Je me trouve actuellement à la Bibliothèque François Mitterrand pour continuer mon enquête sur la Singularité en tant que Marque de la Bête (décrite par saint Jean dans l’Apocalypse). Je vais m’attaquer au fameux essai de Ray Kurzweil Singularity is near, ainsi qu’à plusieurs autres ouvrages, à la recherche de la moindre corrélation entre le mot « Singularité » et la présence d’un Monstre, d’une Bête, ou d’une marque/signature, dans des œuvres qui ne font pas du tout le lien consciemment. Je vous dirai ce qu’il en ressort, et si ma bonne intuition se poursuit.
Par ailleurs, j’ai retrouvé, de derrière les fagots, cette pépite télévisuelle, fruit de mes heures de visionnage de séries populaires débiles style Joséphine ange gardien ou Demain Nous Appartient : l’épisode 288 de Demain Nous Appartient, dans lequel le personnage de l’autiste, Timothée, parle de la « Singularité » cosmique à sa copine Nour, en regardant ensemble la Bête, la tortue de Timothée surnommée « Apollo 13″… CQFD !
Qui parmi vous a regardé hier soir (26 avril 2025) sur TF1 l’émission « The Voice »?
J’ai entendu une nouvelle confirmation inédite de la thèse prophétique que je postule dans mon roman apocalyptique Singularity is Devil : que la Singularité est la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans le livre biblique de l’Apocalypse (Et attention : pas de montage possible puisque c’était pour la première fois du vrai direct !). En effet, en ce moment, il arrive que, très inconsciemment, dans les émissions populaires françaises, le mot « Singularité » soit associé à la fois à une Marque, une Signature, une empreinte manuelle ou frontale, ainsi qu’associé à une Bête, un monstre, un animal (en général brillant et qui donne l’illusion à celui qui accepte la Marque de s’enfanter lui-même, d’être son propre Créateur, d’être Dieu). Et cette association « Singularité = Bête » est faite par des gens qui ne me lisent pas, qui ne comprennent pas le prophétisme de leurs paroles, et qui ne connaissent pas le lien entre Singularité et Marque de la Bête : je suis le seul au Monde à faire ce lien.
Lors de la demi-finale The Voice d’hier soir, donc, Nikos Aliagas annonce en direct l’arrivée du trio « Il Cello » (le ciel, en italien), un groupe de ténors formé par leur coach Florent Pagny. Voici ses mots :
Nikos – « Trois voix SINGULIÈRES. Trois parcours. Mais attention : un même souffle ce soir. Face à vous, voici le trio Il Cello. Il chante ‘You Raise me up’ de Josh Groban. »
À la fin de la prestation, le 5e coach « guest spécial », le rockeur Jean-Louis Aubert, improvise un commentaire, pour couvrir le trio d’éloges :
Jean-Louis Aubert – « Ils ont des voix magnifiques. Mais ce que je trouve incroyable, c’est dans une émission où beaucoup partent, avec quelquefois la larme à l’œil, et tout ça, ben là, le destin a fait qu’ils se sont trouvés, ils se sont rencontrés, et quand je les regarde, je vois un vrai groupe, parce que je vois un seul être. Et en fait, tous, ils se regardent comme ça, ils sont complètement complices, et ça fait UNE GROSSE BÊTE. Un seul être. Et un grand chanteur : un chanteurs à 3 voix. »
Nikos – « Un seul être. Mais ils n’ont qu’un Dieu. Ils n’ont qu’un Dieu. À leurs yeux, il n’y en a qu’un. Le prophète, c’est Monsieur. C’est lui qui a eu la vision. Monsieur Florent Pagny ! Sous vos applaudissements ! »
Florent Pagny – « Mais non. J’ai eu la vision d’un destin qui s’est déroulé. »
Je ne rêve pas ! J’ai vu juste !
N.B. : Pour ceux qui veulent voir la référence à la singularité en tant que Marque de la Bête, dans La France a un incroyable talent, c’est sur ce lien !
C’est marrant. Quand je m’entretiens seul à seul avec les catholiques de mon entourage (y compris les jeunes couples bien tradis avec plein d’enfants), et que je leur parle de l’homophobie généralisée dans l’Eglise catholique, je n’ai pas besoin d’argumenter longtemps : ils acquiescent immédiatement, et piteusement. J’ai l’impression que tout le monde sait, en fait. Que c’est le secret de Polichinelle. Et quand je leur dis que j’ai de quoi remplir un livre entier d’exemples et d’anecdotes d’homophobie concrète que j’ai subis, je vois qu’ils sont même étonnés que je reste encore dans notre institution malgré tout et que j’aille à la messe. Je m’en étonne aussi, car ça me dépasse : cette fidélité, c’est soit du masochisme scolaire de manipulé, de la naïveté-bêtise-aveuglement volontaire, soit un beau Mystère.
Concernant la mort du pape François, je n’ai pas dit grand-chose, car j’observe. Mais 3 grandes vérités-tabous m’apparaissent, ou bien 3 convictions personnelles… même si elles ne sont pas catholiquement correctes ou bien que j’aurai du mal à les prouver :
1) En toute honnêteté, je ne retiens du pape François aucune grande pensée, grande phrase ou grande nouveauté, « vérité-choc », de son pontificat. À l’instar de Carlo Acutis, par exemple. En terme de Vérité, c’est la misère. Bien que je le reconnaisse comme un pape valide et choisi par l’Esprit Saint, il n’a rien d’un Père de l’Église qui a révolutionné la pensée de l’Église. D’ailleurs, vous remarquerez que tout le monde le devine puisque personne ne brandit la pancarte « Santo subito! » (« Saint d’office! »). Mais chut! Faut pas le dire.
2) Je pense que le pape François a été assassiné : Vatican News a même révélé qu’il est mort d’un AVC (Accident Cardio-Vasculaire). Et ma blague d’hier sur le « Charcovid » (contraction de la maladie de Charcot et du Covid), était une manière de le signifier. Le pape François a été piqousé à mort. Euthanasié. D’ailleurs, je trouve le choix délibéré de « l’achever » un lundi de Pâques (alors que la veille, il était encore en état de faire un bain de foule en pleine Place Saint Pierre) d’un cynisme « piétiste et sanctifiant » absolument affreux.
3) La Marque de la Bête, ainsi que la Bête, pousse à fond la candidature du cardinal Gobert Sarah comme nouveau pape. Il n’y a qu’à voir le compte X/Twitter « Wolf » (traduction : loup) qui lance ses pronostics (alors que Sarah a dépassé l’âge légal d’être élu) : et l’écrasante majorité des votes des internautes pousse pour le cardinal guinéen… pour des raisons autant intellectuelles, ritualistes, que politiques et terroristes (maintien de la chrétienté en Afrique face à l’invasion islamique). Dans mon roman Singularity is Devil, le cardinal Sarah incarne le faux pape qui, grâce à un régime d’exception, sera élu pape Pierre II. La Bête adore le cardinal Sarah.
En discutant avec mes contemporains, je me rends compte qu’ils ne croient plus – voire rejettent carrément, dans un relativisme subjectiviste méprisant – quatre dimensions pourtant consubstantielles à l’Amour : son INCARNATION SEXUÉE (l’Amour n’aurait pas de sexe), son UNICITÉ (ils défendent le polyamour, ou le fait qu’on puisse aimer vraiment plusieurs personnes dans sa vie), son UNIVERSALITÉ (l’Amour serait une expérience individuelle non-partageable et non-transposable d’un couple à un autre), son ÉTERNITÉ (l’Amour vrai ne durerait pas, ou durerait le temps qu’il durerait).
Je lis çà et là « Joie! Joie! Joie! » sur les messages et les murs des réseaux sociaux et de mes amis chrétiens. Ou bien certains articles de journaux cathos qui font péter le champagne à cause du soi-disant sursaut de conversions de néocatéchumènes au catholicisme.
Non. Désolé. Mon cœur n’est pas à la joie aujourd’hui. Ou, en tout cas, pas à la joie euphorique, extatique, forcée, des quelques catholiques pratiquants actuels qui singent les effets de puissance surprenante qu’ils prêtent à la Résurrection de Jésus.
Mon cœur est plutôt à la joie grave, intérieure, inquiète et même révoltée, de la Passion. Car la situation mondiale/nationale actuelle est tellement grave, douloureuse, tendue, et la Grande Résurrection, le Grand Retour de Jésus, tellement imminents et pourtant si peu effectifs, que – je l’avoue – je vais à la messe pascale de ce matin en traînant les pieds, en me forçant, et que j’ai à peine la force de répondre « Il est VRAIMENT ressuscité ! » à ceux qui me disent « Christ est ressuscité !! ». Je suis à deux doigts de ne pas y aller. Parce que ça me fait chier, toute cette mascarade. Mais j’irai par devoir.
Il est à la fois très proche et très loin, très opaque, ce temps de la Résurrection. Vu que nous rentrons progressivement dans les Tribulations, qu’on va en chier, et que les Trois Jours de Ténèbres approchent. Donc désolé les amis si aujourd’hui ma joie vous apparaît absente, éteinte, teintée d’amertume, ou qu’elle a du mal à sortir. Pour moi, l’augmentation des baptisés est un écran de fumée, un cache-misère reflétant l’apostasie générale et la chute du sacerdoce, la mort clinique de l’Église-Institution humaine. Et on est loin, très très loin, de la Résurrection effective! Même si temporellement la Parousie (le retour de Jésus en gloire) est imminente et n’a jamais été aussi proche.
Je ne vous dis pas « Joyeuses Pâques ! », mais juste « Pâques ! ».
On ne vit plus dans le même Monde qu’il y a seulement 70 ans. Et c’est pas grave. Pas de notre faute. Ni une folie venant de soi. Mais juste une réalité démographique. En me baladant à Paris hier dans les rues bondées de l’île saint Louis à Paris, en voyant les quais de scène surpeuplés, avec une amie (Marie-Claude) de 75 ans qui m’a appris que lorsqu’elle est née il y avait 2,5 milliards d’Humains, et qu’actuellement nous sommes 8 milliards, on se prend la mondialisation dans la gueule, et le peuplement (je n’ai pas dit « le surpeuplement ») dans la gueule. Les espaces – en particulier urbains – sont pris d’assaut et on doit se serrer. Voilà. On ne vit plus dans le même Monde. Ou plutôt, si : on vit dans le même Monde, mais pas avec la même densité.
Autre chose : hier soir, dans « The Voice », le mot « singularité » est sorti 4 fois, dont 2 en lien avec une « signature », une « marque ». Donc mon intuition se confirme : la singularité est bien la Marque de la Bête.
Je reviens à l’instant d’une soirée de lecture publique de textes libertins du XVIIIe siècle en France, à l’École Normale Supérieure de Paris. Et j’ai eu la confirmation que la SINGULARITÉ est bel et bien la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse. Sur les 9 textes d’auteurs classiques lus (par un comédien de la Comédie Française), il y en avait 3 qui ont parlé de manière allusive et inconsciente de « singularité » en lien avec un marque, un anneau, et un monstre. Et ni les conférenciers, ni les auditeurs de l’amphithéâtre quasi plein, n’ont pu s’en apercevoir. Car si personne ne vous explique le lien avant, il est impossible à voir. J’ai demandé, à l’issue de la lecture, aux intervenants de m’envoyer les deux textes de Crébillon fils et le texte de Diderot. Si, même au XVIIIe siècle la Marque de la Bête était déjà inconsciemment annoncée comme la singularité, c’est donc que ce que j’ai flairé est vraiment solide!
Crébillon fils, Le Sopha (1742)
Pour « punir son âme de ses dérèglements » (sic), Amanzéï, le narrateur, est transformé en sopha (ou divan) par Brahma (le dieu créateur dans l’hindouisme) qui, je cite « inflige aux Humains quelque peine singulière » : « Sans doute il crut m’humilier plus en me faisant sopha qu’en me faisant reptile. » déclare Amanzéï. Et il ne retrouvera sa forme humaine que « quand deux personnes se donneraient mutuellement et sur [lui] leurs prémices », c’est-à-dire leurs préliminaires sexuels. En plus de devenir objet, il lui arrive de changer de sexe, et que son âme entre insensiblement dans le corps de la femme puis celui de l’homme, pour en ressentir les pensées et sensations. Cela excite la curiosité de son auditeur, le sultan Schah-Baham, titillé par la perception sexuelle de l’autre sexe : « Je voudrais bien savoir un peu ce que vous faisiez pendant que vous étiez femme ; cela doit faire un détail fort curieux. J’ai toujours cru que les femmes avaient de singulières idées. »
Diderot, Les Bijoux indiscrets (1748)
Une mystérieuse bague dévoile les secrets intimes des femmes de la cour et du royaume du sultan Mangogul, généralement pendant leur sommeil. Mangogul partage les résultats de ses enquêtes avec sa favorite, Mirzoza, qui est elle-même perpétuellement inquiète d’être la victime de la bague.
Mangogul – Si les aventures d’une femme doivent être divulguées, il vaut mieux que ce soit par son bijou que par son amant.
Mirzoza – L’idée est singulière…
Mangogul – Et vraie ; car prenez garde que pour l’ordinaire un amant est mécontent, avant que de devenir indiscret, et dès lors tenté de se venger en outrant les choses : au lieu qu’un bijou parle sans passion, et n’ajoute rien à la vérité.
Crébillon fils, La Nuit et le moment (1755)
Cidalise se fait violer par Clitandre, son amant dont elle est pourtant amoureuse. Ce dernier lui reproche d’être « trop singulière » (je cite). Et Cidalise lui renvoie sa bestialité/singularité : « En vérité ! Vous êtes singulièrement ridicule ! » Pour inverser la vapeur, elle prétend vouloir « l’attraper ». Et l’expression employée par la demoiselle choque son prédateur : « Pour m’attraper ! Où avez-vous donc pris cela, s’il vous plaît ? »
Mediapart use toujours de la même technique de calomnie/manipulation, comme ils l’ont fait pour me pourrir, et comme ils le font avec Cyril Hanouna maintenant : publier des enregistrements de la personne qu’ils diffament, les sortir de leur contexte, pour ensuite la briser. Pour moi, avec la fausse réputation qu’ils m’ont taillée, impossible de trouver quoi que ce soit (boulot, logement, amis, amour, vocation…). Je suis devenu le chat noir et le « méchant » pestiféré. Méthodes staliniennes.
C’est marrant comment en ce moment les lâches, les peureux et les flipettes, jouent les divins et les grands sages pour maquiller et habiller leur trouille ou leurs pulsions de « divinité », d’« Mon instinct me dit que… », « Mon intuition me dit que… », « Ma conscience me dit que… », « Je m’écoute » ou « J’écoute mon Moi profond », etc.
Euh… non. Tu n’écoutes rien du tout, à part ta peur, ta lâcheté, ton égocentrisme et la Bête.