquillité !’, c’est alors que, tout à coup, la catastrophe s’abattra sur eux, comme les douleurs sur la femme enceinte : ils ne pourront pas y échapper. » (1 Cor 5, 3).
 

La tranquillité et la paix vantées en ce moment par les bourgeois matérialistes qui ont accepté le « vaccin » pour conserver leurs petits privilèges sont, de leur part, un aveu inconscient de leur peur pathologique et de leur égoïsme, ainsi que de leur déconnexion des vrais pauvres, mais aussi une confirmation que la Fin des Temps « pour tous » est proche puisque leur attitude d’indifférence à l’injustice et de fausse paix a été prophétisée mot pour mot par saint Paul.
 

Au fond du fond, au milieu de cette confusion mondiale entre « sécurité » et « Amour », il nous est révélé à tous la différence fondamentale (et inconciliable) entre paix venant du Monde (une paix unitaire, aseptisée, sécuritaire, visant l’absence de violences et de conflits, l’absence du mal, et l’uniformité) et la Paix venant de Jésus (un Paix qui n’est pas confortable, et qui, par Amour, tolère la Croix, le risque, le mal, et par Justice et haine des injustices, partage et divise le bon du mauvais, en détruisant le mauvais). La différence aussi entre Amour et tranquillité. Pour aimer vraiment, il faut se risquer, risquer sa vie et renoncer à la tranquillité. Tout récemment, mon propriétaire, très gentiment, m’a conseillé de me faire « vacciner » : « Vous serez tout de même plus tranquille. ». Tout aussi gentiment, je lui ai ris au nez, en lui disant : « Mais moi, je n’ai jamais voulu d’une vie ‘tranquille’ ! ». Je lui ai presque avoué que la vie tranquille dont il rêve était mon pire cauchemar !

Le vaccin gay (Homosexualité = étroite complice de la « vaccination » de masse ; et le « vaccin » anti-COVID = manière d’injecter au Monde l’idéologie LGBT)

« Are you pro life ? Do you reverence human life ? Then get vaccinated for God’s sake. I mean that literally. » (traduction en français : « Êtes-vous pro-vie ? Défendez-vous la vie humaine ? Alors faites-vous vacciner pour l’Amour de Dieu. Je le dis franchement. »).
 

Ce sont les mots du prêtre jésuite nord-américain gay friendly James Martin qui viennent d’être postés et « likés » en masse sur Twitter. (Entre parenthèses, pour qui se prend-il pour nous donner ce genre de conseils de santé intime très graves et lourds de conséquences ? Il a des parts chez Pfizer ou quoi ? L’humanisme intégral est bel et bien l’autre nom de la Bête de l’Apocalypse.)
 

Je voulais juste attirer votre attention sur un rapprochement que personne ne fait (car il est invisible, et que les deux sujets semblent complètement étrangers l’un par rapport à l’autre) entre « vaccination » et « promotion de l’homosexualité », mais qui existe réellement, et qui saute aux yeux une fois qu’on l’a identifié.
 

Entendez-moi bien : j’ai bien dit « promotion de l’homosexualité » (justification de la pseudo « identité homo » et du pseudo « Amour homo », ainsi que pratique homosexuelle) et non « homosexualité » (la tendance homosexuelle non-actée et non-justifiée : dans mon cas, je ressens cette tendance mais pour autant je suis contre ces soi-disant « vaccins » anti-COVID ; et un certain nombre de personnes homosexuelles aussi : Florian Philippot par exemple…).
 

 

Donc en gros, je ne suis pas en train de dire que toutes les personnes homosexuelles seraient des agents du Gouvernement Mondial et justifieraient la « vaccination ». Je crois en revanche que quasi toutes les personnes gays friendly voire pratiquant/justifiant leur tendance sont comme par hasard « vaccinées » et défendent – aussi bien dans la sphère privée que dans la sphère publique et politique – l’obligation « vaccinale » de masse. Je pense notamment à Gabriel Attal, porte-parole du Gouvernement, et dont l’homosexualité pratiquée est de notoriété publique ; je pense à la députée lesbienne Laurence Vanceunbrock-Mialon qui a fait approuver la PMA sans père et qui est à fond pro « vaccins » ; je pense à notre président français Emmanuel Macron, dont la bisexualité savamment cachée n’est un secret pour personne ; je pense au président de l’Assemblée Nationale Richard Ferrand, franc-maçon et gay friendly jusqu’au bout des ongles (il est l’artisan du « mariage » gay) ; je pense à la ministre de l’égalité femmes-hommes, des diversités et contre les discriminations, Élisabeth Moreno, qui fait tout pour imposer les lois LGBT à la France et qui, avant Macron, a fait pression pour la « vaccination » obligatoire ; et je pense même à notre ministre de la santé et des SOLIDARITÉS (Tout comme le mot « Diversités », « Solidarités » est à entendre comme un synonyme d’« homosexualité pratiquée et justifiée identitairement ») Olivier Véran, pourtant marié avec des enfants, mais – croyez-en mon « Gaydar » ( = radar à gays) – est, à mon avis, bisexuel (son cheveu sur la langue, sa manière de s’exprimer et de se mouvoir ; et puis surtout, ses « engagements » politiques : en 2015, il a milité pour la levée de la discrimination des personnes homosexuelles au don du sang ; et en ce moment, il est aux manettes de la loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité, ainsi que de la promotion de la transition transsexuelle des adolescents transgenres). Donc intentionnellement et politiquement, homosexualité pratiquée ou justifiée identitairement/sentimentalement et « vaccin » marchent main dans la main. Que la population mondiale s’en rende compte ou non, ou que ce soit conscient ou non chez eux, les promoteurs du « vaccin » cherchent à travers ce dernier à promouvoir et imposer l’homosexualité au Monde.

 

Ça, ce n’est qu’au niveau politique. Mais j’ai remarqué aussi que d’un point de vue plus populaire (c’est très visible sur les sites de rencontres gays, où les internautes montrent qu’ils sont de parfaits petits soldats des mesures sanitaires), l’homosexualité pratiquée étant d’une part un signe d’attachement matérialiste très marqué (c.f. voir mon Dictionnaire des Codes homosexuels tous les symboles renvoyant au désir homosexuel en tant que désir d’être objet) et d’autre part un signe de peur (l’homosexualité pratiquée est l’homophobie, comme je l’explique dans L’Homophobie en Vérité).

 

Il y a une parenté de combat, une affinité, un rapprochement entre lutte LGBT et pandémie (on l’a vu pendant l’année 2020 du confinement mondial : beaucoup de lois LGBT sont passées dans les pays pendant que le spectre du virus Corona était agité et faisait diversion). Tout comme il y a une association de malfaiteurs insoupçonnée entre personnes homosexuelles pratiquant leur homosexualité et francs-maçons (Dernièrement, j’ai rencontré un grand nombre de personnes homosexuelles qui m’ont révélé être francs-macs).
 

Tenez-vous-le donc pour dit. Par l’homosexualité, le Gouvernement Mondial essaie de vous imposer le « vaccin ». Par le « vaccin », Il essaie de vous imposer l’homosexualité. Vous verrez très souvent les deux sujets corrélés. Et ce n’est pas un hasard. Les gay friendly et les défenseurs du « vaccin » travaillent pour le même maître. Et ce maître n’est pas Jésus (même si, de plus en plus, certains parlent en son nom). Et symboliquement, vous verrez à la soumission de beaucoup au « vaccin » leur niveau de « gay friendly attitude », de corruption à l’idéologie promotionnelle de l’homosexualité. Et ce, en particulier chez les prêtres, les évêques et les cardinaux « catholiques ». J’ai envie de dire « Plus tu es pro-vaccin, plus tu dévoiles à ton insu ta collaboration avec le lobby pro-gays ». Et si je me trompe, qu’on me le démontre.
 

 
 

N.B. : La Bonne Nouvelle dans tout ça, pour nous personnes homosexuelles opposées à la « vaccination », c’est que notre refus catégorique du « vaccin » va logiquement et librement s’accompagner d’un renoncement à la pratique homosexuelle, donc de la continence (si et seulement si nous persévérons jusqu’au bout dans notre rejet de ce « vaccin »). Et le refus de la « Marque de la Bête » sera le signe que nous sommes effectivement continents et détachés du matériel et des idoles (de la société matérialiste ; dont la plus grosse = l’homosexualité). Les maîtres-mots de notre résistance : PAUVRETÉ et CHASTETÉ.

La Manif du 24 juillet contre le Pass Sanitaire : le coup d’épée dans l’eau

Je me suis rendu à la Manif du 24 juillet à Paris au Trocadéro contre l’obligation du Pass Sanitaire.
 

 

Mon avis : un coup d’épée dans l’eau. Un rassemblement de BADE (Bobos Anars D’Extrême droite). Le discours de Florian Philippot reprenait mot pour mot tout le jargon antéchristique et maçonnique de mon Dictionnaire des Codes Apocalyptiques : bref, un désastre. Et les réacs droitards venaient vers moi pour défendre leur « maître » le Cardinal Sarah quand ils voyaient ma pancarte – pourtant drôle et juste – « Le ‘vaccin’ = C’est NON ! (… sauf pour le Cardinal Sarah) ». Ce qui m’a scié, c’est que les manifestants et les orateurs souffrent d’une incroyable amnésie : ils ont déjà oublié le « vaccin » pour le remplacer par le « Pass Sanitaire » et pour se concentrer sur le concept vide de « Liberté ». Bref, on se plante complètement de cible. Le seul point positif, c’est que j’étais avec des amis, et que je m’en suis fait d’autres.
 

Désolé si je sape le moral de certains résistants (car on n’a pas besoin, surtout en ce moment, du défaitisme des éternels insatisfaits… dont je ne fais pas, malgré les apparences, partie), mais je dois être réaliste et sortir de tout triomphalisme mensonger. Je ne crois pas qu’en l’état actuel des choses, ce genre de manifestations serve à grand-chose. Tous les manifestants autour de moi semblaient conquis et convaincus. Pourtant, les discours étaient étonnamment creux. Tout tournait autour de la liberté. Et les concepts étaient tous étonnamment maçonniques. Il y a même un type complètement paranoïaque qui est venu me féliciter pour ma pancarte (car j’étais quasiment le seul à parler du « vaccin »). Une amie catho qui m’accompagnait était ravie de ses mots et ne s’est même pas rendue compte qu’il tenait un discours 100% franc-mac (Quand je lui parlais de « prière », il me disait qu’au moment où nous manifestions « une centaine de Rosicruciens étaient en communion de prière avec nous »). Les catholiques dans leur grande majorité n’y connaissent tellement rien en Franc-Maçonnerie qu’ils tombent les deux pieds dans le panneau. La Manif était en grande majorité composée de musulmans (beaucoup de femmes voilées, même) et de francs-maçons mais d’extrême droite qui se croient anti-Franc-Maçonnerie. C’était affolant. L’un des groupes francs-maçons d’extrême droite était d’ailleurs bien représenté : le Cercle Aristote. Pierre-Yves Rougeyron avait une place de choix parmi les orateurs de la Manif.
 

Les opposants au « Système » (Philippot, Di Vizio, etc.) emploient exactement le jargon libertaire des libertaires qui nous dirigent. En réalité, les libertaires athées ne font que s’opposer entre eux et se disputer le pouvoir. Et nous, au milieu, on n’a plus qu’à compter les points. Moi, je vous le dis tout de suite : je ne me déplace pas pour défendre la « Liberté ». Ni l’auto-détermination (Philippot parlait justement d’auto-détermination, de volonté individuelle, et utilisait tout le jargon maçonnique de l’humanisme intégral : « ADN », « optimisme », « valeurs », « volonté », « unité », « idée », « résistance »… Ça m’a effrayé). Ni même l’idée millénariste de « Nation » ou de « Civilisation ». J’attends un vrai programme catholique.
 

Et visiblement, ça ne viendra pas de nos évêques français, qui sont d’une mollesse hallucinante. En ce moment, certains catholiques s’extasient devant le soi-disant « courage » qu’aurait eu Mgr Aillet dans son communiqué contre l’obligation vaccinale. Euh… Comment vous dire? Au lieu de clairement dénoncer, Mgr Aillet passe son temps à « s’interroger » (Je vous engage d’ailleurs à compter le nombre de fois où il « se questionne » dans le texte ; c’est d’ailleurs un des codes de mon Dictionnaire des Codes Apos : la posture « questionnante »). Est-ce cela, la vraie prise de position ? Non. C’est mou de chez mou ! Quand est-ce que nous allons avoir un évêque qui se lève, qui dépasse les mondanités (pour sauver sa carrière) et qui va prendre le risque de l’impopularité ??

L’heure est grave : les hôpitaux vont trier les malades sur la base du Pass Sanitaire. C’est la chute de la France


 

Voilà. Ce n’est plus de la fiction. Ils vont trier les malades dans les hôpitaux. Cette nuit, l’obligation du Pass Sanitaire dans les hôpitaux et EHPAD (maisons de retraite) a été rejetée en 1er vote, MAIS le Gouvernement a fait revoter encore une 2ème fois l’Assemblée Nationale à 5h du matin en 2de délibération et finalement elle a été adoptée!! Et à terme, le Pass Sanitaire, c’est la fin prochaine de la Sécurité Sociale (donc de la véritable solidarité).
 

En clair, si tu n’as pas le Pass Sanitaire (donc si tu ne t’es pas fait « vacciner »), tu ne pourras pas être soigné !! Beaucoup d’indécis trouvaient que ceux qui traitaient Macron d’« assassin » ou de « dictateur » exagéraient. Mais finalement les seconds avaient raison. Refuser de soigner quelqu’un car il n’est pas vacciné est une honte. Refuser qu’un père, une mère, un fils, une fille non « vacciné » rendent visite à un malade ou un mourant est une abomination. Je n’ai pas les mots pour décrire ce que je ressens. C’est ignoble, ce qu’est devenue la France. Une honte à l’International. Comment a-t-on pu tomber aussi bas ?
 

Et le pire, c’est que la majorité des Français soit a tout à fait conscience de céder à un odieux chantage (j’ai une amie qui a reçu sa première dose hier, à contre-cœur, et en étant « fermement » opposée au « vaccin » anti-COVID ; et en interrogeant les autres personnes qui l’entouraient dans le centre de vaccination, elle s’est rendu compte que tous étaient conscients de se faire « vacciner » par chantage), soit n’en a pas du tout conscience et ne trouve rien à redire à la politique totalitaire de Macron. C’est estomaquant en même temps qu’effondrant. On assiste à un total renversement des valeurs : ce sont les soignants (qui ne cèdent pas à la pression de la « vaccination » obligatoire) qui sont considérés comme les malades ; c’est le COVID qui est considéré comme plus grave que les cancers ; ce sont les personnes saines mais non « vaccinées » qui sont considérées comme « contagieuses » et « malades » (J’ai une amie italienne vaccinée que j’avais prévu de rencontrer dans les jours qui viennent car elle est en séjour touristique en France, et qui vient de me dire qu’elle préfère me voir avant la Manif de demain après-midi car – je la cite – « ce sera plus safe » : je n’ai même pas eu la force de lui répondre quoi que ce soit. J’ai juste pensé en moi-même : « Ça y est : c’est nous, les sains, qui passons – aux yeux des ‘vaccinés’ – pour les pestiférés… C’est le Monde à l’envers. »).
 

S’ils ferment les hôpitaux aux non « vaccinés », que va-t-il en être de toutes les autres institutions nationales moins urgentes ? Car on n’est plus en train de parler de se priver du « superflu » (cinéma, théâtre, restaurants). On parle de se priver du « parfois VITAL », là !! (travail, supermarchés, administration, hôpitaux…). De mon côté, je sais qu’avec mon RSA comme revenu, je suis sur la sellette. Ça m’a été dit depuis quelques mois par ma conseillère Pôle Emploi. Mais même moi qui n’ai pas de gros besoins au niveau financier, je ne sais pas combien de temps je vais tenir, ni si je vais pouvoir payer mon loyer. D’autant plus que je vois que Macron (le dictateur : si si) commence à couper les vivre aux personnes dans le besoin, et veut imposer (sous forme de « vaccin » puis de puce ou de marque numérique) le fameux revenu universel : il montre tout récemment son désir de supprimer le RSA (Revenu de Solidarité Active) et de le remplacer, pour les jeunes, par un « Revenu d’Engagement »… ce qui revient donc au Revenu Universel, cette fois pucé.
 

Je vais donc redoubler d’efforts pour 1) refuser quoi qu’il m’en coûte ce soi-disant « vaccin » ; 2) vivre la CHASTETÉ et la PAUVRETÉ (qui, avec la prière, sont à mon avis les 3 principaux piliers qui me feront tenir jusqu’au bout) ; 3) me préparer à partir à tout moment de Paris (en vidant progressivement ma chambre) si je sens que je ne peux plus payer mon loyer ou que les contrôles des brigades sanitaires passent à l’offensive et viennent un jour contrôler/vacciner les gens carrément chez eux (Vu que nos gouvernants ont été capables de supprimer l’accès aux hôpitaux aux fragiles et aux malades en conditionnant ce dernier au Pass Sanitaire, ils sont désormais aussi tout à fait capables de lancer une vaste campagne de « vaccination » forcée sur tout le territoire pour mater les « dangereux et contagieux récalcitrants » ! Rien ne les arrête, visiblement).
 

Voilà où j’en suis. Je ne peux dire qu’une chose : COURAGE aux résistants (On va sans doute faire prochainement une « Soirée Dissidence » anticipée, vu l’accélération des tribulations) ! MERDE aux cons ( = les vaccinés ; ben oui, vous êtes cons ; il faut appeler un chat « un chat » !) ! Et GLOIRE à Dieu, Victorieux ! À demain pour la Manif à Paris.

La « vaccination » n’est autre que la puce électronique subcutanée, la Marque de la Bête


 

Voilà. Comme je l’avais déjà dit dans Homo-Bobo-Apo, les chefs du Gouvernement Mondial antéchristique ont prévu de pucer toute la population mondiale (au front ou à la main) dans très peu de temps. La « vaccination » n’est autre qu’une numérisation de l’Humanité à grande échelle, et qu’une manière d’imposer la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse. Ce n’est pas le virus SARS-COV 2 le véritable ennemi des puissants. Les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial ne veulent qu’une chose : remplacer notre identité incarnée d’homme ou de femme, et d’Enfants de Dieu, par l’identité numérique et électrique. C’est très clair. C’est même le Sénat qui le dit. Le « vaccin », c’est la puce subcutanée. C’est le traçage numérique fluidique. Ni plus, ni moins.
 

« Celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera. » (Mc 8, 35)
 
 
 

N.B. : Et le Roi de la Bière (Satan), contrairement au Roi du Vin nouveau (Jésus), se délecte de la situation. Je vous avais aussi annoncé la dangereuse montée et victoire éphémère de la Bière.
 

Jérémy ?

Ce matin, à la fin de la messe (où j’ai spécialement pensé à Jérémy), au moment de prendre l’allée centrale et de regagner la sortie, une vieille dame en déambulateur m’arrête et me dit : « Jérémy? ». J’ai rigolé : « Non. Moi, c’est Philippe. » Tout en gardant son sérieux, elle s’est excusée de m’avoir confondu avec une autre personne. Mais je lui ai dit en souriant : « C’est pas grave. Ça ne me gêne pas que vous m’ayez appelé Jérémy. Car je connais un Jérémy qui a énormément compté et qui compte énormément dans ma vie. Donc je prends ça pour un signe !^^ ».
 

Morale de cette histoire vraie : Ne jamais mépriser les messes ni les paroissiens catholiques. 🙂

La plupart des « catholiques » en ce moment me sidèrent par leur stupidité

La plupart des « catholiques » en ce moment me sidèrent par leur stupidité :
 

Entre les catholiques traditionalistes (en particulier en Amérique Latine) qui jouent les offensés concernant le « motu proprio » du Pape François parce que ce dernier ne privilégie pas le rite extraordinaire en latin (mais ça ne veut pas dire pour autant qu’il l’attaque : une préférence peut être inclusive et n’est pas nécessairement exclusive. Calmos),
 

Et les cathos tièdes qui portent aux nues François Xavier-Bellamy simplement parce qu’il dénonce mollement la dictature « vaccinale » macroniste (alors que par ailleurs, il s’est fait vacciner ; et que déjà, à l’époque du « mariage » gay, il n’avait jamais eu le courage de parler d’homosexualité, et avait brillé par son opportunisme et sa lâcheté),
 

Et enfin les cathos collabos (je pense en particulier aux évêques) qui déroulent le tapis rouge à Macron à Lourdes, et se font complices de la « vaccination » qui va fragiliser une grande partie de la population mondiale et exposer celle-ci encore plus aux variants (Et je ne parle même pas du clergé espagnol, qui en ce moment est prêt à appuyer la loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité!),
 

on est ecclésialement vraiment dans la merde !
 

N.B. : Ci-dessous, on voit que Bellamy (ou pire : Zemmour) fait des émules chez les cathos francs-macs qui s’ignorent (et qui parlent de lumière et de franchise sans s’en rendre compte…).
 

Interdiction de parler de « Dictature » concernant Macron ou sa politique d’imposition du « vaccin » : Pourquoi ?


 

Aujourd’hui, et pendant tout ce week-end, je pars à Chartres chez l’ami Morgan Priest (nous allons être plusieurs : ça va faire du bien ; et nous allons tourner plusieurs vidéos). Du coup, je ne pourrai malheureusement pas me rendre aux manifestations parisiennes contre la dictature macroniste (qui va bientôt, parce que je refuse de me faire injecter une substance dont même les « vaccinés » ne savent rien puisqu’elle est encore en phase expérimentale, m’empêcher de prendre le train ou de rentrer dans une grande surface ou d’avoir un travail : no comment…).
 

N’en déplaisent à ceux qui jugent le terme « dictature » excessif, sous prétexte qu’ils relèguent ce mot au passé ou le réservent à d’autres nations (comme si la France actuelle en était prémunie ; comme si je « l’avais bien mérité » et que c’était moi qui – par mon refus du « vaccin » – m’était finalement auto-exclu et serais « mon propre dictateur » : totale inversion des valeurs), la France et le Monde se transforment bel et bien en dictature.
 

Ceux qui disent qu’ils se sont fait vacciner « en conscience » et « librement » sont des menteurs : ils ne savent rien des « vaccins » et de leurs conséquences sur le long terme (puisque les essais-cliniques se terminent au plus tôt en 2022-2023). Ceux qui disent que nous ne sommes pas en dictature et que Macron n’est pas un dictateur (sous prétexte que le mot et les réalités auxquelles il renvoie sont trop dures à regarder en face) peuvent ouvrir leurs livres d’Histoire et s’intéresser notamment à l’Allemagne de 1933-1934. Même si chaque époque est unique, et que « comparaison n’est pas raison », ils verront que les similarités sont nombreuses et qu’il n’y a aucun excès, aucun « Point Godwin » de paranoïa ou de victimisation, à dire que l’Histoire se répète imparfaitement. Eh oui : malheureusement, l’Humanité est pécheresse, ne retient pas nécessairement les leçons des erreurs de son passé, voire peut même faire pire que ses ancêtres à force de les avoir diabolisés ou de s’être crus au-dessus d’eux.