Hypocrisie de l’expression « COVID long »

C’est formidable, l’hypocrisie de l’expression « COVID long » pour imputer au COVID ce qu’a en réalité causé le « vaccin » !

 

Je viens de m’entretenir avec une amie (quarantenaire et mère de famille) qui, après avoir accepté l’injection, a fait une rechute COVID carabinée, qu’elle nomme « COVID long ». Elle commence à voir la sortie du tunnel. Mais sa récupération est très lente. Elle a dû suivre pendant des mois des séances de rééducation pour des problèmes moteurs (elle qui marchait beaucoup ne parvenait plus à marcher) et a vu dans les hôpitaux d’autres personnes étiquetées « COVID long » – toutes jeunes comme elle et en pleine santé avant de s’être fait injecter – dont certaines ont des séquelles irréversibles non seulement moteurs mais cérébrales et neurologiques.

 

De l’aveu de cette amie, tous les « COVID longs » qu’elle a rencontrés sont des personnes « vaccinées ». Tout cela est très logique : elles ont rechoppé le COVID en mode sévère car le « vaccin » a flingué leur système immunitaire. Et la perversion du processus, c’est que socialement on nomme les effets secondaires du pseudo vaccin « COVID long »… alors qu’on devrait dire « vaccin long » ou plutôt « injection longue » !