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Le Pape François n’a rien compris à l’idéologie du Gender / El Papa no ha entendido nada de la ideología de Género


 

Es un desastre (cf. véanse este articulo). No es esto, la ideología de género. El Papa no ha entendido nada. Y me parece que Aciprensa tampoco.
 

1- La ideología de género no busca borrar la diferencia sexual entre hombre y mujer : pretende justamente sacralizarla y abrirla.
 

2- La ideología de género no es una « colonización ideológica » : se tiene que nombrar el mal. ¡ La palabra « ideología » en sí ES ideológica si no se nombra su verdadero nombre, es decir la heterosexualidad ! El Gender ES la heterosexualidad.
 

3 – No es cierto que la ideología de género presenta una sociedad sin diferencias de sexo y vacía el fundamento antropológico de la familia. Eso, son esloganes natalistas sin fundamento y alejados de la realidad. Esta ideología de género no quiere destruir sino añadir. No trata de borrar la diferencia de sexos en absoluto. Sólo la transforma en opción.
 

4 – La ideología de género no se exporta desde Europa (y la palabra « confusión » es confusa) : decir eso es una estupidez antieuropeista o antioccidental. La ideología de género viene de la palabra « heterosexualidad » que ha sustituido la diferencia de sexos. Viene del pecado original. No tiene origen geográfico ni humano. Tiene un origen sobrenatural.
 

5 – No tiene sentido decir « Cancelar las diferencias sexuales es dar un paso atrás ». Sólo hay una diferencia sexual : el ser hombre o ser mujer. Y la jerga del progresismo (« dar un paso atrás ») es la jerga del mundo.
 

6 – « Denunciar la ideología de género no implica negar ayuda o compañía a los homosexuales » : No necesitamos ni ayuda ni acompañamiento, sino vocación. Además, no somos « los homosexuales », sino personas ! Y decir este tipo de frases huecas muestra que el Papa se interesa más por la presunción de homofobia, es decir la imagen y su propia fama o por los ataques, que por las personas homosexuales o la resolución de la verdadera homofobia.
 

¡¡¡ Qué vergüenza !!!
 
 
 
 

C’est un désastre. Ce n’est pas ça, l’idéologie du Gender (cf. l’article du Pape). Le Pape n’a rien compris. Et je pense que Aciprensa non plus.
 

1- L’idéologie du Gender ne cherche pas à effacer la différence sexuelle entre l’homme et la femme: elle vise précisément à la sacraliser et à l’ouvrir.
 

2- L’idéologie du Gender n’est pas une « colonisation idéologique »: il faut nommer le mal. Le mot « idéologie » est lui-même idéologique si personne ne dit son nom, c’est-à-dire l’hétérosexualité ! Le Gender EST l’hétérosexualité.
 

3 – C’est faux de dire que l’idéologie du Gender veut d’une société sans les différences des sexes et ôte le pilier anthropologique de la famille. Ça, ce sont des slogans natalistes sans fondement et éloignés de la réalité. L’idéologie du Gender ne veut pas détruire mais construir et ajouter. Elle n’essaie pas du tout d’effacer la différence des sexes. Elle prétend juste en faire une option.
 

4 – L’idéologie du Gender n’est pas, comme le prétend le Pape François, une exportation européenne (et le mot « confusion » est confus) : dire cela est une bêtise anti-européenne et anti-occidentale. L’idéologie du Gender vient du mot « hétérosexualité » qui a remplacé la différence des sexes. Elle vient du péché originel. Elle n’a aucune origine géographique ou humaine. Elle a une origine surnaturelle.
 

5 – Ça n’a pas de sens d’affirmer « Annuler les différences sexuelles est faire un pas en arrière« . Il n’y a qu’une seule différence sexuelle : être un homme ou être une femme. Le jargon du progressisme est le jargon du monde.
 

6 – « Dénoncer l’idéologie du Gender ne signifie pas nier l’aide ou l’accompagnement aux homosexuels » : Nous n’avons pas besoin d’aide ou d’accompagnement, mais de vocation. De plus, nous ne sommes pas « les homosexuels », mais des personnes ! Et ce genre de phrases creuses illustre que le Pape est plus intéressé par la présomption d’homophobie, par l’image, par sa propre réputation ou par les attaques, que par les personnes homosexuelles ou la résolution de la véritable homophobie.
 

Quelle honte !!! C’est vraiment proche, cette Fin des Temps.

Os advierto en cuanto al cardenal Sarah (je vous avertis à propos du cardinal Sarah)

Os había advertido pero no me habéis escuchado : si respaldáis a este impostor de cardenal Sarah, os quito de mi lista de contactos Facebook. ¿ Me habéis oído bien ? Ya se han ido 4 personas más. ¡ Basta ya de ceguera y de estupidez !
 

Je vous avais prévenus mais vous ne m’avez pas écouté : si vous soutenez cet imposteur de cardinal Sarah, je vous enlève directement de ma liste de contacts Facebook. Est-ce que c’est clair ? 4 personnes supplémentaires ont déjà viré. Ça commence à bien faire, cet aveuglement et cette bêtise !

Journal de l’Antéchrist, du 16 novembre 2017

J’ai un milliard de choses à vous dire et à faire. Je ne sais pas comment je vais m’en sortir (haha !), mais j’ai la joie de Jésus au cœur, donc tout va bien !
 

J’ai appris plusieurs bonnes nouvelles : je vais témoigner à Orléans en décembre prochain ; je serai aussi l’invité (pour la première fois) à Radio Courtoisie en décembre ; je suis invité à Louvain-la-Neuve (Belgique) en mars 2018 ; et je témoignerai au Festival d’été du Chemin Neuf « Welcome to Paradise » (Hautecombe) en août.
 

Et là, dans les semaines qui viennent, je vais me lancer dans la finalisation de mon livre L’homosexualité en Suisse, puis sur un autre livre qui me tient à cœur, L’homosexualité dans la série Joséphine Ange-Gardien. Peut-être que ça débordera sur la série Demain nous appartient. Vu le nombre de fois que je suis allé en Belgique, je pense qu’un nouveau livre L’homosexualité en Belgique se profile aussi, mais pour plus tard. Et j’aimerais beaucoup, entre-temps, enregistrer en audio mon livre Homo-Bobo-Apo un jour (il n’existe pour l’instant qu’en version papier).

 

À propos de ce dernier, quand je constate actuellement les efforts que le Gouvernement Mondial déploie pour nous obliger (sans que nous nous en rendions compte) à avoir à tout prix un téléphone portable (et donc la puce électronique) et à nous y identifier, je me pose la question du « Comment va-t-on réussir à nous débarrasser du téléphone quand nous le souhaiterons ? ». À moins d’avoir un potager, d’être célibataire, ou d’avoir un compte en banque vide, je ne sais pas comment quelqu’un va réussir à vivre sans téléphone, sachant que maintenant, notre portable devient notre banque (de plus en plus de banques veulent que nous télécommandions notre compte à partir de notre portable), devient notre main (avez-vous vu les nouvelles publicités de soirées jeux vidéos où tout un public de « gamers » se sert de son téléphone portable comme d’un joystick ?). Va-t-on avoir, à un moment donné, la possibilité de nous passer du portable, et si oui, dans quelle condition et à quel degré de renoncement (autre que la mort) ? Je me pose la question. Le téléphone portable va bientôt demander à faire corps avec notre corps, comme il cherche désormais à faire corps avec notre banque.
 

Enfin, dernière chose que je voulais vous dire : j’ai regardé en replay l’émission Zone Interdite spéciale « transgenres », diffusée dimanche dernier sur M6. Ce n’est que le début d’une longue série d’émissions de vulgarisation et de banalisation de la transidentité et de la transition puisque mercredi prochain, 22 novembre, sur la chaîne France 2, va passer un téléfilm – « L’Épreuve d’amour » – sur la question transsexuelle, suivi d’un débat sur la question « transgenre ». Et sur Anal + arrive la série Vernon Subutex. Au-delà de la gravité du phénomène et de la peine qu’il peut générer, je mesure ma chance de connaître personnellement des amis transgenres/transsexuels, et de pouvoir débriefer/critiquer/commenter/confronter ensemble nos impressions sur ces reportages. Là, je viens d’avoir un coup de téléphone avec l’un d’eux. C’est une joie de pouvoir parler librement, et de comprendre à deux la perversion de ces émissions qui nous dressent un tableau idyllique de la transition/réassignation/dysphorie tout en nous mentant sur la réalité de la transidentité (suicide, isolement, risques décuplés d’embolie et de cancers, drogues, exploitation, fausses amitiés, business, prostitution, possible ratage d’opérations, haine du corps, problèmes du passé non réglés, viol, etc.) et de l’homosexualité par la même occasion. Jésus m’a permis de ne pas approcher le phénomène social et médiatique à distance, comme un fait désincarné, effrayant et désespérant, mais de le rattacher à des personnes, des amitiés, une relation belle, un accompagnement mutuel, la chaleur d’une fraternité et de la Vérité.

J’aime le milieu homosexuel


 

J’aime le « milieu homosexuel », j’aime mes amis et frères homos, j’aime la communauté LGBT et sa culture, j’aime cet univers (même si je n’en cautionne pas toutes les pratiques, et loin de là), je ne méprise pas les manifestations collectives homos ni les goûts de mes amis ni leur histoire commune, j’aime ceux qui s’intéressent aux personnes homosexuels et à leur monde et qui ne nous rejettent pas.

Conférences en Suisse (les premières dates), du 9 au 14 novembre 2017


 

Je m’excuse auprès des Suisses qui m’ont invité précédemment en conférence dans leur pays. Avant d’avoir potassé sur l’homosexualité en Suisse, je vois maintenant que j’étais arrivé un peu en touriste. À présent, j’ai suffisamment travaillé pour être capable de leur proposer le contenu qui pourrait carrément composer 7 soirées très différentes, et vraiment ciblées sur la Suisse :
 

– Les particularités de la Suisse par rapport à l’homosexualité

– Chronologie de l’homosexualité en Suisse

– Législation homosexuelle en Suisse

– Catholiques suisses et homosexualité : le retour de copie

– Protestants suisses et homosexualité

– Homosexualité dans les écoles en Suisse

– Homosexualité et télé suisse
 

Et bien sûr, une conférence sur les définitions (plus généraliste et pas spécialement helvète) de l’homosexualité : « sexualité », « homosexualité », « hétérosexualité », « homophobie », « transidentité », « jargon ridicule des pro-Vie », « gravité de l’Union Civile ». Un peu le passage obligé.

Elisabeth Schemla n’a pas écouté mes conseils


 

Elisabeth Schemla sort son livre Les homos sont-ils des hétéros comme les autres ? (Éditions de l’Observatoire). Je constate, suite à notre entretien personnel, qu’elle m’a pris pour un ascète-extraterrestre et un ennemi de la sexualité (que je ne suis pas), et qu’elle n’a absolument pas tenu compte de ce que je lui ai dit sur l’hétérosexualité : elle est partie bille en tête sur son idée que l’homosexualité et l’hétérosexualité étaient différentes, alors qu’elles sont synonymes. Triste. Encore un livre inutile sur le sujet, qui va taper sur les conséquences (PMA, GPA, le « lobby gay ») dont il chérie les causes (« l’identité homo », « l’Amour homo »). Pourtant, j’avais bien expliqué. Mais quand quelqu’un veut justifier l’ « amour » homo pour en réalité régler ses comptes avec la sexualité d’une part, l’Église d’autre part, et enfin la communauté homosexuelle, en se servant de l’homosexualité, difficile de le faire changer d’avis. En tout cas, j’aurais essayé. Et le journal Causeur, bobo à souhait, cautionne cette contradiction. Évidemment.

Le désintérêt pour l’homosexualité


 

Je regarde un documentaire suisse de personnes homosexuelles des années 1970 interrogées sur leur vie, leurs sentiments, leur homosexualité. C’est rare et beau. Aujourd’hui, les reportages et les journalistes n’en ont rien à faire de nous : ils ne s’intéressent qu’aux lois politiques qui passent en notre nom. Notre personne, notre vie, et finalement l’homosexualité, ils s’en moquent complètement.

Entrevista en tele EWTN de Perú el 14 de octubre de 2017


 

Pueden escuchar mi entrevista sobre « Homosexualidad y Iglesia Católica » (3 minutos : de 19′ hasta 22′) en el noticiario de la tele EWTN rodada durante mi estadía en Lima (Perú) y difundida por toda América Latina. Agradecimientos a Isabel (la presentadora) y al periodista de primera David Ramos.
 

(Publicándola, me doy cuenta que han censurado mi llamamiento final a la denuncia de la Unión Civil. Eso quiere decir que ésta desgraciadamente va a pasar en Perú y en toda América Latina dado que se desprecia/ahoga la dimensión política e internacional de la homosexualidad… Yo explicaba que Unión Civil y el « matrimonio gay » eran una misma ley, y que había que avisar al Papa Francisco para su próximo viaje a Perú ya que él mismo todavía no hace la correlación entre ambas leyes. El diablo, por desgracia, es fuerte para callar lo más importante… Prefieren guardar el aspecto « testimonio » individual, sin ver el mundo tal como es.)
 

Vous pouvez écouter mon interview sur « Homosexualité et Église Catholique » (3 minutes : à partir de la 19e minute) au journal télévisé de EWTN tournée pendant mon séjour à Lima (Pérou) et diffusée sur toute l’Amérique Latine. Remerciements à Isabel (la présentatrice) et au journal de compète David Ramos.

Une nouvelle fois, le site CitizenGo dérape et emploie les mauvaises méthodes


 

Je découvre avec désolation que le lobby français pro-Vie imite les méthodes de groupes ultra-conservateurs pro-Vie espagnols tels que Hazte Oír et CitizenGo (qui s’annoncent comme « catholiques »), en défilant dans un bus (#FreeSpeachBus) portant des inscriptions anti-Gender totalement natalistes, inefficaces et inconsciemment homophobes car le mot « Gender » (jamais associé à ce qu’il est vraiment, c’est-à-dire à l’hétérosexualité) remplace le mot « homosexualité » ainsi que son analyse. Et je suis doublement navré de découvrir que Axel et Alix Rokvam, Stéphane Duté, Émile Duport et même Frigide Barjot soient derrière cette pathétique initiative. Même si je ne suis pas vraiment étonné. Je suis, pour une fois, d’accord avec Anne Hidalgo : ce bus, en plus d’être inutile et d’accentuer la confusion, procède d’une réelle homophobie. Il n’a rien à faire en France.

La mousse de la bière continue d’inonder l’Église


 

Ce n’est pas qu’une blague, ce que j’écris sur le boboïsme et l’inquiétant remplacement actuel du Sang du Christ par la bière, dans mon nouveau livre HOMO-BOBO-APO. C’est du concret. Je l’entends même sur les réseaux sociaux de la part de jeunes soeurs consacrées et de jeunes prêtres catholiques qui essaient de se la jouer cools et qui s’hétérosexualisent façon FASM ou Star Wars, en créant des soirées Adora Mousse par exemple. Ils entrent sans s’en rendre compte en Franc-Maçonnerie. J’ai vraiment de la peine de ne pas être lu assez.
 

 

Par ailleurs, à la veille de partir au Pérou, mon coeur est déchiré aussi en voyant la fermeture et le moralisme de certains évêques et cardinaux catholiques (ex : Mgr Sarah, Mgr Munilla, Mgr Chaput, etc.), prompts à lyncher une personne, à condamner les actes homosexuels, à rappeler ce qu’il faut faire et faut vivre, mais qui d’un autre côté, en parfaits pharisiens, nous censurent nous personnes homosexuelles continentes, n’aiment pas, ne proposent rien (ils ne font que nous renvoyer à ce que dit le Catéchisme de l’Église Catholique, en nous expliquant que tout a été dit et que ça ne peut pas être développé ni dit autrement, de manière plus joyeuse, incarnée, universelle.