Archives de catégorie : Phil de l’Araignée

Je ne suis pas #CharlieKirk

Tous ces hommages à Charlie Kirk que je vois affichés çà et là sur les réseaux et particulièrement sur les pages cathos commencent à me courir sur le haricot. Pour trois raisons : la première, c’est que je sens un mimétisme (de l’agression et de la victimisation) moutonnier de la part des catholiques actuels (les gauchistes avaient leur Charlie avec le massacre de Charlie Hebdo ; les droitards ont désormais aussi leur caution de victimisation et de représailles en la personne de Charlie Kirk) ; la deuxième raison de mon malaise, c’est que je ne vois dans le discours et les attitudes de feu Charlie Kirk que mépris de ses ennemis d’extrême-gauche (qu’il traitait de « gauchistes » ou de « dégénérés »), mépris alimentant chez les droitards une haine de la gauche et des antifas ainsi qu’une soif de vengeance… et ça, ce n’est pas catholique du tout ! ; et enfin la troisième raison, c’est que je n’entends dans la bouche du jeune leader chrétien aucune nouveauté, aucun prophétisme, aucune surprise, aucune vérité vraiment inédite ou humble, dans le discours. Donc j’ai vraiment l’impression que ce qui motive cette CharlieKirkMania, ce n’est pas tant l’emphatie-Vérité-Charité-humilité, mais la mort-haine-vengeance-vacuité-orgueil. Voilà pourquoi je ne peux pas m’associer à ce délire politico-piétiste. Un homme ne devient pas un saint parce qu’il a été injustement tué. On va se calmer deux secondes.
 

 

N.B. 1 : J’apprends que l’évêque franciscain de Salzbourg, en conférence aux USA, en appelle à une canonisation et une béatification de Charlie Kirk. Mgr Lackner engage le pape Léon XIV à « recevoir la famille Kirk » pour ouvrir un procès en béatification « le plus tôt possible » : « On a besoin de saints du quotidien, d’exemples de bonté et d’engagement au service du peuple de Dieu. ‘La solution est Marie, disait Charlie Kirk, c’est un modèle de piété, de douceur, un contrepoint au féminisme toxique.’ » L’évêque Lackner raconte enfin sa vision lors de son pèlerinage de Florence à Rome pour assister aux canonisations d’Acutis et Frassati: « J’ai vu Kirk tomber, j’ai vu un saint s’élever ! », conclut Mgr Lackner. Les catholiques deviennent complètement barjots.
 

N.B. 2 : Dans cette histoire, les catholiques confondent Vérité et franchise. Parce qu’au fond, ils sont rentrés en FRANC-Maçonnerie.
 

Et d’ailleurs, Erika Kirk, la femme de Charlie, en plus de déclarer une guerre mondiale vengeresse, fonde inconsciemment son obédience maçonnique mondiale. Je la cite dans sa vidéo qu’elle a tournée trois jours après l’assassinat de son mari, dans laquelle elle conclut en faisant référence aux fils de la veuve (qui est l’autre nom des francs-maçons) : « Ceux qui sont responsables de l’assassinat de mon mari n’ont aucune idée de ce qu’ils ont fait. […] Vous n’avez aucune idée de ce que vous venez de déclencher dans ce pays tout entier, dans ce Monde. Les larmes de cette veuve vont résonner dans le Monde entier comme un cri de guerre. » (la nana, elle parle de la « Mission » de son mari, à la 7’50…)
 

 

Ça m’a donné envie de changer un peu le texte de l’avant-dernier épisode de mon roman apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL, l’épisode 56 (/57), traitant de la Bataille d’Armageddon, et où l’armée de l’Antéchrist se fait passer pour la gentille, partant en croisade contre l’armée des Justes (gouvernée par le père Gaboriau, le Grand Monarque) et que l’Antéchrist baptise « l’armée de l’Antéchrist » pour la diaboliser…
 

Le spectacle immersif de « Jules Verne » au Grand Hôtel des Rêves à Paris : une initiation maçonnique grand public

Je me suis rendu hier à la visite « immersive » et théâtralisée « Le Voyage extraordinaire de Jules Verne » au Grand Hôtel des Rêves, à Paris. C’était la journée de lancement, en plus ! Un spectacle hyper cher, pour lequel j’avais gagné une entrée gratuite lors d’un tirage au sort à Paris en Fête.
 

J’ai eu l’impression (et tant pis si je passe pour un taré complotiste en le disant) d’assister à une tenue maçonnique grand public qui n’en porte pas le nom (j’avais eu la même impression avec le spectacle de mentalisme de Viktor Vincent au Théâtre de la Tour Eiffel : mon article le concernant a d’ailleurs bizarrement disparu de mon blog…).
 

Beaucoup d’ingrédients de la Franc-Maçonnerie s’y trouvent : port de cape d’invisibilité donnée à chacun des visiteurs, hermétisme, minutage précis du temps du parole et course contre la montre en mode « escape game », promotion de l’électricité, voûte céleste au plafond dans certaines salles (comme dans les temples maçonniques), deux colonnes, coterie d’élus (le « Travellers Club »), gnosticisme à tous les étages (éloge du dieu « Connaissance »!), expansions de conscience et promotion de la colonisation du cerveau par l’Univers (à plusieurs reprises, dans les dialogues des comédiens, il en a été question : « Ma quête est de faire rentrer cet immense Univers dans le microcosme de notre cerveau » céclare le personnage de Jules Verne ; ou bien il est dit à Phileas Fogg : « Je suis sûr que ça va te donner des idées… cosmiques ! »), éloge de l’onirisme et des légendes, jargon maçonnique (la « quête », le « tout est possible », le « pas de limites », l’« Histoire sans fin », la fuite du réel…), la citation détournée de la Bible (mais en mode créationnisme scientiste : le récit de la Genèse détourné en vue de la promotion d’un « Homme Nouveau » auto-créé, à l’évolution illimitée), promotion de tous les maîtres de la Franc-Maçonnerie mondiale (Newton, Thomas Edison, Abraham Lincoln, Gustave Eiffel, etc.), compas vendus en boutique à la fin…. Il ne manquait plus qu’on nous appelle « frères », et la boucle eût été complète !
 

Sans que ce soit explicite, cette visite est une mini tenue maçonnique… mais qui passe crème puisqu’elle s’habille de divertissement ludique, de reconstitution historique, de « culture », d’immersion dans la machine à remonter le temps, de voyage humaniste et « poétique », et vaguement militant (pro-écologie, féministe, pro-égalité hommes-femmes)… Ce discours du « tout est possible tout est réalisable », du « voyage sans fin », de l’« Homme nouveau » augmenté et surpassant ses limites, c’est effrayant. C’est le fondement du totalitarisme mondial d’aujourd’hui. Et bien entendu, personne ne dira/verra rien. Et tous les visiteurs et concepteurs de ces parcours initiatiques applaudiront en disant que « c’est géniaaaal ». En fait, même si techniquement c’est une prouesse réussie (25 comédiens, quand même! Mention spéciale à la comédienne jouant George Sand, qui m’a fait penser, par la qualité de son jeu, à l’excellente Claire Toucour), le fond est horrible, dangereux autant que vide. Le public n’est pas libre (bien qu’on lui donne une illusion de participation et d’interaction, une illusion aussi d’ouverture et d’instruction : en fait, tout est tellement minuté à la seconde près, tellement régi par la machine et la bande-son, tellement orienté idéologiquement, que le spectateur a intérêt à obtempérer et à ne pas déborder ; les comédiens pareil. C’est l’usine… à laver les cerveaux !). Cette visite est une course contre la montre et une course à l’argent. Et spirituellement, éthiquement, c’est pas beau non plus. Les seules œuvres artistiques belles sont celles qui ont l’humilité de chanter le Créateur. De chanter aussi l’Humain (Jésus et tous les Hommes) créé par ce même Créateur.
 

Gagner la France, c’est gagner le Monde (le documentaire « Céline Dion raconte D’Eux »)

En regardant en avant-première le documentaire « Céline Dion raconte l’album D’EUX », qui sera diffusé en prime-time le 3 septembre prochain sur M6, je me suis rendu compte, sans que ce soit le message explicite et conscient du reportage, de la place prépondérante et fondatrice de la France sur l’échiquier mondial. J’ai pris une nouvelle fois conscience de l’influence, de l’apport unique, de la finesse, de la profondeur, de la valeur ajoutée, de la pureté et de la qualité unique de la France. J’en avais déjà parlé dans mon article « La supériorité française ». Et à travers la carrière de Céline Dion, je persiste et signe. La « francité » de Jean-Jacques Goldman a modernisé, déringardisé, désentimentalisé, déniaisé, musclé, tonifié, affiné, épuré, rempli, amélioré Céline Dion (qui arrivait avec le maniérisme, la sensiblerie, la lourdeur, la naïveté, le manque de subtilité, les grosses ficelles et la puissance des États-Unis, et qui a appris à « déchanter » sur les conseils de Goldman). Le diamant brut a été épuré et a brillé de mille feux grâce à la France, à la sobriété profonde de la France. Et sans l’album « D’Eux », la chanteuse n’aurait jamais percé mondialement. Tout est parti de la France, quand on y réfléchit. Gagner le cœur des Français (qui n’est pas un public facile), certes c’est une épreuve (Céline Dion disait qu’avant « D’Eux », elle n’avait pas sa place en France, n’avait pas de légitimité et de véritable assise en tant que chanteuse : elle chantait divinement « The Power of Love » ou les chansons sucrées de Plamondon… et ça sonnait creux ou gentillet). Mais une fois qu’on parvient au Graal qu’est la France, on acquiert le label qualité, intelligence et finesse, qu’on ne trouve nulle part ailleurs, et qui nous propulsera mondialement. C’est mystérieux, inégalitaire, illogique (car la France est en faiblesse en ce moment, et est loin d’être première puissance mondiale, a fortiori avec les mauvais dirigeants actuels qui la gouvernent), mais c’est comme ça. Et la carrière de Céline Dion le démontre et n’est qu’un exemple parmi d’autres. L’intelligence et la justesse, elles sont en France. Vive la France.

Sortie des épisodes 30-31-32 de la saga apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL

Épisode inédit du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : le n°30, « Un seul être vous manque » ! (Avec la brillante comédienne Pauline Réage dans le rôle de Lilou… ; et toujours la chanteuse Steph Bach en narratrice)
 

 

Matéo a quitté définitivement le lycée, et son absence se fait cruellement sentir. Lilou ne supporte pas son absence. Et elle ne va pas rester les bras croisés !
 
 

Voici l’épisode 31 !
 

 

C’est le début de l’intrigue romaine sur les prophéties de saint Malachie. Desservie par un narrateur d’excellence, Reinhardt Schlossen. Et par le chanteur Jacky M (campant le personnage de Mgr Séka, le cardinal ivoirien enquêtant sur le dernier pape), ainsi que le chanteur Jann Halexander (en méchant Antéchrist).
 
 

Épisode inédit du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : le n°32 ! À propos du dernier pape. (Avec toujours la participation exceptionnelle du chanteur Jacky M !)
 

 

Et par avance, je suis navré de vous laisser sur un tel suspens final !!! (haha)

SQUID GAME : l’initiation mondiale à la Franc-Maçonnerie et à la Marque de la Bête

Je voudrais vous partager mes réflexions face à la série Netflix nord-coréenne qui emballe le Monde entier en ce moment : « Squid Game ». J’ai voulu comprendre le phénomène, en regardant les 3 premières saisons. Et j’ai d’emblée été étonné d’une part par l’efficacité addictive du concept (cette série est honnêtement super bien faite et très bien écrite, le scénario est brillant), et d’autre part par l’amplitude de son impact (c’est la série de la plate-forme la plus regardée de l’histoire de Netflix). Par ailleurs, j’ai été involontairement témoin du « 1, 2, 3… Soleil ! » géant organisé en décembre 2024 sur les Champs-Élysées, privatisés carrément pour l’occasion !
 

Plus je parle de « Squid Game » autour de moi, plus je me rends compte qu’un nombre anormalement massif de gens l’a vue ! Y compris des très jeunes. Ça m’a choqué. Car ce programme est interdit aux moins de 16 ans. Alors comment diable revêt-il un caractère aussi universel, un succès aussi intergénérationnel, récolte-t-il un tel suffrage, vu sa violence ? C’est inquiétant. Nos contemporains voient des trucs vraiment pas cool en ce moment ; ils sont violentés, agressés et traumatisés, de manière apparemment consentie ; et ça se passe sous nos yeux, sans susciter la moindre résistance.
 

Je prends la mesure du voyeurisme morbide généralisé, de la stimulation des instincts grégaires par les mass médias, du profil toxico-dépendant d’une majeure part de la population mondiale. Où les gens (qui ne vivent pas, comme moi, au RSA, qui ne sont pas désœuvrés, mais qui pourtant jouent les débordés) trouvent le temps pour s’avaler « en scred » les 3 saisons de « Squid Game » ? Est-ce que la plupart d’entre eux sont des menteurs, des gros mythos et des voyeurs pervers en germe ? En tout cas, je prends la mesure de l’ennui gourmand de nos contemporains, étant donné que cette série est très addictive : comme des néo-Hansel-et-Gretel, tu rentres dans un grand parc d’attractions de Pinocchio, tu es invité à te gaver, et tu peux difficilement arrêter la frénésie. Tu ne souhaites pas sortir de la prison. Les gens ont beaucoup plus de temps qu’on et qu’ils ne l’imagine(nt). C’est juste qu’ils l’occupent de plus en plus mal, le gaspillent et le livrent à des idoles qui tentent de les transformer en ce qu’elles « dénoncent »/dépeignent.
 

D’une certaine manière, « Squid Game » réveille en nous le pire, les questionnements et les décisions les plus vils, les plus désespérés : « Et toi, tu ferais quoi si tu étais dans ces conditions de survie ? Serais-tu capable de tuer ? d’être une crapule ? de te sacrifier ou de sauver ta peau ? » Réponse induite : « Non. Tu ferais à peine mieux, voire pire, que ceux que tu vois. Tu ne sais pas de quoi ton instinct de survie serait capable… It’s a Man’s Man’s Man’s World… » Dans cette série, le mal est presque toujours vainqueur, et ce, dans quasiment toutes les circonstances, et de manière cyclique, implacable et sempiternelle (comme le mythe de Sisyphe, ou celui de la mauvaise herbe qui ne meurt jamais et qui repousse ailleurs sous une forme encore plus perverse). L’Homme serait pire qu’un animal. Et comme le scénario est génial, brillamment ficelé, intelligent, cette idée a de grandes chances d’être adoptée, acceptée, crue vraie, par la majorité des spectateurs. « Joueur 456, as-tu toujours autant foi en l’être humain ? » demande cyniquement le Grand Maître au héros Seong Gi-Hun, à la fin de l’épisode 4 de la saison 3. Et le silence de ce dernier vaut acquiescement.
 

Au bout du compte, les téléspectateurs assistent à une Murder Party collective, à un snuff movie démocratisé, vulgarisé, globalisé, à une véritable hécatombe, à un génocide (…qui les attend tous, car nous sommes potentiellement tous des débiteurs, croulant sous les dettes que nous aura infligées Netflix!), à un massacre semi-autorisé (…par le cinéma : ce n’est que de la fiction, après tout… donc ce n’est pas si grave !). C’est la loi de la jungle. Il y a zéro morale. Tous les coups sont permis. Le seul interdit moral appliqué, c’est la loi dramaturgique instaurée par Alfred Hitchcock, et finalement l’interdit inconscient de toute société : l’infanticide, c’est-à-dire le meurtre de l’innocent (Hitchcock, bien que maître du macabre et de l’humour noir, disait qu’aucun de ses films ne démarrerait ou ne mettrait à mort un bébé dès son début, car sinon, ça flinguerait son film et ce dernier perdrait l’adhésion et l’intérêt de son public : les spectateurs ne supporteraient pas l’Injustice de l’infanticide et ne paieraient jamais leur place pour cautionner ça).
 

L’objectif principal (ou les effets) de la série est le suivant : elle tente de nous rendre paranoïaques, puisqu’elle repose sur le mythe de l’ennemi interne, du traître inattendu. C’est le ressort dramaturgique de quasiment tous les épisodes. Il s’agit de nous faire douter de tout et de tout le monde. Il n’y a pas de héros gentil. Y compris le héros principal se conduit comme un lâche et un criminel. En clair, « Squid Game » entend briser notre foi en l’être humain. On y voit une claire tentative de faire haïr l’Homme par l’Homme (« L’homme serait un loup pour l’homme. »). Le but tacite de cette série, c’est de nous faire croire que l’être humain est un crevard (dans des conditions extrêmes). Et à ce titre, je serais curieux de savoir comment était l’ambiance de tournage. Ça n’a pas dû être brillant ni joyeux ni bienveillant. Car la fiction a toujours un impact sur la réalité.
 

Le seul truc qui moralement m’aurait semblé juste, utile, solide et pédagogique, c’est le portrait dressé de la démocratie (cette dernière étant basée sur le consentement, donc le libre arbitre, ainsi que sur la notion d’« égalité des chances », sur le pouvoir du nombre, le triomphe de la majorité numérique, par le vote : en effet, étymologiquement, « démocratie » signifie « le pouvoir du peuple », donc de la masse). Malheureusement, illustration n’équivaut pas à dénonciation. Pire que ça : elle peut être, dans le pire des cas, une incitation invisible. Car le modèle que constitue le mauvais exemple a ceci d’ambigu qu’il demeure tout de même un modèle, au final. Est-ce que les spectateurs de « Squid Game », après le visionnage, iront jusqu’à désidéaliser/démystifier la démocratie, le « droit de vote » (tyrannie des sondages, des calculs, des statistiques, des algorithmes, des probas, de l’« « aléatoire logique » – en mode « pierre-feuille-ciseau » -, du numérique majoritaire…), et le concept de consentement ? Je ne crois absolument pas, malheureusement. Au sortir de cette série, les Occidentaux continueront d’idéaliser la démocratie, le vote, la majorité surnommé « Peuple », la notion de « consentement » ou d’« égalité ». Ils continueront de penser que la démocratie est le meilleur régime étatique qui soit. Ils ne tireront pas les leçons de ce qu’ils auront vu.
 

J’irais même plus loin : je pense que « Squid Game » est une initiation à la Franc-Maçonnerie et à l’occultisme à échelle mondiale, grandeur nature ! Et ses initiés ne s’en rendront même pas compte, puisque cette entrée s’habille de « divertissement ». Vous me croyez si vous voulez, mais en visionnant les épisodes, j’ai remarqué qu’ils étaient truffés de références maçonniques : le passage sous le bandeau, l’œil d’Horus, le Grand Maître, le Pavé Mosaïque, le triangle, la prévalence du Secret, le fil à plomb et la verticalité, la voûte étoilée (par exemple, dans la saison 2, le cache-cache s’intitule « Nuit étoilée » et se déroule dans un espace qui ressemble aux reconstitutions de voûte céleste des temples maçonniques), etc. Quand aux personnages, beaucoup sont ensorcelés, envoûtés, ou bien carrément des chamans. La série entière est fondée sur la Marque de la Bête (le 666, décrit par saint Jean dans l’Apocalypse) : en effet, « Squid Game » signifie « le Jeu du Calamar », et il est composé de 6 manches, et 3 saisons (donc 6.6.6.)  ; la grande gagnante du jeu est le dossard n°666 (à savoir le bébé issu de l’union du joueur 333 et de la joueuse 222) ; les participants du jeu sont tous tracés/pucés derrière l’oreille…
 

Alors je suis quand même déçu : je n’ai pas entendu parler de « Singularité ». Mais j’attends avec impatience la sortie de la saison 4, qui se déroulera très probablement aux États-Unis…

Peut-on être satisfait du rapport de la CIASE sur les abus sexuels dans l’Église?

Je ne comprends pas comment certains catholiques parviennent encore à se féliciter de la CIASE (rapport sur les abus sexuels dans l’Eglise) ou de la délation victimaire d’une Natalia Trouiller par exemple, qui constituent concrètement un travail de sape de l’Église, et pas du tout des avancées. Plutôt le contraire ! Elles créent ce qu’elles dénoncent ! Deux vérités – pourtant énormes et essentielles – leur échappent, et n’ont pas été conclues par la CIASE (alors que paradoxalement, celle-ci les prouvent inconsciemment et factuellement):
 

1 – Ce que les rapporteurs (à 4 chandelles) appellent « pédophilie sacerdotale » ou « abus sexuels », se rapproche plus de l’homosexualité sacerdotale (bien plus conséquente et prégnante dans les abus sexuels sacerdotaux, y compris sur mineurs : 80% des viols cléricaux ont été perpétrés sur des jeunes garçons… donc majorité masculine homosexuelle écrasante): c’est toute l’ambivalence de l’homosexualité adolescente d’une part, et le sexe des « victimes » d’autre part, qui sont passés sous silence. La responsabilité des ados dans la chute pédérastique de certains prêtres, aussi (c.f. je vous renvoie à mon article important à propos de la projection du film « La Déposition », où d’ailleurs Natalia Trouiller a tenu des propos lamentables).
 

2 – Défendre les victimes sans aimer ni s’occuper prioritairement des bourreaux (qui, je le rappelle, sont d’anciennes victimes), c’est non seulement contre-productif (ça devient le travail du pompier pyromane) mais ce n’est pas catholique. Comme le soulignait feu pape Benoît XVI, la spécificité du catholicisme, ce n’est pas l’amour des pauvres et des victimes, mais le pardon et l’amour des criminels, de ceux qui ne méritent pas ces derniers. Or, que fait la CIASE? Elle ne focalise que sur les « victimes »… et en off, ça crache sur les bourreaux, et il se met même en place dans chaque diocèse de France actuellement une guerre invisible entre deux camps sacerdotaux qui se détestent : les prêtres « hétéros » contre les prêtres homos pratiquants (les uns reprochant aux autres de salir leur image). La victimisation générée par la CIASE et Natalia Trouiller, même si elle semble utile et juste (car elle s’habille de charité/solidarité et se muscle en vengeance accusatrice justicière), est en réalité dramatique et anti-catholique.
 

L’homophobie généralisée des catholiques fait plus de ravages que la pédophilie sacerdotale, au fond.

Publication de l’épisode 29 ((« Adoubement d’Usman ») du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL

Épisode inédit du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : le n°29, « Adoubement d’Usman » ! (Avec le comédien Calvin JEAN-BAPTISTE en narrateur)
 


 

Une surprise vous attend à la fin ! Avec l’Intelligence Artificielle, j’ai écrit une chanson qui est vachement sympa (hihi!) Les paroles, ça donne ça :
 

« La Singularité c’est ton style.
La Singularité c’est vinyle.
La Singularité c’est ton île/il
où ton monstre repose tranquille.  »
 

En espérant que ça vous plaira…

Sortie de l’épisode 28 (« Le Baiser de la Honte ») du roman-podcast apocalyptique Singularity is Devil

Épisode inédit du podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL : le n°28, « Le Baiser de la honte » ! (Avec la chanteuse Steph Bach en narratrice)
 

 

Résumé : Au lycée, Matéo décide de déclarer sa flamme à Lilou, de la manière la plus maladroite qui soit…
 

N.B. 1 : Vous y retrouverez notamment Robin Durand dans le rôle de Matéo (Robin est mon ancien voisin de palier de la rue Buffon, qui s’est lancé dans le théâtre suite à son expérience de voix-off avec mon podcast. #Véridique. Avant, il n’avait jamais osé jouer la comédie… alors que ça lui va pourtant si bien!) ainsi que la chanteuse Steph Bach en narratrice (Steph Bach s’est fait connaître par des tubes comme « Fucking Friend – FF », « Petites Connes », « Y’a ceux »… et je suis allé l’enregistrer exprès dans le sud de la France : il me la fallait! C’était ELLE ou personne, pour raconter la romance Lilou-Matéo !).
 

N.B. 2 : Exceptionnellement, les bandes-sons de ce même épisode seront différentes sur Spotify et sur YouTube (pour des raisons de droits) : Spotify refusait que j’utilise « Dead in the Water » d’Ellie Goulding. J’ai dû la remplacer par Didier Squiban et Michel Berger. Deux salles = deux ambiances ! Vous testerez la différence. Mais je trouve que les deux versions fonctionnent. Vous me direz.