Vaccination anti-COVID : exacte illustration du matérialisme chez nos contemporains


 

En ce moment, je me sens bien seul concernant la vaccination contre la COVID. À Cholet (où j’ai passé quelques jours), j’étais le seul à la refuser. Que ce soit avec les voisins de mon ancien quartier, ou bien avec les paroissiens de l’église de mon enfance (où presque la totalité des vieux se sont faits vacciner), j’entendais qu’ils étaient tous pro-vaccination. D’ailleurs, ils sont quasiment tous vaccinés. Et ceux qui ne l’étaient pas comptent bien l’être au plus vite.
 

Et vu qu’ils ne savent rien ni du virus ni du vaccin qui leur est inoculé, ils ne peuvent que mettre en avant leurs bonnes intentions (« C’est pour la collectivité. » « C’est pour protéger les autres. » « C’est une démarche solidaire. », « C’est pour sauver les autres. », « C’est pour en finir une bonne fois pour toutes avec cette pandémie », blabla) : sinon, ils n’ont aucune argumentation.
 

Personne ne voit la vaccination comme ce qu’elle est (une thérapie génique massive). Personne ne voit que ce vaccin va devenir un danger mortel pour les personnes vaccinées, non en lui-même, mais dans la réponse immunitaire qu’il occasionnera, ou bien dans la fragilisation qu’il engendrera quand arriveront des mutations plus graves du virus.
 

Et le pire, c’est que si tu ne vas pas dans leur sens, ces paranoïaques hypocondriaques trouvent le moyen de dire que c’est toi le parano (parce que tu aurais peur d’un vaccin « inoffensif ») ! C’est le Monde à l’envers !
 

Même pendant l’homélie de la messe de ce matin à l’église saint Louis, qui pourtant dénonçait les trafics et les commerces inhumains (en se servant du texte du jour où Jésus chasse violemment les marchands du Temple), ils ont trouvé le moyen de justifier la vaccination en disant que « c’était malheureux que notre Monde ne soit pas suffisamment solidaire et que tous les êtres humains ne puissent pas avoir accès au vaccin »… alors que l’injustice et le vrai business, c’est justement le vaccin ! ; et les nouveaux matérialistes, esclaves et corrompus au Système marchand des Big Pharma, ce sont précisément eux !
 

Ce qui me frappe dans cette histoire, c’est le matérialisme (en plus de la lâcheté et de la peur) qui se cache derrière la justification du vaccin. J’ai remarqué que plus les gens sont matérialistes, plus ils se font vacciner et voient le vaccin comme le Sauveur qu’Il n’est pas, comme une manière de conjurer leur esclavage inconscient au matériel et à l’argent ; et qu’en revanche, moins les personnes sont attachées au matériel ou éloignées des autres et de Dieu, plus elle ouvrent les yeux sur le danger (invisible) que constitue ce vaccin, et le refusent. Le vaccin anti-COVID est, à mon avis, le reflet de deux réalités injustifiables : la peur et le matérialisme.
 

La preuve que le Gouvernement Mondial a choisi comme stratégie de soumission d’aligner le vaccin avec le matérialisme pour qu’ils se renforcent/se justifient l’un l’autre, et pour les rendre tous deux indispensables voire divins, c’est qu’il a supprimé de manière totalement injustifiée tous les plaisirs matérialistes et consuméristes rebaptisés « la vie d’avant » (théâtres, cinémas, restaurants, concerts, grands magasins, boutiques, sports…) tandis qu’il a laissé comme par hasard l’exercice des cultes religieux donc ce qui n’est pas matérialiste (alors qu’il n’y a pas grande différence – au niveau des risques encourus – entre une assemblée dominicale et l’assistance à un spectacle ou à la projection d’un film dans un ciné : pourquoi, dans ce cas-là, avoir laissé les messes et interdit les loisirs, si ce n’est pour des raisons d’idolâtrie et de dépendance matérielle ?). Et ce Gouvernement Mondial savait que nos contemporains sont soumis au matérialisme, dépendants de l’argent, agrippés à leur petit confort, à leur pain et à leurs jeux, donc que pour cette raison (et non pour une question de vie ou de mort : nos contemporains ne veulent pas du vaccin pour ne plus mourir – comme ce fut peut-être le cas lors du premier confinement – mais uniquement pour retrouver leur vie matérialiste d’avant), ils demanderaient unanimement le vaccin. Le vaccin est le prix à payer pour retrouver leur dieu Mamon ou « Matérialisme ». Seuls les pauvres et ceux qui ne sont pas dépendants des biens matériels, qui ne sont pas des adorateurs des plaisirs et de l’argent, refusent le vaccin. C’est donc bien que le vaccin est un signe intérieur inconscient d’avarice.