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Inauguration de mon podcast « QUIZZ GAY » sur Spotify


 

Ça y est ! Je me lance dans le podcast payant (10 euros par mois, sur Spotify) « QUIZZ GAY » pour donner à connaître toutes mes analyses sur l’homosexualité. Je posterai régulièrement des questions-réponses sur la culture LGBT, dont des blind-tests musicaux très sympas. Et c’est une manière pour vous de m’aider en même temps que de reconnaître mon travail et d’en apprendre toujours plus sur l’homosexualité. N’hésitez pas à faire connaître autour de vous.
 

(Désormais, je ne posterai plus de questions ici ^^).
 

Merci à Hélène pour son super logo.

Préparation de deux podcasts payants (sur l’homosexualité d’une part, sur la Franc-Cathonnerie d’autre part)

 

Je viens de finir les 500 premières questions de mon Trivial Pursuit Gay. 🥳
 

Je vais me lancer dans la création et l’enregistrement d’un podcast payant sur plateforme, pour voir si je peux, en plus d’amuser et d’instruire les gens sur un sujet (l’homosexualité) dont paradoxalement personne ne parle, récolter un peu le fruit de mon travail d’analyse, unique. N’ayant pas trouvé preneur ou acheteur de ce concept pourtant génial, et qui aurait même pu faire l’objet de la création d’un musée, d’une médiathèque, d’un escape game, ou carrément d’une Université, d’une Maison de l’homosexualité (mais notre Monde et notre Église ne sont pas prêts… et je crois que désormais, jusqu’au retour de Jésus, ils ne le seront jamais), je me rabats sur le format podcast payant. C’est le maximum que je puisse faire, à la hauteur de mes faibles moyens.
 

Je pense créer un deuxième jeu en parallèle, cette fois dédié à la « Franc-Cathonnerie » (à savoir l’infiltration de la Franc-Maçonnerie dans l’Église Catholique), et qui là encore, va aller beaucoup plus vrai et beaucoup plus loin que les minables et indigentes (il faut le dire !) chaînes YouTube ou Tik-Tok de nos influenceurs ou prêtres carriéristes catholiques (qui n’ont pas grand-chose à dire et à nous apprendre). Pour ma part, je ne pense pas gagner ma vie là-dessus ni une grande notoriété. Et je compte quitter ces deux chaînes-podcasts une fois qu’elles m’obligeraient à accepter la Marque de la Bête. Je ne m’en occupe pour l’instant que pour faire mon devoir d’enseignement et de (je l’espère) prophétisme. Et on verra bien. Je n’y serai pas attaché comme à la prunelle de mes yeux. La seule vraie prunelle de mes yeux, c’est Jésus (en chacun de vous).
 

Allez hop ! Je me mets au travail ! Tant qu’on me permet de le faire…

Ma vocation de flic

Moi, je suis prête. Au taquet


 

C’est les décisions de la cellule de « crise »/ »couvre-feu »/ »révolution »/ »État d’urgence »/ »Guerre civile »/ »Chaos » de Macron…
 

Je commence à recevoir des propositions de poste de flic en tant que bénéficiaire du RSA. Euh… comment vous dire ? Vous me voyez bien flic? 😂🏳️‍🌈
 

Si le Gouvernement Mondial – à la botte duquel marche la France – me force à contrôler/surveiller/fliquer les gens en échange de ma survie matérielle, je préfère encore vivre sous les ponts.
 

Sans doute que mon RSA vit ses dernières heures. Je le savais, de toute façon…
 

Trois zones de front

Voici trois nouvelles importantes « du front », pour que vous puissiez comprendre où je vais :
 

1 – Mon livre Couples homosexuels : c’est quoi le problème ?, qui devait sortir aux éditions Saint Honoré en janvier dernier, mais qui s’est arrêté aux portes de l’impression à cause du redressement judiciaire de ces dernières, sortira vraisemblablement en septembre prochain, cette fois aux éditions Falcon. C’est une bonne nouvelle, car la question du mal et du péché (jamais traitée, même dans et par l’Église) par rapport à l’homosexualité, est centrale. Je vous tiendrai au courant.
 

2 – Le documentaire « Les Folles de Dieu » est malheureusement au point mort (alors que seulement les trois premières parties sont sorties, et qu’il en reste 21 autres en attente, d’une grande richesse de contenu). La raison est simple : c’est le manque d’argent et de soutien de l’Église, et l’abandon total de la part des catholiques et du clergé. Or Gerson (témoin péruvien) et moi-même ne pouvons tout simplement pas avancer sans argent. Nous sommes tributaires du matériel (même si le matériel est lui-même tributaire du spirituel). Le paradoxe, c’est qu’il y a 6 jours, le Vatican a commencé à lancer, dans le cadre de son « Synode sur la Synodalité », des audits pour consulter les catholiques sur l’homosexualité. C’est un véritable dialogue de sourds : les cardinaux et le Pape font semblant de nous écouter, accompagner, s’intéresser à nous, personnes homos… mais concrètement, nous ignorent, abandonnent, n’en ont absolument rien à faire de nous (ils nous aiment en photos ; pas en vrai). Je crois qu’on ne se comprendra jamais. Car à ce jour, je ne vois aucun évêque, cardinal ou Pape, courageux.
 

3 – J’avance pour le coup sur l’élaboration de mon « Trivial Pursuit Gay » ainsi que mon « Trivial Pursuit Franc-Cathonnerie » (décrivant l’infiltration de la Franc-Maçonnerie dans les sphères catholiques anti-Franc-Maçonnerie). C’est un projet utile, unique en son genre, et qui pourrait, s’il était compris à sa juste valeur, et si des millionnaires un peu couillus le saisissaient, faire l’objet d’un laboratoire ou d’un musée à succès. Pour l’instant, je travaille sur ce troisième chantier, en me basant matériellement sur mon petit RSA. Je tiens le coup. J’aurais voulu compter sur l’Église pour trouver un boulot de soutien, mais je fais peur aux catholiques et aux prêtres, qui ne me font plus du tout confiance. Donc je m’accroche.
 

Voilà pour les nouvelles.

C’est puissant, le désir de sainteté

 

C’est coriace, le désir de sainteté 😆. On croit que c’est rien, qu’on peut le ranger au placard des vocations désuètes ou banales, qu’on peut s’en débarrasser l’air de rien. Mais en fait c’est puissant ! Et vainqueur (de la seule sensualité, de nos sincérités, de notre recherche de plaisirs) ! Certains ne peuvent pas renoncer à l’Extraordinaire. Ils ont un désir de sainteté dont ils ne guériront JAMAIS. Il faut juste qu’ils l’assument (« dans la paix et dans la joie de Jésus »).

À deux doigts de quitter le navire

 

Je vois tellement d’homophobie de la part des catholiques actuels (rejets concrets, indifférence, et maintenant mépris et ricanements) que je suis à deux doigts de quitter le navire. Je vous le dis.
 

L’Église est peut-être ailleurs que dans l’Église dite officielle.

La quête perdue d’avance

 

Je viens de prospecter, avec un ami, les lieux d’espace culturel du Marais qui pourraient être intéressés par mon Trivial Pursuit Gay et en faire un musée, une médiathèque ludique et pédagogique. C’est chaud… dans notre Monde actuel où parler de politique est interdit (car jugé « partisan », « prosélyte » et « extrême »), parler d’économie est interdit (car jugé « vénal » et « intéressé »), parler de religion est interdit (car jugé « idéologique », « extrémiste », « fondamentaliste » et « dangereux »), donner son avis est interdit (car jugé « réducteur », « intolérant », « fondamentaliste », « orgueilleux »), parler du passé, du présent et de l’avenir est interdit (car jugé « réactionnaire », « complotiste » ou « fasciste »), parler de sexualité est interdit (car jugé « sexiste », « choquant », « violeur/violent » et « non-inclusif »), parler d’homosexualité est interdit (car jugé « homophobe »), penser et se positionner moralement est interdit (car jugé « trop compliqué », « obscurantiste », « discriminant », « clivant »), bref, dans un Monde où la différence et la Vérité sont vues comme des ennemis, et où la neutralité et la peur sont devenues les nouveaux dieux. Je crois que tout ça va finir en podcast… à moins de tomber sur un milliardaire homo hors System et qui ne soit pas ni droite ni d’extrême droite. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin…

Les catholiques ne me feront plus confiance, les non-catholiques non plus

 

Maintenant, ça devient de plus en plus clair. À moins de me cacher ou d’accepter un job ingrat et anonyme, je ne trouverai pas de travail dans l’Eglise. Car même les catholiques et les prêtres applaudissant en privé mon « courage » et connaissant mon combat ont peur de moi, voire me plantent un couteau dans le dos :
 

J’avais postulé pour un job de responsable d’aumônerie dans une paroisse à Paris dont je tairai le nom. Mon « cas » était connu du vicaire (il avait lu un de mes livres, en plus). Mon profil correspondait en tous points au poste proposé. Même au niveau artistique et relationnel, au niveau des qualités d’animation. J’ai passé deux entretiens d’embauche (avec 3 interlocuteurs différents à chaque fois : un véritable tribunal pastoral, avec des gens qui se font des nœuds au cerveau sur mon « cas »), dont une prolongation d’entretien imprévue où ils se sont montrés beaucoup plus incisifs, agressifs, m’ont passé sur le grill, et m’ont soumis des situations qui n’avaient absolument rien à voir avec une aumônerie « normale » (cas d’agression collective, addiction aux drogues, prostitution, harcèlement parental…). J’avais plus l’impression d’avoir affaire à des gens non-cathos recherchant un surveillant de prison, un éducateur spécialisé dans un centre de délinquants, un psychiatre en HP, qu’un simple responsable d’aumônerie dynamique, aimant et joyeux. Ils s’auto-caricaturaient en aumônerie de junkies et de parents barges, qui a perdu la Foi et la bonté de Jésus. Ce fut un entretien d’embauche maltraitant et d’une mauvaise foi indigne d’un organisme catholique. Désolé de parler d’homophobie – car ça fait victimisation facile, et que l’homophobie, à l’instar de la jalousie, ni ne se nomme ni ne peut vraiment se prouver – mais tout semble pointer vers cette direction. En plus de l’hypothèse d’une « publicophobie » (le fait d’être public, partisan et militant, donc d’avoir une parole dans la sphère publique : selon eux, c’est mal. Il faut être neutre et n’avoir aucun engagement ou prise de parole publique, sinon on est « prosélyte », « activiste », « clivant » ou « polémiste », et ça ne peut pas se marier avec une pastorale de jeunes. Ils ne cherchent que des gens tièdes et discrets qui privatisent leurs pensées ou les gardent pour eux, et observent le sacro-saint « devoir de réserve »). Et ça fait de la peine pour les jeunes, pour l’Eglise et Jésus.
 

Mais ça va passer. Tout ce qui arrive, même en apparence injuste, est juste (car justifié par Jésus).

Rebelote ! Un autre !


 

Et rebelote ! Sur les réseaux, je tombe à l’instant sur un autre gars en Franc-Maçonnerie (et qui me drague, en plus ! 😆). Quand je vous dis que j’attire les initiés francs-maçons comme des mouches…
 

Là, je l’ai démasqué parce qu’il m’a envoyé une image parodique de Tintin passant sous le bandeau dans un temple, et que j’aurais dû trouver anodine. Alors évidemment…
 

Et je lui demande cash : « Un Tintin bien maçonnique, dis-moi… Allez, balance le nom de ta loge ! » Il rit. Puis me sort : « Grande Loge Traditionnelle Symbolique Opéra (G.L.T.S.O.) ».
 

Voilà voilà. En 5 minutes chrono, c’est cuit.
 

Je vous le raconte parce que c’est du « live », c’est du vrai, du vécu ! Et que, si je ne le dis pas, personne ne me croit (et encore moins la majorité des cathos dans leur bulle), et ça passe pour de la folie obsessionnelle de ma part.

La révolte : le dieu du bobo

 

J’ai remarqué que le bobo considère la révolte comme un dieu devant lequel il devrait s’incliner et se taire, une géante qui aurait forcément raison, serait légitime, aurait le dernier mot, même quand dans sa dénonciation ou accusation elle devient plus violente et destructrice que le mal qu’elle illustre (plus qu’elle n’incrimine).
 

Parce qu’au fond, le bobo justifie la souffrance (générée par les maladies, les injustices, les conflits mondiaux, les drames humains…), mais aussi, finalement, la souffrance qu’il a vue, celle qu’on lui a faite, et même la souffrance qu’il a infligée (il « se sent coupable » : c’est trop horrible !) et celle qui lui a été présentée – de manière en général très réductrice et manichéenne – comme telle (la Shoah, le nazisme, la Guerre d’Algérie, le colonialisme, les infanticides, viols et meurtres des innocents, etc.). Donc la vengeance.
 

Or la souffrance, quelle qu’elle soit, est injustifiable. Quand bien même elle existe, elle s’explique, peut se comprendre, dans certains cas être soulagée, doit être entendue et prise en compte. Mais elle reste injustifiable. Et ce n’est pas elle, contrairement à ce que croit le bobo (sans Espérance), qui doit avoir le dernier mot.