Journal de l’Antéchrist : Cillian Murphy pour Montblanc et la chanteuse Angèle se décrivant comme finissant en enfer


 

Le diable et son Gouvernement Mondial maçonnique et antéchristique singent Dieu, plagient Jésus. C’est leur signature. Ça me frappe dans la dernière publicité de Mont Blanc portée par le glaçant homme d’affaires Cillian Murphy, où le pastiche de la Passion du Christ (la chute de Jésus sous le poids de la Croix) diluée en « souffrances », efforts et petits échecs formant partie des aléas du culte égoïste, narcissique et consumériste, de l’être humain mondialisé pour ses « passions », est clair (ça fait un moment que je vous dis que le mot « passion », souvent mis au pluriel, et qui occulte la Passion de Jésus, est l’un des noms principaux de la Marque de la Bête de l’Apocalypse). En effet : on y voit une comédienne, sur une scène théâtrale, en pleine répétitions, tomber au moment où il est question des « passions ». Il y a bien là un mimétisme de la Passion christique, mais au bénéfice DES passions individualistes et actionnelles ! (je vous passe les détails et les nombreuses références symboliques à la Franc-Maçonnerie : escabeau en forme de triangle et de compas, la référence à l’inspiration, au mouvement et à l’amélioration, le papier et les plans, les comédiens en équerre, l’identité-mobilité, etc.).
 

Autres références eschatologiques ( = renvoyant la Fin des Temps) et apocalyptiques ( = Victoire de Jésus sur le Monde) : d’abord les chansons de la chanteuse lesbienne à la mode Angèle qui évoquent beaucoup la damnation éternelle (c.f. « Mes Démons », la toute fin du super clip « Oui ou non » où Angèle simule un accident de voiture où elle meurt, et où elle grille en enfer), et ensuite la chanson « Le Cheshire Cat et moi » de Nolwenn Leroy (où le chat diabolique d’Alice au Pays des Merveilles devient une figure eschatologique : « Matou malfaisant, Kidnappeur d’âmes, de sentiments, Rends-nous le bonheur jusqu’à la fin des temps. »).