Homélie magistrale sur la Résurrection par le père Thierry Avalle (le 18 avril 2021, à l’église saint Nicolas des Champs, à Paris)


 

Voici l’homélie que j’ai eu le privilège d’écouter en direct à la messe de 11h de saint Nicolas des Champs, par le père Thierry Avalle, à propos du texte du jour (Luc 24, 37-48) que je vous mets juste en-dessous. Elle nous montre combien nous sommes encore loin de comprendre ce qu’est la Résurrection de Jésus.
 

Ça nous change des 3/4 des homélies creuses des prêtres qu’on entend habituellement, et qui parlent pour ne rien dire. Là, en 9 minutes, pas une phrase de trop. J’étais sidéré. Je me prenais des claques d’Amour à chaque seconde. Merci père Thierry ! (Il y a juste sur la fin que j’ai un petit point de désaccord : je crois qu’à la Fin des Temps, comme le dit l’Apocalypse en 1, 7 : « Voici Il vient avec les nuées et tout œil le verra, et ceux mêmes qui l’ont percé ; et toutes les tribus de la Terre se frapperont la poitrine à cause de lui. » : la Résurrection se fera manifeste pour tous, et vraiment tous!).
 

« En ce temps-là, les disciples qui rentraient d’Emmaüs racontaient aux onze Apôtres et à leurs compagnons ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain. Comme ils en parlaient encore, lui-même fut présent au milieu d’eux, et leur dit : ‘La paix soit avec vous !’ Saisis de frayeur et de crainte, ils croyaient voir un esprit. Jésus leur dit : ‘Pourquoi êtes-vous bouleversés ? Et pourquoi ces pensées qui surgissent dans votre cœur ? Voyez mes mains et mes pieds : c’est bien moi ! Touchez-moi, regardez : un esprit n’a pas de chair ni d’os comme vous constatez que j’en ai.’ Après cette parole, il leur montra ses mains et ses pieds. Dans leur joie, ils n’osaient pas encore y croire, et restaient saisis d’étonnement. Jésus leur dit : ‘Avez-vous ici quelque chose à manger ?’ Ils lui présentèrent une part de poisson grillé qu’il prit et mangea devant eux. Puis il leur déclara : ‘Voici les paroles que je vous ai dites quand j’étais encore avec vous : “Il faut que s’accomplisse tout ce qui a été écrit à mon sujet dans la loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes.”’ Alors il ouvrit leur intelligence à la compréhension des Écritures. Il leur dit : ‘Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait, qu’il ressusciterait d’entre les morts le troisième jour, et que la conversion serait proclamée en son nom, pour le pardon des péchés, à toutes les nations, en commençant par Jérusalem. À vous d’en être les témoins.’ »

Plaidoyer personnel en faveur de Fabien Lecœuvre (N’en déplaise au chœur braillant et hystérisé des indignés de la chanteuse Hoshi)


 

Je réécoute les propos du journaliste Fabien Lecœuvre concernant la chanteuse Hoshi. J’essaie de comprendre pourquoi ils ont déclenché une telle levée de boucliers, une telle vague d’offuscation… car objectivement, ils n’ont rien de choquant ni de faux. Un chroniqueur musical a quand même le droit de donner son avis et ses goûts, a aussi le droit de parler de sexualité et de beauté à l’antenne, sans déclencher une Intifada contre lui, sans se faire insulter de tous les mots, sans se faire traîner en procès d’ignominie, d’attaque de personne, et de sexisme (D’ailleurs, quand on y réfléchit de plus près, qui sont les sexistes dans cette controverse ? On est en droit de se le demander, quand on voit comment les féministes gays friendly et misandres se sont emparées du débat pour hyper-viriliser/patriarcaliser/hétérosexualiser l’affaire… alors que Lecœuvre, avant d’être un mâle, est et s’est exprimé en tant qu’être humain).
 

Ce qui me frappe dans ce buzz victimisant – dont Hoshi et ses producteurs se frottent secrètement les mains car il n’y a pas meilleur campagne de pub que d’apparaître comme une victime qu’on aurait attaquée injustement sur son physique ou son handicap -, c’est d’une part la démission intellectuelle et l’irrationnalité de beaucoup de nos contemporains (car si vous réécoutez la séquence de la chronique de Fabien Lecœuvre, il n’a jamais – contrairement à ce que prétend malhonnêtement Hoshi pour manipuler son auditoire – attaqué Hoshi sur son physique : il a parlé de beauté, de canons de beauté universels, d’attitudes, de séduction, de manière de se présenter et d’attirer, de grâce, d’élégance ; jamais du corps ni des personnes en tant qu’êtres), et d’autre part du pouvoir aveuglant de l’indignation collective (Comme disent Élisabeth Lévy et Philippe Murray dans Homo-Festivus, pour empêcher le Peuple de penser, on le prend par les émotions et on le pousse à surréagir en « cachant l’objet d’indignation par l’indignation elle-même ». Dans l’Affaire Hoshi, les gens n’écoutent plus les propos objectifs de Lecœuvre mais préfèrent écouter le concert assourdissant de leur propre indignation/offuscation – « Chuis trôôôp chôquéé!! Toi aussi?!? » – ainsi que l’entrechoquement des indignations entre personnes qui pensent pareil – pour s’y contempler narcissiquement et jouir de leur révolte disproportionnée).
 

Un troisième détail louche m’interpelle dans cette histoire (histoire un peu trop vite classée et artificiellement conclue par la formulation forcée publique de plates excuses de Fabien Lecœuvre sur Twitter pour éteindre l’incendie qu’il aurait allumé : je dis bien « qu’il aurait », car on se rend compte que le pompier pyromane de l’affaire, c’est Hoshi, qui rêve que le feu de cette fausse polémique ne s’éteigne jamais… contrairement à ce qu’elle dit), c’est ce réductionnisme de la beauté et même de la sexualité à l’individu. Quel égocentrisme et quel orgueil, quand on y pense! Pourquoi réduire automatiquement/hystériquement, comme le font Hoshi et ses défenseurs, la beauté au physique (si ce n’est précisément dans une optique victimisante et idolâtre de personnification de la beauté, pour ensuite y voir une attaque de personne dès que cette beauté est remise en cause, ou bien pour y voir absolument une attaque personnelle qui n’existait pas, puisque Fabien Lecœuvre parlait de l’attitude, d’une manière de se présenter et de se comporter, parlait « du beau » dans sa dimension universelle, sensuelle et érotique, parlait aussi de sa nostalgie de la différence des sexes et de sa crainte – légitime quand on voit la nouvelle génération de chanteuses bis-homos agressives et sans grâce que Hoshi comme par hasard cite en fin d’interview : Angèle, Pomme, Yseult, Christine and the queens, etc. – de voir cette différence des sexes défigurée et asexualisée par un courant artistique queer dark visant l’asexuation et l’extinction du beau désir entre l’homme et la femme, désir qui passe aussi par la musique)?
 

Oui. Vraiment, dans cette guerre contre Fabien Lecœuvre, je vois bien autre chose qu’une lutte pour défendre les gens différents attaqués sur leur physique. J’y vois une attaque contre les hommes (misandrie) et contre la différence des sexes (attaque que Fabien Lecœuvre a tenté maladroitement de dénoncer en s’aventurant sur le thème de la beauté… dans un Monde qui vénère désormais davantage la laideur et la violence). J’y vois une promotion cachée de la pratique homo et de l’« identité » homo. Bravo Fabien Lecœuvre. Pardon pour le monceau d’insultes que les cons gays friendly déversent en ce moment sur vous (et c’est moi, une personne homosexuelle, qui vous le dis!). Pardon d’avoir été suspendu d’Europe 1 (pardon pour les flipettes qui dirigent cette radio)*. Et courage. Le cœur (Lecœuvre) y est ;-).
 

 
 
 

N.B. : Je parle que maintenant, quand vous osez médiatiquement tenir un discours universaliste sur la sexualité, vous perdez votre boulot : c’est mon cas ; ce fut presque le cas de Cyril Hanouna lors de son canular sur l’homosexualité ; ce fut le cas du caricaturiste Xavier Gorce, viré du journal Le Monde juste pour un dessin associant transsexualité et souffrance ; et tant d’autres exemples ignorés du grand public.

Aclaración sobre el título « Las Locas de Dios » / Précisions sur le titre « Les Folles de Dieu » / Einzelheiten über den Titel « Die Tunten Gottes » / Precisazioni sul titolo « Le Pazze di Dio »


 

Ya sé que el título « Las Locas de Dios » puede molestar, parece inútilmente controversial. Pero no es provocativo como parece, ni insultante. Traduce una voluntad de abarcar a TODAS las personas homosexuales, incluso a las que todos marginan, es decir a las afeminadas, a las prostitutas, a las trans, a las que hacen maneras o comedia, a las que no son política/social/homosexual/eclesialmente correctas (En el « ambiente homo », se odia literalmente a las « locas »). Nosotros queremos acoger a TODOS los miembros de nuestra familia. Claro, hubiéramos podido escoger un título más liso y serio (« Homosexualidad y Fe », « Homosexuales y Católicos », o « Homosexualidad y Verdad »). Hubiera sido más fácil, ¡ en particular para Gerson en Perú, y para los Latinos del grupo ! (Solo a causa de este título, ¡ Gerson recibió cartas de insultos por parte de sacerdotes peruanos !). Este titular desata y revela la homofobia de los que no aman a todas las personas homosexuales, y que odian por ejemplo las Marchas del Orgullo y toda la « cara oscura » del mundo homo, despierta la homofobia de los que quieren « cambiarnos » y que sueñan con una comunidad homosexual lisa, « respetable », invisible, y que ya no se sentiría homosexual. Pero por otro lado, ese título me parece realmente perfecto (aunque sea una Cruz desde la perspectiva social) porque brinda paradójicamente mucha Paz, marca humor (para un tema que generalmente se aborda de manera trágica, miserabilista, triste : « Las Locas de Dios » nos saca del registro medical o del registro religioso y legal), y relaja a muchísimas personas, en particular a las que se alejaron de la Iglesia Católica (porque ven que sabemos reírnos de nosotros y de nuestra imagen, y que sabemos acoger e identificarnos incluso a los « maricas » y a todos « los » homosexuales). Y finalmente también relaja a todos los católicos tentados de despreciarnos porque nos hubiéramos presentado pretenciosamente como « puros », como « vírgenes vestales » (que no somos : por ejemplo, actualmente, Guillaume, desgraciadamente, rueda películas pornos…), como hipócritas « modelos de virtud » intachables. La auto-burla, además de liberar de sus complejos a la gente herida, puede ser una forma de humildad y de juego : nos ensuciamos… para poder alcanzar a todos. De todas formas, las personas que se detienen en el título de nuestro documental – y solo a causa de este – no hubieran abierto más su corazón a las personas homosexuales viniendo con un título más suave, más científico (« AMS », o « SSA »…) y menos sulfuroso, partiendo de la idea de que « de la homosexualidad, no se habla » puesto que no es una identidad, que a la homosexualidad « no se tiene que justificar », y de que « se sana », « puede desaparecer » y « no existe ». Así que no nos arrepentimos ^^. Y asumimos la guerra interior que puede despertar este título (guerra que se llama « homofobia »). Yo creo que éste brinda mucha Paz, y desactiva todos los ataques que los « gays friendly » (enemigos de la Iglesia) y que los católicos « progres » podrían hacernos. Y permite hacer resaltar la homofobia de los católicos conservadores que no quieren amar a todas las personas homosexuales.
 

Je sais bien que le titre « Les Folles de Dieu » peut gêner, voire sembler inutilement polémique. Alors qu’en réalité, il n’est ni racoleur ni provocateur comme il paraît, ni même insultant. Il reflète au contraire une volonté d’embarquer TOUTES les personnes homosexuelles, y compris celles que tout le monde écarte, c’est-à-dire les efféminés, les exubérants/extravagants, les prostitués, les transgenres/transsexuels, les maniérés ou les Drama Queens, celles qui ne sont pas politiquement/socialement/homosexuellement/ecclésialement correctes (Dans le « milieu homo », les « folles » sont littéralement détestées). Nous, nous avons voulu accueillir TOUS les membres de notre famille. Bien sûr, nous aurions pu choisir un titre plus lisse et sérieux (« Homosexualité et Foi », « Homosexuels et Catholiques », ou « Homosexualité et Vérité »). C’eût été tellement plus simple, en particulier pour Gerson au Pérou, et pour les Latinos du groupe ! (Uniquement à cause de ce titre, Gerson a reçu des lettres d’insultes de la part de prêtres péruviens !). Cet intitulé déchaîne et révèle l’homophobie de ceux qui n’aiment pas toutes les personnes homosexuelles, et qui haïssent par exemple les Gay Prides et tout le « côté obscur » du monde homo, réveille l’homophobie de ceux qui veulent « nous changer » et qui rêvent d’une communauté homosexuelle « clean », « respectable », invisible, qui ne se sentirait plus homosexuelle. Alors qu’en réalité, ce titre me paraît réellement parfait (bien qu’il soit une Croix d’un point de vue social) parce qu’il apporte paradoxalement beaucoup de Paix, qu’il est plein d’humour (pour un sujet qui généralement est abordé de manière tragique, misérabiliste, triste : « Les Folles de Dieu » nous sort du registre médical ou religieux ou légal), et décomplexe énormément de personnes, en particulier celles qui se sont éloignées de l’Église Catholique (parce qu’elles voient que nous savons rire de nous et de notre image, et qui nous sommes même prêts à nous identifier aux « pédales » et à tous « les » homosexuels). Et finalement aussi, il calme tous les catholiques tentés de nous mépriser parce que nous nous serions prétentieusement présentés comme des « petits purs », comme des « vestales virginales » (que nous ne sommes à l’évidence pas : par exemple, Guillaume tournant actuellement des films pornos, malheureusement…), comme d’hypocrites « modèles de vertu » sans taches. L’autodérision, en plus de lever les complexes de beaucoup de gens blessés, peut être une forme d’humilité et de jeu : on fait semblant de se salir… pour pouvoir rejoindre tout le monde. De toute façon, les personnes qui s’arrêtent au titre de notre documentaire n’auraient quoi qu’il en soit pas davantage ouvert leur cœur aux personnes homosexuelles avec un titre plus policé, plus doux, plus scientifique (« AMS », ou « SSA »…) et moins sulfureux, en partant du principe qu’il n’y a pas lieu de « parler de l’homosexualité », puisque l’homosexualité « ne doit pas être justifiée/essentialisée », qu’« elle se guérit », « peut disparaître » et « n’existe pas ». Alors pas de regret ^^ (Et estimez-vous heureux : nous aurions pu faire bien pire en intitulant notre documentaire « Les Pédés de Dieu » !^^). Et nous assumons la guerre intérieure que notre titre peut réveiller (guerre qui s’appelle « homophobie »). Je crois qu’il apporte beaucoup de Paix, et désamorce toutes les attaques que les « gays friendly » (ennemis de l’Église) et que les catholiques « progressistes » pourraient nous faire. Et il permet de faire ressortir l’homophobie des catholiques conservateurs ou coincés qui ne veulent pas aimer toutes les personnes homosexuelles.
 

Was den Titel betrifft, verstehe ich Ihre anfängliche Abneigung. Mir ist klar, dass er stören oder sogar unnötig kontrovers erscheinen kann. Dabei ist er in Wirklichkeit weder reißerisch, noch provokativ, trotz dem Anschein, nicht mal beleidigend. Im Gegenteil, er spiegelt den Wunsch wider, ALLE homosexuellen Menschen mitzunehmen, einschließlich derer, die jeder meidet, das heißt die Verwiblichten, die Überschwänglichen/Extravaganten, die Prostituierten, die Transgender/Transsexuellen, die Manierierten oder die Drama Queens, diejenigen, die sich politisch/gesellschaftlich/homosexuell/kirchlich nicht korrekt fühlen. (Im Schwulenmilieu werden die « Tunten » buchstäblich gehasst). Wir wollten ALLE Mitglieder unserer Familie begrüßen. Natürlich hätten wir einen glatteren oder ernsthafteren Titel wählen können (« Homosexualität und Glaube », « Homosexuellen und Katholiken » oder « Homosexualität und Wahrheit »). Es wäre viel einfacher gewesen, besonders für Gerson in Peru und für die Latinos der Gruppe ! (Nur wegen dieses Titels erhielt Gerson beleidigende Briefe von peruanischen Priestern !).Der Titel bringt die Homophobie derer ans Tageslicht, die nicht alle homosexuellen Menschen lieben und die zum Beispiel Gay Prides und die « dunkle Seite » der Homo-Welt hassen. Er weckt die Homophobie derer, die « uns verändern wollen » und die von einer « cleanen », « respektablen », und unsichtbaren homosexuellen Gemeinschaft träumen. Einer Gemeinschaft, die sich nicht mehr homosexuell fühlt. Dabei scheint mir dieser Titel wirklich perfekt zu sein (obwohl er aus sozialer Sicht ein Kreuz ist), denn er bringt paradoxerweise viel Frieden, ist humorvoll (für ein Thema, das im Allgemeinen in einem tragischen, elenden und traurigen Ton angegangen wird) : Mit den « Tunten Gottes » verlassen wir das medizinische, religiöse, rechtliche Register und entspannen viele Menschen, insbesondere diejenigen, die sich von der katholischen Kirche abgekehrt haben (weil sie sehen, dass wir über uns selber und unser Image lachen können und dass wir sogar bereit sind, uns mit den « Schwuchteln » und allen « Homosexuellen » zu identifizieren). Und schließlich beruhigt er auch alle Katholiken, die versucht sind, uns zu verachten, weil wir uns angeberisch als « Rein » präsentiert hätten, als « jungfräuliche Vestalinnen » (was wir selbstverständlich nicht sind: zum Beispiel Guillaume, der derzeit leider Pornofilme dreht…), als makellose heuchlerische « moralische Vorbilder ».Selbstironie kann, neben dem Aufheben der Komplexe vieler verletzter Personen, eine Form von Bescheidenheit und Spiel sein: Wir tun als seien wir schmutzig … um alle erreichen zu können. Wie auch immer, die Menschen, die nicht über den Titel unseres Dokumentarfilms hinausgehen, hätten auch mit einem glatteren, weicheren, wissenschaftlicheren (« AMS » oder « SSA »…), weniger anrüchigen Titel ihre Herzen nicht weiter für homosexuelle Personen geöffnet,. Sie gehen sowieso davon aus, dass man « über Homosexualität nicht spricht », dass man sie « nicht rechtfertigen/essentialisieren darf », dass man sie« heilen » kann dass sie, « möglicherweise verschwindet » und « nicht existiert ». Also kein Bedauern ^^ (Und seien Sie froh : Wir hätten es viel schlimmer machen können, mit einem Titel wie « Die Schwuchteln Gottes »! ^^). Und wir akzeptieren den inneren Krieg, den unser Titel erwecken könnte (Krieg, der « Homophobie » genannt wird).Ich glaube, der Titel bringt viel Frieden und entschärft alle Angriffe, die « Gay-Friendlys » (Feinde der Kirche) und « fortschrittliche » Katholiken auf uns machen könnten. Und er kann die Homophobie der konservativen oder verklemmten Katholiken zeigen, die nicht alle schwulen Menschen lieben wollen.
 

Per quel che riguarda il titolo, capisco la vostra perplessità iniziale. Sono consapevole del fatto che possa creare imbarazzo o addirittura sembrare inutilmente polemico. Ma in realtà, non è né esibizionista, né provocatorio come potrebbe sembrare, né offensivo. Al contrario, riflette la volontà di includere TUTTE le persone omosessuali, comprese quelle che tutti evitano, ovvero gli effeminati, gli esuberanti/stravaganti. Al contrario, riflette la volontà di includere TUTTE le persone omosessuali, comprese quelle che tutti evitano, ovvero gli effeminati, gli esuberanti/stravaganti, (nell’ « ambiente omosessuale », le « pazze » sono letteralmente odiate). Abbiamo voluto accogliere TUTTI i membri della nostra famiglia. Ma è vero, avremmo potuto scegliere un titolo meno scabroso e più serio (« Omosessualità e Fede », « Omosessuali e Cattolici » o « Omosessualità e Verità »). Sarebbe stato molto più facile, soprattutto per Gerson in Perù e per i latini del gruppo (solo a causa di questo titolo, Gerson ha ricevuto lettere di odio da sacerdoti peruviani) ! Questo titolo scatena e rivela l’omofobia di coloro che non amano tutte le persone omosessuali, e che odiano per esempio i Gay Prides e tutto il « lato oscuro » del mondo omosessuale, risveglia l’omofobia di coloro che vogliono « cambiarci » e di chi sogna una comunità omosessuale « pulita », « rispettabile », invisibile, che non si sentirebbe più omosessuale. Mentre in realtà, questo titolo mi sembra davvero perfetto (sebbene sia una Croce dal punto di vista sociale), perché paradossalmente porta molta Pace, è pieno di umorismo (per un tema che generalmente viene affrontato in modo tragico, avvilente, triste, « Le Pazze di Dio » ci porta fuori dal protocollo medico, religioso o legale), e disinibisce molte persone, in particolare quelle che si sono allontanate dalla Chiesa cattolica perché vedono che noi sappiamo ridere di noi stessi e della nostra immagine, e che siamo persino pronti a identificarci con i « froci » e con tutti « gli » omosessuali. E infine calma anche tutti i cattolici tentati di disprezzarci perché avremmo la presunzione di presentarci come « puri », come « vergini vestali » (cosa che peraltro non siamo : Guillaume, ad esempio – e purtroppo… – sta girando ancora adesso film porno), come ipocriti « modelli di virtù » senza macchia. L’autoderisione, oltre a togliere i complessi di tante persone ferite, può essere una forma di umiltà e gioco : facciamo finta di sporcarci… così da poter raggiungere tutti. In ogni caso, le persone che restano ferme al titolo del nostro documentario non avrebbero aperto comunque il proprio cuore agli omosessuali anche se avessimo usato un titolo più educato, più dolce, più scientifico (« AMS », o « SSA »…) e meno solforoso, partendo dall’idea che non c’è bisogno di « parlare di omosessualità », dato che l’omosessualità « non deve essere giustificata/essenzializzata », che « si cura », « può scomparire » e « non esiste ». Quindi nessun rimpianto (e consideratevi fortunati : avremmo potuto fare molto di peggio intitolando il nostro documentario « I Froci di Dio » !^^). E facciamo nostra la guerra interiore che il nostro titolo potrebbe scatenare (guerra che si chiama « omofobia »). Credo che porti molta pace e disinneschi tutti gli attacchi che i cattolici « gay friendly » (nemici della Chiesa) e « progressisti » potrebbero sferrarci. E aiuta a far emergere l’omofobia dei cattolici conservatori e rigidi che non vogliono amare tutte le persone omosessuali.

Journal de l’Antéchrist (Élections au Pérou, variant brésilien, Ukraine, loi « séparatisme » en France… et « Un Sac de billes »)

J’ouvre le journal des nouvelles mondiales ce matin. C’est… comment dire… flippant 😅. La victoire (éphémère) de l’Antéchrist (le diable qui sera définitivement renversé par Jésus à la Fin des Temps) et de son Gouvernement Mondial se profile à grands pas :
 

– Au Pérou, ça pue politiquement. Le premier tour des élections présidentielles ont éjecté de justesse Aliaga le candidat des catholiques (qui finit bon troisième)… et au deuxième tour, il reste les deux candidats corrompus les plus dangereux : Castillo, le communiste aux tendances terroristes; et Keiko Fujimori, la fille de l’ancien président, qui est incarcéré pour corruption. Le Pérou prend le chemin désastreux du Venezuela. #AllIsWell.
 

– Au Brésil, le variant (issu – mais ça, le grand public ne le reconnaîtra que plus tard – des vaccins anti-COVID), c’est-à-dire la mutation du virus générée non par le vaccin mais par la réponse immunitaire causée par ce dernier, est apparemment carabiné.
 

– En Ukraine, lieu (avec la Pologne), je le rappelle, qui a été désigné par Jésus en personne à soeur Faustine, comme point de départ de Son retour sur Terre (« De la Pologne sortira l’étincelle qui préparera le Monde pour mon ultime Venue »), ça chauffe aussi. L’OTAN demande à la Russie de Poutine de cesser ses provocations.
 

– En France, les pires lois continuent d’être votées pendant qu’on occupe/terrorise les gens avec le COVID : l’euthanasie ( = le « droit » de tuer les gens qui souffrent ou qui en ont marre de vivre)… et là, la loi « séparatisme », qui met la République au-dessus de Dieu et des religions, sous couvert de lutter contre les « extrémismes » et les « prosélytismes » (genre port du voile, prières de rue, discours religieux trop politisés, etc.). Concrètement, l’Homme est en train de se prendre pour Dieu (il appelle ça « laïcité ») et décide d’obéir à l’Empereur plutôt qu’à Dieu et à ses convictions religieuses. Cette loi « séparatisme » (défendue en plus par certains « cathos » comme Valérie Boyer, la vendue de La Manif Pour Tous) va concrètement museler les catholiques (qui par exemple seront interdits de créer des écoles hors contrat, seront sommés de cantonner leur Foi dans la sphère du privé, donc en gros de se la fermer…), les musulmans (par exemple, à l’Éducation Nationale, les accompagnatrices scolaires voilées seront interdites), et finalement tout religieux identifiable (À quand l’interdiction de l’habit et du voile religieux, jugés « trop ostentatoires et prosélytes »? #BienvenueDansLeMacronismeEnMarche #MerciDarmanin). C’est du laïcisme pur, justifié par le « vivre-ensemble ». C’est extrêmement grave. Le Gouvernement français va obliger tout croyant en Dieu à se cacher, à se noyer dans la masse, à mettre les « valeurs de la République » au-dessus de ses croyances religieuses et des lois de Dieu. On marche sur la tête !
 

 

Alors, petite pointe d’Espérance : j’ai regardé hier soir le film « Un Sac de billes » sur France 3. Très beau film. Pas trop manichéen anti-Nazis, donc j’ai supporté. Et à un moment, on nous montre un prêtre catholique gentil, qui aide les deux jeunes héros juifs à échapper à la rafle. Et quand ces derniers le remercient de leur avoir sauvé la vie, le curé leur répond, en refusant les honneurs : « Y’a pas de quoi. Tous les enfants du Monde sont mes enfants. » ENFIN un film récent qui montre la bonté des prêtres !

L’Eucharistie, ça vaut bien 40 gouttes de Théralène

L’Évangile selon les pauvres. J’ai vraiment l’impression que c’est Jésus qui me parle directement à travers eux. J’adore ! <3  

Ce matin, je sors de la messe de saint Médard (Au passage, le père Gambart me dit qu’il commence à voir l’assistance de l’église évoluer: il y a de plus en plus de musulmans qui assistent régulièrement à la messe, et qui cheminent vers Jésus…), je tombe sur Jennifer, mon amie SDF du quartier, qui ne va pas à la messe mais qui vient presque tous les dimanches non loin du parvis de l’église pour écouter le bal musette de la rue Mouffetard. Elle me demande si j’ai communié. Je lui réponds tout joyeux que oui. Et là, elle me sort, la cloque au bec, les yeux explosés par l’alcool et les médocs, (et alors qu’elle ne communie pas !) : « Ça [en parlant de l’Eucharistie, donc du Corps du Christ], ça vaut bien 40 gouttes de Théralène ! » (je pense que le Théralène est un excitant, un peu du genre Guronsan…). Je l’ai regardée, émerveillé. Pourquoi 40 ? (ce chiffre si biblique) Pourquoi s’enquérir de savoir si j’ai communié ? Pourquoi me parler de la puissance de l’Eucharistie ? J’ai failli l’appeler « Jésus » (« Allez Jésus, laisse tomber ton masque de Jennifer : je t’ai reconnu 😆 ») mais je me suis retenu. J’ai juste envoyé des bisous à mon amie clocharde mais surtout prophète.

La différence entre un psy et un prêtre

La différence entre un psy et un prêtre? C’est très simple 😝 : un prêtre il t’aime ; un psy il t’aime pas.
 
 

N.B. : Si le psy devient aimant, alors il sort de son cadre de travail (ce qui est plutôt génial, et rare). Mais sinon, en temps « normal », un psy n’est pas là pour aimer, mais pour « aider », « diagnostiquer », « éclairer », « identifier », « autonomiser » la personne.

L’orgueil de Tugdual Derville


 

L’orgueil de Tugdual Derville, et finalement de tous les porte-parole ou leaders d’opinion catholiques actuels en France, c’est de savoir que toutes les lois transhumanistes très graves qui passent en ce moment dans le pays (lois sur les unions civiles, le « mariage » gay, loi d’extension de l’avortement, lois sur le statut de l’embryon et donc la PMA sans père puis la GPA, lois promotionnant l’euthanasie, lois d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité, et finalement toutes les lois dites « de bio-éthique », etc.) ont pour base intentionnelle et sentimentale L’HOMOSEXUALITÉ et sont portées principalement par des députés ou des personnes homosexuelles (Caroline Mécary, Laurence Vanceunebrock-Mialon, Jean-Claude Romero, Yannick Kerlogot, Raphaël Gérard, Ian Brossat, Moundir Mahjoubi, Anne Brugnera, Coralie Dubost, Matthieu Gatipon, Jonathan Denis, Hervé Gastaud, Pierre Karleskind, Annaig Le Meur, Damien Pichereau, Cécile Rilhac, Florian Bachelier, Bastien Lachaud, Julien Bargeton, Raphaël Gérard évidemment, et j’en passe) et/ou gays friendly (Emmanuel Macron, Élisabeth Moreno, Olivier Falorni, Adrien Taquet, Claire Pitollat, Albane Gaillot, Véronique Jamoulle, etc.). Et je ne parle même pas de leurs nombreux relais médiatiques et/ou francs-maçons ! (Benoît Berthe, Christophe Beaugrand, Jarry, Yann Barthès, Caroline Fourest, Marc-Olivier Fogiel, Daniel Borillo, Didier Eribon, Eddy Bellegueule, etc.)
 

Tugdual Derville (mais j’aurais tout aussi bien pu parler de Christine Boutin, d’Agnès Thill, de François-Xavier Bellamy, de Jean-Frédéric Poisson, de Ludovine de la Rochère, de Charlotte d’Ornellas, d’Éric Zemmour, des journalistes de KTO, des journalistes de l’Incorrect ou de Valeurs actuelles, de Fabrice Hadjadj, du blogueur Fikmonskov ou encore Koz Toujours, du père Cédric Burgun, de Pierre-Yves Rougeyron, de Sylvain Durain, de Jean-Pierre Denis, de tous les journalistes de TV Liberté, de tous nos évêques – à commencer par Mgr Aupetit, Mgr d’Ornellas), tous ces gens-là qui occupent illégitimement la place de porte-parole, qui ont même parfois été consultés en audiences à l’Assemblée Nationale et interrogés par la doxa homosexuelle, SAVENT que les tenants de ces lois sont homos, puisqu’ils se sont retrouvés face-à-face avec eux ! Ils savent mais se taisent. Par homophobie autant que par arrivisme.
 

Ce silence de leur part, cette rétention d’informations, cette chasse gardée pour conserver le pouvoir, cette obstination à garder à tout prix le micro (et surtout son argent, sa petite place ou audience médiatique), non seulement vont nous perdre (nous catholiques), nous font perdre successivement tous nos combats politiques, mais s’appellent tout simplement l’orgueil.
 

Les responsables catholiques (pas le fidèle catholique de la base, pour qui l’homosexualité paraît lointaine et abstraite) connaissent la place prépondérante et l’importance symbolique de l’homosexualité et des personnes homos dans le « débat » public, sur l’échiquier politique et médiatique (J’entends régulièrement Tugdual Derville s’indigner poliment/collégialement sur Twitter de se voir constamment opposé à Jean-Luc Romero sur les plateaux-télé ou radio sur la question de… l’euthanasie ! Même pas de l’homosexualité ! Et pourtant, l’homosexualité est toujours en soubassement. Et ce, pour tout intervenant catholique, systématiquement associé à La Manif Pour Tous et au « mariage gay » dès qu’il foule un plateau télé. Autre exemple : j’ai vu le 29 août 2019 dernier la députée lesbienne Laurence Vanceunebrock-Mialon arbitrer les auditions des responsables des cultes à l’Assemblée sur… la PMA pour toutes ! Et bien sûr, elle les a méprisés, et avec art, en leur inventant une « parabole » biblique de son cru !). La personnalité homosexuelle, c’est celle qui est préposée tacitement pour, sur la sphère publique ou dans l’hémicycle, symboliquement bouffer tout cru tout opposant à une loi transhumaniste bafouant les droits humains fondamentaux.
 

Les leaders catholiques savent pertinemment où les débats de bio-éthique se crispent et se verrouillent : sur l’homosexualité. Mais ils ne disent rien. Leur orgueil, ce n’est pas seulement de dissimuler cet état de fait, mais c’est ensuite de ne pas céder leur petite place ou micro aux personnes homos beaucoup mieux qualifiées et légitimes qu’eux pour enrayer ces lois et s’opposer sur les plateaux-télé à leurs adversaires homos. Ils nous écartent, nous ignorent. Tout ça pour garder une audience ou une carrière dans le milieu catho et le monde associatif/médiatique pro-Vie.
 

Quelle tristesse. Quel gâchis. Quelle responsabilité. Quel orgueil.

(Presque) Tout donner pour l’allemand


 

Voilà. J’ai quasiment fini d’enregistrer ma voix-off en allemand pour toutes mes répliques de la journée 3 (consacrée à la dimension amoureuse de l’homosexualité) de notre documentaire « Les Folles de Dieu » ! C’est un gros morceau du film, particulièrement important et émouvant, car j’y décris notamment toute ma relation passée avec Jérémy. Je sais d’ailleurs que ça va beaucoup plaire à l’intéressé. Cette partie me tient autant à coeur que la journée 4 consacrée à la culture homo, et que la journée 6 consacrée à l’homophobie (des sujets totalement ignorés ou méprisés du grand public).
 

M’enregistrer en allemand me demande déjà une énergie colossale (Par exemple, pour parvenir à une prononciation et une fluidité linguistique qui fassent naturel voire natif, il est arrivé parfois que je m’y prenne à une quinzaine de prises… pour avoir finalement la plus « potable » !). Mais comme, en plus, sur le thème des sentiments amoureux, il faut savoir interpréter au plus juste toute la palette des émotions et de leur intensité tout en respectant l’intention originale d’énonciation et leur contexte, tout en trouvant leur bon dosage (car il ne faut pas les surjouer ni au contraire les affadir), c’est vraiment un exercice d’équilibriste !^^ Je ne peux pas dire que j’ai « tout donné »… mais je peux au moins vous assurer que j’ai beaucoup donné. Et qu’au final, ça vaut le coup. Même si cet enregistrement ne se fait pas sans la douleur.
 

Je n’ai pas peur non plus de dire que l’entretien (sur Jérémy, et plus largement, sur mon parcours amoureux et sentimental homosexuel) que Jean-Yves Morvan (le photographe et caméraman de notre documentaire) m’a aidé à accoucher est d’une telle qualité, beauté, vérité et intensité, qu’à lui seul, il aurait déjà suffi à composer un magnifique film. Hâte que vous l’entendiez !

La fronde pathologique des sites « catholiques » de droite et d’extrême droite (en particulier d’Amérique Latine) contre l’Église en Allemagne en ce moment

 

Je suis sidéré. Ça fait plusieurs années que les médias « catholiques » (de droite et d’extrême droite… donc plus du tout catholiques, en réalité) d’Amérique Latine et d’Espagne (par exemple Religión en Libertad, Actuall, Info Católica, etc. : des sites-poubelle), mais aussi de France et des États-Unis (c.f. le blog taré de Jeanne Smits, le site LifeSiteNews qui en tient une couche…), ont décidé – pour des raisons hyper floues la plupart du temps – de s’en prendre à l’Église en Allemagne et de la traîner en procès de haute trahison contre l’Église Universelle. Mais aujourd’hui, c’est le lynchage. C’est hallucinant. Quelle mouche les pique? Ils veulent le Schisme ou quoi ? Que connaissent-ils de l’Allemagne qu’ils regardent de loin… à part le Cardinal Müller (qui raconte une connerie tous les deux mots), le Pape Benoît XVI (bien diminué en ce moment, et dont ils pleurent l’absence : c.f. le site intégriste Benoît et moi), le cardinal Reinhard Marx (dont ils se servent du simple nom de famille pour le traîner en procès de dangereux « marxisme » et « progressisme », et qu’ils transforment à tort en défenseur du mariage des prêtres, des bénédictions homos, de l’ordination des femmes, qu’il n’a jamais été), Luther (et ce qu’ils imaginent du protestantisme, puis du nazisme) et les quelques figures médiatiques scandaleuses réformatrices de l’Allemagne d’aujourd’hui ? Rien. Ils ne connaissent rien.
 

Mais comme ils traitent d’un pays que le grand public ne cerne pas, comme ils font parler ceux qu’ils accusent à leur place en leur prêtant leurs propres pensées scandaleuses, ils ont l’air de connaître de quoi ils parlent ! Et ces mauvais journalistes « catholiques » se lâchent en ce moment. Ils veulent la guerre ! Ils veulent la division à l’intérieur de l’Église. Ils s’emmerdent tellement dans leur vie de merde qu’ils en rêvent ! Et ils veulent couler l’Église allemande. Regardez quelques articles ou bien le site Info Católica que fait carrément une fixette obsessionnelle sur l’Allemagne en ce moment… À ce point-là, c’est pathologique.
 




 

Vivement que sortent « Les Folles de Dieu » en allemand (même si elles ne feront pas de miracle…).