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La Franc-Maçonnerie expliquée à la crêpière


 

Ce midi, j’explique en 5 minutes ce qu’est la Franc-Maçonnerie et l’idolâtrie mondiale actuelle pour alchimie à Virginie mon amie la vendeuse de crêpes en bas de chez moi, car elle voulait savoir. J’ai pris trois exemples qui lui ont parlé : la série de TF1 Manifest (avec les colliers d’or incas, les bijouteries…), la choré de Bilal Hassani ce soir à l’Eurovision (avec son masque d’or), et Joséphine ange gardien (J’ai oublié de lui parler des « Crevettes pailletées » ou de la pub Hermès de Céline Dion). Elle était folle de joie de comprendre et d’avoir les clés. Elle m’a dit « En fait, on n’est pas éveillés !!! ».

La Vigile pascale présidée par Mgr Aupetit, pleine de rebondissements, hier soir à Saint-Sulpice…


 

Si vous n’êtes jamais allés aux messes catholiques, et que ça n’a jamais été votre truc, c’est le moment faste pour commencer. Parce que, plus ça va, plus il y a du spectacle !
 

Pour la Vigile pascale, je devais être à l’église Saint-Sulpice de Paris. Mais au vue de la messe du Vendredi Saint vécue la veille au même endroit, messe glaciale et trop pompeuse à mon goût (habituellement, le Vendredi Saint est la messe de l’année que je préfère : j’y pleure à chaudes larmes ; mais à Saint-Sulpice, l’émotion n’était pas au rendez-vous, et ça ne m’a fait ni chaud ni froid. La maîtrise humaine tue l’âme), je m’étais dit que j’irais finalement dans une autre église plus familiale et plus petite (genre Saint Nicolas-des-champs ou Saint-Roch). Eh puis finalement, j’ai pris sur moi. Comme j’avais mon badge de Saint-Médard, et qu’en plus je voulais faire plaisir au Père Gambart et être solidaire à ma paroisse géographique, je me suis finalement rendu quand même à Saint-Sulpice hier soir. À vrai dire, je ne m’attendais pas à ce que ce soit la Méga Messe cardinalice télévisée, avec des caméras de KTO partout (selon un ami prêtre, il paraît que j’apparaissais à l’écran : à défaut de m’inviter, ces connards de KTO – et attention, j’aime les connards, mais il n’empêche qu’ils le sont quand même – me filment accidentellement). Je ne m’attendais pas non plus à ce qu’il y ait autant de rebondissements inattendus. Et rien que pour ça, même si j’ai à nouveau trouvé l’atmosphère inhabituellement aseptisée pour une Veillée pascale, je ne regrette finalement pas d’avoir fait le déplacement. Le Seigneur me voulait là, témoin de sa Résurrection et de la corruption de son Église. Ils se sont passées tellement de choses qui montrent qu’en ce moment l’Église de France est infestée par la Franc-Maçonnerie – et donc par le satanisme – que ça avait du sens que je voie ça !

 

Pour commencer, j’ai eu des voisins de compète juste sur mon banc : d’abord une espèce de chef militaire vendéen d’opérette, un hurluberlu qui se prend pour un soldat du XVIIIe siècle, qui ressemblait à Michel Houellebecq avec une perruque de cheveux longs, des grosses bagouzes, une veste de Colonel Sanders maçonnique napoléonienne, des fleurs de lys et un badge doré du Roi Soleil, les gants blancs francs-macs, les ranjos, le chèche royaliste blanc porté en turban frontal… Il avait tout du « croisé » bobo catho anar d’extrême droite qui se vit sa petite foi en égoïste avec Dieu, qui défend l’identité et la civilisation de la « chrétienté », mais qui concrètement déteste tout le monde : j’en ai eu la confirmation car d’après des paroissiens habituels de Notre-Dame, il se mettait régulièrement devant et à genoux à la Cathédrale de Paris, donnant en spectacle ses mortifications de « serviteur » adoubé, ne parlant à personne, et se montrant extrêmement désagréable voire agressif quand il n’avait pas les conditions de sa mise en scène de martyre. Et quand je lui ai demandé gentiment son nom pour faire connaissance, il m’a jeté comme un malpropre : « J’ai pas envie de vous le dire. » Mais bizarrement, je reste persuadé que ce catho lunaire n’est pas aussi bourru et rigide qu’il n’en donne l’air, car à un moment donné, pendant la messe, nos deux culs se sont percutés accidentellement au moment de nous rasseoir, et la scène était tellement cocasse/clownesque que même lui n’a pas pu s’empêcher d’esquisser un sourire. Quant à mes deux voisines de gauche, deux groupies (aveuglées) de l’archevêque de Paris Monseigneur Aupetit, elles étaient adorables. J’ai eu de la chance de les avoir pour vivre cette célébration dans la joie de Pâques. C’étaient mes deux mamans. L’une m’a prêté la parka kaki qu’elle venait d’acheter pour sa nièce l’après-midi même, parce que je grelottais de froid (comme un idiot, j’avais rappliqué seulement en chemise). L’autre a fait le trajet retour jusqu’à mon quartier à pied après la messe avec moi. Et c’est en lui parlant cash de mes livres qu’elle m’a avoué qu’elle avait passé trois années en Franc-Maçonnerie (à la GLFGrande Loge Féminine), qu’elle était montée jusqu’au 3ème grade (juste avant d’en sortir il y a quelques années), et qu’elle y avait croisé énormément de « catholiques » à ses yeux « extrêmement pratiquants ». No comment.
 

– Ensuite, concernant la Messe pascale à proprement parler, j’ai vu qu’il se passait des choses bizarres. Le Christ avait beau être là (de toute façon, Il passe même par les mauvais prêtres ; et puis il y avait de saints prêtres hier soir puisqu’il y avait au moins le Père Gambart), j’ai eu des illustrations que la Franc-Maçonnerie sacerdotale rôdait dans les parages. D’ailleurs, même si on n’a pas vraiment eu le temps d’en parler, et encore moins en ces termes, j’ai croisé dans le fond de l’église à la fin de la messe le Père Gambart (qui a le charisme de prophétie et de lecture des âmes, je crois), et lui-même a senti qu’il se passait des anormalités. Il a mis ce cafouillage sur le compte de l’organisation précipitée d’une messe d’ordinaire notredamiste – donc réglée au cordeau – mais inadaptable à la logistique plus aléatoire de Saint-Sulpice… mais en tout cas, il a ressenti une agitation et une tension surnaturelles.
 

 

– Déjà, pendant toute la messe, nous étions entourés de cameramen de KTO (dont pas mal de bobos barbus ; certains bâillaient et avaient vraiment l’air de se faire chier comme des rats morts) : l’Église est de plus en plus peuplée de techniciens qui n’en ont rien à faire de la Foi, et d’évêques starisés, flattés d’être sous le feu des projecteurs. Mais je pense que le visage et le discours maçonniques transparaissait surtout à travers Mgr Aupetit (dont j’avais déjà identifié par le passé le discours franc-maçon : défense de l’Union Civile dans Paris-Match, discours sur l’amélioration et la construction architecturale lors des États Généraux de bio-éthique, etc.). Ça n’a pas loupé hier soir : homélie indigente (bien que rassurante parce que christo-centrée à la Cardinal Sarah), avec une phrase de conclusion que les initiés francs-maçons n’auraient pas reniée : Mgr Aupetit a dit aux catéchumènes (futurs baptisés) – juste après leur avoir prodigué le « sacrement d’initiation » (1h35) – que c’était à eux « d’écrire l’histoire des hommes, pour que cette histoire devienne une histoire d’amour » (1 h 30). Pouète-pouète. Mais le clou du spectacle franc-maçon offert par l’archevêque est arrivé au moment de la demande collective de renonciation au diable. Mgr Aupetit a fait un lapsus énorme (1 h 51’ 55) – que je pense personne n’a remarqué – qui montre ses sympathies pour la Franc-Maçonnerie : « Après avoir terminé l’entraînement du Carême, renouvelons la relation… euh… la renonciation à Satan, que l’on fait lors du baptême. » Moi, perso, je surkiffe les lapsus révélateurs.
 

 

– La suite, c’est-à-dire le pétage de plombs d’Amina, la première catéchumène qui devait se faire baptiser et qui s’est mise à gloser – face à l’archevêque, n’était qu’une réaction logique (1 h 54’35). Effectivement, à la surprise générale, cette femme noire, sans doute infestée par des démons, a créé le show en interrompant le rituel baptismal, en refusant de se faire baptiser, en se tournant face à l’assemblée pour se donner en spectacle. Elle parlait tout haut en mode glossolalie (vaguement dialectale), comme une personne sous emprise vaudou. Déjà, quelques minutes avant son numéro, elle semblait prise de convulsions, et ses lèvres tremblaient (1 h 44’ 22). Évidemment, les journalistes de KTO, avec leur « courage » légendaire, ont jeté un voile pudique sur la scène… mais comme c’était du direct, ils ont été pris de court et ont filmé quand même. Amina a tenté de refaire parler d’elle un peu plus tard, au moment du « Notre Père », en se dirigeant comme une automate vers l’archevêque et l’autel, mais cette fois-ci, le service d’ordre s’est chargé de la dégager. (J’avais assisté à une scène similaire à la Cathédrale d’Abidjan en Côte d’Ivoire, en 2014, lorsque pendant une homélie, une femme de la chorale, au premier rang, était sortie de ses gonds pile au moment où elle avait entendu le curé prononcer le mot « Franc-Maçonnerie », et s’était mise à hurler et à se débattre comme une dératée).
 

– La Veillée pascale s’est ensuite poursuivie sans encombres (nous ne savions pas qu’à l’autre bout du monde, au même moment, c’était la boucherie dans des églises chrétiennes du Sri Lanka : quelle tristesse). C’était Monseigneur Ribobo-Dumas qui m’a donné la communion. Si j’avais su, j’aurais mis mon badge rainbow flag : peut-être qu’alors son regard aurait pétillé. Qui sait ?

 

Bref, vous l’aurez compris, c’était une vraie Vigile pascale de Fin des Temps occidentale.
 

Le discours de l’architecte Macron sur l’incendie de Notre-Dame

 

Le discours « Parce que c’est notre projet » de Macron sur TF1 = top franc-maçon : « Nous sommes ce Peuple de bâtisseurs. » Il parle de la cathédrale comme un patrimoine, non comme le Coeur de Marie. De plus, il sort la marotte de la Franc-Maçonnerie, à savoir l’amélioration. Il nie aussi la finitude du Temps: « Notre histoire ne s’arrête jamais. » Alors que le Temps humain aura une fin.
 
#NotreDame
 

Cela dit, les cathos bobos anars d’extrême droite (L’Homme Nouveau) ne font pas mieux : Toujours le même discours millénariste, franc-maçon et civilisationniste (de la « chrétienté »). En fait, ils n’ont rien compris de la royauté du Christ.
 

 

 

C’est nouveau : ça vient de sortir ! Le concept de « prêtre-bâtisseur » …

Je poursuis mon enquête sur les liens entre magie et Franc-Maçonnerie

Petit coup d’audace (ou d’inconscience) : je me rends à deux conférences parisiennes, sur « Fantômes et maisons hantées » d’une part puis « Pluralité des mondes habités et réincarnation » d’autre part, à la Maison des Mines (PAS DU TOUT franc-mac lol) cet après-midi. Je sens que je vais beaucoup en apprendre. Descente en enfer… 😆👹😈.

 

Je vais essayer de voir ce que ça fait quand on parle de Jésus dans une ambiance pareille (😂).
 

 

Enfin, comme vous le savez, j’étudie les nombreux ponts existants entre la série Joséphine ange gardien et la Franc-Maçonnerie, notamment ce qui nous est présenté comme « magique ». Et j’ai appris que dimanche 28 avril prochain, à 15h, à la Grande Loge de France, se tiendra une conférence (tenue ouverte) « Harry Potter chez les francs-maçons ! ». Je ne pourrai malheureusement pas m’y rendre (comme j’avais pu le faire pour la tenue ouverte sur Star Wars) car je serai présent au baptême de ma filleule Léonie (entre Dieu et le diable, j’ai choisi ^^). Mais je n’ai pas dit mon dernier mot :-).
 

 

« spirituel » remplacé par « spéculatif »


 

C’est drôle. Les franc-maçons, rois du pragmatisme cartésien, pour nier hypocritement la dimension spirituelle, surnaturelle et divine des choses, remplaceront le terme « esprit » ou « Esprit Saint » par celui de « spéculation », en créant (je cite Laurent Kupferman, initié homosexuel du Grand Orient de France) une distinction entre « le matériel » et « le spéculatif ». En résumé, ils sollicitent des entités spirituelles – les anges damnés – mais sans les nommer.

La Lettre d’Emmanuel Macron aux Français pour le Grand Débat National : l’exact déroulé des étapes de l’alchimie des francs-maçons


 

Vous me croyez si vous voulez ou non, vous me traitez de paranoïaque complotiste si ça vous chante… mais la lettre d’Emmanuel Macron aux Français dans le cadre du Grand Débat National est un scrupuleux suivi des 7 étapes du processus alchimique mises en place par les francs-maçons, et que je décline à travers la série Joséphine ange-gardien (mais je pourrais aisément appliquer cette grille aux discours de notre président).
 

En effet, Macron nous sert sa soupe maçonnique de la « fermeté » (étape 1), de la « confiance » (étape 5), du « lien » (étape 4), du « bâtir ensemble un Contrat social » à la Rousseau (étape 3). On a même droit à la mention de « idées claires » (étape 2) de Descartes !
 

 

Les Gilets Jaunes sont donc invités à devenir les gentils travailleurs lumineux du grand plan national « concerté » du Grand Architecte de l’Univers (le « Peuple »), hypocritement applaudi par l’ingénieur en chef (Macron) et son équipe de cols blancs libertaires (ayant déjà pris les grandes décisions au préalable, sans consulter le Peuple – le « mariage » gay – et ne proposant du débat que pour les questions sociétales annexes, ne soumettant au Peuple que des changements d’ordre cosmétique). Et le pire, c’est qu’une majorité de catholiques croit en l’efficacité et la grandeur du geste présidentiel… On se fait allègrement rouler dans la farine par le maître boulanger, et certains demandent quand même à être cuits !
 

 
#GiletsJaunes
 

N.B. : Rien à voir, et pourtant… : la nouvelle chanson des Enfoirés « On trace » (écrite par l’architecte Vianney) renvoie à l’étape 3 du processus alchimique (l’écriture du plan architectural maçonnique) et également à la Chaîne d’Union maçonnique (« Pour dessiner l’histoire, il faut nos mains tenues. »). On est cernés.

Deux épisodes de Joséphine pour expliquer le processus alchimique

Voici les deux images de l’épisode 91 d’avant-hier, sur la Coupe du monde, où l’on voit (alors que ça n’a rien à voir avec les thèmes de l’intrigue) en deux secondes l’ange-gardien Ismaël (pris pour un gay) en train de colorier une statue de Bouddha.

 

Par ailleurs, je vais m’appuyer sur les deux derniers épisodes de Joséphine ange-gardien (« Graine de Chef » + « 1998-2018 : Retour vers le Futur ») pour décrire avec précision toutes les étapes du processus hermétique, luciférien et franc-maçon de création alchimique de la matière, de l’Amour, de l’Humain, de la Divinité (cosmique).
 


L’hermétisme est anti-catholique


 

La Franc-Maçonnerie repose sur le symbolisme et l’hermétisme. L’hermétisme maçonnique, c’est le contraire du catholicisme, puisque le catholicisme, par amour, tolère la contagion, la porosité, alors que l’hermétisme fuit toute infiltration et toute collaboration extérieures : l’alchimiste veut faire et créer tout tout seul, sans les Hommes, sans l’Église Catholique, et sans Dieu ! Au fond, l’hermétisme, c’est l’anticatholicisme. Il rejoint, par bien des aspects, le purisme du pharisaïsme (c’est pour cela que je dis que, pour l’instant, le cardinal Sarah adopte une attitude et un comportement francs-maçons : il fait du purisme du silence la condition et la matière même de la création/présence divine !). En d’autres termes, on pourrait définir l’hermétisme comme la « prière » maçonnique (méditation, concentration, isolement et vide mental), proche des méditations pleine conscience du bouddhisme.
 

Dans le laboratoire alchimique, c’est toujours les mêmes étapes du processus (que l’on retrouve dans les Google Doodle) : 1) trouvaille de l’IDÉE de génie (ampoule électrique) ; 2) ÉCRITURE du plan (le scribe) ; 3) élaboration et CONSTRUCTION, travail de la matière ou du fil, transformation du cuivre ou de l’argent en or ; 4) FUSION entre la matière et son créateur divinisé par elle : l’Homme parvient au but de sa QUÊTE en devenant végétal, minéral, objet-robot, angélique-énergétique.
 

Le Synode des Jeunes, c’est constructif (et c’est bien ça le problème…)


 

La pensée franc-maçonne (1 – lumière-tissu ADN puissante, 2 – architecture, 3 – Humanisme ou spiritualisme intégral) est en fête actuellement dans l’Église Catholique. Pendant que le cardinal Sarah est à l’atelier enluminures (chuuut… silence dans les rangs…), pendant que François-Xavier Bellamy sort son nouvel essai Demeure (pour nous expliquer que le « processus » ou la « marche » ou le « changement », sans leur but, sont des concepts modernes creux et totalitaires dangereux : ça vaut bien le coup d’écrire un livre entier là-dessus… surtout pour a fortiori nous mettre en demeure maçonnique lui aussi), pendant que les fileuses en soutane du Padreblog brodent leurs points de croix (certifiés génétiquement catholique : « Nous l’avons souvent dit, l’ADN du Padreblog c’est d’être animé par des prêtres de terrain… »), les évêques et les cardinaux présents au Synode des Jeunes quant à eux se comportent en groupies toutes émoustillées de s’approcher du Pape-célébrité, de jouer les journalistes people privilégiés d’interviewer le Pape François et de prendre l’ascenseur avec lui (36e étage en dessous, s’il vous plaît), et s’extasient de la « force » des échanges et des pré-conclusions du Synode.
 

 

 

Tout, dans leurs discours, est centré sur la Force, la Puissance, l’intensité (électrique), des débats. Et comme pour rassurer tout le monde, alors que la grogne/assoupissement du monde extérieur ne fait que s’amplifier (et pour cause : ils se refusent à parler d’homosexualité), ils nous assurent avec une voix d’hôtesse fleurie que tout va bien, que tout est « serein », qu’ils ont la situation bien en main, qu’il y a de l’action (pour quoi ? on ne le saura jamais… si ce n’est l’action pour la simulation d’écoute, d’admiration, d’émotion, d’émerveillement, de choc et d’empathie. Par exemple, ils ont lancé dernièrement un appel aux jeunes « contempl’actifs » – moi perso je suis plutôt « contempl’-passif » ^^ – : ça me rappelle les slogans vaseux qu’on peut entendre dans le milieu des éducateurs spécialisés « Ne soyez pas consommateurs mais consomm’acteurs ! »).
 

Mais pour l’instant, de l’action, même verbale, concrètement, nous n’en voyons et n’en entendons rien. C’est plus de la posture et du discours constructif maçonnique qu’autre chose. Comment ça, j’exagère ? On en trouve par exemple une parfaite illustration avec les propos du cardinal Gérald Cyprien Lacroix, archevêque de Québec au Canada, qui en une vidéo nous a quasiment servi la totale du discours franc-maçon = lexique de la LUMIÈRE (injection) + culte de l’AMÉLIORATION + métaphore de la CONSTRUCTION (processus, chemin, avenir, travail, planches) + HUMANISME INTÉGRAL (autre nom de la Bête). Sans parler de la démagogie : « Ce Synode est une injection d’Espérance : nous travaillons ensemble pour aider le monde à devenir meilleur, plus juste et plus humain. » En résume, le Synode, ça « boosterait ». Mais en quoi, au juste ?
 

 

En réalité, c’est de la carte postale de travail, de réflexion, d’échanges en Vérité. Pas du travail effectif. Pas de la réflexion constructive. Et ce constat de ma part n’a rien à voir avec l’immobilisme bougon et insultant des adeptes traditionalistes du cardinal Sarah, qui voient dans la vitalité, l’humour, la joie et le changement, des ennemis de l’Église et de la Sainte Doctrine catholique, et dans le modernisme la bête à abattre. Je parle bien du souffle vivifiant et imprévisible de la Vérité, de l’Esprit Saint qui à l’évidence manque cruellement aux échanges synodaux. Le Synode des Jeunes est constructif, et c’est bien ça le problème. Les boas aussi, il y en a des constrictors.
 



C’est pas facile d’être Lyonnais… #Boboland



 
 
 

Nouvelle publicité franc-maçonne de Thalys pour Bruxelles

Belle illustration de l’expansion de la Franc-Maçonnerie dans notre monde à travers cette nouvelle publicité belge de la compagnie ferroviaire de trains Thalys « Parce qu’à Bruxelles, les vrais monuments, ce sont les gens. » La Franc-Maçonnerie (dont les trois champs lexicaux sont la lumière-tissu, l’architecture et l’humanisme intégral) entend transformer tout être humain en bâtiment auto-construit. Et l’humanisme intégral, l’autre nom de la Bête (ce n’est pas moi qui le dis, mais le frère Samuel, exorciste et bénédictin, dans Les Attaques du démon contre l’Église), est au service de la Franc-Maçonnerie.