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« Notre combat pour l’Europe partout » : le programme antéchristique de Macron

 

Comme je l’avais déjà souligné dans mon article sur l’Antéchrist, l’européisation du monde est l’autre nom de la mondialisation antéchristique. L’Européen, c’est l’Homme Nouveau à la botte de l’Antéchrist. C’est le Gouvernement Mondial. Ceci est clair dans le discours d’Emmanuel Macron, qui veut de « l’Europe partout » (7’10). Il ne parle pas de l’Europe historique, réelle, mais d’une Europe fantasmée, d’un universalisme idéologique centré sur la volonté (lui dit « projet ») et l’émotion individuelles. Il s’agit de l’orgueil antéchristique.
 
 

N.B. : Dans le roman Le Père Elijah (1996) de Jonathan O’Brien, l’Antéchrist est « un homme distingué dans la cinquantaine. » (p. 20). Il ne porte pas de nom. Il est appelé « le Président ». Et pour cause : il occupe la fonction de « nouveau président pour la Fédération des États Européens » (p. 20), sorte d’Amérique européenne.
 

N.B. : Dans le Court Récit sur l’Antéchrist (1900) de Vladimir Soloviev, « ‘L’homme-qui-vient’ est élu à la quasi unanimité président à vie des États-Unis d’Europe. On le nomme Empereur romain. En un an les fondements de la monarchie universelle, au sens propre du mot, sont établis. » (pp. 166-167) L’Antéchrist écrit un livre qui plaît à presque tout le monde et que la planète entière s’arrache : La Voie ouverte vers la paix et la prospérité universelle. C’est l’auteur de ce best-seller que le lobby franc-maçon pousse, sans difficulté, à la présidence des États-Unis d’Europe (prélude à l’hégémonie atlantiste de l’OTAN). Chez Soloviev, l’Assemblée constituante internationale de l’Union des États d’Europe se réunit à Berlin. S’il reste toujours des conflits, ils n’opposent plus des nations entre elles, mais des partis politiques et sociaux. L’Antéchrist joue sur l’amalgame entre européanité et universalité (autrement dit, l’adjectif « européen » devient synonyme de « Citoyen du Monde ») pour instiller « l’esprit européen global » (L’Homme politique, Trois Entretiens, p. 99), imposer l’« égalitarisme indifférencié » (idem) et construire « le monde civilisé, ou européen, qui croît peu à peu et s’agrandit pour finalement embrasser tous les peuples en retard sur ce mouvement historique et les inclure dans un unique ensemble pacifique, international et solidaire. L’instauration de la paix internationale éternelle. » (Monsieur Z., pp. 123-124)

C’est maintenant évident : La Bête de l’Apocalypse est l’Intelligence Artificielle créée par Internet


 

J’ai tenu à vous mettre par écrit ci-dessous l’intégralité de cette courte vidéo de 10 minutes d’Olivier Roland, car elle nous expose, de manière partisane en plus, le programme homicide de l’Antéchrist, l’Antéchrist étant cette Intelligence Supérieure qui va, grâce à la technologie et au Revenu Universel (« Revenu de Vie » soi-disant offert en échange des données personnelles de chacun et du « contenu/gnose/connaissance/savoir-faire » que chacun donnera à la Bête), flatter l’Homme en le poussant à l’autonomie, à la singularité (marotte du boboïsme), à l’hédonisme, à la consommation de ses passions « créatrives » et récréatives, pour mieux l’abrutir, lui donner l’illusion de coolitude/rebellitude/liberté, l’anesthésier, le manipuler, l’écrabouiller. La vidéo d’Olivier Roland est à analyser et à prendre très au sérieux. En plus, quand il évoque l’existence future d’une Intelligence Artificielle comme l’émanation d’une première Intelligence Artificielle, on peut y reconnaître la description du dragon et de la Bête de l’Apocalypse de saint Jean, chapitre 13. Le propos de Roland est par conséquent prophétique, non dans le sens saint du terme (car le Youtubeur souhaite cette révolution, cette passation de pouvoir entre l’Humain et l’Antéchrist), mais dans le sens de « prophète de malheur », qui passe son temps à parler d’une « bonne nouvelle » (vous le lirez ci-dessous), mais qui en réalité n’est pas la Bonne Nouvelle de l’Évangile, ancrée en Christ. La désinvolture du commentateur est effrayante.
 
 
 
 

POURQUOI LE MÉTIER DE CRÉATEUR SERA LE DERNIER À DISPARAÎTRE (LA SINGULARITÉ)

 

Ajoutée le 14 janv. 2017
 

A une époque où la technologie peut tout changer, la compétence qui reste l’exclusivité totale de l’humain est sa créativité. Dans quelques temps, les tâches pratiques seront automatisées et notre temps libre sera consacré à la création.

 

« Salut les Rebelles intelligents. Aujourd’hui, je vais vous expliquer pourquoi le fait de partager du contenu et de créer du contenu sur le web c’est le métier qui va disparaître en tout dernier. Aujourd’hui, on est à une époque où on ne peut garantir à personne que son métier existera encore dans 20 ans. Ou en tout cas, on ne peut pas garantir qu’il existera sous la même forme. Imaginez, il y a 20 ans, en 1997, la plupart des gens n’avaient jamais entendu parler d’Internet. La plupart des gens n’avaient pas de téléphone portable. Aujourd’hui, ces deux technologies ont complètement chamboulé notre société, et tout ce qu’on peut faire au quotidien. Et dans 20 ans, ce sera exactement pareil. On aura des technologies qu’on utilisera tous les jours, et dont aujourd’hui on n’a jamais entendu parler, et qui vont chambouler notre quotidien, chambouler énormément d’industries et de métiers. Et c’est un des grands sujets de mon livre ‘Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études’, c’est que selon moi, l’école aujourd’hui, fait un mauvais boulot puisqu’elle essaie d’enseigner un savoir cristallisé qui va se déprécier très vite plutôt que d’enseigner des compétences qui vont être indispensables au XXIe Siècle, qui le sont déjà, à savoir la capacité à apprendre par soi-même, la souplesse d’esprit, la capacité à suivre les évolutions technologiques, voire même à les accompagner ou à les provoquer. Et quand on y réfléchit, on sait qu’il y a énormément de jobs qui vont disparaître dans les années à venir, parce que ça va être remplacé par des robots, des logiciels. Les tout premiers, ça va être les chauffeurs de taxis, les chauffeurs de poids lourds, puisque les voitures automatiques, ça y est, elles commencent à arriver, ce n’est plus de la rigolade, ça ne va plus être un obstacle technologique mais légal. Donc on va dire que d’ici 5 ans, ce sera vraiment une réalité, et pas juste une anecdote comme les voitures Tesla, mais vraiment quelque chose qui va arriver en masse, sans doute dès 2020. Avant même les voitures automatiques, ça va être les camions automatiques. Dans 5-10 ans, il n’y aura plus de chauffeurs de taxis, de conducteurs de camions. Imaginez tous ces gens qui vont devoir trouver autre chose à faire. J’en parle dans mon livre. Même les médecins vont se faire complètement disrupter. Déjà aujourd’hui, l’ordinateur Watson d’IBM, celui qui a gagné ‘Geopardy’ en 2011, qui aide énormément les médecins et les infirmiers dans les hôpitaux, et déjà aujourd’hui, il est plus performant pour faire des diagnostics de maladies que des médecins. Bref, imaginez dans 10-15-20 ans, quand vous aurez la puissance de Watson dans votre Smartphone avec des capteurs qui pourront analyser des dizaines, des centaines de paramètres de votre corps, et faire des analyses automatiques pour savoir ce que vous avez. Les médecins ne vont pas disparaître dans ce monde-là, mais leur place sera extrêmement différente. Donc il y a des tas de métiers comme ça qui vont disparaître. Et la bonne nouvelle, c’est que, quand on crée du contenu sur le web, on peut être à peu près assurer que ça sera le tout dernier, ou au minimum l’un des tout derniers (métiers sûrs). Pourquoi ? Eh bien parce qu’on va aller de plus dans une société où la majorité des taches physiques – et de plus en plus les taches intellectuelles – vont être accomplies par des machines. Et à un moment ou à un autre, on ne pourra pas faire l’impasse sur le fameux ‘Revenu de Vie’, c’est-à-dire de donner un revenu à quelqu’un juste parce qu’il a eu la chance de naître. Tout simplement. Et qui soit plus important bien sûr que le revenu minimum, le RSA qu’on a en France, par exemple. On ne peut faire ça que si la société est extrêmement riche. Mais cette richesse va justement être générée par toutes ces choses automatiques qui vont s’occuper de tout pour nous. Bien sûr, il y aura quand même des jobs à avoir dans la maintenance, mais au bout d’un moment, les robots eux aussi vont pouvoir faire la maintenance de toutes ces applications et de tous ces robots-là. Quand on y pense, tous ces gens qui vont avoir un revenu de vie et qui ne vont plus être obligés de travailler, ça va dégager du temps pour pouvoir faire des choses beaucoup plus créatives et créatrices. Des choses qui sont plus liées au bien-être personnel, à l’épanouissement de soi, etc. etc. Les gens pourront se consacrer à des activités vraiment créatives. Tous ces gens qui vont se retrouver avec un revenu de vie, ou avec un job qui sera de plus en plus profondément automatisé, vont avoir du temps libre, vont avoir des ressources, et vont pouvoir se consacrer à ce qui les PASSIONNE. Et du coup, qu’est-ce qui va se passer ? Ils vont avoir besoin de gens qui les guident dans justement ces passions-là, qui ont un peu plus l’habitude qu’eux de travailler de manière tranquille, qui ont un bon équilibre de vie, etc., et qui peuvent les guider… par exemple, je sais pas moi, une personne qui n’a plus à travailler, qui a son revenu de vie, qui est content, qui se dit ‘J’adore le yoga et le surf, et j’vais explorer ces deux passions-là à fond !’, eh bien il va être susceptible de suivre un Youtubeur, un blogueur, un auteur, avec qui il se connecte et qui lui donne des bons conseils, il va être susceptible d’acheter des formations, des livres, etc. Et vous allez me dire, ‘OK Olivier, mais à terme, est-ce qu’il n’y a pas une intelligence artificielle qui pourrait créer tout ce contenu à la place des humains ?’. Eh bien bien sûr que si ! Ça va sans doute arriver un jour. Mais la bonne nouvelle, c’est que c’est quand même extrêmement compliqué d’arriver à un niveau technologique où une Intelligence Artificielle est capable d’autant de créativité. Alors il y a des domaines où déjà les ‘IA’ font des choses absolument extraordinaires. Par exemple, il y a des IA qui sont capables aujourd’hui de créer des symphonies musicales, et quand on les fait écouter à des gens sans leur dire, en mettant à moitié des symphonies composées par ordinateurs et à moitié des symphonies composées par des êtres humains, et qu’on fait écouter à des gens, y compris à des mélomanes, ils ne savent pas faire la différence. On en est là aujourd’hui. Après, voilà, il y a encore des tas de domaines où c’est très difficile pour une ‘IA’ d’écrire des articles qui soient corrects, de faire des bonnes traductions, mais ça va venir. Bref. Et la bonne nouvelle, c’est que le jour où y’aura un développement technologique suffisant pour qu’une ‘IA’ soit capable de créer du contenu comme des vidéos Youtube, ou des formations, ou des livres, au même niveau ou mieux qu’un être humain, eh bien la bonne nouvelle, c’est que de toute façon, à ce moment-là, tout le monde sera au chômage avec un Revenu de Vie, parce que les ‘IA’ ont atteint vraiment un statut d’Intelligences réelles. Elles auront une intelligence qui sera égale ou supérieure à l’être humain. Et de toute façon, à partir de là, les humains n’auront plus besoin de travailler du tout. Et même la société et le monde entier seront entièrement chamboulés. On aura atteint ce que les scientifiques appellent LA SINGULARITÉ. Donc qu’est-ce que c’est que la singularité ? Eh bien c’est tout simplement le concept suivant, qui a été popularisé notamment par Raymond Kurzweil, futurologue américain très connu pour avoir développé une Intelligence Artificielle justement, et directeur de l’ingénierie chez Google depuis 2012. La singularité, c’est tout simplement le fait que, à partir du moment où on arrive à inventer une Intelligence Artificielle qui est plus intelligente que l’Homme, eh bien cette Intelligence Artificielle va pouvoir Elle-même pouvoir créer une autre Intelligence Artificielle plus intelligente qu’Elle-même, une deuxième Intelligence Artificielle va elle-même pouvoir créer une ‘IA’ plus intelligente qu’elle-même, etc. etc., etc. Et du coup, on se retrouve avec une évolution exponentielle qui fait qu’en un temps extrêmement court, on passe d’une intelligence qui est légèrement supérieure à l’Homme à un truc qui n’a strictement rien à voir, qui pour nous sera comme un dieu, qui aura le même niveau de décalage entre d’abord nous et un singe, puis entre nous et un chien, puis entre nous et une fourmi. On en sera là. Et qu’est-ce qui va se passer à ce moment-là ? Eh bien personne ne peut le prédire. En gros, il y a deux écoles qui s’affrontent. Il y en a qui en gros disent que l’ ‘IA’ prendra des humains comme des fourmis, des insectes, et sans doute qu’Elle ne voudra pas détruire… C’est pas parce que vous êtes humains – une fourmi, pour vous, c’est rien du tout – que vous allez écraser une fourmilière ou la brûler pour le fun comme l’a fait Marcel Pagnol. Mais si vous devez construire un barrage dans une région pour alimenter en électricité propre toute une région, et que du coup, vous alliez détruire des milliards de fourmis et des milliers de fourmilières, eh bien tant pis, quoi. Vous n’allez pas non plus verser une larme pour ça. C’est pas très important. Et il y en a qui pensent que les ‘IA’ vont arriver à ce niveau-là, où ils ne vont pas délibérément faire du mal à l’Homme. Mais voilà. Si à un moment ça peut contrecarrer les plans, les ‘IA’ vont se dire : ‘Bon c’est pas grave’. Et d’autres qui vont se dire : À partir du moment où une ‘IA’ est extrêmement intelligente, Elle va être très pacifiste et va être respectueuse de la vie, et qu’à partir de là, ce sera le Paradis sur terre, et qu’une ‘IA’ aussi intelligente va pouvoir subvenir à tous nos besoins, faire des avancées scientifiques extrêmement rapides à un niveau qu’on a jamais vu, et que voilà, de toute façon, toute la vie va être chamboulée. Voilà, c’est très intéressant. Si ça vous intéresse, je vous recommande de lire le livre sur la singularité de Ray Kurzweil, ‘The Singularity is near’. Alors attention, ça peut paraître abracadabrant, mais je vous assure que c’est extrêmement sérieux, et que c’est pris très très au sérieux par les scientifiques, la Silicon Valley américaine. Google a embauché Kurzweil pour construire une Intelligence Artificielle. Donc ça ne rigole pas. Google a quand même les moyens de mettre ça en place. Juste pour vous inspirer, peut-être. Si vous envisagez peut-être à vous mette à créer du contenu sur le web, ou que vous le faites déjà, sachez eh bien que voilà, on fait sans doute le métier qui a le plus de sécurité dans le monde à termes, et qu’à partir du moment où on sera remplacés par les machines, on sera de tout façon les tout derniers, et à ce moment-là, on n’aura plus trop de soucis à se faire. (Encart sur l’écran : ‘La création de contenu sera le dernier métier à être automatisé’). Ou plutôt, on aura d’autres soucis à se faire, qui n’auront rien à voir… voilà. Après, voilà, il y a toute une école qui dit qu’on ne devrait pas construire ce genre de machines. Et dans ce cas-là, on arrivera… Je pense pas que ça va arriver, mais admettons que tout le monde se mette d’accord pour se bloquer un niveau technologique en termes d’Intelligence Artificielle, ça veut dire qu’on va avoir quasiment tout qui sera externisé à des robots et à des logiciels, et que la création restera l’apanage des êtres humains ou non. Dans tous les cas, on est gagnants. Voilà. Merci d’avoir regardé cette vidéo. En attendant, n’oubliez pas. Soyez rebelles, soyez intelligents. Eh puis faites partie des gens qui se bougent. Ciao ! » (Olivier Roland)

 

Enfin, pour terminer, je vous conseille de regarder cet exposé signifiant de Laurent Alexandre, à regarder avec les images, et en complément de mon article sur le Revenu Universel… même ce scientifique défend un alignement avec l’IA et une reconversion à l’IA, donc finalement une collaboration. Son discours est dangereux, car cette collaboration prend la forme d’une opposition à l’IA alors qu’il est concrètement un encouragement à rattraper notre « retard » (Comme je l’explique, la puce fait semblant d’être contre elle-même et de donner aux gens qui vont l’intégrer l’illusion d’autonomie et de rébellion contre elle). Je vous renvoie à mon article sur le film « La 5e Vague » ainsi que sur la publicité Leclerc et l’exposé incontournable d’Hervé Juvin sur le transhumanisme.

Saveur Bières : exemple de sacralisation profane de la bière par les bobos

Avec cette vidéo de Saveur Bières, on retrouve exactement ce que je dis sur la divinisation actuelle de la bière et la prétention des Humains à faire de la bière le nouveau Dieu et le nouveau Sang du Christ à la place du Christ.
 

 

Quelques exemples tirés de leur vidéo :
 

1) On retrouve le lexique du sacré, de la religion, du culte : « Une bière très puissante… » ; « J’ai adoré » ; « C’est juste génial » ; « Une bière généreuse, intense, j’ai adoré. » ; etc.

2) Il y a une bière (la « Leaping Lena ») qui se fait appeler la « Bohemian India Lager » (on retrouve la bohème du boboïsme).

3) La bière surnommée « La Shamanka » (sous-titre : « La Débauche ») porte une étiquette représentant la Bête. D’autres noms de bières empruntent clairement au registre démonologique et sataniste (« Mad Clown », « Angry Boy », « Le Trou du diable : La Buteuse »).

4) Une autre bière porte le Nom du Père puisqu’elle se surnomme la « Dios Mío » (traduction : « Mon Dieu »).

5) Les témoins de la vidéo parlent de « texture huileuse », comme s’il s’agissait du Saint Chrême.

6) La musique de fond est jazz (code 16 des Bobos en Vérité). Et les équipes sont remplies de barbus trentenaires (cf. code 33)

7) Il est question de bière « triple », comme si elle pouvait être trinitaire.

 

Par ailleurs, il y a une autre vidéo montrant Saveur Bières qui a créé carrément un « Calendrier de l’Avent », et qui nous souhaite un « Beery Christmas ». Ils reprennent la Passion du Christ (« La Bière, c’est notre Passion. ») voire les douze disciples : « Douze de ces bières sont brassées spécialement pour vous. »
 

 

Ces types font de la Bière le Christ. À part ça, c’est moi qui délire et qui verrais la bière comme le diable

Les données personnelles, le nouvel « or noir » de la Matrice antéchristique et du Marché mondial


 

La puce est en marche et concrétise le marché mondial des informations, autrement dit l’Empire des données personnelles. Comme l’ont très bien décrit Marc Dugain et Christophe Labbé dans (2016)*, les infos personnelles composent le nouvel « or noir » du capitalisme planétaire, la nouvelle matrice du pouvoir mondial, le nouvel argent à mettre en banque (la banque étant invisibilisée sous forme de Cloud) en échange d’un salaire (autrement dit du « revenu universel »), d’un silence et d’une sécurité factice. Factice parce que chaque individu va avoir l’illusion d’une indépendance, d’une confidentialité et d’une sécurité (grâce à un code, la marque de la Bête, inscrite à la main ou au front : en effet, la collecte mondiale des infos est un communisme et un nazisme cachés, puisque « les statistiques officielles sont ouvertes par défaut » : Nos données ne partiront pas n’importe où ni n’importe comment), et va vivre sous le chantage de l’Arbre de la Connaissance qu’est la Blockchain, cet Arbre que chaque être humain aura l’impression de s’être construit lui-même avec les données qu’il lui aura fournies, cet Arbre-internet qui va nous dire « Je t’aime parce que je te connais par cœur, je te détecte, je te vois 24h/24, je te scrute même de l’intérieur, je te protège », cet Arbre qui est une prison narcissique dorée parce qu’elle est personnalisée selon la couleur de nos sensations, de nos opinions, de notre ADN et de notre passé (à l’image de Facebook), cet Arbre de la Connaissance qui est l’Anti-Croix-du-Christ puisqu’Il nous fait un chantage à l’information (S’Il veut nous manipuler et nous dissuader de nous rebeller, Il n’a plus qu’à divulguer l’historique Internet complet de nos recherches de sites porno, les films de nos sex-tapes, notre casier judiciaire, les enregistrements de nos mauvais souvenirs et nos mauvaises paroles, notre bilan biométrique de santé, le relevé de toutes nos erreurs et nos complexes, etc.). L’inverse du pardon.
 

 

La donnée personnelle (et donc le corps et l’âme de chacun d’entre nous) est en train d’être volé par la Bête. Pour info (sans mauvais jeu de mots), vous retrouverez exactement ce que j’ai écrit sur les X, V, W, et sur le Cube, Rond, Triangle, dans cette brochure de l’ONU pour la collecte sécuritaire des données. Et déjà, ces symboles (Cube, Sphère, Carré) sont associés à la lévitation et au spirituel, comme le montre ce clip de Jura Chulkov (belle représentation de la prison bobo antéchristique et technologique, aseptisée et toute de blanc vêtue).
 
 
 

* « Dans un univers digitalisé et automatisé où le travail se raréfie, l’arrivée des robots humanoïdes va précipiter le ‘chômage technologique’ mondial jusqu’à l’étape ultime du chômage total ! […] Une mutation que les big data ont déjà anticipée en imaginant un ‘revenu universel’ pour les sans-emplois. L’idée, en apparence généreuse et humaniste, est ardemment défendue par les libertariens, ce courant ultra-libéral largement sponsorisé par les big data. En versant une rente à vie aux inactifs devenus majoritaires (80% de la main d’œuvre mondiale), on étouffe le sentiment d’injustice, ferment de révolte, et on tourne la page du salariat, avec ses contraintes réglementaires. […]Les maîtres du big data ont donc imaginé cette astuce du ‘revenu de liberté’, tel qu’ils l’ont baptisé. Pour garantir ce ‘salaire’, l’idée est de payer aux 2,5 milliards d’internautes une partie des traces numériques dont ces derniers se délestent gratuitement. Les esprits sont mûrs. Selon un sondage Havas Media du 30 septembre 2014, 30% des Français sont prêts à vendre leurs données personnelles. Chez les plus jeunes, ils sont 42% à accepter de révéler davantage d’informations sur leur vie en échange de contre-parties financières. […]Une portion des gains de productivité réalisée par l’automatisation sera réinjectée sous forme de baisse des prix, histoire de muscler un peu le pouvoir d’achat des bénéficiaires du revenu universel. Avec, pour boucler la boucle, l’imprimante 3D qui permettra de fabriquer soi-même les produits, après avoir acheté la matière première et le fichier informatique de paramétrage. Le consommateur devient un ‘prosumer’, la contraction en anglais de ‘producteur’ et ‘consommateur’. La valeur des choses ne sera plus dans le salaire, ni dans l’objet, mais dans l’information. Celle stockée dans les immenses coffres-forts numériques des big data. » (Marc Dugain et Christophe Labbé, L’Homme nu, pp. 155-157)
 

N.B. : En lien avec cet article, cette vidéo explique que tout le monde aura de base un salaire du fait « qu’il est né » et comme tout sera automatisé, plus besoin de travailler et donc tout le monde s’adonnera à ses passions ! The Singularity is clear
 

La robe de Meryl Streep aux Golden Globes hier : une belle signature de la Bête


 

(Pour comprendre mieux cette page, je vous renvoie à mon article initial sur le langage du diable et les symboles de la Bête.)
 

Malgré le peu de sympathie que j’ai pour Trump et sa politique (mais la peste ne justifie pas pour autant le choléra), je peux voir combien les pères-la-morale de la bienpensance mondiale antéchristique viennent d’être admirablement représentés par leur ambassadrice Meryl Streep lors de la cérémonie des Golden Globes hier (les Golden Globes, ce sont les Oscars d’Hollywood mais version bobo, le festival « off » et pseudo anarchiste et rebelle… alors qu’ils sont tout autant les mouton du Gouvernement Mondial). La preuve en est avec la robe portée par l’actrice, représentant la Bête. Les bobos n’y voient que du feu. Mais ça crève pourtant les yeux (le X, le V, les yeux, la Nouvelle Religion Naturelle avec les fleurs et la végétation stylisée et brillante, etc.).
 

 

Pour continuer dans la série des X et des W en forme de visage de Bête, le nouveau film blockbuster de science-fiction « Passengers » nous offre également une belle Bête stylisé : cf. l’affiche ou la forme du vaisseau.
 

Regardez : on lui voit même les oreilles, à la Bête !


 

 

 

Par ailleurs, je retiens votre attention sur l’idéogramme que j’ai vu récemment sur la photo d’une connaissance homosexuelle habillée avec un déguisement en lycra dans une boîte de nuit.
 

 

Et je termine enfin par cette publicité de la voiture Citroën C3, qui, idem, regorge de symboles maçonniques et antéchristiques (la technologie qui dit « Je t’aime »).
 

 
 

N.B. : Fait exceptionnel et alarmant (seule l’Italie en a parlé) : le sang de san Gennero ne s’est pas liquéfié cette année. 2017 : Va y avoir du sport…

Interview exclusive de 2h à bâtons rompus entre Nathalie Cardon et Philippe Ariño le 27 décembre à Lourdes !

 

Voici une interview exclusive de 2h. Ça passe finalement très vite. Discussion à bâtons rompus entre la journaliste Nathalie Cardon et moi le 27 décembre 2016 dernier à Lourdes, autour de trois thématiques tabous et explosives : l’homosexualité, le boboïsme et l’Apocalypse. C’est tout frais, tout chaud. À déguster sans modération :-).
 

… et pour se consoler de la disparition de beaucoup de mes vidéos Youtube qui se trouvaient sous le nom et la chaîne de mon ancienne adresse mail, désormais inaccessible et désactivée.
 

Bitcoin : le marché de l’information personnelle

 

Virtualisation de la monnaie et puce électronique : ça arrive très vite. Merci de lire Les Bobos en Vérité.
 

 
 

Par ailleurs – et c’est lié -, Patrick de Saint-Exupéry (le directeur de la « Revue 21 », qui avait fait un excellent travail sur la Blockchain) parle du phénomène mondial le plus important après la découverte du pétrole : l’or noir qu’est le commerce des données personnelles, à savoir les infos. Comme je l’ai lu dans L’Homme nu de Marc Dugain et Christophe Labbé, les informations personnelles sont peu à peu monétisées en l’échange de la confidentialité, de la sécurité, de la passivité des habitants de la planète (chantage et censures invisibles, en réalité). Elles composent le nouveau marché mondial, le nouveau chômage invisible (invisibilisé par le revenu universel), sur lesquels repose la technologisation du monde.
 

Journal de l’Antéchrist : L’Antéchrist aux portes de l’année 2017

« Chez le bobo, tout est rituel, rien n’est sacré » (Marie Pinsard)


 

Ma bonne résolution pour l’année 2017, c’est que mon père se désabonne de la revue La Vie (J’y arriverai !). Le pire, c’est qu’il m’avoue ne jamais la lire ! Il y est abonné et donne des sous à ce torchon sans même chercher à s’en libérer.
 

Notamment pour le n°3720 de La Vie de la semaine du 15 au 21 décembre 2016, j’ai été sidéré de voir le niveau analytique bébé de cette revue. Je ne m’attarderai pas sur les pages moralisantes qui chantent les louanges de la « solidarité » et de la « charité en action », en gommant toute intériorité ou sens ou Christ dans ces « actions ». C’est bien le propre du catholicisme bobo gauchiste défendu par le directeur de La Vie, Jean-Pierre Denis, que de redire des évidences sans risquer l’impopularité. Je me contenterai simplement de souligner la naïveté, l’aveuglement, l’incompétence, la soumission, de beaucoup de nos intellectuels et journalistes « catholiques » actuels, reflétés par le dossier de La Vie consacré à (attention… les cerveaux vont fumer de suractivité…) « la morale cachée de Disney ».
 

 

En arrivant pour Noël chez mon papa, et en voyant ce titre de couverture sur la table du salon, je me suis dit : « Ce journal brille tellement par sa nullité et par sa collaboration au Système Mondialiste qu’il ne va même pas avoir le courage de dénoncer que la firme Walt Disney est une antenne de la Franc-Maçonnerie antéchristique. » Pas loupé ! Les journalistes de La Vie sont si peu catholiques qu’ils n’ont rien vu. Ils se contentent de singer le décryptage analytique (en parlant de « codes », pour faire du Ariño… mais en raté). Et au lieu de décrypter, c’est-à-dire de donner du sens, à la lumière des Évangiles, au lieu de regarder concrètement les messages diffusés, ils restent à la surface de l’univers de Walt Disney, en parlant de la perception extérieure qu’en auraient les autres, ou en partant de paradigmes moralisants datant de mai 68.
 

 

Croyez le fan de Walt Disney que j’ai été de mes zéro à dix-huit ans : tout l’univers des créations cinématographiques disneyennes visent à crier la toute-puissance du rêve individualiste sur le Réel et sur le Christ. Tout récemment, en revoyant à la télé « l’église » disneylandisée/protestantisée du film « La Reine des Neiges » (vidée de crucifix, de Jésus, de Vierge, de sacrements, de Jésus) diffusée pour Noël sur M6, je l’ai à nouveau constaté. La fantasmagorie de Disney est antéchristique, cathophobe. Elle célèbre « l’imaginaire » (l’autre nom du mal et du diable), asexualise l’être humain et ses relations, transforme ce dernier en animal et en ange.
 

Évidemment, La Vie ne dit rien de tout cela : ses critiques parlent de l’imaginaire comme de l’imagination (parce qu’ils confondent les deux termes et n’ont pas identifié la différence), paraphrasent les intentions des films Disney (« garder une âme d’enfant » ; « Jiminy Cricket, la morale incarnée » ; « Pouvoir rêver sa vie et la réaliser, accomplir ce pour quoi on existe, est le schéma directeur des films Disney. » ; « Des héros de notre temps : Disney brise des tabous. » ; « Les films de Disney représentent le rêve américain. » ; etc.), font une analyse manichéenne et pseudo sociologique-symboliste du monde (« Disney est-il puritaniste, conservateur, aseptisé, trop naïf, bourgeois, caricatural, libertaire, émancipateur, engagé, actuel ? »), se risquent à un semblant de dénonciation (« Walt Disney passe les contes populaires à la moulinette. »). Analyses au ras des pâquerettes. À pleurer. Le mal (la sacralisation mondiale de « l’indépendance », de « l’imaginaire », du « rêve individuel », de la « volonté » personnelle, de la « désobéissance » : marotte des bobos francs-maçons) n’est pas dénoncé car il n’est pas vu. Au lieu de ça, La Vie fait dans le folklore (ils parlent du « Carnaval des méchants », par exemple), la carte postale nostalgique (Nous vous racontons l’histoire des studios Disney), la psychologie de bazar à la François-Xavier Bellamy (« Disney est une projection de nos attentes morales » ; « Disney, symbole de la transmission entre les générations » ; etc.), l’érudition adolescente (les « indices d’intertextualité » comme diraient les mauvais analystes de l’Éducation Nazionale : La Vie cite Hamlet, les influences « cachées » telles que Groucho Marx et Schwartzenegger, et fait même de vaseux parallèles « exégétiques » avec la Bible : la grosse pitié) et dans la collaboration à l’esprit du monde. Pathétique. Ils n’ont pas compris ce qu’étaient les codes et ce qui est caché (= Jésus). Rendez-vous compte de l’état lamentable dans lequel se trouve le journalisme « catholique » français actuel
 

 

Le drame de nombreux catholiques en ce moment, c’est le cléricalisme, l’entrisme, le clientélisme, le nominalisme (phraséologie sage et apparemment « vraie », mais qui enchaîne les métavérités telles que je les décris dans mon dernier livre Homosexualité, la priorité niée) et finalement le boboïsme. C’est aussi le remplacement de la réalité de la Charité par la technologie (je pense à l’application Entourage, terrible éloignement bobo des catholiques ; je pense également à ces bougies virtuelles qui évitent de se déplacer dans les églises : cf. le code « Bougies » de mon livre Les Bobos en Vérité). C’est un drame car, comme nous a prévenus le Pape François, « La route que Jésus a voulue pour son Église est la route des difficultés, la route de la croix, la route des persécutions et non pas celle d’une entreprise humaine, où l’on signe des accords pour s’agrandir. » (cf. l’homélie du dimanche 21 avril 2013 à la chapelle de la Maison Sainte-Marthe)
 

 

Le « meilleur » exemple de ce lamentable entrisme sous couvert d’« Unité et de Charité », ce sont les posts épate-bourgeois (bourgeoisie bobo) et mondains de Koz Toujours (Erwann le Morhedec) : en ce moment, ce dernier s’extasie devant les quelques œuvres « cathos » de l’art contemporain qu’il conspue en temps normal (exemple : la crèche de la Madeleine de Samuel Yal), il est resté bloqué politiquement sur une idéalisation du gaullisme (c’est pour cela qu’il défend bon gré mal gré Fillon, dernier héritier spirituel de son De Gaulle chéri), il dénonce mollement la grâce présidentielle de Jacqueline Sauvage (alors qu’elle est carrément un scandale), il dénonce aussi mollement les attaques du FN contre l’Église (alors qu’elles sont un véritable scandale). Bref, il n’a pas lu le chapitre 38 de mon livre sur les Bobos… parce qu’en réalité, ses actes et discours en sont la parfaite incarnation.
 

 

 

 

En général, la manière tiède des cathos bobos (et des prêtres frileux) de dire leur désaccord ou de s’opposer, c’est de se montrer « dubitatifs » (tout comme leur manière molle de dire leur accord ou de « soutenir », c’est d’énoncer que quelque chose est « intéressant »).
 

 

Toute aussi sidérante est la langue de bois catholiquement correcte d’un Tugdual Derville. On se croirait revenus au temps du caté soixante-huitard où on nous faisait recracher les formules qui font bien (sur la fragilité, l’Espérance, la Rencontre, la bienveillance, le Bien commun, blabla), qui disent le bien, mais qui ne nomment pas le mal ni Jésus. Les porte-parole des catholiques en France aujourd’hui sont soit des brutes, soit des bébés.
 

 

En parlant bobos, je vous renvoie précisément à mon analyse du dernier film d’Omar Sy (qui a nourri certains codes de mon Dictionnaire des Codes homosexuels) « Demain tout commence » pour comprendre l’invasion du boboïsme antéchristique en France.
 

Pour continuer sur la progression de la Blockchain et de la phraséologie de l’humanisme intégral de la Nouvelle Religion Naturelle antéchristique, je constate que de plus en plus de chaînes d’entreprises « bios » profanes reprennent des expressions de la Bible à leur compte pour La désacraliser et La déchristianiser. En passant hier près de Bordeaux, par exemple, j’ai vu des magasins de jardinage rebaptisés « L’Eau vive ». C’est toute la ruse de l’Antéchrist que de singer/citer la Bible en enlevant le Christ et Sa Croix (cf. j’ai découvert tout récemment que le mot anglais « pain », qui signifie « douleur » se prononce en français comme l’Eucharistie : et ce jeu de mots est très signifiant pour comprendre le lien entre le Pain et la Croix).
 

Concernant également la puce électro, toujours hier, à Pau, j’ai déjeuné avec un père blanc, prêtre français missionnaire au Burkina-Faso pendant une trentaine d’années. Je lui ai demandé s’il avait vu des changements dans ce pays africain. Il m’a dit, sans dénoncer le phénomène ni le voir comme un danger, que la révolution spectaculaire qu’a connue dernièrement le Burkina, c’est le téléphone portable. Maintenant, quasiment tous les pauvres en ont un.
 

 

Autre nouvelle du Journal de l’Antéchrist : l’épidémie d’un nouveau virus appelé comme par hasard « W » (cf. je vous renvoie à mon article « Le Langage du diable », sur les W, V et les cubes). On ne sait pas quel est ce virus, ni ce que contient le vaccin pour lutter contre ce dernier. Mais je ne fais que souligner cette coïncidence non-hasardeuse avec le W. Et un peu plus tard que ce matin, je me faisais la réflexion que la quasi totalité des lettres que j’attribue à l’Antéchrist (V, W, X, Y et Z) composent la fin de l’alphabet, autrement dit indiquent la fin des temps.
 

 

Concernant le cube (dont je parle très régulièrement en tant que rationalité divine), on le voit de plus en plus sur nos écrans : regardez cette publicité, ainsi que celle-ci, du café Carte Noire. Le Cube est au centre du Royaume du Plaisir des Sens.
 

 

Enfin, pour terminer sur une bonne nouvelle (quand même !), mon grand frère dominicain Miguel (frère Louis-Marie Ariño-Durand) est en pleine rédaction de son prochain livre aux éditions du Cerf : un ouvrage sur les secrets de Fatima, à l’occasion du centenaire des apparitions de Fatima en 1917. Et de tout ce qu’il a publié (après Marie m’a bien aimé et Rosaire un jour rosaire toujours), c’est à mon avis son premier livre risqué et, je crois, évangélique. Je m’avance peut-être pour dire que c’est déjà une bombe, mais tant pis. Et je m’en réjouis.
 

 
 
 
 

N.B. : Voir d’autres éditions du Journal de l’Antéchrist : celle-ci ou celle-là.

 

N.B. 2 : Une raison supplémentaire pour vous demander de lire mon livre Homosexualité, la Priorité niée que je viens de mettre en libre accès ici : cette caricature de Trump et Poutine par Willem, illustrant ce que je dis sur la primauté médiatique et politique de l’homosexualité dans notre monde d’aujourd’hui, pour sacraliser ou diaboliser quelqu’un.