Le Liban, en guerre jusqu’à sa mort


 

Je suis peiné par la situation économique actuelle au Liban. Hier, en voyant que le prix de l’essence avait flambé, je n’y croyais pas. Et puis ce matin, quand je suis allé envoyer de l’argent à Western Union et que j’ai discuté avec le guichetier libanais qui m’a décrit la dégringolade que vivait son pays, j’ai eu la confirmation de la gravité et du martyre vécus par le beau peuple libanais : il me disait qu’en 2 ans, les gens ne se retrouvent qu’avec 10% de leur salaire (par exemple, quelqu’un qui gagnait 2000 € par mois se retrouve avec 200 €…). « Le Liban est né avec la guerre, et il mourra avec elle ». Ça m’a brisé le coeur. Moi qui suis allé au Liban en 2013 (jadis surnommée « la Suisse de l’Europe »), alors qu’il était déjà au bord de la faillite, là, c’est encore pire.
 

J’ai l’impression que le Gouvernement Mondial a décidé de broyer d’une manière ou d’une autre les nations pour les asservir à son contrôle électrique et internétique, soit en les empoisonnant (par le « vaccin »), soit en les appauvrissant, pour qu’elles n’aient plus qu’à se soumettre et à dire « oui ». En France aussi, on commence à voir sévèrement la récession. Le seul moyen de s’en sortir économiquement, à mon avis, c’est de rester focus sur notre travail et ce qu’on doit faire, demeurer dans l’obéissance à l’Église catholique et la sobriété (y compris au niveau sexuel), demeurer dans la prière et la paix. Et matériellement, viser le compte zéro : c’est-à-dire ne rien posséder ni ne rien devoir (car ceux qui ont de l’argent en banque ou qui en doivent se croiront obligés d’accepter la Marque de la Bête, soit pour y avoir accès, soit pour le rendre) ; n’être ni riche ni pauvre.