Le cardinal Sarah dans Paris Match : « Dieu c’est la Paix. » Non, votre éminence : Dieu n’est pas la Paix.

Le cardinal Sarah dans Paris Match : « Dieu c’est la Paix. » Non, votre éminence : Dieu n’est pas la Paix.
 

 

Je crois que notre plus grand ennemi va être – en plus de la sécurité hygiéniste et protectrice – le PACIFISME (et son corolaire : l’unitisme, communément appelé « communisme »). Car jamais Jésus n’a défendu le mot « unité », ni la « paix » en elle-même. Certes, Il est notre unité. Mais Il dit qu’Il est venu apporter le glaive, la division, la guerre, la séparation (« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive. » Matthieu 10, 34), et que seule SA paix est bonne, et non la paix du Monde. Autant vous dire que le combat contre le pacifisme et l’unitisme n’est pas compris, en particulier par les catholiques et le clergé actuels qui n’ont que les mots « paix » et « unités » en bouche, et qui détournent les paroles de Jésus sur l’unité (« Que tous soient Un. »).
 

J’avais déjà écrit sur le danger redoutable du pacifisme, en lien avec le film « Wonder Woman » mais j’en rajoute une couche, surtout à l’occasion de la couverture de Paris Match présentant le cardinal Sarah comme le Prince de la Paix. Je pense même que le mot « Paix » est satanique (s’il n’est pas strictement associé à la Paix de Jésus, bien sûr), et que c’est précisément en son nom que les guerres, injustices, meurtres et divisions sont actuellement perpétrées.
 

Et si vous voulez mon avis, si un anti-Pape doit arriver prochainement pour se substituer au Pape François (qui n’a jamais été aussi détesté par la majorité des catholiques – conservateurs et progressistes confondus – qu’en ce moment… et je comprends pourquoi, vu que ce dernier multiplie les bourdes et les décisions dangereuses, la promotion du « vaccin » en étant une parmi tant d’autres), ce sera le cardinal Sarah.
 

J’en parlais hier avec une amie journaliste – qui pour moi est une des seules journalistes vraiment catholiques qu’il nous reste en France – : elle aussi constate d’une part la fermeture de coeur et la stupidité des catholiques français tradis (pour la plupart zemmouriens jusqu’au bout des ongles, anti-migrants, racistes et homophobes : un truc de fou…) et d’autre part la haine généralisée qui monte à l’encontre du Pape François. Le risque de schisme n’a jamais été aussi élevé qu’aujourd’hui dans l’Eglise (c.f. mon livre Homo-Bobo-Apo). Il est même identifié par les non-cathos (sauf que pour eux, maintenant, c’est « pop-corn » : ils ont juste à compter les points à distance, et a validé dans l’ombre des vidéos de cas psychiatriques comme Mgr Carlo Maria Viganò).
 

Et le cardinal Sarah est tout à fait capable de profiter de cet état de fragilité/confusion interne ou de ce ressentiment anti-papal/sédévacantiste pour tenter une nouvelle percée. Alors bien sûr, il est suffisamment intelligent pour faire en sorte que son ascension soit discrète, semble accidentelle, humble et extérieure à lui : il laisse à ses défenseurs – et même à « Paris-Match » – le soin de l’introniser pape à sa place. Mais il est capable de beaucoup et de presque tout. Il n’en est pas à son premier coup d’essai. Rappelez-vous sa tentative (avortée in extremis) d’usurpation et d’enrôlement du Pape émérite Benoît XVI (qu’il avait désigné – à l’insu de ce dernier – co-auteur d’un de ses ouvrages). Ça en dit long sur les ambitions papales du cardinal ! Et les catholiques du Monde entier (en particulier d’Amérique latine et du Nord), aveuglés et subjugués par ce dernier, sont prêts à destituer le Pape François et à le remplacer par le cardinal Sarah. On fait un sondage, et je suis sûr qu’il y aurait à l’heure actuelle une écrasante majorité qui voterait pour le remplacement du Pape François par le cardinal Sarah. Quasi un plébiscite. C’est juste l’affaire de 5 ans (c.f. les 10 plaies d’Egypte actualisées). En 2027, le ras-le-bol à l’encontre du Pape François arrivera à un point de non-retour et de cruauté au bénéfice de « Caput Nigrum ».