Les catholiques ont globalement un problème avec l’homosexualité

Je vous le dis : je suis globalement sidéré du manque de simplicité (et donc de l’homophobie) de la plupart des catholiques qui, quand on leur demande juste de traiter d’homosexualité, ou même tout simplement de nous laisser en parler (nous personnes homos), prennent peur, sont hyper impressionnables, s’en font une montagne, se défilent, partent en courant, trouvent des excuses-bidon.
 

Je vous dis cela car il manque encore pour notre documentaire « Les Folles de Dieu » deux petites voix-off de rien du tout pour finaliser la version italienne de la première partie… et vous n’imaginez pourtant pas le mal de chien que c’est, ni comment certains se prennent la tête avec le seul thème de l’homosexualité (mêlé à la Foi). Il faut le voir pour le croire ! Et vas-y que « je vais discerner », et vas-y qu’il « faut que je demande à mon supérieur ou à ma communauté, pour rester dans l’obéissance », et vas-y que je m’invente un pseudo qui ne me protègera de rien (parce que faire une voix-off n’induit absolument pas d’être homo ou d’être en accord avec les propos qu’on double), etc., etc. Ça devient grotesque. Oui, l’homophobie est grotesque… mais malheureusement, parfois, ô combien puissante ! Les cathos – sauf quelques exceptions – ont vraiment un problème avec l’homosexualité, avec les personnes homos, et plus fondamentalement, avec la sexualité !

Fin de la papauté pour 2027 ?


 

Dans le documentaire de François Barré sur la prophétie des Papes (dite « de saint Malachie », écrite en 1595), un documentaire certes sensationaliste mais qui a le mérite de dire certaines vérités, la fin de la papauté pourrait bien être fixée à 2027. Même si les prophéties sont élastiques, ne sont pas des sciences exactes (comme je l’explique dans Homo-Bobo-Apo).
 

Pourquoi cette date si précise ? « Axis in medietate signi » est le nom probablement attribué au Pape Sixte V (« l’Axe au milieu du signe »). Le pontificat de Sixte V se situe à mi-chemin de la prophétie des Papes. C’est donc grâce à lui qu’il est possible de dater la fin.
 

La première devise de la prophétie des Papes correspond à Célestin II, élu pape en 1143. Sixte V (le « Pape du milieu ») arrive au trône papal en 1585, soit 442 ans après. Ce qui veut dire que la prophétie doit prendre fin 442 ans plus tard, à savoir en 2027.
 

 

Par ailleurs, la tradition orale a ajouté à la prophétie un dernier pape (après le Pape François : vraisemblablement « Petrus Romanus ») qui n’est pas de Dieu – une certaine « Caput Nigrum » (Pourquoi d’ailleurs ne pas envisager le cardinal Sarah ? Selon moi, c’est tout à fait envisageable, étant donné la cote de popularité de ce dernier auprès des catholiques conservateurs du Monde entier. Ce qui invaliderait la thèse que la « tête noire » renverrait à un jésuite, donc au Pape François…). Et enfin, selon le Pape saint Jean XXIII, l’Apocalypse serait pour 2033. Ça vaudrait le coup de s’intéresser aux prophéties de ce Pape…

Des mots de réconfort

Extrait des mots que m’envoie ma Mère spirituelle à l’instant, suite à mon intention exprimée il y a quelques temps d’écrire un livre sur « Le couple homo: où est le mal? » :
 

« Écrivez ce prochain livre que nous attendons. Je me disais que finalement c’est bien en déconstruisant le cliché de l’amour prétendument homosexuel que l’on pourra parvenir à mettre en lumière la juste position de l’Église sur cette question de l’homosexualité quand elle parle d’actes intrinsèquement désordonnés. Tout est là. On ne peut pas dire qu’un homme qui vit l’adultère n’aime pas sa maîtresse; il éprouve de réels sentiments pour elle, sauf qu’ils sont eux aussi désordonnés. »
 

#JeVousAvaisDitQueMaMèreSpiÉtaitÉnorme #JAiPasLeTempsDÉcrire

Pourquoi il faut absolument que nous nous opposions à la vaccination anti-COVID

Excellente vidéo (avec Carlo Alberto Brusa) expliquant pourquoi il faut absolument que nous nous opposions à la vaccination.
 

Par ailleurs, je viens de regarder le Journal Télévisé de TF1. Ils nous prennent vraiment pour des abrutis. En ce premier jour officiel de vaccination pour beaucoup de pays européens, les journalistes des mass médias essaient de nous convaincre qu’il n’y a vraiment rien à craindre de ce vaccin contre le COVID, mais en plus de ça, ils nous le présentent très sérieusement comme le Messie. Sans rire. J’ai noté les expressions : « les vaccinés du 1er jour » ; « Deux patients ont ouvert la Voie. » ; « Ce médecin est heureux d’être un symbole. » ; « Le vaccin sauvera des vies. » ; « les 12 premiers vaccinés de France » ; etc.
 

Enfin, je ne m’étais pas planté en vous parlant il y a 3 jours de l’ADN dans mon Dico des Codes Apos. Ils ont bien dit dans le JT que le vaccin contenait un « ARN Messager », autrement dit un petit morceau d’ADN du virus… Voilà voilà.

L’humour dans la Bible (que nous massacrons bien trop souvent)


 

J’ai appris ce matin, lors de l’homélie du père Gambart à l’église saint Médard, que le prénom Isaac (le fils unique qu’Abraham et Sarah ont eu sur le tard, alors qu’ils étaient vieux et étaient considérés comme stériles) signifiait « Dieu qui rigole » (Personnellement, je traduirais par « L’humour du Seigneur » ou « la blague/la bonne surprise de Dieu »). Et je trouve ça merveilleux, les traits d’humour dans la Bible. Car il y en a. Beaucoup plus qu’on ne le croit. Et je suis sûr que même certaines phrases de Jésus, qu’aujourd’hui nous refroidissons ou attiédissons bêtement pour les rendre sérieuses, solennelles, graves ou condamnantes – et donc tristes ou violentes – étaient empreintes de cette humour-Vérité, de cette auto-dérision délicieuse, pleine de surprise et d’émerveillement mêlés, qui nous les rendrait plus sympathiques et familières.

Le Père Pio ne s’appelle pas le Père Fouettard


 

J’ai remarqué que certains saints – connus pour leur entièreté, leur radicalité, leur intransigeance et leur refus des compromissions – sont actuellement beaucoup utilisés comme martinets ou épouvantails à cathos, par des catholiques sans cœur et sans Miséricorde, pour effrayer les esprits faibles en leur rappelant que « le Salut c’est pas gagné… voire c’est même compromis » y compris pour les catholiques pratiquants qui sont baptisés, qui vont régulièrement à la messe, vont se confesser, sont parfois religieuses ou prêtres, et se croient prémunis contre l’enfer ou abrités par les sacrements.
 

En général, pour instaurer leur terrorisme, ces catholiques pharisiens jouant les « lanceurs d’alerte » menaçants (car ils sont eux-mêmes pris de panique par la situation mondiale, par l’imminence de l’arrivée du Christ en Gloire, et surtout par leur propre sécheresse de cœur) nous offrent sur les réseaux sociaux par exemple des récits d’apparitions d’âmes damnées de religieuses venant prévenir qu’elles ont été prises au dépourvu ; ou bien ils reprennent à leur compte des citations (généralement très romancées et dramatisées) des paroles du Padre Pio ou de la Bienheureuse Conchita Cabrera de Armida (cette dernière étant convertie en une sorte de matraque hystérique tapant sur les prêtres en prétendant soi-disant « les aider à être aussi purs que le Christ qu’ils ont revêtu » et à les sauver !!) ; ils se plaisent aussi à nous rapporter des récits de personnes ayant connu une expérience de mort imminente où elles étaient aux portes de l’enfer ; ils s’appuient également sur les suppliques de la Vierge Marie (à Lourdes, à Medjugordje, à Fatima, etc.) appelant avec insistance à la repentance et à la conversion des cœurs à la veille du Retour de son Fils.
 

 

La perversion de ces avertissements concernant la vie après la mort et le Salut des âmes, c’est qu’à la fois ils sont par certains côtés avisés et nécessaires pour notre humilité ou pour créer l’électrochoc d’un retour radical au Christ (oui, il ne suffit pas d’être baptisé, d’aller à la messe, d’aller se confesser, de recevoir l’extrême-onction, pour avoir son ticket pour le Paradis : et c’est toujours bon de garder l’humilité, d’être jusqu’à l’heure de notre mort assaillis par le doute et par ce vertige d’être pécheurs voire damnés, c’est important de ne pas avoir un rapport magique ou intéressé aux sacrements, de ne pas les transformer en passeports V.I.P., de garder la crainte de Dieu et de douter de son Salut, d’entendre qu’il est urgent que nous rejetions clairement le mal dans notre vie), et à la fois ils sont une atteinte à la Foi de cœur et à la Bonne Nouvelle du Salut offert par Dieu car ils décrètent l’invalidité ou l’inefficacité des sacrements (les pharisiens sont très forts pour décider si un sacrement est « valide » ou pas ! ou bien, si une âme ira en enfer ou pas !), dévoilent que le « Ta Foi t’a sauvé » de Jésus ne serait qu’une superstition ou un abus de croyance ou une « promesse à risque », témoignent d’un scepticisme à l’égard du Salut et de l’Amour de Dieu, dépeignent Jésus comme un Juge impitoyable et sans pardon, instillent la défiance plutôt que la confiance. Bref, ils ne stimulent pas la Foi à force de faire peur, de faire croire que c’est par nos actes que nous hériterons du Paradis et que nous le « mériterons », de marteler une pourtant vérité qui est celle que l’enfer existe, que des âmes sont damnées pour toujours, que des catholiques et des prêtres iront en enfer, que le Salut n’est assuré pour personne d’autre que les gens que Jésus a cités nommément dans les Évangiles.
 

Je pense que Là-Haut, le saint Padre Pio, la Vierge (de Fatima ou d’Akita ou de la Salette), et d’autres saints qui ont parlé de la vie après la mort et du risque de l’enfer, doivent être furax de se voir ainsi transformés en prophètes de malheur, en terroristes ou en martinets séparant les boucs des brebis. Et je garde dans mon cœur ce conseil que m’a donné un prêtre en confession au Sacré-Cœur de Paris, qui m’a dit : « Le plus important, quand nous tombons, c’est à chaque fois de s’adresser à Jésus en implorant son pardon, en lui disant tout simplement : ‘Prends pitié Seigneur du pauvre pécheur que je suis ! Prends pitié de moi.’ » Et c’est la pitié du Seigneur qui sauve, en même temps que notre foi personnelle (… et de cœur !) en cette pitié. Ce n’est pas plus compliqué que ça. Et bien sûr, nos actes comptent dans l’œuvre de Salut de Jésus pour notre âme. Mais ce ne sont pas eux qui nous sauvent. Ni notre peur (de l’enfer ou de l’« invalidité » des sacrements) !

Le cinéma de Macron pour nous faire avaler la vaccination et l’application TousAntiCOVID

Regardez le cinéma du président Macron, qui n’a rien trouvé de mieux pour que nous adhérions au vaccin et à l’application « Tous anti-COVID », que de nous apitoyer sur son soi-disant « état affaibli » de malade imaginaire. Il croit vraiment qu’en simulant sur lui-même les actions qu’il attend de nous, nous sommes assez cons pour l’imiter docilement?? Il se fout le doigt dans l’oeil. Et son explication du début sur les démarches à suivre quand on a les symptômes : mais vraiment il se fout de notre gueule. On dirait Sibeth qui nous explique comment mettre un masque. Quelle infantilisation !
 

Et quand je vois la naïveté de certains Français qui se laissent encore berner par cet imposteur… 👽 (« J’aimerais pas être président dans le contexte actuel. Il gère la crise comme il peut et il se débrouille pas si mal. Il est même une victime collatérale. Tu n’as pas de coeur. J’aimerais te voir à sa place. Pauvre petit président désarmé et malade pour nous. »). Et mon cul, c’est du poulet ?
 

Et le pire, c’est que ça fonctionne. Certains sont morts de peur et sont persuadés qu’en ne parlant plus à personne et en s’isolant ils « respectent » les autres et « prennent soin d’eux ». C’est le Monde à l’envers. L’égoïsme qui se fait passer pour de l’Amour, la lâcheté pour du courage !