L’homophobie : ce qu’elle est vraiment ; ce qu’en ont fait Vallaud-Belkacem et ses sbires adulescents

L’homophobie, c’est ni plus ni moins trois choses :

1 – l’attaque contre une personne homosexuelle, au nom de son orientation homosexuelle, attaque exercée uniquement par une personne homosexuelle (soit homosexuellement refoulée, soit excessivement assumée en tant qu’homo).

 

2 – la croyance en l’espèce homosexuelle et en l’amour homosexuel

 

3 – la pratique homosexuelle (d’ailleurs, tous les cas d’homophobie s’observent dans des cadres de pratique homo ou de croyance en la pratique homo)

 

Qu’est-ce qu’en ont fait et compris ces abrutis d’idéologues pro-Gender et anti-homophobie du gouvernement (Hollande, Vallaud-Belkacem, Binet, Bertinotti & Cie), qui n’y connaissent rien à l’homosexualité ni à l’homophobie ? Exactement l’inverse !

1 – Selon eux, très rares sont les agresseurs de personnes homosexuelles ayant des tendances homosexuelles.

 

2 – Pour eux, la croyance en l’espèce homosexuelle et en l’amour homosexuel apportera plus de tolérance et d’ouverture envers les personnes homosexuelles.

 

3 – La pratique homosexuelle, à leurs yeux, est banale et merveilleuse. Elle ferait reculer l’homophobie.

 

Bref. Totalement à côté  de la plaque ! Ils croient défendre les personnes homosexuelles et lutter en faveur du recul de l’homophobie dans les écoles simplement en organisant des campagnes de « déstructuration des clichés », de « sensibilisation à l’homosexualité », en disant que « l’homophobie, c’est crès crès mal : ça provoque les suicides des jeunes »… mais au fond, ils nient ce qu’est l’homophobie : une haine de soi qui, si elle est niée, se mute en haine de l’homosexualité dans une pratique homosexuelle clandestine et exhibée. Par leur discours scolaire et creux sur l’homophobie, ils contribuent à son extension. Ils agrandissent les mal-être en les privant de mots et en les moralisant de manière manichéenne. Car défendre ou banaliser la pratique homosexuelle, qui est une pratique de l’exclusion de la différence, c’est favoriser finalement sa condamnation.