Joséphine, Timothée de Rauglaudre et les sous…

Ce matin, je vois que le journaliste Timothée de Rauglaudre, qui m’avait interviewé récemment pour son livre qui va être édité par Flammarion, tombe le masque. Il a fait sur Instagram une capture d’écran du titre de son livre : « Dieu est Amour : infiltré chez les catholiques qui veulent guérir l’homosexualité »… alors qu’il m’avait dit au téléphone qu’il faisait simplement « un livre d’enquête sur les approches chrétiennes de l’homosexualité »… Voilà ce qui s’appelle mentir et surtout jouer les Frédéric Martel paranoïaques ( = je suis un espion, j’ai des scoops ultra gênants qui vont faire trembler le terrible Système ecclésial, le Saint des saints dans lequel j’ai eu l’héroïsme de rentrer). Minable. Et le pire, c’est que son livre, lui, a largement plus de chances d’être publié que le mien, puisqu’il est déjà signé et que c’est une commande. Je l’explique dans mon livre : comme ces journaleux traitent de réalités ignorées du grand public (Teenstars, CLER, Courage, etc.) et ignorées par eux-mêmes, ils donneront aux ignorants l’orgueil et l’impression de « connaître », donc ils vont convaincre un certain nombre d’ignares. Par conséquent, je crois que vous pouvez redoubler d’efforts et de prières pour que mon livre sur les thérapies de guérison de l’homosexualité soit accepté par une des 18 maisons d’édition ciblées. Pour l’instant, j’ai reçu une seule réponse (les éditions Actes Sud) et elle est négative…
 

 

Par ailleurs, j’ai vu l’épisode inédit de Joséphine ange gardien (« Enfin libres ! ») hier sur TF1. C’est assez frustrant de manquer de temps pour terminer mon livre sur la série car là encore, j’identifie plein de choses sur le Gouvernement Mondial, sur l’alchimie et la Franc-Maçonnerie (en fait, avec mon livre sur Joséphine, j’ai créé sans le savoir un « Dictionnaire des Codes eschatologiques », sur les Fins dernières). À nouveau hier soir, dans « Encore libres ! », j’avais deviné les dialogues à l’avance (il a été encore question de la « seconde chance », de la Bête, de l’or…). Il faudra attendre la fin du tournage de Lourdes et du montage pour que je puisse m’y remettre et finir ce livre joséphinien si important.
 

Dernière chose et non des moindres. À compter d’aujourd’hui, je dois trouver en 4 jours parmi mes amis (vous !) deux personnes disposées à me prêter chacune (j’ai bien dit « prêter », pas donner !) 2500 €. J’en ai déjà trouvé une troisième. Je les rembourserai dès que je peux. Et je suis un homme de parole : je le ferai jusqu’au dernier centime, malgré mon petit RSA. Je fais cette demande pour financer la 2e caméra du tournage. L’achat doit se faire début septembre impérativement. Si l’un d’entre vous est prêts à m’avancer cet argent, et à se voir rembourser lentement mais sûrement : 1) qu’il se manifeste à moi en privé ; 2) qu’il soit d’avance béni. Ce n’est pas pour moi que je demande cela. C’est pour les autres (et en particulier le témoin péruvien du tournage, qui est un ami de confiance, vraiment tout donné au Seigneur) et c’est pour une Mission sainte qui dépasse largement le tournage et à laquelle je veux contribuer, quitte à me saigner (sinon, nous nous serions limités à une simple location de matériel… qui de toute façon aurait déjà été onéreuse). À bon entendeur ! Et merci d’avance.