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Mgr Dubost défend l’hétérosexualité : qu’est-ce qu’on va faire ?

Voilà à quel genre de catastrophes nous arrivons, à cause d’évêques (ici, évêque émérite) qui refusent d’écouter, de se former sur l’homosexualité et l’hétérosexualité, et qui croient tout savoir sur tout. C’est dramatique. Pourtant, ce n’est pas faute de vous l’avoir expliqué : si vous confondez l’hétérosexualité avec la différence des sexes, le diable rentre dans la baraque. Il faut vous le dire en quelle langue???
 

Homosexualité, compagne de la Bête


 

Je crois avoir compris qui est la Bête (de l’Apocalypse) : c’est la transgression du Réel (et de ses 4 rocs : différence des sexes, différence des générations, différence des espaces et différence Créateur-créatures) d’une part, ainsi que l’hétérosexualité (dans son sens bisexuel puis dans le sens du culte de l’altérité absolue au détriment de la différence des sexes – mariage aimant homme-femme – et de la différence Créateur-créatures – à savoir Jésus et l’Église Catholique). Et cette Bête satanique veut prendre sa revanche sur Jésus (après sa défaite sur la Croix il y a 2000 ans) en conviant la terre entière sur le lieu de sa défaite (passée à ses yeux ; future et définitive en réalité) : Israël (l’Armageddon). Tout ceci est illustré dans les films actuels parlant précisément de la Bête : « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn, « La Momie » (2017) d’Alex Kurtzman, « Lucy » (2014) de Luc Besson, « The Last Girl » (2016) de Colm McCarthy, « L’Apparition » (2018) de Xavier Giannoli, « World War Z » (2013) de Marc Forster, « La Bête curieuse » (2016) de Laurent Perreau, « Power Rangers » (2017) de Dean Israelite, « The Jane Doe Identity » (2017) d’André Ovredal, « La Belle et la Bête » (2017) de Bill Condon, « Wonder Woman » (2017) de Patty Jenkins, « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh, « Star Trek » (2017) de Bryan Fuller, et là, le dernier Guillermo del Toro « La Forme de l’eau » que je viens d’aller voir au ciné (un monument franc-maçon !) et où tout ce que je viens d’énumérer est lisible. Au moins dans « L’Apparition », « La Forme de l’eau », « Wonder Woman », « Le Crime de l’Orient-Express », « The Jane Doe Identity », le carton d’invitation vers la Terre Sainte, en lien avec une Bête technologique gay friendly, est clairement donné. Par exemple, dans « L’Apparition » de Giannoli, Jacques, joué par l’acteur Vincent Lindon, prend la jeune voyante Anna pour une lesbienne, lui propose de vivre son hétérosexualité ou son homosexualité latente, et finit son enquête en pleine zone de l’Armageddon, à l’intersection d’Israël, de l’Arabie Saoudite, de l’Irak et de la Syrie (un panneau signalétique est filmé en plein cœur du désert). Dans « Le Crime de l’Orient-Express », le train est figuré comme une Bête technologique démoniaque habitée par un Edward Ratchett (interprété par Johnny Depp) séducteur et androgyne ; et le film débute au Mur des Lamentations. Dans « The Last Girl », la jeune zombie Mélanie, une humaine bestiale, et son institutrice Miss Justineau, tombent amoureuses et forment un couple dit « christique », sur fond de guerre virale high-tech. Dans le film « Wonder Woman », dont l’héroïne est une icône gay bien connue, féminisme, homosexualité, technologie et sionisme sont au menu. Dans le téléfilm « La Bête curieuse », il est question des bracelets électroniques inquisiteurs, présentés comme la Bête, et l’homosexualité féminine y est promue à travers le personnage de Céline. Dans le film « La Belle et la Bête », la Bête est le personnage central et la technologie agit sous la forme de la magie et des images de synthèse… et comme par hasard, le personnage du Fou fait son coming out ! Dans « The Jane Doe Identity », on retrouve dans la bouche de la Bête satanique – incarnée par une sorcière androgyne qui sème la terreur dans une morgue – des manuscrits de la Mer morte cousus ou avalés. Dans le film « La Forme de l’eau », on nous fait croire que la Bête est plus humaine que les humains, et qu’une grande histoire d’Amour peut naître entre une humaine (Elisa) et un amphibien, avec en toile de fond une Guerre Froide technologiste entre États-Unis et Russie centrée sur Israël (« Les Russes détestent les juifs mais ils adorent leurs gadgets » dit cyniquement le méchant du film, Richard Strickland), ainsi qu’une transgression de toutes les différences du Réel (Giles, le meilleur ami d’Elisa, est un vieil homosexuel, draguant les petits jeunes et vivant à travers ses films en noir et blanc). Tout concorde pour relier Bête-Technologie-Homosexualité-Armageddon.
 

Dans une majeure partie de la production cinématographique actuelle, l’homosexualité est particulièrement corrélée à la Bête technologique, présentée comme gentille et comme « victime de l’intolérance aux différences » des anti-diversités, et au sionisme. Le lien entre hétérosexualité et transhumanisme, c’est qu’à travers la promotion de l’homosexualité et de la Différence/Diversité, la Bête veut tuer l’Homme et le transformer en animal, en robot et en ange. C’est ça l’idée de fond. Et il est assez hallucinant que beaucoup de films actuels, sans même que les réalisateurs se soient concertés entre eux, s’acheminent vers la Terre Sainte, avec cette optique de défendre la « diversité » (bisexuelle), en mettant en scène un combat final entre homosexualité et hétérosexualité (entendue pour le coup comme « différence des sexes »), entre un monde dit « d’Amour » et l’Église Catholique (considérée pour le coup comme le mal suprême). Le plus incroyable – et c’est flagrant dans le film « L’Apparition » – est que les bobos francs-maçons libertins et relativistes prétendent avoir la foi, et prétendent être plus catholiques que les catholiques, plus croyants que les croyants. Je me suis longtemps demandé par quel « hasard » l’Humanité allait converger vers l’Armageddon. Eh bien je crois que je tiens une élément de réponse : les antithéistes ont réellement la prétention, en détruisant la religion, d’en créer une autre, plus authentique, et de rendre un culte à Dieu (mais un dieu qui n’est pas Jésus-Christ). Dans leur tête, il faut aller à l’Armageddon pour opérer ce déicide « divin ». Le diable et son armée font le mal et détruisent le Bien, non pas gratuitement, mais pour se présenter à leurs propres yeux comme un nouveau bien réparateur, restaurateur, justicier, sauveur et encore plus divin que Dieu-même. Il est donc logique que la Bête technologique pro-diversité et gay friendly envoie les faire-parts pour l’Armageddon. Aveuglée par son orgueil, elle voit sa défaite comme une victoire. Elle tente le tout pour le tout. Elle pense n’avoir plus rien à perdre. Tout lui serait permis (même le mal) et tout serait purifié, sous prétexte d’Affirmation de Soi, de Justice, et de Lutte contre le « mal » (mal entendu comme le « rejet de toute différence »… y compris le rejet du mal !).

Le Salon Beige ne comprend rien à l’homosexualité, c’est navrant


 

Le Salon Beige (et « Michel Janva ») raconte encore des conneries (cf. l’article ci-joint), même s’il y a quelques intuitions (mais ça fait un moment que je dis que la pédophilie est le faux nez de l’homosexualité et de l’anticléricalisme actuel). Se rendent-ils compte qu’en défendant l’hétérosexualité – en tant qu’idéal ou synonyme de la différence des sexes -, ils intègrent le « lobby gay » qu’ils dénoncent ??

Star Wars, vitrine publicitaire de la Franc-Maçonnerie à la Grande Loge de France


 

Je me suis rendu cette après-midi à la « rencontre publique » dédiée à Star Wars intitulée « Force et Lumière », appelée « triangulaires », qui a eu lieu à la Grande Loge de France (rue de Puteaux)… et non au Grand Orient comme au départ je l’avais cru. Ce qui m’a permis de découvrir un niveau temple franc-maçon ! Chose étonnante : contrairement au GODF, il y a sur les lieux de la GLDF énormément de vestiges catholiques, mais soit détournés (des dessins humoristiques de saints devant une photocopieuse, des croix chrétiennes mais sans référence à Jésus, etc.), soit carrément jetés aux oubliettes (par exemple, la Croix du Christ a fini aux toilettes…). Le temple où s’est tenue la triangulaire est une réplique d’une église catholique, mais sans statues (à la place, il y a des écussons), sans transept, avec des vitraux vides d’illustrations.
 

La Croix… dans les toilettes de la Grande Loge de France


 

Je n’aurai pas le temps de faire un descriptif détaillé des trois topos que j’ai entendus. Seul le premier, celui de Frédéric-Pierre Isoz de Bex, qui est ouvertement franc-maçon, a vraiment retenu mon attention. Les deux autres conférences (de Sébastien Galano, puis celle du Dr Stéphane Sarrade, savant qui se présente comme un « optimiste ») étaient moins riches en informations… mis à part l’étonnant développement du chimiste concernant la bière (Cela confirme ce que j’écris sur le bobeauf catho hétérosexuel et également sur la substitution chez les francs-maçons du Sang du Christ par la bière).
 

 

Néanmoins, voici quelques points qui m’ont marqués dans cette Opération Séduction, et qui viennent compléter mon article sur les liens entre hétérosexualité, Franc-Maçonnerie et Star Wars :
 

– L’orgueil intrinsèque à la Franc-Maçonnerie : Frédéric-Pierre Isoz de Bex a dit que le but de l’initié maçon, c’est de « pratiquer la Justice en devenant sa propre Vérité ».
 

– Les francs-maçons pastichent l’Église Catholique, ne serait-ce que dans les mots et valeurs des bobos cathos : notamment, ils défendent la « transmission » (« La transmission est au centre de l’équilibre de la Franc-Maçonnerie » a déclaré Isoz de Bex), l’« Espérance », la « Vie », la « culture » (qu’ils présentent comme une « contre-culture »), l’« humilité ». La lumière qu’il vénère n’est évidemment pas Jésus mais, selon eux, la « connaissance ».
 

– Les francs-maçons défendent ouvertement l’homosexualité (et c’est un de leurs combats centraux) : Frédéric-Pierre Isoz de Bex a présenté la passion amoureuse, les sentiments humains, comme l’« Amour » suprême : il a affirmé que « l’amour profane qui unit un homme et une femme, ou un homme et un homme, ou une femme et une femme – peu importe – est l’amour absolu ».
 

– Il a été question de « transhumanisme » (« L’Homme augmenté »), d' »états de conscience », donc d’expansions de conscience, de sacralisation de la conscience humaine : « L’esprit est supérieur à la matière. » (Sébastien Galano)
 

– Les francs-maçons honnissent le mot « outil » (logique utilitaire, individualiste, synonyme de « se servir ») pour lui préférer le mot « instrument » (synonyme de « servir »). Dans leur masturbation intellectuelle sophiste, ils aiment bien distinguer des concepts (par exemple « la vie » et « le vivant ») pour prouver qu’ils sont intelligents et gnostiques.
 

– L’« Imaginaire » (l’autre nom du diable) a été maintes fois répété et est vénéré.
 

– Dans la pensée franc-maçonne, il n’y a pas du tout de place faite au pardon (contrairement au catholicisme, où l’ennemi reste un frère, est humanisé, recherché et pardonné). Selon Frédéric-Pierre Isoz de Bex, par exemple, « Dark Vador n’est rien. Le mal est anonyme. En Franc-Maçonnerie, pour nous, servir nos mauvais compagnons, c’est nous dissoudre ». L’ennemi est « désubjectivé », annihilé au sens propre du terme : il perd son statut de sujet et de personne.
 

– La Franc-Maçonnerie refuse l’Esprit Saint et la prière : « La paix ne se gagne pas uniquement par la prière. » (Frédéric-Pierre Isoz de Bex a sorti cette phrase, et a été copieusement applaudi). Elle refuse encore plus l’activité des hommes et des femmes de prière. « L’ascétisme conduit à la mort. » (Frédéric-Pierre Isoz de Bex) Les francs-maçons s’intéressent à l’Apocalypse, qu’ils appellent « Le Livre de Jean », mais écartent son « interprétation confessionnelle » (autrement dit sa version catholique), pour ne voir l’Apocalypse que comme un livre de symboles et de mythes. On sent dans leur discours un profond anticléricalisme, une haine de l’Église Catholique Institution.
 

– La Franc-Maçonnerie refuse les limites et surtout la notion d’inéluctabilité, d’irréversibilité, d’arbitraire christique, refuse toute idée de finitude, et la radicalité du Jugement Dernier de Jésus. Selon les francs-maçons, rien n’est établi, rien n’est définitif. Ils vouent un culte à l’absence de regrets (il ne faut surtout rien regretter!! Ce serait un terrible aveu de culpabilité !! La culpabilité, vous savez, cette horreur qu’auraient créée les catholiques…), ou bien un culte à la « Deuxième Chance » (leitmotiv du téléfilm Joséphine ange gardien ; bizarrement, il n’est jamais question de la troisième, la définitive, celle donnée par Jésus), un culte au « Il n’est jamais trop tard ». Leur refus du jugement, et plus profondément du Jugement Dernier (où il y aura un « C’est trop tard » qui générera une joie éternelle ou des pleurs et des grincements de dents éternels aussi) est leur orgueil. Il y aura une Fin des fins. Pas de rattrapage (Le rattrapage du purgatoire est déjà le Salut). La Porte du Royaume se refermera (à l’entrée du purgatoire et du Ciel). Et pour toujours. C’est la radicalité de la Croix. C’est la Justice tranchante de la Vérité-Charité qui est Jésus. Il n’y a pas d’Amour sans Justice, sans séparation nette, radicale et définitive entre le Bien et le mal.
 

 

Dans l’assistance, quand les questions des néophytes profanes fans de Star Wars étaient trop orientées sur le film en lui-même, et que Star Wars perdait son statut de prétexte publicitaire pour imposer discrètement l’idéologie maçonnique, étaient préposés au recadrement et au recentrement du débat sur l’objectif final – FAIRE CONNAÎTRE LA FRANC-MAÇONNERIE – différents initiés dispersés savamment dans la salle. Ces derniers avaient été, je crois, préalablement briefés à ce dressage, et je parie que la grande majorité des auditeurs profanes n’a vu que du feu à cette manipulation, au lavage de cerveaux, et à l’obsession chez leurs hôtes d’absolument faire fusionner la saga Star Wars avec la « grandeur » de la Franc-Maçonnerie. Beau moment « convivial » de manipulation de masse !
 

 

Photo que j’ai eu le temps de prendre avant qu’un des vigiles-Cerbère, furax, ne me l’interdise…

La Franc-Maçonnerie parraine Star Wars… oh quelle surprise…


 

On (dont beaucoup de cathos tradis beaufs) me prend parfois pour un parano, avec mes histoires d’Antéchrist et de Franc-Maçonnerie. Comme si je les voyais partout où ils ne seraient pas. Mais regardez : ils ne se cachent même plus! Le 3 février prochain, à la Grande Loge de France, ils organisent carrément des portes ouvertes gratos sur le thème de « Star Wars », comme je l’avais annoncé depuis longtemps avec le prisme de l’hétérosexualité. Je pense que j’irai… même si je déteste « Star Wars » et son pouvoir d’attraction beauf hétérosexuel.

Publication de mon nouveau livre : HOMO-BOBO-APO !


 

Chers amis,
 

J’ai l’honneur de vous présenter mon nouveau livre : Homo-Bobo-Apo ! Vous pouvez le télécharger en version papier payante dans la boutique Kindle, ou bien le lire gratuitement ici sur écran sur le lien suivant (HBA français). L’épilogue du livre (« Homosexualité : Et si l’Église avait tort ? ») a été rajoutée dans le PDF et l’audio. Par ailleurs, vous pouvez également commander la couverture en poster, si vous voulez 🙂 : elle a été réalisée par le talentueux graphiste Rael-Miguel ! Vous pouvez aussi écouter en audio sur YouTube.
 

Mon livre devait être publié initialement aux éditions Pierre Téqui… mais comme visiblement on ne peut plus toucher aujourd’hui ni aux mouvements pro-Vie ni aux évêques, je le publie en auto-édition. Vu l’état actuel du journalisme et des maisons d’édition dits « catholiques », je ne me battrai pas. Ce n’est pas grave: c’est même un honneur pour moi d’avoir été refusé à cause de ma critique du cardinal Sarah, très franchement !
 

Comme ce livre est censuré, vous devinez bien que vous êtes ma seule communication et pub. Je compte sur vous pour le faire connaître. D’autant plus que je doute, vu les thématiques abordées (homophobie, Franc-Maçonnerie à l’intérieur de l’Église, Fin des Temps), que je sois invité en conférence ou sur des plateaux télé.
 

J’aurais aimé avoir le temps de traduire ce livre en espagnol avant mon voyage au Pérou du 1er au 10 octobre (la traduction est à 21 % : HBA español). Mais ça semble compromis. Dommage car il clarifie et synthétise tous mes livres et mon blog.
 

 

Avis à la population (au sujet de la Marche Pour La Vie)

Avis à la population : je vire tout contact qui fait la promotion sur les réseaux sociaux de la Marche Pour La Vie de dimanche. Et j’espère bien qu’il va y pleuvoir, pour que les mouvements pro-Vie comprennent enfin qu’ils se plantent de combat et font le jeu du transhumanisme qu’ils prétendent dénoncer en niant l’alibi principal de la PMA/GPA/euthanasie/Intelligence Artificielle : la bipolarité hétérosexualité-homosexualité. Vivement qu’ils se cassent la gueule !
 

N.B. : La Vie ne devient pas un « droit » de ne pas être un choix. C’est absurde. La Vie est Jésus, est un don. La Marche Pour La Vie singe sans se rendre compte l’esprit du monde.
 

La passion pour la Passion

 

Il m’est difficile de résumer tout ce que j’ai à dire. Mais j’ai bientôt fini le visionnement complet des épisodes de Joséphine ange-gardien, et je suis obligé, avant de me mettre à l’écriture (pour la synthèse), de revoir les premiers épisodes que j’avais regardés au départ d’un oeil distrait, sans la grille de lecture et les tics de langage que j’ai découverts sur le tard.
 

Je vais mettre également en résonance tous les messages de la série avec la propagande franc-maçonne de la « seconde chance » et le véritable lavage de cerveau actuel (basé sur des mots comme « projets », « rêves », « engagement », « passion », « construction », « énergie », « Force », « chance », « volonté », « combattivité », « changement », « regard », etc.) que j’entends notamment dans la nouvelle horrible campagne de la Française des Jeux (vidéo 1 ; vidéo 2 ; vidéo 3 ; vidéo 4 ; vidéo 5 ; vidéo 6)
 

Nous arrivons au temps de la passion pour la Passion. Sauf que deux camps vont s’opposer clairement : ceux qui vont vivre concrètement la Passion du Christ, et ceux qui vont vouloir se consacrer corps et surtout âme à leur(s) passion(s), c’est-à-dire à eux-mêmes.
 

Le mot « passion » est, par ailleurs, un leitmotiv de Joséphine Ange gardien. Et le diable est en ce moment en train de dévier ce concept du Christ vers la volonté individuelle mondialisée.

Nomination de Mgr Aupetit

 

Mgr Aupetit défendait il y a encore peu l’Union Civile et confondait la différence des sexes avec l’hétérosexualité. Ça vous donne une idée de ce que je pense de sa nomination en tant qu’archevêque de Paris. L’hétérosexualité est le pilier idéologique de la Franc-maçonnerie (comme je le démontre dans Homo-Bobo-Apo). Voilà. Nous avons les deux pieds dans la merde, amis catholiques.

Elisabeth Schemla n’a pas écouté mes conseils


 

Elisabeth Schemla sort son livre Les homos sont-ils des hétéros comme les autres ? (Éditions de l’Observatoire). Je constate, suite à notre entretien personnel, qu’elle m’a pris pour un ascète-extraterrestre et un ennemi de la sexualité (que je ne suis pas), et qu’elle n’a absolument pas tenu compte de ce que je lui ai dit sur l’hétérosexualité : elle est partie bille en tête sur son idée que l’homosexualité et l’hétérosexualité étaient différentes, alors qu’elles sont synonymes. Triste. Encore un livre inutile sur le sujet, qui va taper sur les conséquences (PMA, GPA, le « lobby gay ») dont il chérie les causes (« l’identité homo », « l’Amour homo »). Pourtant, j’avais bien expliqué. Mais quand quelqu’un veut justifier l’ « amour » homo pour en réalité régler ses comptes avec la sexualité d’une part, l’Église d’autre part, et enfin la communauté homosexuelle, en se servant de l’homosexualité, difficile de le faire changer d’avis. En tout cas, j’aurais essayé. Et le journal Causeur, bobo à souhait, cautionne cette contradiction. Évidemment.