L’idolâtrie nominaliste généralisée pour le mot « amour » au détriment de l’Amour même

 

Ce qui se passe en ce moment, c’est que le mot « amour » est sacralisé et préféré à Dieu même, universellement préféré à l’Amour même ! « Pour Bryan, faire l’amour, c’est le huitième sacrement. » (Tom parlant de son amant « catho », dans la pièce Les Vœux du Cœur (2015) de Bill C. Davis) Nous allons être de plus en plus confrontés à cet imbroglio, ce tour de passe-passe, ce décalage fusionnel (ce noeud!) entre mot et réalité, entre intention et amour, entre sincérité et Vérité, entre esprit et corps, entre enfer et paradis. « L’enfer, c’est l’absence d’amour. » (Bryan, idem)