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« Le Crime de l’Orient-Express » de Branagh : film à la plus grande gloire de l’Antéchrist, et annonciateur de la Fin des Temps

Poirot, le Justicier à la cape noire, et derrière, sa Bête


 

Je reviens d’aller voir « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh. Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est un parfait indicateur de l’imminence de la Fin des Temps, mais également un excellent portrait-robot de l’Antéchrist à travers la figure du détective Hercule Poirot, le justicier gnostique et omniscient :
 

– Comme par hasard, le film démarre à Jérusalem, au Mur des Lamentations (lieu de l’Armageddon final), où se trouvent mis sur le banc des accusés d’un vol de relique (porteuse d’un rubis, placée au Saint Sépulcre) les représentants des trois religions monothéistes du Livre : un rabbin (pour le judaïsme), un prêtre en soutane (pour le catholicisme) et un imam (pour l’Islam). Hercule Poirot, maintes fois appelé accidentellement « Achille » par les personnages du film (comme s’il était un demi-dieu grec), a la tâche de démasquer le coupable de ce vol. Et il désignera finalement le sergent qui lui a confié l’enquête. La caractéristique de l’Antéchrist, c’est qu’il se placera en grand justicier qui épargnera en apparence la forme cultuelle, institutionnelle et rituelle des trois grandes religions mondiales, pour d’une part se désigner un ennemi caricaturalement diabolique (ici, le sergent ; puis Edward Ratchett, l’homme au visage mutilé ; puis enfin l’Humanité pécheresse) qu’il vaincra aux yeux de tous et qui le fera passer pour Dieu, et pour d’autre part écrabouiller secrètement Jésus et l’Église Catholique. Poirot est vraiment présenté comme Jésus lui-même : « Monsieur Poirot, je dois calmer une dispute entre trois religieux. Si vous voulez accomplir un miracle, c’est maintenant. » (Pierre Michel à Poirot). Le début de cette adaptation du « Crime de l’Orient-Express » est une préfiguration de ce qui se passera à la Fin des Temps, à la bataille d’Armageddon qui se déroulera près de Jérusalem, la ville sainte. Jérusalem est l’objet de toutes les convoitises, puisqu’il s’y trouve d’une part le Mur des Lamentations (juifs), l’Esplanade des Mosquées (musulmans) et le Saint Sépulcre (tombeau du Christ pour les catholiques), bref, le Temple de Jérusalem (pour les trois religions). Et l’Antéchrist va arriver en grand ordonnateur pour opérer un soi-disant miracle : celui d’incarner Dieu à la place de Dieu, en séduisant les cultes traditionnels, et en présentant Jésus comme le diable qu’il terrassera en apparences.
 

– Dans le film, il est fréquemment fait référence à l’eschatologie, c’est-à-dire au Jugement Dernier et à la Fin des Temps (sauf que ce jugement est laissé au détective et non à Jésus). « Le monde se dirige vers sa destruction. » (Poirot). Par exemple, M. Bouc annonce à Poirot qu’il va « voir des gens jusqu’à la Fin des Temps ».
 

Ratchett (Johnny Depp)


 

– Hercule Poirot ne se prend pas pour de la merde et n’est pas pris pour de la merde. « Je m’appelle Hercule Poirot. Et je suis sans doute le plus grand détective du monde. » Il se considère comme Dieu. Il voit le monde à l’image de sa propre volonté et de sa connaissance : « J’ai cet avantage de voir le monde tel qu’il devrait être. » Il est même dit que Poirot « voit dans les âmes », est un « détective de génie » (Marie) : « Ça sert à rien de mentir, mon amour. Il peut voir à travers nous. » (Lucy à Serguei en parlant de Poirot) Il se prend pour un grand visionnaire, à l’exactitude mathématique : « J’avais raison dans mes prédictions. » C’est un homme autosuffisant : « Je ne suis jamais mieux que seul. » Il se place en séparateur implacable et méthodique du bien et du mal, sans pardon possible, sans purgatoire : « Il y a un bien, il y a un mal, il n’y a pas de juste milieu. » (Poirot) Il est considéré par le méchant officiel de l’histoire – Ratchett le balafré – comme son Archange : « Je voudrais vous engager pour veiller sur moi. » Non seulement Poirot ne l’aidera pas, mais il laissera faire le meurtre de cet homme par personnes interposées. Ratchett incarne la caricature du mal, avec ses « péchés mignons », et qui sera punie. Mais le véritable Antéchrist, c’est le mal déguisé en vérité, à savoir l’Hercule Poirot de ce film, qui se sert de sa lutte contre un diable fantasmé, pour finalement devenir secrètement ce diable au-dessus de tout soupçon : « On dit des mensonges. Deux personnes s’en rendront compte : votre dieu et Hercule Poirot. » (Poirot) Il est Lucifer, un ange de lumière qui brille par son intelligence et sa connaissance (gnose), à défaut de briller par l’amour de Jésus : « Vous êtes un homme terriblement brillant. » (Caroline Hubbard à Poirot) C’est l’apôtre de l’espoir (« Avec l’espoir au cœur » dit-il), du rationalisme (« J’ai placé un fol espoir sur l’ordre, la méthode et les petites cellules grises » rajoute-t-il), de l’équilibre (« Il me faut apprendre avec le déséquilibre… » concluera-t-il, la mort dans l’âme), de la connaissance absolue et arithmétique (« J’ai toujours été sûr. Trop sûr. Et maintenant, j’ai honte, tel un petit enfant : je ne sais pas. »), de la conscience (« Où est la conscience, alors ? »), de la vérité vraie (« Bouc peut mentir. Moi, je ne peux pas. »), de la paix (à défaut de la paix de Jésus : « Puissions-nous trouver la paix. »).
 

– L’Antéchrist est cet homme qui s’absout et se culpabilise lui-même, en se rendant détenteur de ses péchés au lieu de les laisser à Jésus. À ce titre, le docteur Arbuthnot imite Poirot : « Mes péchés sont les miens. Et je les paierai seul. »
 

– Bouc est l’assistant de Poirot. Un nom pareil, ça ne s’improvise pas ! Le bouc est l’animal traditionnel du diable.
 

– La Bête de l’Apocalypse est parfois visible dans le film : c’est le dragon du kimono rouge, ou bien encore le train. D’ailleurs, Hercule Poirot incarne cet esprit maléfique habitant le robot d’acier : « Je sens quelque chose de malfaisant dans ce train. » (Poirot)
 

– On retrouve dans ce film le jargon classique de la Franc-Maçonnerie : lexique de la lumière et de l’alchimie (« Vous règlerez la flamme maintenant. » dit Poirot à Bouc ; « On cherche la vérité de l’intérieur et non de l’extérieur. », Poirot), lexique de l’architecture (« Pour bien sonder la nature humaine, il faut les bons outils. » déclare Poirot), lexique de l’humanisme intégral (progressiste et mélioratif : « Nous devons être meilleurs que les bêtes. », Poirot), lexique du superprimitivisme (ex : Ratchett est antiquaire ; et tout le film est placé sous le sceau de l’archéologie).
 

– Le personnage qui a tout manigancé pour tuer Ratchett, c’est la Veuve (Michelle Pfeiffer). Et comme par hasard, le Fils de la Veuve est le mythe fondateur de la Franc-Maçonnerie, comme l’explique parfaitement Jean-Claude Lozac’hmeur. « C’est elle, Lucifer, et nous devons tomber. » (Pilar).
 

– Hercule Poirot est fasciné par la division… tout comme le Diviseur. « J’ai touché du doigt la fracture de l’âme humaine. » Il s’attache à prouver l’ambiguïté paradoxale du mal, sa fêlure, sans pour autant la guérir. Il est irrésistiblement aspiré par le génie des grands criminels, au point de compatir/louvoyer avec lui.
 

Les 12 disciples… mais pas du Christ


 

– À l’issue du film, Poirot est le diable conviant à sa table ses 12 disciples (comme une Sainte Cène inversée), qui sont tous des assassins qu’il finit par absoudre de leur crime collectif. « Il y avait le bien. Il y avait le mal. Maintenant, il y a vous. » (Poirot à toute sa petite cour de criminels archétypaux sans identité et sans psychologie, cour qui échappera à sa justice divine) ; « Il n’y a pas d’assassins ici. » (idem).
 

– Poirot représente véritablement l’Antéchrist dans la mesure où il est cet Ambassadeur de la justice sans amour. D’ailleurs, à la fin, il quitte l’Orient-Express sans avoir rendu service à la Vérité et sans avoir fait appliquer la justice. Les criminels se séparent de leur gourou flegmatique et muet à propos du meurtre réel qui a été commis : « Vous êtes le seul à pouvoir apporter la justice. » (Bouc à Poirot)
 
 

« Le Crime de l’Orient-Express », même si c’est un mauvais film, est très instructif. Je ne suis pas sûr que beaucoup de spectateurs allant le voir identifieront le sous-texte antéchristique, franc-maçonnique et eschatologique. Beaucoup n’y verront qu’une énième adaptation « class » de l’œuvre d’Agatha Christie. Mais je m’adresse aux autres – aux non-snobs – et aux croyants en Jésus. Car Jésus n’a jamais été aussi proche, et autant annoncé par les œuvres cinématographiques les plus anodines qui soient.
 

Qui a écrit le discours du Pape François sur l’Europe ?


 

Qui écrit les discours papaux ? Parce que là, le Pape doit se réveiller sérieusement car il marche à la botte des francs-maçons de la Curie.
 

Je me penche par hasard sur le discours du Pape François, donné il y a 3 jours, devant la COMECE (Commission des Épiscopats de la Communauté Européenne) et juste après le cardinal Marx (ça ne s’improvise pas, un nom pareil… ! En plus, ce cardinal applaudit Emmanuel Macron, et est lui-même applaudi par les journalistes « chrétiens » francs-maçons tout droit sortis des écoles d’ingénieurs des Arts et Métiers… : tout va bien). Et franchement, vous voulez mon ressenti profond ? Je suis affolé. J’espère que ce n’est pas le Pape en personne qui rédige ses discours. Ou alors on est mal. Je crois plutôt que ce sont les cardinaux les plus francs-maçons qui soient qui les lui pondent… et que le Pape, pour l’instant, ne tilte pas. J’ai écrit, dans mon dernier livre Homo-Bobo-Apo : « Le Pape François continuera à diriger tant bien que mal l’Église. À un moment donné, il se laissera piéger par les traîtres qui l’entoureront et prendra une mauvaise décision. J’ai appris par une personne en odeur de sainteté, que prochainement, la très grande majorité des évêques allait signer un contrat avec le Gouvernement Mondial… et que seuls deux ou trois d’entre eux auront la force de s’y opposer. Le Pape finira par s’en rendre compte et cherchera à faire marche arrière. » (p. 308) Je ne pensais pas que ce serait si vrai si vite !
 

 

 

 

 

J’ai lu en entier son 5e discours du 28 octobre dernier, et ce qui ressort, c’est qu’il emprunte tout le lexique de la Franc-Maçonnerie. Il faut savoir que la Franc-Maçonnerie mondiale appuie son idéologie de la construction, de l’amélioration et du Salut de l’Homme par Lui-même et par ses propres actes de solidarité, sur 3 lexiques principaux : la lumière, l’architecture (construction) et l’humanisme intégral (les valeurs du Christ sans le Christ). Dans le récent discours du Pape, c’est un festival franc-maçon :
 

Il emploie (j’ai compté) 10 fois le verbe « construire ». Rien que ça… (« se construiront », « construit », « construire », « contribuer à construire » « un lieu de dialogue, à la fois sincère et constructif » « le rôle positif et constructif de la religion », « constructif », « Dans un cas, on détruit les ponts et dans l’autre, on construit des murs », « la construction d’un monde toujours plus humain », « construisent les maisons ».
 

Le Pape parle Lumières. Il appelle à « éclairer la voie de l’avenir de l’Europe ». Le champ lexical de la lumière et du tissu, comme je l’écris dans mes livres sur la Franc-Maçonnerie, vont souvent de pair : « Sans éducation, la culture ne se forme pas et le tissu vital des communautés se dessèche. »
 

Le Pape centre tout son discours sur l’Homme et ses valeurs humanistes, sans jamais parler de Jésus (L’humanisme intégral, je le rappelle, est l’autre nom de la Bête de l’Apocalypse) : « défis », « processus » ; « valoriser les différences », « œuvrer pour promouvoir la personne humaine dans sa perfection, ainsi que pour assurer le bien de la société terrestre et la construction d’un monde toujours plus humain » ; « ‘Développement’ est à entendre dans le sens que le bienheureux Paul VI a donné à ce mot : ‘Pour être authentique, il doit être intégral, c’est-à-dire promouvoir tout homme et tout l’homme.’ » ; « Ce qui compte pour nous, c’est l’homme, chaque homme, chaque groupement d’hommes, jusqu’à l’humanité tout entière. », « développement humain »,
 

Le Pape dit des phrases au mieux apprises, au pire incompréhensibles : « Personne et communauté sont donc les fondements de l’Europe que, en tant que chrétiens, nous voulons et pouvons contribuer à construire. Les pierres de cet édifice s’appellent : dialogue, inclusion, solidarité, développement et paix. » ; « Être dirigeant exige des études, de la préparation et de l’expérience. » ; « Redevenir une communauté solidaire signifie redécouvrir la valeur de son propre passé, pour enrichir le présent et transmettre à la postérité un avenir d’espérance. » ; « [Nous devons] affirmer le droit à la paix. C’est un droit. » (Depuis quand la Paix est un « droit » ?) ; « Être artisans de paix signifie se faire promoteurs d’une culture de la paix. Cela exige l’amour de la vérité, sans laquelle il ne peut y avoir de relations humaines authentiques, la recherche de la justice, sans laquelle l’oppression est la norme prédominante dans n’importe quelle communauté. » ; « La paix exige de la pure créativité. » ; « avoir le courage de travailler pour poursuivre pleinement le rêve des Pères fondateurs d’une Europe unie et unanime, une communauté de peuples désireux de partager un destin de développement et de paix. » ; « En ce temps, les chrétiens sont appelés à redonner une âme à l’Europe, à réveiller sa conscience, non pas pour occuper les espaces – ce serait du prosélytisme – mais pour encourager les processus qui créent de nouveaux dynamismes dans la société. » (Un carambar pour celui qui est capable d’interpréter le sens de cette phrase ! Et le mot « processus » est la ritournelle du Gouvernement Mondial) ; « changer le monde ».
 

On retrouve dans le discours papal tout le lexique des architectes : « (Re)penser l’Europe. Une contribution chrétienne à l’avenir du projet européen » ; « modelées » ; « civilisation » ; « ruines » ; « ville » ; « Empire » ; « l’édification commune » ; « Nous sommes appelés à édifier une Europe dans laquelle on peut se rencontrer et échanger à tous les niveaux » ; « polis » ; « ériger » ; « Œuvrer pour une communauté inclusive signifie édifier un espace de solidarité. » ; « transmettre aux jeunes les instruments matériels et culturels pour affronter l’avenir », « tâche », « développement des civilisations » ; « travail », « se renouveler » ; « construire » ; « inventif », « construisent les maisons », « fondamentales », « travailleurs », « entreprise », « ressort », « développement », « œuvrer », « travailler », « fondateurs de l’Europe » ; « les travaux ». Il ne manquait plus que le mot « chantiers » et la boucle était bouclée !
 

Il est question à deux reprises d’un « cercle », comme s’il se fondait une petite loge. Sans compter les occurrences du mot « communauté » : « appartenance à une communauté »
 

Même saint Benoît est transformé par le Pape en Grand Architecte ! : « Saint Benoît a été messager de paix, artisan d’union, maître de civilisation. »
 
 

 

Bref, ce qui est appelé une « contribution des chrétiens » (mot répété 4 fois) est en réalité une véritable collaboration avec le Gouvernement Mondial, avec la Franc-Maçonnerie (basée sur l’humanisme intégral, la communication et la solidarité). Et la majorité des prêtres européistes – et inconsciemment francs-maçons – jubile. Mon Dieu, réveillez-nous de ce cauchemar dans lequel nous rentrons. Moi, j’appelle le Pape ou les cardinaux qui le côtoient (les rares qui sont honnêtes) à se réveiller sérieusement et à arrêter de se laisser manipuler.
 

 

Macron parlant aujourd’hui au Conseil de l’Europe de la « démocratie par le Droit » et qui présente Pierre-Yves Leborgn, Commissaire des Droits de l’Homme, comme un « véritable pèlerin ».

Voyage astral final


 

Je vous ai prévenu depuis longtemps que le rond, le triangle, le carré et le X sont les quatre figures géométriques employées par la Franc-Maçonnerie actuelle et le Gouvernement Mondial Antéchristique pour assurer le voyage astral de l’Humanité vers sa perte. Je ne suis pas fou.
 

Et ce soir, c’est un nouvel épisode sur Joséphine Ange Gardien qui va parler comme par hasard de l’Égypte et nouvelles technologies. Mimi Mathy, c’est vraiment la pute du Système. Je vais écrire un article sur les deux derniers épisodes de Joséphine.
 

« L’esprit constructeur »


 

J’ai vu la pièce Pour l’Amour de Simone au théâtre du Lucernaire : aube, lune, voleurs, inceste, Liaisons dangereuses… Tout est reporté dans mon Dictionnaire.

 

J’ai depuis deux semaines le grand privilège de retourner au théâtre à Paris. Ça faisait une éternité ! (alors qu’à une époque, je m’y rendais plusieurs fois par semaine parfois). Une amie m’offre régulièrement des places gratuites. Ça m’avait manqué. C’est un vrai plaisir. D’autant plus qu’il y a au théâtre une densité de messages quand, au cinéma, ils sont considérablement appauvris.
 

Concernant Pour l’amour de Simone, biopic dédiée à Simone de Beauvoir, abstraction faite que c’est une pièce pédante et narcissique de libertins bovarystes et bisexuels inquiétante pour notre époque (nos contemporains ne croient plus en l’Amour), le plus fascinant, c’est que dès les 3 premières minutes, la Franc-Maçonnerie contemporaine qui s’ignore s’est dévoilée et a balancé inconsciemment son programme : différence des sexes flinguée (on nous met un extrait d’interview où Beauvoir déclare que la sexuation femme n’existe pas), différence Créateur-créatures flinguée (l’incipit de la pièce présente Beauvoir comme le castor, un animal qui aime « vivre en bande » et « à l’esprit constructeur » : exactement le jargon maçonnique). Aller au théâtre ou au cinéma, c’est être aux avant-postes des Fins dernières.

Bienvenue en Franc-Macronnerie !

 

Très intéressante, cette soirée d’inauguration de l’université de starts-up Station F » animée par Macron :

 

La mairesse de Paris, Anne Hidalgo, a insisté sur « l’optimisme et l’espoir » (les deux mots d’ordre du boboïsme) et veut faire de l’« apprentissage du code » aux élèves la priorité future de l’Éducation Nazionale.
 

L’encodage, c’est vraiment le travail d’écriture. D’écriture numérique. Dans le discours des transhumanistes, il s’agit pour chacun d’entre nous de graver ad vitam aeternam sa signature ou son nom codé sur le registre qu’est la Blockchain. Or, qui écrit sur le marbre ou sur les Tables de la Loi, sinon Dieu et ses prophètes ? Les francs-maçons technologistes mettent beaucoup l’accent sur l’écriture (le fait d’écrire). Ils emploient très souvent les expressions « écrire sa vie », « graver sa propre empreinte », « inscrire son nom dans l’Histoire », « se tatouer », « faire des hiéroglyphes », « calligraphier », etc. D’ailleurs, beaucoup de Doodle Google représentent un scribe muni d’un crayon ou d’un graveur.
 

Doodle Google du 30 juin 2017 : quand on parle du loup !


 

Pendant la soirée, les deux lexiques de la Franc-Maçonnerie, à savoir l’architecture et la lumière, étaient présents : « Comment ne pas remercier l’Architecte qui fait cet événement ? Jean-Michel Wilmotte. » (Roxanne Varza)

 

Quant à Macron, il ne parle pas de Dieu mais d’un « esprit » : « Ce qui nous rassemble, c’est cet Esprit entreprenarial. »

 

Bienvenue en Franc-Macronnerie !

Visite de Poutine à Versailles : un choix anodin de Macron ? Pas du tout : un calendrier et une mise en scène typiquement francs-maçons


 

Le président Emmanuel Macron ne choisit jamais les lieux où il s’expose médiatiquement par hasard (on a pu s’en rendre compte lors de son discours du Louvre). Son agenda est particulièrement franc-maçon. Aujourd’hui, il a choisi de rencontrer le dirigeant russe Vladimir Poutine à Versailles… pile 300 ans après la visite diplomatique du tsar russe Pierre Legrand à Versailles en 1717, année de naissance de la Franc-Maçonnerie moderne. Coïncidence ? Difficile à croire. Même si les mass médias et nos contemporains ne parleront jamais de la grille franc-maçonne que suit Macron, elle est bien là.

Depuis ce matin, c’est le Festival de la Franc-Maçonnerie offert par le Gouvernement Macron ! (et personne ne dit rien, parce que « c’est complotiste »)

 

C’est un festival de la Franc-Maçonnerie depuis ce matin, ma parole ! (depuis la prise de parole de Cédric Villani sur l’Intelligence Artificielle)

 

La nouvelle est tombée et apporte de l’eau à mon moulin sur les liens entre Franc-Maçonnerie et homosexualité (Il me semblait bien qu’il y avait un truc derrière cet enterrement fastueux) : Xavier Jugelé, le policier homo tué le mois dernier aux Champs Élysées, allait rentrer en Franc-Maçonnerie.
 

Par ailleurs, en plus du Figaro Madame de ce matin, qui baptise le président de « Tailleur Macron » (cf. j’ai tout un chapitre sur le tailleur de pierre ou de tissu dans mon prochain livre ; depuis ce matin, ils ont modifié le titre), voilà que le Figaro classique continue dans l’exploitation des deux champs lexicaux de la Franc-Maçonnnerie (lumière + architecture) puisqu’il titre un article : « Macron : le Bâtisseur ». Qui dit mieux ?
 

 

« Qui dit mieux ? » Eh bien le blog Témoignage Chrétien : « Macron saura-t-il recoudre de manière nouvelle un tissus démocratique déchiré ? »
 

 

Enfin, je suis de plus en plus sidéré de voir la complaisance des catholiques face à Macron. Ils ne voient pas le danger, relativisent leurs peurs, se disent que finalement il est beau et bien. J’ai même entendu des prêtres affirmer que le jour de la passation des pouvoirs (dimanche dernier, 14 mai) était « important » (moi, j’aurais dit « grave », mais bon…), qu’il allait être un bon président parce que « nous allions prier pour lui », et qu’il n’était pas loin de la foi « parce qu’il a étudié Paul Ricoeur ». Non mais sans déconner. Il ne leur en faut pas plus pour que Macron soit en odeur de sainteté. Pauvre Église de France ! Elle laisse la place à d’autres religions païennes.
 

 

 

Allez, on finit sur un beau triangle maçonnique digital collectif « pour les J.O. » !
 

Cédric Villani ou Vilainie ?


 

Alors là, je suis sur le cul. Dans cette vidéo, Cédric Villani, pseudo « mathématicien », et futur ministre du Gouvernement (ben ouais), promeut ouvertement l’Intelligence Artificielle, pour la démystifier, nous rassurer… et surtout nous infantiliser (Chantal Goya dixneuvièmiste « victorienne »), mais avec le discours franc-maçon positiviste des Illuminati. C’est dingue, la fulgurance et la rapidité avec lesquelles le Gouvernement Mondial dégaine : ils y vont, et ils annoncent cash leur projet. Et comme les gens ne sont globalement pas informés du danger de l’IA, ils vont gober le conte technologiste sans broncher. Alarmant. Vite que mon bouquin sorte ! (j’y parle abondamment de l’IA et de la Blockchain)
 

P.S. : Je viens de remarquer que Villani arbore une petite araignée en broche. Copiteur !!!^^

Le Grand Palais et M Pokora roulent (comme des « pierres vivantes ») pour le satanisme franc-maçon


 

Je me rends cet après-midi au Grand Palais, à la conférence sur les gemmes (vous savez, les pierres précieuses multi-facettes telles que le diamant, le saphir, le rubis et l’émeraude). De quoi agrémenter le prochain chapitre de mon livre sur les « pierres vivantes » et le cube, car les francs-maçons sont maintenant en train de nous faire croire que l’être humain est matière cubique divine et dorée, est une pierre vivante divine et cosmologique qui possèderait une énergie et des vertus cosmiques/magiques/curatives propres. Je cite le prospectus du Grand Palais : « En Inde, les bijoux ne sont pas de simples ornements, de simples parures : en raison de l’origine mythique et des vertus talismaniques de l’or et des gemmes qui les constituent, ils sont perçus comme un microcosme de l’univers – un royaume métaphysique ». En gros, selon eux, la pierre serait un concentré métonymique de l’homme angélique cosmique et lumineux (luciférien). Un ange de transparence irradiante. J’avais déjà, dans mes études sur l’homosexualité, décrit depuis bien longtemps le diamant comme une métaphore courante du diable dans la fantasmagorie homosexuelle (cf. le code « Homme invisible » de mon Dictionnaire des Codes homosexuels). Et comme par hasard, on retrouve autour de cette spiritualisation actuelle des pierres exactement le jargon et les outils de la sorcellerie sataniste New Age : ils nous parlent des gemmes, des amulettes et des talismans : carrément. Et les francs-maçons sont fans de la Pierre philosophale, qu’ils décrivent comme un « Moi intérieur ». Je vais bien m’amuser !
 

Le diamant d’« innocence » est l’âme ou le coeur livré(e) au diable


 

Par ailleurs, et au passage, je ne sais pas si vous avez remarqué la tenue du coach M Pokora pour les battles de The Voice 6, mais c’est une vraie profession de foi païenne : Matt porte un blouson bomber en satin noir avec des détails pailletés Yves Saint-Laurent : un graphisme de diamant (une gemme rose), un lettrage « Oh Dear » (cube entouré de pyramides) et un lettrage « Never Say Never » (une revendication de la désobéissance), et un quasi rainbow flag (une revendication de l’hétérosexualité bisexuelle). Réveillons-nous avant que l’Antéchrist transforme notre coeur de chair en coeur de pierre.