Archives de catégorie : Je l’ai dit

Vitrail maçonnique catholique

Un carambar pour celui ou celle parmi vous qui me retrouve l’église où se trouve ce vitrail de saint Joseph artisan avec Jésus !^^
 

Ce sera la couverture de mon prochain livre sur l’infiltration de la Franc-Maçonnerie dans l’Église Catholique ! 🙂

La perversion de la mode des « coming out de la vocation sacerdotale » (qui bien souvent préfigurent les coming out sacerdotaux)

Les mêmes prêtres qui, au moment du « mariage » gay il y a 10 ans, me tournaient le dos, m’ignoraient, faisaient comme si je n’existais pas, disaient que dans leur paroisse ils n’abordaient jamais le thème de l’homosexualité car elle n’était pas un sujet et/ou était un sujet inutilement clivant et blessant pour leurs paroissiens, qui peaufinaient leur carrière sacerdotale et « évangélisatrice » (avec leur groupe, leur revue, leur chaîne, leur disque, leur parti politique…), aujourd’hui tombent le masque et montrent leur vrai visage : ils défendent, comme le père Matthieu Jasseron, les bénédictions de couples homos voire le mariage religieux de ces derniers. Et toujours en se gardant de parler de leur propre orientation homosexuelle, ou en se rangeant dans la case pratique et soi-disant « neutre » de « l’hétérosexualité gay friendly désintéressée ».
 

Ils adoptent exactement la méthode luciférienne et franc-maçonnique : d’abord l’hermétisme (confinement, censure, ignorance, silence, rejet : le « Je ne me positionne pas », le « Don’t ask, don’t tell » de Clinton, avant la promotion ouverte ; ou le « Je rentre dans la salle des noces sans moufter ») ; puis ensuite l’« ouverture » de la « fierté » et de la « franchise » d’être prêtre (le « Je donne mon avis sur un sujet qui ne me concerne pas, et je parle à la place des vraies personnes concernées » ; « Je dis ma joie d’être prêtre ou d’être moine… même si c’est pas facile et que le temps sont durs »), le retournement de veste (le « Je soutiens mollement mais progressivement ») ; voire, dans une troisième étape, l’explosion (le « Je soutiens carrément », « Je donne ma bénédiction de prêtre », voire « Je pratique l’homosexualité en cachette »).
 

Et à côté de ça, les autres prêtres, opposés à ces épanchements complices de leurs collègues sur la communauté homo, ne diront rien et ne nous assumeront pas, nous personnes homos continentes ou tentant de l’être.
 

Hmmm… Ça va être sympa, l’Église Catholique de ces 3 prochaines années.
 

Une Maison de l’Homosexualité ?

 

Bon, finalement, concernant le Trivial Pursuit gay, je pense que c’est tellement génial que mon projet mérite que je vise plus haut. J’aimerais bien fonder à Paris une « Maison de l’Homosexualité », une sorte d’espace multimédia ou d’escape game (on peut rêver !) avec quatre « confessionnaux », genre « Boîte à Questions » de Canal + sur la culture gay, avec des questions interactives, lues et pré-enregistrées par des comédiens (pourquoi pas, des gens connus de la culture homo), et où le visiteur pourra apprendre plein de choses ! On va voir. Pour l’instant, je rédige les 2400 questions. Avec 4 catégories (première boîte à questions = « Fonctionnement du désir homo » ; 2e boîte = « Connaissance du monde homo » ; 3e boîte = « Connaissance des icônes gays + blind-test musical » ; 4e boîte = « Questions intimes sur toi »). C’est du boulot. Mais dernièrement, je passe mes journées à la Bibliothèque Pompidou, et je déterre énormément d’archives sur une culture gay non pas ignorée mais complètement idéologisée, vidée de son sens, symbolisme et connexions. On va bien voir ce que ça donne…

Evolution impossible

 

Je n’arrive pas, avec le C.V. que j’ai, à trouver du travail. J’écris à plein de gens, en particulier dans ce que je sais faire le mieux et dans mes domaines de compétences (écriture, enseignement, journalisme, éducation, animation, création…) : que ce soit avec les cathos ou les non-cathos, je n’essuie que des refus. Même après avoir passé des entretiens. Mon profil de catho homo, mes livres, mes sujets d’analyse (Franc-Maçonnerie, Apocalypse, homosexualité, Fins Dernières, « vaccins »…), mes prises de positions, tout ça paralyse mes interlocuteurs. Rien n’y fait. J’aimerais sortir du RSA, mais tout m’y enferme. J’aimerais trouver un petit gagne-pain. Mais impossible. Et quand je regarde en revanche le parcours et la carrière de nombreuses personnes – à l’intérieur ou à l’extérieur de l’Eglise – que j’ai côtoyées de près à un moment donné de mon existence (et qui ont parfois mon âge), je vois que certains ont évolué et arrivent même désormais dans les arcanes du pouvoir (politique, économique, artistique, religieux…). Je ne les sens pas heureux pour autant, car eux ne sont pas libres. Mais je me sens – au mieux – en sous-régime et inexploité, – au pire – muselé et à l’arrêt, blacklisté. Je vais continuer à écrire, mais j’avance dans le noir, avec très peu de mains tendues, d’invitations, et de perspectives. Je vous le dis très simplement, sans me victimiser.

La « Foi semi-remorque »

Finalement, les cathos tradis conservateurs sont atteints du même mal que les protestants : le fidéisme. C’est juste qu’à la différence de ces derniers qui affirment « Seule la Foi sauve ! », les traditionalistes diront également « Seule la Foi – dogmatique et incarnée par l’Église-Tradition – sauve ! ». Mais c’est la même chanson ! Simplement, le mot « Foi » est remplacé par le mot « Église ».
 

Bien qu’il se dise « catholique » et « gardien scrupuleux de l’Enseignement de Jésus », leur fidéisme/traditionalisme est une idolâtrie, un fétichisme, en réalité. Car, à entendre les catholiques traditionalistes ou les protestants, on constate que la Foi ou l’Église n’est plus associée à la Personne aimante de Jésus (qui, par son amour, accueille y compris ceux qui ne croient pas en Lui : athées, agnostiques, musulmans, pécheurs, incroyants, non-baptisés, etc.), mais est associée à un bloc monolithique et hermétique de pierre ou de papier – appelé « Bible-corpus de textes sacrés » ou « dogmes » ou « Vérité dogmatique complète » ou « Jésus » – qu’il serait impossible de modifier ou de pénétrer si on ne le possède/connaît pas (« Hors de l’Église, hors du dogme, hors de la Foi, point de Salut et point de sainteté ! ») : c’est pour ça qu’ils – les cardinaux Sarah, Müller, Viganò, et autres fidolâtres tradis – utilisent tant, par exemple, l’expression « dépôt de la Foi » : la Foi, pour eux, c’est un bâtiment de pierre, c’est une Bible, c’est un reliquaire, c’est une Arche d’Alliance (contenant les tables de la Loi divine), bref, c’est un gros bloc de granit livré par un camion semi-remorque appelé « Dieu », et qu’il faudra conserver intact… mais ce n’est plus une Personne (Jésus) ni les personnes (souvent non-croyantes et imparfaites) qu’elle attire à elle. C’est la « Foi-semi-remorque » ! Ça ne va pas du tout. Ils confondent. Jésus n’est pas un bloc de pierre ni une statue. L’Église – fût-elle qualifiée de « mystique » et de « christique » – non plus. Les tradis sont autant protestants que les évangéliques officiels.

La forme rigolote que prendra probablement la Marque de la Bête de l’Apocalypse

Je pense que la Marque de la Bête (de l’Apocalypse : Apo 13, 17), que toute l’Humanité sera obligée de porter (à la main droite ou au front), va probablement prendre la forme du symbole (au sens propre du mot symbole : une reconstitution, un assemblage, une association-puzzle improbable entre deux membres de notre propre corps non habituellement corrélés), un symbole tatoué sur le corps tout aussi génial, rigolo, surprenant et singulier que le tatouage que porte au doigt le jet-seteur Emmanuel de Brantes (une moustache qui, une fois le doigt posé sur le dessus de ses lèvres, se substitue à sa vraie moustache). Je crois que la Marque de la Bête sera aussi originale et « géniale » que ça.
 

 

Courage les mecs (et les rares filles équilibrées en ce moment) !

Un des grands défis de cette Fin des Temps universelle – et je suis très sérieux en disant cela – ça va être de devoir supporter les angoisses et les pétages de câble répétés de beaucoup de femmes qui nous entourent et qui sont progressivement devenues des chieuses de compétition ; ça va être de voir une majeure partie de notre entourage féminin – fragile émotionnellement – perdre pied, se transformer en nanas hystériques, paranoïaques, misandres (c’est-à-dire anti-hommes), anticléricales (c’est-à-dire anti-Église et anti-prêtres), chtarbées, parce qu’elles gèrent mal la Passion collective que nous allons traverser très prochainement à échelle mondiale.
 

Alors les mecs, courage à nous pour se les coltiner ! Et à vous les femmes minoritaires qui ont su garder la paix, l’amour et la joie de Jésus, qui n’ont pas basculé du côté obscur de la force, justement, courage pour supporter vos soeurs devenues folles (les vierges folles de la Bible ! Vraiment ! Mt 25, 1-13) et pour ne pas devenir comme elles.
 

N.B. : Le déclin féminin (vers la folie) est à ce point général et alarmant (en particulier dans l’Église) que je suis à deux doigts de me rendre le 13 mars à la table ronde (jeudi prochain) à saint Nicolas sur « Les enjeux de la féminité au XXIe siècle » (avec des ateliers à la con, démagogiques, flatteurs pour les femmes, mais qui n’ont absolument pas pris la mesure de la menace de folie, de perte de féminité, qui les guette). L’enjeu pour les femmes d’aujourd’hui, ce n’est plus « d’être femme ou de s’émerveiller – niaisement/en mode faussement énergique – sur la graine de femme » qu’elles seraient. C’est carrément, pour cette Fin des temps, de ne pas devenir folles ! C’est d’un atelier « Comment échapper à la folie spécifiquement féminine qui nous guette » qu’il faudrait mener.

L’« évolution » des radios libres homosexuelles en 10 ans…

J’écoute, après les avoir ignorées pendant plus de 10 ans, les émissions des radios dites « LGBT », donc dédiées aux personnes homosexuelles. Radios libres toujours actives (je pense à l’émission « Homo Micro », par exemple, sur Paris Plurielle, où j’ai été chroniqueur pendant 3 ans et demie). Et je suis frappé par leur nullité et leur immobilisme. Il y a très peu de réflexion, très peu d’analyse et de contenu. C’est le vide intersidéral. Quand leurs animateurs et chroniqueurs se risquent à parler de politique, c’est toujours sur le mode de la victimisation (un comble : ils ont imposé ou se sont vu offrir des lois à tout le monde, que d’un côté ils continuent de présenter comme des « victoires » extraordinaires, et d’un autre côté comme des « échecs » à bouder, parce que ces mêmes lois sont d’une vacuité et d’une dangerosité dont ils n’ont pas conscience : le triomphalisme forcé de ces militants devient alors très vite revanchard et manichéen) ; et quand ils se risquent à aborder des sujets culturels et artistiques, c’est toujours sur le registre de la sensualité (soit exaltée, soit déprimée : ils se focalisent sur les effets narcissiques et non sur les faits, sur leurs propres projections ou intentions et non sur l’oeuvre artistique en elle-même). Il n’y a chez eux quasiment aucun travail critique. C’est le degré zéro de l’engagement et de la réflexion. Le degré zéro de la remise en question, aussi. L’impression que ces radios laisse, c’est que leur équipe est composée de dépressifs qui se tripotent la nouille en se croyant très « révolutionnaires », très courageux et constamment victimes des « fachos homophobes ». Et dire que ça va continuer comme ça encore pendant des années…