Ce qui est certain, concernant Joséphine, c’est que je n’ai absolument pas rêvé


 

Ce qui est certain, concernant la série Joséphine ange gardien, c’est que je n’ai absolument pas rêvé. J’ai déjà, la concernant, tout un dossier sur la place des Incas dans le téléfilm de TF1. Et le lien entre Joséphine et la Franc-Maçonnerie luciférienne (loges centrées sur la construction pierreuse et la franchise, ainsi que les civilisations soit héliocentriques – comme les Incas ou les Égyptiens – soit de souche historique maçonnique – l’Écosse et l’Angleterre sont les matrices des obédiences de la Franc-Maçonnerie mondiale) est de plus en plus clair… même si, là encore, personne ne le verra et que je vais encore passer pour un illuminé. Mais rien à battre.
 

Dans le tout dernier épisode inédit de lundi dernier (le n°95 : « L’Esprit d’Halloween »), Joséphine dit textuellement qu’elle est « tailleuse de pierre » en « ateliers » qu’elle anime (comme dans les vraies loges). Elle se définit comme « compagnonne » (en référence au Compagnons du Devoir dont certaines branches sont historiquement maçonniques). Et lorsqu’elle reconstitue magiquement la cheminée du manoir hanté à l’effigie d’un démon (véridique), elle déclare avec fierté, en nous sortant son classique discours de la méthode : « En fait, c’est une technique anglo-guatémaltèse, connue de ma seule confrérie. C’est assez secret… » Bon, elle se plante car on dit « guatémaltèque » (c’est pas grave…) mais à part ça, confrérie + Londres + civilisation précolombienne aztèque + secret + pierres, tout ça dans une même phrase… hmmm… ça commence à faire beaucoup, vous ne trouvez pas ? Et je vous passe le coup de la chevalière en or de Thierry qui réactive le subconscient et la mémoire enfouie de Violette, l’héroïne…
 

 

Avec Joséphine ange gardien, bienvenue en Franc-Maçonnerie ! Dès que je finis le montage du film, je me colle à l’écriture de mon livre sur la Bête de l’Apocalypse dans Joséphine et la série Demain Nous Appartient, promis !