Course contre la montre entre documentaires cathos-homos en ce moment


 

La version italienne des « Folles de Dieu » (« Le Pazze di Dio ») va sortir très prochainement sur YouTube. Elle nous permettra de passer enfin au montage de la 2ème partie en espagnol.
 

En voyant la guerre médiatique qui a démarré depuis quelques temps pour attaquer/amadouer l’Église Catholique sur la question des bénédictions religieuses de couples homos (je pense à la sortie toute récente de ce reportage italien plein de bons et de « pieux » sentiments, qui demande, sur un air de piano dégoulinant, une « reconnaissance/validation de l’Église » ; je pense aussi au nouveau documentaire du jésuite gay friendly James Martin) ou bien sur la demande pressante de modification des paragraphes jugés « blessants/offensants/homophobes » du Catéchisme de l’Église Catholique, je vous demande de vous activer pour soit nous aider matériellement afin de permettre l’accélération de publication de notre propre documentaire (un film, pour le coup, pas du tout sentimental ni gnangnan comme « The Greatest Blessing » : « Les Folles de Dieu » ne sont pas là pour séduire ni pour faire du chantage aux sentiments, mais pour obéir à l’Église), soit diffuser davantage notre documentaire. Sans ça, le rouleau compresseur de la bonne intention catholico-arc-en-ciel va gagner et aplatir l’Église Catholique en moins de deux (et ce schisme est autant souhaité par les catholiques progressistes que par les catholiques tradis : ces derniers, sinon, inviteraient les personnes homos continentes comme nous… mais ne le font pas, car ils veulent la guerre eux aussi). Merci.
 

Les 4 principaux Mentors de la communauté homosexuelle (Disney/Tintin/Agatha Christie/la star violée) sont francs-maçons

Les 4 principaux maîtres à penser de la communauté homosexuelle mondiale, qui ont inconsciemment façonné la tendance homo-érotique de toute personne homo depuis son plus jeune âge je crois, sont francs-maçons. Je le remarque en regardant rétrospectivement ma vie et en écoutant les goûts et les sources d’influence de mes frères et sœurs homosexuels (rares sont les exceptions de ce lavage de cerveaux culturel parmi les personnes homosexuelles).
 

J’ai eu, dès ma naissance, 4 Mentors (ou Muses) qui m’ont attiré et qui ont littéralement aspiré mon désir, mon affectivité et mon identité jusqu’à l’âge adulte. Ces mentors ont pour particularité commune d’avoir créé à échelle mondiale des univers hermétiques originaux (type « Star Wars », « Harry Potter », « Le Seigneur des Anneaux » ou saga Marvel de super-héros, côté hétéro-bisexuel), d’avoir proposé au Monde de véritables cosmovisions asexualisantes et bisexualisantes magnifiant la mort, la violence et la souffrance humaines :
 

– WALT DISNEY : Adolescent, j’enregistrais toutes les émissions et tous les extraits de Disney qui passaient à la télé ; et jusqu’à très tard, à chacun de mes anniversaires, je continuais à demander à mes parents des cassettes des « grands classiques » (… même si « Hercule » a un peu mis un frein radical à mon idolâtrie). Et j’ai remarqué que beaucoup de mes frères homos étaient passés par le même stade de disneymania (et certains n’en sortiront, je pense, jamais !). Sans compter que les parcs d’attractions Disney et les studios Disney, c’est vraiment GayLand : une grande majorité des employés sont homos ! J’ai par ailleurs démontré à plusieurs reprises les nombreux liens entre Walt Disney et la Franc-Maçonnerie/homosexualité.
 

– TINTIN. Enfant et adolescent, je faisais une fixette sur Tintin (et un tout petit peu sur Astérix, mais pas tant). Je vivais littéralement aux couleurs du héros globe-trotter quasi asexué créé par Hergé. Et très inconsciemment, je vibrais surtout pour les épisodes où le mysticisme maçonnique et alchimique était à son apogée : Les Cigares du Pharaon avec ses sociétés secrètes, Les 7 Boules de cristal et Madame Yamilah, Le Crabe aux pinces d’or tourné vers l’Orient, etc. En gros, la Franc-Maçonnerie, je n’en suis pas passé loin et je continue de ne pas en passer loin ! ^^ (… d’où l’importance, pour s’en prémunir, de la pauvreté matérielle, de l’humilité, de l’Amour, de l’attachement à l’Église, du rejet des honneurs et de la carrière). Que je sache, Hergé, contrairement à Disney, n’était pas officiellement un initié franc-maçon. Mais l’Empire fictionnel à la fois hermétique, symbolique et alchimique qu’il a créé regorge de références maçonniques. Et j’ai récemment rencontrés en vrai plusieurs francs-maçons qui étaient à la fois homosexuels et de grands tintinophiles !
 

– LA STAR VIOLÉE. En plus des super-héros (j’y inclus aussi les magical girls et les grandes sportives des mangas japonais), toute personne homosexuelle s’est fortement identifiée à l’actrice ou à la chanteuse qui a été violée (Lady Gaga, Madonna, Barbara, etc.) et qui joue la femme violée/prostituée sublimée sur les écrans (Jeanne Mas, Dalida, La Callas, Mylène Farmer, etc.), se vengeant par sa force de caractère et par sa carrière éblouissante (donc maçonnique) de sa condition de « victime » (genre les Drôles de Dames ou la femme d’affaire à la tête d’un Empire discographique et cinématographique monstrueux).
 

– AGATHA CHRISTIE. Depuis l’âge de 7 ans, j’ai développé une véritable passion esthétique (et même érotique !) pour l’univers d’Agatha Christie, la romancière britannique qui a vendu le plus de romans au Monde. La captation de ma libido pour Agatha s’est produite/cristallisée en particulier sur son roman Les Dix Petits Nègres. Le surgissement impromptu de la violence diabolique dans l’univers pourtant feutré, figé et délicat du confort bourgeois m’a toujours paru sexy. Et je ne suis pas une exception dans la communauté homosexuelle (c.f. mon sous-code Les Dix Petits Nègres de mon Dictionnaire des Codes homosexuels)! Agatha Christie attire inconsciemment les personnes homosexuelles car elle rend brillante et géniale la folie ; elle salit magnifiquement le « dieu des homos » à savoir la bourgeoise ou le bourgeois. L’apparition du crime dans le milieu hermétique, sophistiqué et clinquant des élites intellectuelles et matérialistes, on trouve que c’est le comble de l’érotisme, de l’élégance et du charme sexuel ! Alors à dire vrai, je ne sais pas si Agatha Christie a été officiellement une initiée franc-maçonne. J’en doute ; et après tout, ce n’est pas tellement la question. En revanche, la vie de la maman d’Hercule Poirot et de Miss Marple est sans nul doute très inconsciemment maçonnique, et son œuvre romanesque regorge de références à la Franc-Maçonnerie mondialiste (c.f. mon Dictionnaire des Codes apocalyptiques). J’ai regardé hier le documentaire sur ARTE « Agatha Christie : la Reine du crime », ainsi que « Mort sur le Nil ». Et les indices maçonniques pleuvaient : par exemple, la règle de vie d’Agatha Christie (« Vivre uniquement pour sa famille et ses amis ») a toujours été le boboïsme ; Agatha Christie a vécu pile à la période de consolidation de la Franc-Maçonnerie mondiale (XIXe siècle) ; Elle a écrit 66 romans ; Elle était très douée en mathématiques, et ses énigmes romanesques fonctionnent comme des algorithmes de Blockchain (avec la précision d’une ingénierie d’horlogerie, ou d’un jeu de piste chiffré reposant sur des indices) ; Le père d’Agatha Christie était courtier en Bourse ; À l’instar des francs-maçons, Agatha a toujours fait partie de l’élite bourgeoise ; Elle avait la fièvre des voyages (elle a fait le Tour du Monde en 1922, ce qui était rare pour une femme à l’époque) ; Elle a vécu en France (berceau idéologique de la Franc-Maçonnerie, à l’instar de l’Angleterre) et à Londres, elle a surtout développé une passion pour les pays d’Orient (comme les francs-maçons) puisqu’elle est partie en Égypte, en Irak, notamment pour y diriger des fouilles archéologiques avec son deuxième mari (archéologue, de métier) Max Mallowan ; Elle était une femme divorcée (comme beaucoup de francs-maçons… qui n’ont pas beaucoup de respect pour le mariage) ; Elle avait un côté Indiana Jones au féminin, toujours en quête d’aventure (La quête – par l’expérience – est un leitmotiv de la Franc-Maçonnerie) ; Elle était fascinée d’une part par la technique des fouilles, et surtout par les vieilles pierres, les métaux précieux (elle adorait les villas, et disait textuellement qu’elle « préférait les maisons aux êtres humains » !) ; Agatha aimait aussi les machines (elle s’est acheté une voiture) ; C’était une férue de photographie ; Elle vouait un culte aux plantes et à la Nature (elle adorait les arbres, a été pendant la Première Guerre mondiale infirmière à l’hôpital et y a reçu une bonne formation de botaniste – et finalement d’alchimiste maçonnique – sur les plantes toxiques, l’élaboration des médicaments et des poisons mortels) ; À l’issue du documentaire « Agatha Christie : la Reine du Crime », il était souligné que l’idole existentielle de l’écrivaine était, selon ses propres mots, « la chance » (or la chance est une des clés de voûte idéologiques du Gouvernement Mondial) ; etc. Fictionnellement parlant, les romans d’Agatha Christie reposent beaucoup sur le tandem maçonnique hermétisme/symbolisme : tous ses héros sont enfermés dans un train, une île, un manoir, une bulle dont ils ne peuvent pas s’échapper… et dans chacun des recoins du huis clos sont délestés des indices dont le lecteur doit déchiffrer la portée symbolique. Chaque lecteur est donc engagé à devenir alchimiste. Dans l’univers d’Agatha Christie, le héros détective est un maître gnostique, donc de la connaissance… et je rappelle que la Connaissance est le Graal de la Franc-Maçonnerie (Hier, précisément dans le film « Mort sur le Nil », j’entendais Hercule Poirot se présenter pompeusement comme le champion omnipotent de la Gnose, autrement dit, il se prenait pour Dieu : « Louise, je sais tout sur vous. » « Moi Hercule Poirot j’ai des yeux qui remarquent tout. »). Malgré ses limites humaines dont la lenteur et la cécité temporaire qu’elles lui imposent le désespèrent, le détective chez Agatha Christie finit par décrypter minutieusement tous les symboles, par reconstituer tous les morceaux du puzzle de son enquête, telle une caméra intelligente ou une Blockchain. Rien ni personne ne lui résiste. Pas même le coupable, dont l’intelligence et la méthode rivalisent pourtant de brillance avec celles de l’enquêteur : le criminel et le détective sont quasi jumeaux gnostiques (et parfois se confondent, comme dans La Souricière !). Chez Agatha Christie, la Vérité est réduite à la factualité des choses (On entend Hercule Poirot ou Miss Marple défendre la Vérité comme un empirisme purement matérialiste et humaniste : quand ils annoncent, triomphant, qu’ils font faire « éclater la Vérité », c’est sans appel, c’est net et sans bavure !), et donc cette « Vérité » n’est pas du tout synonyme d’Amour ni de Jésus, comme ça devrait être idéalement le cas. Les personnages qui s’aventurent à dépasser la matière ou à croire à une transcendance divine sont rares : en général, la grande majorité des faux suspects des romans d’Agatha Christie sont tous des matérialistes carriéristes. Seul le vrai coupable des intrigues ne tue jamais prioritairement pour le matériel/la carrière, mais pour une raison précisément immatérielle, spirituelle ou passionnelle… et on voit comment il finit : c’est lui qui a le mauvais rôle). Les œuvres d’Agatha Christie ont pour maîtres le matérialisme et la raison raisonnante (logique, rationalité, intellect, déduction, calculs arithmétiques, mathématiques, algorithmes…). L’ennemi, c’est la croyance (considéré comme une superstition, comme un orgueil poussant au crime, ou comme le seul détail de « naïveté » trahissant fatalement et in extremis le génie de l’assassin) : exactement comme dans la pensée maçonnique !
 

Voilà. Tout ça pour dire que je pense que Walt Disney, Hergé, les stars (cinématographiquement et parfois réellement) violées, et Agatha Christie, m’ont entraîné depuis tout petit à voir mes idolâtries, à identifier les esclavages qui m’ont très probablement homosexualisé/franc-maçonnisé à mon insu. Et je rends grâce pour ces lumières spirituelles, même si je fais attention à ne pas m’en gargariser. Et si une personne homosexuelle vient me voir en me soutenant qu’elle ne s’est identifiée et enchaînée (au niveau du désir et des fantasmes) à aucun de ces 4 génies créateurs et à leurs univers, je serais très curieux de rencontrer cette exception et d’en parler avec elle !

Le chantage continue. La députée lesbienne Vanceunbrock-Mialon courtise désormais les stars LGBT sur Twitter pour imposer sa loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité au Gouvernement


 

Maintenant, la stratégie malhonnête de la députée lesbienne Laurence Vanceunebrock-Mialon pour imposer au Gouvernement français sa loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité, c’est de se comporter en groupie flatteuse et de collectionner sur Twitter les « stars » homos du moment (Eddy de Pretto, Hoshi, Hyphen Hyphen, etc.) en leur présentant les simples associations d’accompagnement (scientifique ou religieux) des personnes homos croyantes comme les « tortures » anti-LGBTs qu’elles ne sont pas. Évidemment, ces people, bien qu’ils n’y connaissent rien à ces groupes de thérapies et n’y aient jamais mis les pieds, se laissent logiquement impressionner, puis sont flattés d’être manipulés/congratulés par cette femme composant virtuellement un parterre-bataillon de combattants « célèbres » : ça ne leur coûte pas cher de figurer sur une liste de parrains médiatiques « contre les tortures homophobes » ! Ça ne les engage pas beaucoup ! Et ça leur fait de la pub ! Ils sont prêts à jouer le jeu, et signent les yeux fermés la pétition-loi dont ils ignorent les clauses, les tenants et aboutissants.
 

Laurence Vanceunebrock-Mialon fait ce qu’on appelle de la « politique-spectacle » : sa campagne #RienÀGuérir ne marchant pas auprès des personnes homos lambda (et pour cause : elle ne s’appuie pas sur elles, ni sur des faits réels, mais bien sur une réécriture diabolisante/victimisante des thérapies de conversion. Finalement, Laurence Vanceunebrock-Mialon n’en a rien à faire de la majorité silencieuse des personnes homosexuelles), elle la « muscle » en remplaçant le législateur ou le politicien par une meute de « célébrités » aveugles mais déterminées et prêtes à tout pour accéder au pouvoir.
 

Face à cette liste de signataires – certes en carton mais quand même symboliquement impressionnants puisqu’ils semblent incarner/entraîner une masse appelée « opinion publique » ou « jeunesse » -, il m’est d’avis que la petite digue d’indifférence, d’ignorance et de résistance molle de nos dirigeants dits « hétéros » (Castex, Philippe, Castaner, Macron…) ne va pas mettre longtemps à céder par rapport à cette proposition de loi qui réduit les libertés des personnes homos croyantes (que celle-ci soient catholiques, musulmanes, ou même tout simplement agnostiques mais opposées à toute législation les concernant imposant une interdiction) et qui a déjà été votée par le Parlement Européen en 2018.
 
 

Liens utiles :

mon livre sur les #ThérapiesDeConversion aux éditions Vérone.

– mon article sur #RienÀGuérir.

– deux interviews : Louis d’Avignon + Morgan Priest.

– l’article pour comprendre la manipulation de masse dans l’affaire Hoshi/Lecœuvre.
 

La schizophrénie et l’enthousiasme satisfait de la grande majorité des catholiques face à toute parole de Vérité sur l’homosexualité


 

Certains fidèles catholiques viennent en privé me parler (comme si je me trouvais enfermé dans une cage en plexiglas… sans déconner) pour me demander ce que je pense du récent article du prêtre belge Christophe Cossement dont se gargarisent les bons petits cathos bienpensants, en s’imaginant que je vais rentrer dans leur élan de réjouissance et d’approbation enthousiastes (Et que si je ne le fais pas, je me transformerais tout d’un coup à leurs yeux en rabat-joie, en monstre de jalousie et d’égotisme sur pattes ; idem quand ils arrivent vers moi la bouche en coeur en me parlant d’Arnaud Poisson, comme si nous étions des clones, alors que franchement, je ne me reconnais pas du tout dans le discours de ce nouveau « témoin homo pour cathos frustrés »).
 

Je vais vous dire ce que j’en pense: ceux-là même qui applaudissent cet article – très juste dans son contenu et dans sa forme mais néanmoins insuffisant – sont incapables de soutenir concrètement les personnes homosexuelles continentes qui tiennent exactement le même discours que le père Cossement depuis des années et qui le vivent. J’en sais quelque chose : pendant que les pharisiens félicitent le discours théorique et s’en satisfont, ils fuient la pratique et abandonnent totalement les personnes homos continentes dont je fais partie. Quelle schizophrénie et quelle hypocrisie ! Quel manque de prise de risques aussi. C’est bien du pharisaïsme (d’autant plus pervers qu’il applaudit la Vérité, ou un discours de Vérité en apparence dans la Miséricorde, tout en restant désincarné). Les fans éphémères du père Cossement sont les mêmes qui pensent que les 4 paragraphes du Catéchisme de l’Église Catholique sur l’homosexualité c’est ça « l’accueil » et « l’amour des personnes homos », et que ça les dispense de nous accueillir concrètement, de proposer des vrais chemins de bonheur, de nous écouter et de nous soutenir. En fait, leur emballement est à gerber. Pas l’article en lui-même, bien sûr, mais la suffisance et le contentement homophobe maquillé en Charité qu’il engendre chez la plupart des catholiques tradis. Et pendant ce temps, concrètement, nous, personnes homosexuelles, restons sur le carreau… tandis que la grande majorité des catholiques continuent de dormir sur leurs deux oreilles, en étant persuadés qu’ils nous aiment, qu’ils ont dit ce qu’il fallait, et qu’ils ont accompli leur devoir de Charité-Vérité envers nous. Gerbant. Allez bien vous faire foutre.

Les mystérieux liens qui unissent les Folles de Dieu et l’Allemagne


 

LE SAVIEZ-VOUS? La vidéo allemande « Die Tunten Gottes » (traduction des « Folles de Dieu ») est sortie sur YouTube. Mais connaissez-vous tous les nombreux liens qui relient les Folles de Dieu à l’Allemagne ?
 

– Guillaume Gourinat (témoin transgenre du film) est à moitié allemand (il n’est pas parfaitement bilingue mais il s’est doublé lui-même dans le documentaire), et est administrativement rattaché à l’Allemagne. Il habite Baden-Baden (Sud-Ouest du pays)… ville où est d’ailleurs né le journaliste Éric Naulleau (le comparse d’Éric Zemmour) !

– Notre photographe et caméraman Jean-Yves Morvan a fait son service militaire en Allemagne !! (haha) Alors qu’il est bien français, il s’est retrouvé par accident envoyé dans une caserne militaire de la frontière allemande où on y regroupait tous les « cas », les rebus de l’armée française qu’on voulait « mater » et « dresser ». C’était quasiment un camp de redressement… et lui faisait partie du quota de gars un peu normaux censés influencer positivement les autres. Une expérience allemande traumatisante autant qu’extraordinaire pour lui !

– Perrine Coulombel (témoin lesbienne du documentaire) a, quant à elle, une sœur qui vit à Berlin (la capitale) avec son compagnon (italien).

– Moi, j’ai une petite histoire avec l’Allemagne (lol) : j’ai étudié 5 ans l’allemand au collège et au lycée (je n’ai pris l’espagnol qu’en classe de terminale) et c’est grâce à ça que j’ai pu m’auto-doubler en allemand pour le film… alors que pourtant je pensais qu’il ne m’en restait rien. Et par ailleurs, je suis allé en voyage scolaire en classe de 4e à Oldenburg (ville du Nord-Ouest jumelée avec Cholet en France)… et j’avais une correspondante qui s’appelait Zilke Schmidt. Sinon, j’avais 9 ans quand le Mur de Berlin est tombé (j’étais en classe de CM1 et je m’en souviens comme si c’était hier). Mon grand frère et une de mes grandes sœurs sont allés travailler à cette époque dans une usine Coca-Cola à Tuttlingen (ville du Sud-Ouest de l’Allemagne) pour un boulot d’été… et Miguel a rapporté de là-bas des chansons du groupe allemand – Münchener Freiheit – qui encore aujourd’hui reste une référence et un modèle d’inspiration musicale inépuisable pour moi, même si c’est kitsch.
 
 
 

Autrement, parmi les collaborateurs (traduction, musique, communication…) des Folles de Dieu, il y a aussi un sacré bout d’Allemagne :
 

– Les chanteuses Rahan (qui chante l’hymne country des « Folles de Dieu » que vous commencez à bien connaître maintenant : « Deep Blue Sea ») ainsi que la chanteuse Vallée Stoffler (dont le nom de famille est un coming out germanique à lui seul !^^ Elle nous a offert deux bijoux musicaux pour le film, à savoir « Les Étincelles » et « Démesure », que vous entendrez plus tard) sont originaires du Nord-Est de la France et parlent très bien allemand.
 

– La chanteuse (blonde !) Steph Bach (qui nous offre son titre « Fucking Friend » pour l’épisode 2 du film) est née en Lorraine. Et son grand-père était ce qu’on appelle un « Malgré Nous » (L’expression « Malgré-nous » désigne les Alsaciens et Mosellans enrôlés de force dans la Wehrmacht, armée régulière allemande, durant la Seconde Guerre mondiale).
 

– Le rappeur Monis (qui nous offre son titre « Harvey » pour la journée 4 du film consacrée à la communauté LGBT) a fait 9 ans d’allemand (en LV1), est allé régulièrement en Allemagne, a eu un correspondant allemand (Benyamin) qui l’a beaucoup marqué. La communauté homosexuelle et artistique allemande l’a aussi beaucoup inspiré musicalement.
 

– Le chef d’orchestre et compositeur Anselme Killian a traduit la quasi totalité de notre documentaire en allemand. Sans lui, la version allemande des « Folles de Dieu » n’aurait jamais vu le jour. Il a abattu un travail colossal. Et les Allemands ainsi que l’Église en Allemagne lui doivent/devront beaucoup !
 

– Le doublage allemand – c’est une exception comparé aux autres distributions des voix-off – est particulièrement sacerdotal… C’est marrant ! Trois prêtres (le père Thomas Schmitt, le père Philippe Rittershaus et le père Christian Modemann) nous ont aidés. Nous avons donc – une fois n’est pas coutume – été particulièrement soutenus par l’Église allemande. Nous n’oublierons pas.
 

 

Concernant enfin les petites anecdotes secrètes de la version allemande des « Folles de Dieu » :
 

– Vous remarquerez peut-être que certaines séquences ont été rallongées (par rapport aux versions française, anglaise, espagnole) ou comportent des images et propos inédits. En fait, cela est dû au fait que le débit des doublages en allemand était trop lent pour le défilement des images. Du coup, Gerson a été obligés de rajouter des extraits. L’Allemagne, ça rend généreux ^^.

– Il y a trois personnes de l’équipe qui se sont auto-doublées en allemand : Guillaume, moi… et quelqu’un qu’on n’attendait pas, à savoir Éric Chevillard ! Comme ce dernier n’avait que quelques phrases à dire (même s’il ne parle pas du tout allemand), il s’est prêté au jeu. Et il ne s’en sort pas trop mal (haha).

– La « campagne » de communication à destination de l’Allemagne risque d’être impressionnante (nous avons récolté un très grand nombre de mails à qui envoyer le lien de la première partie). Si ça se trouve, les Folles de Dieu seront invitées en Allemagne en premier… On verra bien.

– En visitant les sites des diocèses allemands, j’ai eu un coup de cœur pour deux diocèses (très différents l’un de l’autre, d’ailleurs) : le diocèse de Trèves (Trier) et le diocèse de Munich et Freising (München und Freising ; celui du Cardinal Marx… que j’ai défendu ouvertement et avec conviction à deux reprises lors du tournage, pendant l’avant-dernière journée consacrée à la dimension ecclésiales de l’homosexualité).

Le clip de « Berlin » de Christophe Willem en étrange résonance avec « Die Tunten Gottes »

Incroyable, ce vidéo-clip de Christophe Willem que je découvre à l’instant :
 

 

Une sorte de « Thriller » michaeljacksonien mais à la sauce gay-catho-diabolo-germanique. Je connaissais depuis longtemps la chanson « Berlin » mais n’avais jamais eu la curiosité d’aller voir sur Youtube. Et c’est une belle surprise. Et c’est étrange, d’ailleurs, que ce clip réunisse autour de l’Allemagne les deux principales thématiques des « Folles de Dieu » (Homosexualité et Foi)… à quelques heures de la sortie de « Die Tunten Gottes ». J’adore la précision de cette synchronicité !

Veröffentlichung des ersten Teils von EPISODE 1 der « Tunten Gottes » !

Liebe Freunde, es ist soweit : der erste Teil (von insgesamt 25 Teilen!) unseres Dokumentarfilms « Die Tunten Gottes » (Glaube und Homosexualität) liegt endlich vor. Regie: Philippe Ariño (ich), Kamera: Jean-Yves Morvan, Schnitt: Gerson Gonzales. Mit der musikalischen Zusammenarbeit von Rahan, Athenas, Thierry Jamard… Eine Wahnsinnsarbeit, die wir für Sie frei zugänglich auf YouTube stellen!
 

 

Da die Schnittarbeit kolossal ist und der Film in 5 Sprachen herauskommt (Französisch/Spanisch/Englisch/Deutsch/Italienisch), werden wir ohne Ihre Hilfe nicht weiterkommen. Um eine Spende zu tätigen. Ohne Geld können wir weder vorankommen, noch unsere Schulden zurückzahlen, noch leben (ganz einfach).
 

Wir zählen auf jeden einzelnen von Ihnen, um dieses Video zu verbreiten, sowohl in der Öffentlichkeit als auch in Ihrem privaten Umkreis. Sie sind unser einziger Werbungsträger. Vielen Dank im Voraus!
 

#LGBT #Queer #Homosexualität #LesFollesDeDieu #Glaube #Katholizismus #Papst #Cathos #homos #Gays #LasLocasDeDios #TheHolyGays #lePazzeDiDio #DieTuntenGottes #Instagay #Kirche #Katholiken #Courage #Dokumentation
 

N.B. 1: Sie können den YouTube-Kanal abonnieren, um die Versionen in anderen Sprachen zu sehen (bereits in Spanisch ; in Französich ; und in Englisch).
 

N.B. 2 : 25 Teilen (246 Fragen).
 

N.B. 3 : Besonderen Danke an Anselme Killian, unser einzigen Übersetzer in Deutsch. Ohne ihn wäre diese Dokumentation nicht möglich gewesen. Die Deutschen schulden ihm alles !

Décision : fini de s’infliger des messes mornes

Retour de la messe de 9h à saint Médard. C’est la dernière fois, je crois, que je vais à la messe dans cette église. Je n’en peux plus des messes molles et tristes, avec des chants vieillots et des homélies indigentes (à part celles, trop rares, du père Gambart). Et le pire, c’est que ce matin, la messe pour les vocations (censée par conséquent être plus « dynamique » qu’à l’habitude) était pourtant célébrée par le nouveau et « jeune » (40 ans) prêtre de la paroisse, le père Philippe Cazala (Philippe Casse-toi d’là?). J’ai failli m’endormir. C’est compliqué d’écrire une homélie un peu correcte et consistante ?? C’est compliqué, à la sortie de la messe, de regarder ses paroissiens dans les yeux au lieu d’avoir la tête baissée et les yeux rivés sur ses pompes ? C’est sûr qu’avec une attitude pareille, il n’y aura pas de nouvelles vocations sacerdotales !
 

Si j’ai le choix (et à Paris, j’ai le choix !) d’aller vers une autre église, j’arrête de m’infliger des messes qui ne me nourrissent pas, et qui doivent certainement faire fuir les jeunes tant c’est la même équipe paroissiale vieillissante qui impose sa présence et sa loi depuis des années. Il faut laisser les morts enterrer leurs morts. Je suis comme les moutons qui n’aiment que l’herbe bien grasse, et qui ne se satisfont pas des prairies-paillasson desséchées. Je ne retournerai à saint Médard que pour animer le caté, et basta. Je veux la qualité de saint Nicolas des Champs. Exode ecclésial !
 

N.B. : Suite à cet article, contre toute attente, le père Cazala m’a écrit via mon blog pour la première fois. Et voici son mail, intitulé « Pardon » :
 

 

Et voici ma réponse :

Bonsoir mon père,

Merci pour votre demande de pardon. Merci de votre humilité d’avoir accepté la correction et l’humiliation publiques. Merci aussi d’exprimer un désir d’effort et de changement concret. Vous pourriez nier vos torts : vous les reconnaissez. C’est donc que la moitié du chemin est faite. Ça me réjouit et ça promet peut-être des homélies et une présence de votre part un peu plus substantielles et travaillées. Même si je trouve ça dingue de se rendre compte de l’indigence de beaucoup de ses propres homélies (et de la consistance des homélies de st Nicolas des Champs qui dépotent parce qu’elles débitent une Vérité à toutes les phrases) et de malgré tout persévérer dans la vacuité. Il va falloir se réveiller. Pas uniquement pour votre assemblée. Mais d’abord et surtout parce que ça vous rendra heureux VOUS (ça se verra même sur votre visage lors de la procession de sortie de messe) et ça rendra fier et heureux Jésus. Si vous avez été ordonné prêtre, c’est pour être un prêtre qui dépote ! et qui dit des grandes Vérités avec Amour.

Bien sûr, votre message me renvoie plus tristement à mon isolement et au paradoxe de ma situation : quasi systématiquement je découvre « par accident » que la plupart de mes lecteurs me suivent mais en cachette, sans se manifester et sans me soutenir du tout. Comme si j’étais une honte. Ou comme si j’étais aussi invisible qu’eux. Et concrètement, je porte au jour le jour cet isolement et ce désamour/indifférence paradoxal : ceux que j’intéresse, concrètement, ne m’aiment pas et ne m’aident pas. Je dois me démerder tout seul et je suis marginalisé, alors que « mon » message (qui n’est pas le mien) devrait être largement diffusé. Bref, c’est peut-être aussi pour ça que les homélies creuses m’irritent particulièrement : ceux qui ont le micro et ont la chance d’être écoutés ne peuvent pas, pour cette raison, et surtout par les temps qui sont les nôtres (où les gens ont faim, ont soif, sont paumés et désespérés : la Fin des Temps universelle est proche) se permettre de céder à la somnolence, à la mollesse, à la médiocrité, à la vacuité (ni même, à l’extrême inverse, à la panique, à l’agressivité et à la révolte) !

D’où la véhémence de ma réaction. Si, avec le temps, elle se révèle utile et ne vous attriste/rabaisse pas, Jésus et ses brebis auront tout gagné.

Bonne soirée, bon pasteur.

Philippe
 

Conclusion :

Félicitations d’un connard

Hier, j’ai reçu un mail enthousiaste d’un prêtre français – qui par ailleurs est un gros connard, et j’assume de le dire car les prêtres sont des Hommes et certains finiront damnés en enfer – qui me félicite pour le « travail colossal » que constitue le documentaire.
 

Si même les connards applaudissent « Les Folles de Dieu », c’est que vraiment c’est bien ! 🥳
 

(N.B. 1 : En revanche, le degré d’amnésie des connards m’hallucinera toujours. Ils t’ont sorti des horreurs… et juste après, sont capables de te demander le sel, ou même quelques mois après, de te féliciter… WTF? La preuve qu’ils ont un léger pète au casque…)
 

(N.B. 2 : En le traitant de connard, je ne manque pas d’amour à ce prêtre. J’aime et j’essaie d’aimer les connards… mais il n’empêche qu’ils le sont !^^ et qu’ils sont libres, jusqu’à leur dernier souffle, de changer)
 

(N.B. 3 : Non, n’insistez pas lol : je ne vous dirai pas son nom. Le seul indice que je vous donnerai, c’est qu’il a parachevé son mail de félicitations par une exclamation christocentrique digne du Cardinal Sarah : « Dieu seul! » Euh… Et les Hommes qu’Il habite, alors ?)

Sortie de la 1ère partie du documentaire « Les Folles de Dieu » en français (+ quelques anecdotes de tournage)


 

TADAM ! Chers amis, voilà ENFIN la première partie (sur 25 parties en tout !) en français de notre documentaire « Les Folles de Dieu » (Foi et Homosexualité) !
 

Réalisé par Philippe Ariño (moi-même), tourné par l’excellentissime photographe Jean-Yves Morvan, et monté par le vidéaste péruvien Gerson Gonzales.
 

– Avec Perrine Coulombel (France) : la touche « douceur » de l’équipe ! #ForceBleue

– Avec Christian Mercado (Pérou) : la touche « empathie » de l’équipe ! #ForceRouge

– Avec Santiago Mejía (Colombie) : la touche « intello (Gaston Lagaffe) » de l’équipe ! #ForceVerte

– Avec Guillaume Gourinat (Allemagne) : la touche « sensualité » de l’équipe ! #ForceViolette

– Avec Gerson Gonzales (Pérou) : la touche « combativité » de l’équipe ! #ForceJaune

– Avec Éric Chevillard (France) : la touche « clown » de l’épique !

– Avec Philippe Ariño (Espagne-France) : la touche « sensibilité » de l’équipe ! #ForceOrange
 

Avec aussi les voix exceptionnelles de la chanteuse Steph Bach et du doubleur pro Quentin Espitalier. Avec la collaboration musicale d’artistes prestigieux : Rahan, Athenas, Thierry Jamard, Santiago Benavides…
 

Un sacré boulot (de 2 ans) qu’on met en libre accès sur YouTube pour vous ! Profitez-en tant qu’on peut encore exprimer sur l’homosexualité une pensée différente de l’« homosexuellement correct ». Car nous sommes constamment censurés par les homophobes gays friendly.
 

Et si vous voulez voir la suite (car le travail de montage est colossal : sans compter que le film sort en 5 langues différentes : français/espagnol/anglais/allemand/italien), il n’en tient qu’à vous ! Pour faire un don : c’est ce lien de la cagnotte. Sans argent, nous ne pouvons ni avancer, ni rembourser nos dettes, ni vivre (tout simplement). Par conséquent, nous comptons sur chacun d’entre vous pour diffuser cette vidéo, en public comme dans vos cercles privés. Vous êtes notre unique publicité. Merci d’avance !
 

#LGBT #Queer #LesFollesDeDieu #FollesDeDieu #Foi #Catholicisme #Pape #Cathos #homos #Gays #LasLocasDeDios #TheHolyGays #lePazzeDiDio #DieTuntenGottes #Instagay #Église #Catholiques #Courage #Documentaire
 

N.B. : Vous pouvez vous abonner à la chaîne YouTube des « Folles de Dieu », pour voir les versions dans d’autres langues (déjà en espagnol : « Las Locas de Dios »).
 
 

PETITES ANECDOTES DU TOURNAGE
 

Pour les petites anecdotes de tournage (car il y en a plein !^^), le gamin qui joue au foot est un gars que Gerson et moi avons rencontré dans les Arènes de Lutèce (5e arrondissement, donc mon quartier). Je l’avais vu, mais je n’avais pas osé lui demander qu’on le filme. Et c’est Gerson qui m’a encouragé à le rappeler alors qu’il quittait l’arène. Et il a rejoué au ballon avec plaisir pour nous. Ce fut notre tout premier figurant volontaire ! (Après, nous avons osé demander à d’autres badauds, et même à des couples homos!).
 

Autre anecdote : Santiago, pour son exposé sur les figures de l’enfance et de l’adolescence dans les films pro-gays, était à proximité d’un pré avec des vaches, en pleine montagne. Et on ne le voit pas, mais les mouches étaient nombreuses (haha) et ont parfois dérangé 😂. Mais Santi est resté imperturbable.
 

Autre anecdote croustillante : Perrine Cbl a dû faire plusieurs fois les prises avec les pissenlits car leur boule duveteuse était parfois rebelles🤣.
 

Et concernant la présentation de Gerson Gonzales lors de son portrait, la chorégraphie qu’il fait devant la Tour Eiffel était initialement prévue devant l’Arc de Triomphe… mais comme – pour une raison inconnue – l’Arc de Triomphe était éteint ce soir-là, on s’est rabattu sur la Tour Eiffel. Et finalement, c’était mieux ainsi ! Et c’est une idée que j’ai de nous filmer en train de danser en choisissant une chanson qu’on aimait bien, avec les écouteurs branchés sur les oreilles. Gerson dansait sur « Poker Face » de Lady Gaga (hihi). Et moi, je me suis choisi « Partie pour zouker » de Lorie 🤣. Comme ça, vous connaissez les dessous de l’histoire!^^
 

Autre anecdote marrante : dans la scène où on voit Gerson Gonzales sur le Quai Henri IV (Paris) bordant la Seine, il y a un grand-père prenant en photo son petit-fils prenant la pose. Ils sont tout les deux immobiles, comme un arrêt sur image scénarisé. Et comme si c’étaient deux figurants qu’on aurait contractés… alors que pas du tout! Ils se sont trouvés là « par hasard ». Et moi, je filmais pour la première fois avec la caméra 4K (et son stabilisateur) que je ne maîtrisais pas du tout ! haha ! Ce fut un « loupé réussi ». Et tout le monde était à sa juste place ! 🥳
 

Autre anecdote rigolote de tournage : Dans la scène de présentation de Guillaume, quand il court dans la montagne (les Pyrénées) et qu’il finit par nous tirer dessus 💅, vous parviendrez peut-être à me voir, si vous regardez bien entre les herbes (haha!). Comme un imbécile, je me trouve légèrement dans le champ de vision de la caméra de Jean-Yves, en tout petit, car je m’étais placé en bas de la prairie (une prairie absolument magnifique, immense : quand nous l’avons découverte, nous n’avions pas envie d’en partir ; un vrai petit coin de paradis) pour donner le top départ à chacun des membres du groupe (qui devait courir successivement vers la caméra en guise de présentation)… mais je n’étais pas descendu encore assez bas 😝😂 ! Et au bout du compte, la seule séquence de qualité qu’on a pu garder, le seul qui courait dans la colline montante de manière stable et réussie, ce fut Guillaume (les autres, on a l’air de Laura Ingalls pas du tout sportives, à bout de souffle et faisant pitié mdr!).
 

Autre anecdote : Dans la présentation des protagonistes, ma marche en travelling à la Bibliothèque François Mitterrand (Paris) a été super galère à tourner pour Gerson et moi ! 😂 On a dû faire une vingtaine de prises pour avoir la bonne. Car il fallait que l’esplanade soit vide, sans badauds ; il fallait trouver le bon angle, la bonne attitude (et Gerson ne devait pas perdre l’équilibre en marchant avec la caméra le long des escaliers : c’était casse-gueule pour lui) ; et j’étais en petite chemise noire alors qu’on était en octobre, avec le froid automnal… donc j’étais un peu frigorifié (haha). Mais ça l’a fait !
 

Autre anecdote du tournage : le confessionnal où a été filmé Christian Mercado (le témoin mexicain) se trouve à l’église Notre-Dame de Cholet. Et il était surmonté d’un bas-relief représentant l’épisode de Jésus défendant la femme adultère.
 

Scoop : Arnaud Lemasle (celui dont je parle dans l’épisode 1) est vivant !
 

Autre petite anecdote rigolote du tournage des « Folles de Dieu » : La chute de Guillaume (témoin trans) – que vous voyez au début du documentaire et qui a été filmée par Jean-Yves Morvan – était bel et bien accidentelle ! 😂😱 Nous devions marcher sur une corniche pierreuse naturelle située sous un pont d’un village des Pyrénées appelé Bétharram, pour ne pas tomber dans l’eau du Gave (le cours d’eau qui passe aussi par Lourdes). Et Guillaume, pourtant le plus agile de nous tous, a malencontreusement glissé, en nous faisant tous hurler d’effroi (haha) ! Mais il s’est repris. Et l’image est belle. Cerise sur le gâteau: Gerson Gonzales a su en plus l’exploiter au mieux en jouant avec la cymbale de chute de la chanson « Deep Blue Sea » de Rahan ! 🤩
 

Autre anecdote : Gerson Gonzales, en choisissant d’illustrer le récit de mon « passage à tabac » soft au collège par la chanson « Mon Dernier Voyage » de Thierry Jamard, ignore combien il est tombé juste dans son montage, puisque Thierry Jamard était précisément mon prof de musique du collège à l’époque ! Et d’ailleurs, pile après l’encerclement par les garçons de ma classe de 5e, juste après la récré, j’avais cours de musique justement avec lui. Et les gars de ma classe (j’étais débarqué en retard en cours, tout tremblant à cause de ce qu’ils m’avaient fait subir) m’avaient préparé une place au milieu de la salle pour continuer de m’encercler et de m’emmerder pendant le cours. Manque de bol pour eux, leur plan d’humiliation a raté car il restait une place dans le fond de la classe. Et je m’y suis assis. Voilà « toute » l’histoire. En tout cas, ça a tout son sens que Thierry chante sur cette séquence.
 

Autre « anecdote » des « Folles de Dieu » : À trois semaines du tournage, mon équipe et moi devions être hébergés à la Cité Saint Pierre (de Lourdes). Là-bas ils accueillent vraiment tout le monde. Et quand je dis tout le monde, c’est tout le monde : y compris les plus marginalisés (personnes handicapées, prostituées, transsexuelles, toxicos, gens du voyage, etc.). Eh bien il faut croire qu’il y a des exceptions… puisque les responsables de la Cité Saint Pierre (Claire Ozoux, le journaliste Mathias Terrier) nous ont dit inexplicablement « non », en avançant des arguments complètement vaseux : « Nous ne pouvons pas vous accueillir… Votre projet n’est pas assez mature… » ; « Et puis votre groupe n’est parrainé par aucun évêque… »; « Mais ne le prenez pas mal. Ce n’est pas contre vous… D’ailleurs, la Cité Saint Pierre a déjà accueilli plusieurs fois le groupe DUECDevenir Un En Christ – chapeauté par l’évêque de Carcassonne… » Face à cette mauvaise foi manifeste – disons-le « cette homophobie » (Mathias Terrier m’avait pourtant interviewé sur Radio Présence Lourdes il y a quelques années, et l’interview avait été cordiale) – j’ai commencé à argumenter : « Si notre projet est ‘immature’, voulez-vous que je vous envoie les 53 pages de notre script? » (c.f. Voici d’ailleurs la liste complète des 246 questions) ; « L’évêque de Carcassonne appuie DUEC? Pourtant, ce groupe n’obéit pas à l’Église et valide la pratique homosexuelle… » (Au téléphone, Claire Ozoux ne savait plus où se mettre ; elle a même écorché le nom de DUEC tellement elle n’y connaît rien au sujet…). Et puis j’ai cessé d’argumenter, car je voyais bien que la résistance venait d’ailleurs, et que ce n’était pas mon film ni mon groupe, mais ce que nous représentions ainsi que la peur, qui avait guidé le rejet de la Cité. J’ai compris qu’en amont, c’était aussi la journaliste Nathalie Cardon qui avait fait peur et pression à tous ces responsables catholiques lourdais.Ce fut un mal pour un mal pour un bien, puisqu’on a trouvé un hébergement et un lieu de tournage beaucoup plus beaux que Lourdes : Bétharram ! (un sanctuaire moins connu que Lourdes, et où pourtant il y a aussi eu des apparitions mariales). La Vierge Marie a donc veillé sur notre projet de bout en bout. Et le plus drôle, c’est que 3 jours avant le tournage, j’ai été logé à Lourdes avec une couverture de « bénévole volontaire du sanctuaire » (haha) : badge, polo, chambrette, voiture, tickets resto, etc. J’avais vraiment l’impression d’incarner le rôle surréaliste du réalisateur de film sans le sou, INFILTRÉ et sur place INCOGNITO pour un tournage sous haute surveillance et controversé… 🤣 Le grotesque dans lequel l’homophobie de la majorité des catholiques nous a mis… Cela dit, les ennemis du documentaire n’ont pas réussi à nous faire taire et n’ont pas pu empêcher ce tournage. Eh oui : les Folles de Dieu, on ne s’en débarrasse pas comme ça ! 😉💄🏳️‍🌈 J’ai aussi demandé à pas mal de prêtres présents à Lourdes au moment du tournage s’ils voulaient intervenir à l’une ou l’autre des journées pour donner leur avis sur l’homosexualité et montrer que le clergé nous accueille, écoute et nous aime nous personnes homos. J’ai même supplié un super frère capucin que j’avais rencontré lors d’une confession au sanctuaire de Lourdes et avec qui on avait bien accroché (il m’avait gardé 1 heure dans son confessionnal !). Mais rien à faire. La dizaine de prêtres/évêques sollicités se sont tous défilés, en s’inventant des excuses-bidon, en se réfugiant derrière leur réputation ou l’image de leur communauté. Après, qu’ils ne s’étonnent pas que l’opinion publique pense que le clergé catholique est majoritairement homophobe. Car c’est la stricte réalité, malheureusement.
 

Autre anecdote croustillante de la première partie des « Folles de Dieu » : Les premières interviews personnelles, que vous voyez tournées en salle, ont une particularité. Nous avons tous été embellis par Christian Mercado, le maquilleur des stars et des Miss, et aussi le témoin mexicain du film. Ce sont ses crayons, ses poudres, ses masques de beauté, ses talents de coiffeur et d’arrangeur, qui nous ont mis en valeur. C’est particulièrement visible avec l’interview de Perrine Coulombel, très en beauté, et coiffée par Christian. Par ailleurs, deux jours avant le démarrage officiel du tournage, comme nous étions sur place à Bétharram mais que nous attendions Gerson Gonzales (le témoin péruvien) qui a eu des problèmes d’avion, nous avons eu le temps de mieux former et consolider notre équipe avec deux jours de balade, de photographies, de prises d’images avec Jean-Yves Morvan notre photographe. Un soir, dans la chambre à 4 où dormaient Christian, Santiago, Jean-Yves et Guillaume, on a joué à un jeu compréhensible par tous les participants, sans que le décalage des langues pose problème : le Codenames que j’avais apporté. Et puis Christian nous a proposé de nous faire des masques de beauté aux volontaires (Il avait dans ses bagages tout le nécessaire du parfait make-up Artist ! 💄💅🧖‍♂️). Je crois que j’ai eu cette soirée-là un de mes plus gros fous-rires du tournage. En effet, Christian nous a fait un masque de beauté à Santiago Mejía (témoin colombien) et à moi. Et nous devions rester chacun allongés sur un lit, sans bouger, pour que le masque sur notre visage fasse effet. Et à un moment, nous avons imaginé le responsable de notre lieu d’hébergement ouvrant brutalement la porte de la chambre et découvrant horrifié la position gênante et incongrue dans laquelle notre groupe de folles « ingérables » et « imprévisibles » se trouvait. Et le fou-rire est venu quand Christian – qui en plus d’être hyper drôle parce qu’il a le sens du calembour à propos, concis et efficace, énoncé avec le ton pince-sans-rire qui le caractérise, a un talent inné de l’imitation – a imité en une phrase la possible réaction furibonde de notre hôte : « ¡¡ Aquí no es un Salón de Belleza !! » (traduction : « Ici c’est pas un Salon de Beauté!! »). Évidemment, moi qui ne devais surtout pas bouger, rien qu’en imaginant la scène et l’embarras qu’elle aurait pu causer, j’étais juste plié !! 🤣 Et Santi aussi !!
 

Autre anecdote inédite (et, ici, des signes du Ciel irrationnels, donc à mes yeux, des miracles) : Pour moi, le documentaire devait absolument avoir lieu à Lourdes, chez la Vierge Marie, et pas ailleurs. Puisque c’est elle la Virginité par excellence. Et notre film parle de la virginité homosexuelle. Certaines personnes ont cherché à me décourager (« Pourquoi si loin ? Pourquoi pas à Paris ? Y’a rien à Lourdes… Ce serait plus simple à la capitale. Tu serais sur place… »). Mais j’ai tenu bon. Et Lourdes-Bétharram, c’était le lieu idéal. Autre bâton dans les roues qui nous a été miraculeusement ôté : le tournage s’est tenu pendant 10 jours, fin septembre 2019-début octobre 2019… c’est-à-dire juste avant la pandémie mondiale du Coronavirus. Autant vous dire, sur le fil du rasoir ! On aurait attendu encore 3 mois, on l’aurait eu dans le baba ! C’était fichu. Et j’ai bloqué cette date de manière un peu militaire et autoritaire, sans céder aux pressions. Par exemple, dans le casting des témoins homos qui avaient inespérément accepté de participer, nous avions un gars canadien, droit dans ses bottes et dans sa Foi catholique, très mignon et très sympathique au demeurant, François, qui était chaud patate pour le projet, qui m’assurait vouloir venir témoigner… mais à la condition qu’on décale le tournage à janvier/février 2020 (ce serait tombé pile pendant la fermeture des frontières internationales…). Je ne saurais pas vous dire pourquoi je lui ai dit un « non » catégorique, et me suis accroché au calendrier que j’avais décidé, surtout compte tenu de la rareté des témoins homos cathos… mais je l’ai fait. Et bien m’en a pris ! Je l’ai congédié, en pensant en moi-même : « C’est maintenant ou jamais. Tu veux pas venir à ces dates-là ? Eh bien tant pis pour toi ! Ciao ! ». Pareil, il y a eu des journalistes catholiques qui m’ont dit que le tournage « avait lieu trop tôt, était un peu prématuré », que nous « n’étions pas prêts », qu’il « fallait reporter pour nous laisser encore un peu de temps », pour « fignoler » et « vraiment proposer un produit de qualité ». Et effectivement, le tournage s’est fait un peu « à l’arrache », avec les moyens du bord, des achats un peu « fous » et hâtifs (cagnotte en ligne ; achat des billets d’avion de la Colombie ; du Mexique et du Pérou ; commande des fauteuils aux 6 couleurs du Rainbow Flag surtout ; logement trouvé 3 semaines avant le tournage…). Mais, à un moment donné, il faut bien se jeter à l’eau, arrêter les atermoiements, ne pas s’attarder en chemin, et ne pas écouter les « conseils » qui sont en réalité des lâchetés déguisées, voire des attaques du démon. Et heureusement que nous avons tourné à Lourdes précisément dans les jours choisis ! Il était moins une !
 

Autre petit miracle : Gerson Gonzales, le témoin péruvien, a dû, pour les besoins du film (montage, script, prise d’images…), rester un mois supplémentaire à Paris, et est reparti pour Lima le 6 novembre 2019. Et le dernier jour, la Vierge Marie nous a fait deux cadeaux somptueux. Le premier, c’est que juste avant qu’il ne prenne son avion, nous avons décidé d’aller prendre les dernières images du documentaire plutôt que de travailler à l’appart. Dans l’idée, j’avais envie de retourner au Marais (le quartier gay de Paris) car nous ne l’avions filmé que de nuit, et il nous manquait des images diurnes. Et puis en chemin, je ne sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai changé d’avis, pris une autre direction : la pointe du square du Vert Galant ! (vous savez, là où la Seine se sépare en deux bras, avec le Louvre et le Pont des Arts en vis-à-vis, et un saule pleureur planté en bout ?). Eh bien là-bas, nous n’y avons trouvé absolument personne… sauf, assis sur ce « Bout du Monde », un couple gay de deux gars mexicains, se tenant par la main !! Gerson et moi avons pris notre courage à deux mains. Nous leur avons dit que nous réalisions un documentaire sur l’homosexualité, en leur déclinant le contenu, et leur avons demandé s’ils acceptaient que nous les filmions. Ils ont accepté avec joie (De tout le tournage, c’est le deuxième couple homo qui nous a donné sa permission de figurer dans le film). Gerson et moi étions très émus de leur amitié, et surtout pour Christian Mercado (le témoin mexicain de notre documentaire). Enfin, le deuxième cadeau incroyable de ce dernier jour de tournage est venu de Gerson. En effet, en faisant ses valises, il a insisté pour me laisser le micro et l’enregistreuse, en m’expliquant rapidement comment ils fonctionnaient. Sur le moment, je n’ai pas compris pourquoi il me les confiait. C’était lui, l’ingénieur-son en chef ! Pourquoi me laisser un outil que je ne maîtrisais pas bien ? Ça n’avait aucun sens… pas même celui de faire baisser le poids de ses bagages. Je pense que la raison a échappé à Gerson lui-même ! haha. Et, avec le recul, comme ce choix fut inspiré ! D’une part, parce que l’essentiel de mon travail actuel sur le film se joue sur les traductions et surtout sur l’enregistrement des voix-off avec l’enregistreuse ! ; et d’autre part, parce que cet outil n’aurait été d’aucune utilité pour Gerson au Pérou, étant donné que là-bas, c’est peine perdue pour trouver des volontaires pour faire le doublage en français/anglais/allemand/italien et même espagnol (ils sont 100 fois plus frileux et homophobes par rapport à l’homosexualité qu’en France… ce qui ne veut pas dire que je n’ai pas non plus galéré en France, faut pas croire : ça a même parfois été la croix et la bannière pour gagner la confiance des doubleurs, qu’ils soient cathos ou athées. Certains gays friendly m’ont même sorti sérieusement qu’ils préféraient prêter leur voix à Hitler qu’accepter de doubler Guillaume le témoin transsexuel du film… Véridique ! Et effrayant de stupidité cathophobe-homophobe…). Bref, tout ça pour dire que le don de Gerson n’est pas explicable autrement que par la Grâce divine.
 

Autre anecdote de cette première partie des « Folles de Dieu » : le fou-rire que Éric et moi avons eu juste à côté de la grotte des apparitions de la Vierge Marie (la grotte de Massabielle) s’est produit le dernier jour du tournage à Lourdes. Il faisait nuit. Il y avait un petit crachin. Comme Perrine et Éric ne pouvaient pas venir à Cholet pour le tournage de la dernière des 8 journées du film (sur la dimension sainte de l’homosexualité), j’ai décidé, pour notre dernière soirée tous ensemble (on a loupé la veillée aux flambeaux car je me suis planté d’horaire, et nous nous étions éternisés dans une pizzeria miteuse…), de prendre Perrine et Éric à part, et de les enregistrer sur quelques questions de la fin qui les inspiraient, mais uniquement avec le micro et sans la caméra. Nous nous étions abrités sous un parapluie. Le fou-rire avec Éric est survenu de manière totalement inattendue, vous vous doutez bien. Et je trouve ce dernier tellement vrai et tellement à l’image de notre groupe, de notre documentaire (À lui seul, ce fou-rire illustre la bonne ambiance entre nous, également tout le message du film – nous abordons le lien entre homosexualité et Foi MAIS dans l’Amour/humour – et désamorce tout procès que nos détracteurs pourraient nous faire de « tristesse » ou de « dissimulation » ou de « présomption » : l’humour désarme le diable) que j’ai souhaité qu’il serve d’incipit au documentaire. Pour montrer dès l’entrée que nous allions aborder des sujets certes graves et lourds… mais de manière légère et grave à la fois. Et le plus drôle dans l’histoire, c’est que lors de l’enregistrement de ce son, Éric s’est laissé décontenancer par le démarrage impromptu d’une messe en italien célébrée à la grotte… d’où son lapsus « homosexualité = déficience », puis son éclat de rire. Et ce que je trouve extraordinaire, c’est qu’Éric a osé lier homosexualité et péché (cette corrélation est le Tabou maximal aux yeux de nos contemporains, est scandale pour notre Monde !), et qu’en plus, cette messe a débuté par un chant cucul et kitsch vraisemblablement entonné par un choeur de bonnes soeurs ou de grenouilles de bénitier… mais dont les paroles sont prophétiques (même eschatologiques) et annoncent la libération des malades, des opprimés, des rejetés, bref, la promesse des Béatitudes et du Salut/sainteté qui concernent pile poil les personnes homosexuelles et notre documentaire : « La Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres : le Seigneur sauve son Peuple, Alléluia ! » On n’aurait pas pu rêver mieux comme coïncidence… et donc comme entrée-choc ! Notre documentaire veut annoncer le Salut et la libération des personnes homos par Jésus.
 
 
 

N.B. : Pour lire les fioretti de la partie 2 et la partie 3, cliquez sur les liens.