Style

SIGNIFICATION SOCIALE, MONDIALE ET ESCHATOLOGIQUE DU CODE

 

Ce n’est pas compliqué : remplacez le mot « style » par « puce RFID » (donc la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse : Ap 13, 17), et vous comprendrez exactement comment et où le Gouvernement Mondial antéchristique veut nous emmener : au « Style » avec « Style » ! Donc à la Bête avec sa Marque !
 

Photo de La Société Générale à propos du paiement sans contact et « avec notre style » (Je l’ai prise le 4 février 2021 aux Champs Élysée, à Paris). Et si vous acceptez de vous faire pucer, vous serez un héros puisque vous aurez en cadeau le slip rouge de Superman ! Il y a une autre affiche du même STYLE, et avec un gros « 66 » dessus (j’ai cherché le troisième « 6 » mais j’ai pas trouvé…).

Le matraquage insidieux (car invisible et apparemment cool) du « Style » est massif. Il suffit d’entendre beaucoup de nos jeunes répéter comme des perroquets qu’une chose est « trop stylée », comment des émissions de télé-crochet telles que The Voice sont soumises au « Style » et lui vouent un véritable culte. Il suffit aussi de vous balader en ville, de regarder les panneaux publicitaires ou les pages de nos magazines : le mot « Style » apparaît partout ! Le style, si vous faites bien attention, est une marque en général dite « moderne » (« fashion »), « personnalisée », « punchy », « rebelle », « foudroyante » : « Affirme ton style ! » « Casse les codes : impose ton style ! » « Style is you ! », etc. Et les mannequins ou célébrités qui posent à côté de ces slogans prennent comme par hasard leur air le plus bestial, animal, en mode « panthère » pour les femmes et « bulldog déter’ » pour les hommes.
 

Le mot « style », dans le langage courant, renvoie également aux objets ou aux personnes qu’on cherche à réifier et à déshumaniser (exemple : « Tu n’es pas mon style de mec. ») mais surtout à la Marque de la Bête : un « stylo », par définition, ça marque ! Une « figure de style » s’applique fatalement à un motif symbolique ; et le « style de quelqu’un » (par exemple : « le style Macron ») se réfère à une marque soi-disant personnelle, originale, efficace, inimitable et est implicitement synonyme de « signature », de « personnalité » ou de « méthode magique » individuelle. En réalité, le style est de la forme, de l’apparence, plus que du fond. C’est l’image de la Bête plus que la Bête. Mais c’est quand même sa marque ! Donc il est à prendre très au sérieux.
 

Il y a donc derrière le mot « style » une claire connotation de sincérité (si on est gentil) et d’hypocrisie (si on est réaliste). Car il apparaît bien que le style est l’alibi lumineux, dynamique, pseudo libérateur, d’un esclavage (à « soi-même », donc à l’image de soi façonnée par l’Antéchrist) bien obscur.
 

Essai Que le style soit avec vous ! (2020) de Sophie Gachet (… Et avec votre esprit). N.B. : Notez la couverture « panthère »…


 
 

DANS LA SÉRIE JOSÉPHINE ANGE GARDIEN

 

Épisode 75 « Belle mère, belle fille »

Si je vous demande quel est le style de Joséphine ange gardien, immédiatement vous allez me mimer son claquement de doigts « magique ». Ce geste est pour ainsi dire « sa marque de fabrique », la « Joséphine’s Touch ». Il est donc évident, même si nous n’en avons pas conscience, que le « style » est la Marque de la Bête – puce RFID subcutanée – digitale.
 

Et concernant Joséphine, son « style » est associé généralement à l’électricité et à la franchise. Autrement dit, il est luciférien et franc-maçon. Écoutez ce bref dialogue de l’épisode 53 « Marie-Antoinette » dans lequel Laura, une célèbre star de la télé interprétant la reine Marie-Antoinette, est charmée par le franc-parler de Joséphine qui s’est improvisée maquilleuse pour approcher sa cliente : « Aucune maquilleuse ne m’a parlé comme ça. » (Laura) « Excusez-moi. J’ai peut-être été un peu directe… » (Joséphine) « C’est vrai. Mais j’aime bien votre style. » (Laura).
 

Joséphine, elle est cash, quoi. Son style, c’est le claquement de doigts et la franchise (… maçonnique).
 
 

DANS D’AUTRES ŒUVRES DE FICTION

 

 

Concernant les fictions évoquant le fameux « style », je ne relèverai qu’un seul exemple significatif : le tube planétaire sud-coréen « Gangnam Style » qui a été pendant longtemps le vidéo-clip le plus visionné de YouTube ! (D’ailleurs, je ne veux pas dire, mais il y a certainement une alliance trinitaire secrète entre la Corée, le style et la puce électronique. Par exemple, je pense à la série coréenne A Style for You !. Les Coréens doivent certainement être des forts producteurs et marqueurs de puces, de traceurs… Tiens, v’là ton mouchard coréen, Merteuil ! Je ferme la parenthèse.) Et pour revenir au « Gangnam Style » – hit très lucratif qui est parti d’une « blague » – il est très intéressant de découvrir sa dimension eschatologique (c’est-à-dire, associée aux Fins dernières). En effet, la chanson parle d’un homme volant. Et la chorégraphie du chanteur (nommé PSY) est un cavalier sur son destrier. Et ça, évidemment, ça fait penser aux cavaliers de l’Apocalypse. Suivre le « Gangnam Style », c’est un appel à devenir tous des cavaliers apocalyptiques.
 
 

LE CATHO-CON (progressiste ou conservateur) FAIT PAREIL…

 

L’appât de la carrière, du pouvoir, du gain, de l’image, du paraître, du matériel, n’épargne malheureusement pas les catholiques actuels, qu’ils soient progressistes ou conservateurs d’ailleurs. Par exemple, toujours sous l’excuse de « l’humour » et de « la parodie » (… quand ce n’est pas celle de la coolitude), il y a eu une « parodie de parodie » du « Gangnam Style » – le « CathoStyle » – réalisée par la communauté du Chemin Neuf.
 

Mais les catholiques les plus obsédés par le style – même s’ils le nommeront plus volontiers « savoir-vivre », « art sacré », « rites », « culte », « liturgie », « sacrements », « Tradition », « Civilisation », etc. – restent quand même les traditionalistes (bourgeois ou aristos) formalistes à la Cardinal Sarah. D’ailleurs, beaucoup d’entre eux sont tout émoustillés à l’encontre de ce dernier qui, à les en croire, leur offrirait, par sa sophistication discursive et matérialiste qui semble pourtant détachée du matériel par son spiritualisme affiché, des (je cite) « humbles leçons de style ». Il y aurait un « Style Sarah ». Et, tout bien réfléchi, je crois que c’est vrai. Et qu’est-ce que ce style est chiant et barbant !
 

Le jour où on m’attribuera un « style » (le « Style Ariño »), ou bien le jour où on vous attribuera et on attribuera à Jésus et à son Église un « style », dites-vous que c’est le début de la fin (pour moi, pour vous, pour Jésus et pour l’Église).
 
 

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