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Instauration du Gouvernement Mondial

Au-delà de nos petites préoccupations personnelles pour le virus (bien légitimes, dans certains rares cas, car la pandémie fait quand même des morts) et de l’excitation suscitée par le caractère inédit et contraignant du confinement total généralisé, je vous propose, pour ceux d’entre vous qui voient un peu plus loin que le bout de leur nez et à qui le mot « complot » ne fait pas peur, de prendre un peu de hauteur de vue, afin de regarder ce qui est en train de se tramer mondialement parlant.
 

Alors que la grippe aviaire asiatique n’avait pas suscité tant de remous (pourtant elle était aussi contagieuse et mortelle), c’est le Coronavirus, relayé par les mass medias (et peut-être la France en premier lieu), qui a réussi à étendre son empire de peur sur l’ensemble du Monde. Pari réussi pour le petit cercle de l’Antéchrist qui rêvait d’un relooking politico-économique mondialisé rapide !
 

Même si l’existence de cette confrérie complotiste est impossible à prouver (puisque ses membres agissent évidemment dans le secret), on peut, pour ceux qui acceptent d’accueillir intellectuellement et sereinement son existence, facilement observer qu’elle est à pied d’oeuvre en ce moment pour instaurer une Gouvernance Mondiale visant à flinguer les Peuples, les banques et l’Église Catholique (je vous conseille fortement d’écouter mon livre Homo-Bobo-Apo sur Youtube ou de l’acheter sur Amazon).
 

 

Et les monnaies, c’est bien fini. Elles vont céder la place aux cryptomonnaies, donc à la puce.
 

 

Moi, je vous dis juste (j’espère pouvoir accomplir concrètement mes paroles) qu’après la sortie de mon film et le remboursement de mes dettes, je compte abandonner radicalement l’électricité (internet) et faire en sorte que l’internet ne soit plus l’interface de rien dans ma vie (quitte à quitter Paris, à renoncer au RSA, et à cultiver un lopin de terre non loin de chez mon papa ou chez mon frère). Si sans la puce nous ne pourrons plus rien acheter ni vendre, ce que nous pourrons encore faire pour la contourner – en plus de nous débarrasser de nos écrans et de nos portables -, ce sera toujours de donner (notre personne, un service, les biens de la terre, etc.) et de recevoir (mise en commun des fruits du travail, partage). Parfois et le plus souvent gratuitement. La décision va devoir se prendre plus rapidement qu’on ne l’imagine.

La fausse « guerre » de Macron


 

À un moment donné, il y a/aura forcément un point de rupture (ou un choc frontal) entre le dieu « Sécurité » et le vrai Dieu catholique (Jésus, qui est l’inverse de la sécurité… même s’il n’est ni imprudent ni désobéissant civilement pour autant), entre la peur et la Foi. Et quand certains évêques et cardinaux nous disent que le confinement est un acte proche de la Charité chrétienne, d’un pieux effort de Carême, et d’une obéissance au Christ lui-même (parce qu’au fond ils prennent le président de la République pour le Christ…), ils oublient que le Christ est allé vers les lépreux et a violé les règles mondaines de l’hygiène, de la sécurité, de l’asepsie, précisément parce que sa Miséricorde et sa Charité n’étaient pas qu’humaines et raisonnables (« responsables »). L’inconscience ou la folie de Dieu est humainement scandaleuse, car Il sort des sentiers battus et passe pour un « criminel » aux yeux des sages et des savants de ce Monde.
 

 

Bref, je ne dis pas que je transgresserai la consigne de l’enfermement. Au contraire. Je me contente simplement de souligner que cette consigne, en plus de cacher un asservissement des masses et un lavage de cerveaux imposé par la Nouvelle Gouvernance mondiale qui s’installe derrière notre dos (Oh ? Tiens ? Comme par hasard, un reportage sur France 5 promouvant les « bienfaits » de la PMA-GPA ce soir… Ça alors…) n’est pas catholique, fait violence aux catholiques, fait tout pour couper les catholiques des sacrements et même de leurs devoirs d’assistance aux autres, et rentrent en quasi contradiction avec leur Foi (je dis bien « quasi » car je n’oublie pas qu’il y a dans l’obéissance civile aussi une vraie démarche de Charité : sanitairement, si je suis porteur du virus sans le savoir, mieux vaut évidemment pour la collectivité que je ne sorte pas ; de plus, le confinement reste temporaire et circonscrit à un relatif « petit temps » donc pas de quoi non plus en faire un supplice odieux et se présenter comme une victime d’une « terrible dictature »… sauf ceux qui ont perdu leur boulot ou qui vivent dans des conditions d’enfermement précaires ; enfin, pendant mon repli, rien ne m’empêche de prier, d’être présent aux autres autrement, à Jésus et aux rares personnes qui m’entourent.)
 

Mais cette Charité est loin d’être complète. Ce confinement est loin d’être saint, héroïque, charitable, comme ça nous est dit, et ce, pour les 2 points de rupture inconciliables que j’ai relevés plus haut (Sécurité/Risque d’Amour ; Peur/Foi). Et oui, je le dis sans paranoïa ni complotisme : avec ce virus et le dispositif pour l’enrayer, « on » nous entube sous couvert de nous protéger et de nous sauver ; et « on » tue plus de vies qu’on en sauve (même si évidemment/apparemment « on » en sauve et « on » nous présentera dans 45 jours la tête coupée du virus comme un magnifique trophée gagné collectivement par les efforts de chacun).
 

Ci-dessous, l’échange pertinent qui a suivi mon post Facebook :
 




 

Les caricaturistes auraient pu rajouter à la place de la bulle « Restez chez vous = vous sauvez des vies et le Monde » ^^


 

Oh ben merde : quelle grande perte… et quel grand « sacrifice »… mdr


 

Et prendre son train à Montparnasse ce matin est le nouveau « Crime contre l’Humanité » à éradiquer mdr


 

Et pendant cette période, les bobos vont avoir tout le loisir de nous abreuver de leurs récits d’ « incroyable (re-)découverte » de leur dieu « Lumière » (luciférien, en réalité) et « Nature » lol. Ça va être chouette… :
 


 
 

N.B. : Voir l’article précédent, sur le même sujet.

La sommation aux cons-finement : d’ici demain ou après-demain, quasi obligation de rester cloîtré chez soi


 

L’étau se resserre. Je n’ai aucune certitude de ce que je vais dire là, mais je crois que : pour sortir de chez soi, c’est aujourd’hui ou demain. Du moins pour la France. Après, il sera trop tard. En France, et en particulier dans les grandes villes, ils vont imposer, sous contrôle de l’armée, et sous peine d’amende, un confinement total de la population à la maison, et un contrôle minutieux de chaque habitant, en se drapant derrière le (flatteur) slogan vitaliste : « Vous êtes des héros domestiques. Rester chez soi c’est sauver des vies ! » Rien que ça… L’infantilisation et la soumission déguisées en héroïsme altruiste sauveur, en « solidarité responsable ». Tout le monde y croit…
 

Le confinement ne sera évidemment pas « total » à proprement parler, mais ultra restrictif. Ce qui donnera à la population mondiale – réduite en esclavage, au rationnement et à la survie – une maigre illusion de liberté et de sécurité (Sainte Sécurité ! Sainte Protection ! Priez pour nous !). Dès après-demain, sur le territoire national, ça risque de fonctionner comme en Italie et en Espagne : pour sortir de chez soi, il va falloir être muni d’une auto-certification, c’est-à-dire d’un document téléchargé sur le site du Ministère du pays et qui justifie la raison du déplacement. Une raison bien « animale » : manger, boire, subvenir à ses « besoins », faire ses besoins, protéger ses biens, posséder, et… surveiller sa télé. Autant dire que l’amitié, la vraie solidarité, et même la simple relation de voisinage, seront considérées comme délictueuses. Génial… Là, on n’aura plus trop envie de rigoler de la razzia sur le PQ ou le gel hydroalcoolique !
 

De mon côté, d’un point de vue purement pratique et immédiat, le cloisonnement me fait « chier » car ce régime sanitaire semi totalitaire va m’empêcher de progresser dans l’enregistrement des voix-off de mon film (étant donné que je ne pourrai plus recevoir chez moi ni me rendre chez mes « voix »). Je vais donc devoir avancer autrement, et en solitaire. Ce n’est pas le travail qui me manque. Et en soi, la conjecture internationale ne change pas grand-chose à mon rythme de travail, ne perturbe en rien mon activité (il y a longtemps que je ne dépendais plus d’aucun employeur, et que je travaillais déjà en mode « free-lance et télétravail »… mais en indépendant et pour le Seigneur). Le seul « hic », c’est quand même l’enregistrement des voix-off. Car ça, je ne peux pas le faire tout seul. Tant pis : j’avancerai sur la retranscription/traduction des autres épisodes du documentaire.
 

D’un point de vue cette fois purement personnel, bien sûr que je m’inquiète de mon état (Même si je n’ai pas de symptômes apparents, le climat de paranoïa ambiante m’en fait imaginer ressentir certains. Tout comme vous, j’imagine !). Mais je m’inquiète surtout de 3 réalités que je vois se profiler, et que j’avais déjà annoncées dans mon livre Homo-Bobo-Apo (plus que jamais d’actualité !) : 1) la disparition ou le gel de l’argent en banque ; 2) la virtualisation de l’argent mondial qui va devenir cryptomonnaies… ce qui veut dire « la puce électronique subcutanée imposée à tous » (la Marque de la Bête de l’Apocalypse) au nom du « Bien commun » et même de la « Charité chrétienne » ; 3) l’instauration d’un Gouvernement Mondial antéchristique.
 

D’un point de vue enfin spirituel et religieux, je me dis aussi que Satan, avec ce surgissement « impromptu » du Coronavirus, a bien réussi son coup. Il est parvenu à nous couper des sacrements et de Jésus-Eucharistie en un rien de temps, en faisant passer ce renoncement/abandon pour un « douloureux mais magnifique effort de Carême » et un « merveilleux acte de Charité fraternelle » au nom du « Bien commun » ! Chapeau ! Il n’y a qu’à lire la lettre d’il y a 3 jours du très franc-mac archevêque de Paris Mgr Aupetit pour se rendre compte de la collaboration-lâcheté de la plupart des chefs de l’Église en France, dans ce coup de maître ! Dans cette missive cardinalice, le Sacrifice du Christ (l’Eucharistie) est remplacé par le sacrifice du Sacrifice, c’est-à-dire la privation-renoncement de ce Dernier (un comble ! et une totale inversion des valeurs… : je rappelle que le Carême c’est se priver du superflu, et non de l’Essentiel qu’est Jésus) ; la Communion est discrètement remplacée par la communion avec un petit « c », c’est-à-dire l’ « unité nationale » et un communisme international sécuritaire ; la Vérité est remplacée par l’humanisme intégral, la solidarité, la sécurité et le « Bien commun » (ce dernier étant un concept particulièrement antéchristique). Merci Mgr Aupetit de nous avoir fait passer le renoncement aux sacrements pour un « devoir chrétien » et finalement pour un… sacrement ! Quasiment tous les cathos gobent votre contrefaçon « oblative ».
 

Pour conclure, voici mon humble avis : que ceux qui voient dans la « pandémie » du Coronavirus une Apocalypse finale, la Tribulation et l’Épreuve ultime, se détrompent. Elle constitue « juste » un gentil apéritif – ou l’alibi pratique – pour l’établissement d’une dictature mondiale sans précédent et qui s’annonce comme « providentielle et indispensable », pour isoler/contrôler chaque individu, et surtout pour isoler l’Église.
 

Mais avant tout, cette peste n’est qu’une tribulation terrestre parmi tant d’autres qui vont lui succéder (catastrophes naturelles, écologiques, conflits armés entre les Peuples, persécutions des chrétiens, etc. : les 10 plaies d’Égypte remasterisées). Pour moi, ce n’est pas la Fin avec un « F » majuscule. La Fin avec un « F » majuscule sera bien plus spectaculaire que cette déjà impressionnante crise sanitaire mondiale programmée, puisque ce sera non seulement la Terre qui sera ébranlée mais surtout le ciel (…et nos coeurs, par la même occasion). C’est dans le ciel que ça va être le bordel ! N’oublions jamais que nous avons avant tout affaire à une guerre spirituelle, surnaturelle, invisible, cosmique, angélique (entre la petite armée de Lucifer et la grande armée des anges de Jésus). Elle n’est pas prioritairement humaine et terrestre, même si notre liberté humaine et notre incarnation sont sollicitées et impliquées.

 

N.B. : Voir l’article suivant sur le même sujet.