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L’Hétérosexualité est la Bête de l’Apocalypse


 

En ce moment, la Bête apparaît partout et ne se cache même plus. Monstres, zombies, dragons, spectres, robots extra-terrestres, animaux tantôt féroces tantôt gentils… La Bête est devenue en un rien de temps notre personnalité, notre modèle mondial, notre maîtresse, notre amante, notre arme secrète, notre conscience, et l’icône de la diversité, de l’identité et de l’Amour pluriels, donc en gros l’ambassadrice de l’hétérosexualité.
 

 

En effet, l’hétérosexualité est le culte des différences, de toutes les altérités au niveau de la sexualité. D’ailleurs, comme vous allez le découvrir dans cette vidéo, il est étonnant de voir le nombre de films et de pubs actuels qui célèbrent la Bête, notamment la Bête technologique, ainsi que son image et sa marque ou griffe (le fameux « 666 » sur la main droite et sur le front, autrement dit la puce électronique décrite dans le livre biblique de l’Apocalypse, en Jn chapitre 13), en lien avec l’homosexualité. Homosexualité qui sera rarement nommée – elle est juste suggérée sur un panel de variété – mais qui portera le nom social et marketing masqué de l’hétérosexualité, à savoir la « diversité » (et suivent après, bien d’autres nom : « pluralité », « variété », « », « respect », « égalité », « tolérance », etc.).
 

 

 

 

 

Pour comprendre que l’hétérosexualité est le diable déguisé en différence des sexes et en diversité, et qu’elle est l’homosexualité cachée, revenons d’abord aux origines du concept.
 

1) Étymologie et histoire de l’hétérosexualité :
 

 

Quand je vous dis « hétérosexualité », vous entendez en réalité deux mots : « hétéro », qui vient du grec, et qui signifie « autre » ; et « sexualité », qui vient du latin « secare » (couper) et qui signifie également « autre ». En fait, en prononçant ce mot salade qui mélange du grec et du latin, sans le savoir, vous dites deux fois la même idée (autre/autre) : c’est un terme-piège qui contient sa propre redondance. Si nous étions logiques, pour parler de la différence homme-femme, nous ne devrions utiliser que le vocable « sexualité ». Mais comme, depuis 150 ans, le monde a perdu le sens de la sexualité et du Réel, il confond la sexualité avec l’hétérosexualité, cette dernière renvoyant à un comportement sexuel (en général violent) et à une orientation sexuelle calquée sur l’homosexualité. C’est historique, ce que je vous dis : le terme « homosexualité » a été créé pour la première fois en 1868, et le terme « hétérosexualité » un an après, en 1869 : 69, c’est facile à retenir… Maintenant, dans la tête des gens, y compris des catholiques, l’hétérosexualité équivaut à la différence des sexes, serait son synonyme ; et le monde ne se diviserait plus entre hommes et femmes, mais entre hétéros et homos (et les bis, pour faire la navette de l’hétérosexualité vers l’homosexualité).
 

Autre-Autre ! L’hétérosexualité, en gros, c’est une sexualité ou altérité forcée. D’ailleurs, les hétéros sont des caricatures vivantes et cinématographiques de la virilité et de la féminité, de la parenté. L’hétérosexualité n’est pas forcément opposée à la formation d’une famille. Elle peut être le support d’une idéologie familialiste et nataliste (La Manif Pour Tous l’a bien prouvé, puisque tous ses slogans étaient hétérosexuels : ils prônaient la différence en soi, la différence des sexes en soi, l’enfant et la famille comme des absolus et des fétiches). Mais en tout cas, l’hétérosexualité défend un mariage de façade et imposé, une différence des sexes productive et procréative mais sans amour.
 

 

Plus globalement, l’hétérosexualité défend les différences en soi. Elle est une sacralisation de l’ensemble des altérités au niveau de la sexualité, donc une célébration de toutes les sexualités, y compris l’homosexualité, au détriment de la différence des sexes et de la différence Créateur/créatures à savoir Jésus et l’Église Catholique. D’ailleurs, vous tapez « hétérosexualité » ou « diversité » sur Internet : vous ne tombez que sur des trucs homos. En réalité, l’hétérosexualité n’est qu’une pansexualité (le préfixe « pan » en grec signifie « tout »).
 

 

Déjà, l’origine historique du terme « hétéro » est bisexuelle : à la fin du XIXe siècle, les personnes qui se déclaraient « hétéros » – c’est écrit sur les manuels scientifiques de l’époque – se définissaient elles-mêmes comme des personnes attirées par les deux sexes, et défendaient « l’amour libre », en deçà des institutions d’Église et d’État. On retrouve aujourd’hui une forte résurgence de cette bisexualité historique du terme « hétéro » puisque vous remarquerez que ceux qui se présentent comme « hétéros » sont en réalité très gays friendly, très bisexuels, pro-mariage gay, et font parfois des coming out à la surprise générale. Ce sont eux, et non les personnes homos, qui ont défendu le « mariage » homo. Nous, on n’a rien demandé ! L’hétérosexualité est le pilier idéologique de l’homosexualité, son jumeau terrible et son alibi. Toutes les lois pro-gays sont adoptées au nom de « l’hétérosexualité » (c’est ce qui vient de se passer au Chili : Madame Bachelet, pour imposer le « mariage gay » à tous, s’est avancée avec le mot « hétérosexualité » pour revendiquer une « égalité » et une équivalence entre hétérosexualité et homosexualité… et le pire, c’est que cette équivalence est réelle ! ; en 2013 en France, Madame Taubira s’était également value de « l’hétérosexualité » pour justifier le « mariage homo », dans le journal La Croix : « Je ne me vois pas refuser l’adoption aux couples homos puisqu’elle est donnée aux couples hétéros. »).
 

 

 

 

À ce propos, le « lobby LGBT » n’a jamais été le lobby gay, contrairement à ce que les militants pro-Vie et les médias croient : le lobby LGBT, c’est le lobby hétéro. J’en tiens pour preuve que les seules institutions internationales défendant les « droits homos » dans le monde (Gay Straight AllianceGSA – à Bruxelles, aux Pays-Bas, aux États-Unis ; ILGA en Suisse et partout dans le monde) ne parlent quasiment jamais d’homosexualité, se présentent au contraire sous la bannière de la diversité, de l’égalité, des phobies ou de la lutte contre les discriminations ; et les rares fois où ils sont attaqués et taxés de prosélytisme homosexuel, ces organismes sortent leur joker de l’hétérosexualité. Erwann Binet, François Hollande, Najat Vallaud-Belkacem, Justin Trudeau, par exemple, s’annoncent hypocritement comme des défenseurs de la cause gay parce qu’ils seraient des « hétéros désintéressés ». « LGBT » (Lesbien, Gay, Bi, Trans) et « hétérosexualité », ça rime. Et le « H » d’Hétérosexualité est paradoxalement la seule lettre qui manque à ce sigle à rallonge, car elle englobe tacitement toutes les autres lettres, en fait.
 

 

Chose curieuse : la diversité hétérosexuelle prend très souvent dans les films la forme ludique du Rubik’s Cube (vous savez, ce cube à 6 faces colorées des années 80 ; en gros, sous prétexte de diversité, on nous met en boîte, le monde est transformé en cube et en puce). Ou bien elle prend la forme esthétique de l’arc-en-ciel, la forme romantique de « l’amour », la forme solidaire de la « diversité », ou bien la forme révoltée et pseudo engagée de la « rébellion » et de la « lutte contre les discriminations et contre les règles ». Dans les médias et le langage, il existe plusieurs synonymes d’« hétérosexualité » : pluralité, diversité, variété, différences, ouverture, changement, discriminations, droits, égalité, chances, rêves, amours, passions, rébellion, anticonformisme et anti-règles, etc. Beaucoup de catholiques nous bassinent actuellement avec leur dénonciation de l’idéologie du Gender, cette idéologie qui remplace le sexe par le genre, et qui nierait la différence des sexes… mais ils n’ont toujours pas compris que le Gender d’une part était une idolâtrie pour la différence des sexes (non une haine ou un rejet), et d’autre part que le Gender était l’hétérosexualité, c’est-à-dire le culte des différences et du ressenti/de la volonté individuels (Je suis qui je veux, j’aime qui je veux, et ma perception, mes sentiments, ma subjectivité, ma volonté personnelle, mes bonnes intentions, mes projets, sont rois !). Elle est un totalitarisme de l’individualisme tout-puissant. L’hétérosexualité est le culte à la différence. On est en plein dedans actuellement. Comme par hasard, la dernière cérémonie de l’Eurovision en 2017 avait choisi pour slogan « Celebrate Diversity ». L’hétérosexualité est le dieu « Diversité ». Selon sa logique, toute différence serait bonne en soi (même des différences mauvaises, même des fausses identités). L’hétérosexualité, c’est l’idolâtrie pour l’altérité… en sachant que « l’Autre » est un des noms du diable dans la Bible… donc elle est bien un culte satanique.
 

 

 

Pour résumer, l’hétérosexualité est, je le dis très sérieusement, le diable déguisé en différence des sexes. Les rares fois où j’entends le mot surgir pendant mes conférences, je sais que le diable sort de sa cachette, et que la personne qui s’énerve contre moi n’a que l’argument de l’« hétérosexualité » comme excuse pour contredire mon discours sur l’homosexualité ou pour quitter la salle. Elle ne sait pas encore que j’ai créé en 2013 un blog CUCH – Catholiques Unis Contre l’Hétérosexualité – en parallèle de l’Araignée du Désert, blog qui n’est absolument pas une blague. Je le sais et je peux le prouver : ceux qui défendent l’hétérosexualité ont un rapport blessé et haineux avec leur identité, la sexualité, le mariage et l’Église Catholique, et essaient de maquiller cette vengeance en justifiant l’homosexualité et les lois pro-gays. La gravité de l’Union Civile (qui est le mariage gay = ces deux lois incarnent la même réalité intentionnelle de justification de « l’amour » homo en tant qu’« amour universel ») repose principalement sur le fait que le partenariat civil est la première loi mondiale basée sur l’hétérosexualité, et qui a inauguré une nouvelle humanité, un nouvelle sexualité : l’Union Civile est une déshumanisation (y compris des personnes homos) de l’Humanité par voie légale. C’est pourquoi nous ne pouvons pas nous dire contre le « mariage gay » et pour l’Union Civile. Ces deux lois sont symboliquement homicides et homophobes.
 

 

Enfin, je crois que l’hétérosexualité est le pilier idéologique inconscient de la Franc-Maçonnerie internationale, puisque les loges francs-maçonnes défendent l’altérité absolue, l’anticonformisme total, et toutes les différences sans distinction. « Les différences sont nos richesses » bêlent les initiés. D’ailleurs, personne ne sera étonné qu’Emmanuel Macron, l’un des pontes de la Franc-Macronnerie mondiale, prétende (je le cite) « défendre la différence complète et radicale » (il a déclaré cela le 13 mars 2017 sur le plateau du Journal Télévisé de TF1). Et lors de son passage à Delhi, il a même appelé la jeunesse indienne à « n’acceptez aucune règle ». Avec Macron, on est en plein dans la rhétorique de l’hétérosexualité qui nie les vraies différences fondatrices de l’Humain (la différence des sexes et la différence Créateur-créatures), et donc dans la Franc-Maçonnerie.
 

 

Et si tout ce que je vous dis vous paraît capillotracté, ou parano, croyez au moins l’Église Catholique. Jusque dans les années 1975, les pères conciliaires du Concile Vatican II continuaient de condamner l’hétérosexualité comme une « perversion » et une sexualité hors mariage, au même titre que l’homosexualité active. L’Église Catholique n’a jamais défendu l’hétérosexualité. Le problème est qu’aujourd’hui, elle ne la dénonce pas non plus comme le diable en personne. C’est pourquoi il nous faut parler de l’hétérosexualité quand même, y compris si c’est un mot pourri et impropre à qualifier la sexualité. Sinon, au nom d’un humanisme intégral, d’un purisme de la Vérité autour du discours théologique sur la sexualité et le corps, nous ne nommons plus le mal, nous le laissons faire, et nous répétons le rengaine du monde boboïsé qui nie autant qu’il promeut ce libertinage généralisé qu’est l’hétérosexualité, en tenant le propos relativiste suivant : « Homo, hétéro, bis, tout ça, ce sont des étiquettes marchandes : c’est trop sexuel, c’est des comportements, c’est pas des identités. L’hétérosexualité, l’homosexualité, c’est l’amour tout court, c’est la diversité, c’est à l’appréciation de chacun. » L’hétérosexualité existe, au moins en tant que croyance et en tant qu’idéologie politisée planétaire. Nous ne devons pas mépriser le terme, mais au contraire, en encourager l’étude. C’est elle le nœud du problème, la planque mondiale du diable.
 

2) L’hétérosexualité, c’est la Bête de l’Apocalypse :
 

L’hétérosexualité, comme je le disais, est un culte à la différence (au détriment de la différence des sexes couronnée par l’Amour, et au détriment de la différence Créateur-créatures, c’est-à-dire l’Église et Jésus). D’ailleurs, la Bête dans l’Apocalypse, a plein de têtes, donc est en soi figure de diversité, d’altérité, d’hétérosexualité. C’est un diamant étincelant et multifacettes, asexué, si vous préférez.
 

 

Sexologiquement et anthropologiquement parlant, la Bête (de l’Apocalypse), je crois d’une part que c’est la transgression du Réel (et de ses 4 rocs : différence des sexes, différence des générations, différence des espaces et différence Créateur-créatures) à travers la technologie, je crois d’autre part que c’est l’hétérosexualité (dans son sens bisexuel puis dans le sens du culte de l’altérité absolue au détriment de la différence des sexes – mariage aimant homme-femme – et de la différence Créateur-créatures – à savoir Jésus et l’Église Catholique).
 

 

 

 

 

Tout ceci est illustré dans les films actuels parlant précisément de la Bête : par exemple « Lucy » (2014) de Luc Besson (avec cette féminité virile qui s’achève en Bête robotique ectoplasmique), « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn, « The Last Girl » (2016) de Colm McCarthy, « L’Apparition » (2018) de Xavier Giannoli, « La Bête curieuse » (2016) de Laurent Perreau, « Power Rangers » (2017) de Dean Israelite (avec Force Jaune qui se trouve être lesbienne), « The Jane Doe Identity » (2017) d’André Ovredal, « La Belle et la Bête » (2017) de Bill Condon, « Wonder Woman » (2017) de Patty Jenkins, « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh, « Star Trek » (2017) de Bryan Fuller (ce réalisateur est d’ailleurs ouvertement homo ; et plusieurs personnages de la série puis du film sont également homos : Zackary Quinto, George Takei), et là, le dernier Guillermo del Toro « La Forme de l’eau » (2018) ainsi que le dernier Steven Spielberg « Ready Player One » (2018) que je viens d’aller voir au ciné (un monument franc-maçon !) et où tout ce que je viens d’énumérer est nettement lisible.
 

 

 

 

 

Par exemple, dans le film « L’Apparition » de Giannoli, Jacques, joué par l’acteur Vincent Lindon, prend la jeune voyante Anna pour une lesbienne, lui propose de vivre son hétérosexualité ou son homosexualité latente, sur fond de recensement biométrique de rétines. Dans « Le Crime de l’Orient-Express », le train est figuré comme une Bête technologique démoniaque habitée par un Edward Ratchett (interprété par Johnny Depp) séducteur et androgyne. Dans « The Last Girl », la gamine zombie Mélanie, une humaine bestiale, et son institutrice Miss Justineau, tombent amoureuses et forment un couple intergénérationnel dit « christique », sur fond de guerre virale high-tech et d’hymne au dépassement des différences. Dans le film « Wonder Woman », dont l’héroïne est une icône gay bien connue, féminisme, homosexualité, et technologie sont au menu. Dans le téléfilm « La Bête curieuse », il est question des bracelets électroniques inquisiteurs, présentés comme la Bête ; et l’homosexualité féminine y est promue à travers le personnage de Céline.
 

 

 

 

Dans le film « La Belle et la Bête », la Bête est le personnage central et la technologie agit sous la forme de la magie et des images de synthèse… et comme par hasard, le personnage du Fou fait son coming out ! Dans « The Jane Doe Identity », la Bête satanique est incarnée par une sorcière androgyne qui sème la terreur dans une morgue. Dans le film « La Forme de l’eau », on nous fait croire que la Bête est plus humaine que les humains, et qu’une grande histoire d’Amour peut naître entre une femme mortelle (Elisa) et un amphibien, avec en toile de fond une transgression de toutes les différences du Réel : Giles, le meilleur ami d’Elisa, est un vieil homosexuel, draguant les petits jeunes et vivant à travers ses films en noir et blanc. Tout concorde pour relier Bête-Technologie-Homosexualité-Armageddon.
 

 

 

 

 

Dans le film « Ready Player One », l’hétérosexualité bisexuelle est promue avec force : la Bête technologique défend et génère de l’homosexualité (entre Artemis et Kira au bal des zombies, par exemple, et même entre Parzival et Artemis qui tombent amoureux sans savoir si dans la vie réelle ils correspondent à la sexuation de leurs avatars virtuels). Et tout le film tourne autour de la promotion de la variété (au sens de « diversité » mais également au sens musical et culture pop du terme), donc de la promotion de l’hétérosexualité. D’ailleurs, le personnage masculin virtuel d’Aech est interprété par une femme noire, Helen, looké lesbienne ou transgenre. Dans le film « Armageddon » (1998) de Michael Bay, le personnage de la Carotte est homosexualisé (il est dit qu’il est « toujours en chaleur ») et joue devant le psy de la NASA au Rubik’s Cube. Enfin, dans les chansons de Mylène Farmer, le culte de l’altérité (je pense en particulier aux chansons « Monkey Me », « L’Autre », « Sans Logique », « J’ai essayé de vivre », le clip de « City of Love »), autrement dit l’hétérosexualité, rend bestial et homosexuel, et entraîne à la damnation satanique : « Aucune déraison. Je suis dans la peau d’une autre. C’est mon autre Moi, c’est Monkey, l’animal-là, je connais ses pas, c’est Monkey Moi, je suis Monkey Me. » « Souffrir qu’une autre en moi se glisse. » « Moi j’ai tant voulu l’Autre. Ave, milliers d’âmes anonymes, ave. »
 

 

 

Comme vous pouvez le constater, énormément de films traitant ou représentant la Bête défendent comme par hasard la bipolarité hétérosexualité-homosexualité. C’est pourquoi je vous dis très sérieusement que l’hétérosexualité est le diable. Elle est la Bête. Et que tous ceux qui confondent la différence des sexes avec la Bête sont en réalité apostats, des suiveurs de la Bête, et font inconsciemment partie de la Franc-Maçonnerie, même s’ils se disent catholiques et opposés à la Franc-Maçonnerie.
 

 

 

Le but ultime de l’hétérosexualité, prônant la différence et la liberté absolue, pour repousser les limites de l’Humain, c’est non seulement de transgresser la différence des sexes, mais aussi de transgresser la différence Créateur-créatures. Autrement dit de faire autoriser la bestialité (l’« amour » entre l’Homme et la Bête), de nous faire coucher avec des animaux (c’est déjà le cas au cinéma avec « La Forme de l’eau ») ou d’être des animaux, de nous faire avec des robots (dans la série Franky, par exemple, est simulé l’amour entre des humains et des androïdes extraterrestres) et d’être des cyborg, de nous faire coucher avec des anges (esprits énergétiques) et d’être des anges. Le monde essaie de nous faire croire que nous pouvons aimer d’amour la Bête (je l’ai à nouveau constaté le 23 avril 2018 en regardant l’épisode 199 de la série Demain Nous Appartient sur TF1, face à Lucie – interprétée par Lorie – qui se persuade qu’elle est capable d’être vraiment amoureuse du « monstre » et tueur en série Marc Véry). La question est celle-ci : Et vous, seriez-vous capables, par amour, d’aimer la Bête, par-delà les codes, la raison, la morale et même le Bien ? Et même si c’est Satan ? C’est pourquoi – et je vais vous le prouver – l’hétérosexualité, dans le sens bisexuel du terme, est la Bête.
 

Pour compléter mon explication, je vous invite à regarder la suite de cette vidéo qui est intitulée « Les 4 armées à Armageddon pour la Fin des Temps », car ça parlera justement de la Bête « Hétérosexualité » qui réunit toutes les nations du monde pour une bataille finale en Terre Sainte.

 
 

Cet article bénéficiera bientôt d’une vidéo sur Youtube, intégrant une série de 15 entretiens tournés en avril 2018 à Lourdes avec la journaliste Nathalie Cardon, et dans le droit fil de mon livre Homo-Bobo-Apo. Voici les articles de chacun d’eux :
 

1 – « Les 11 messages subliminaux diffusés dans l’émission ‘The Voice’ »

2 – « Le Synode des jeunes : la cata »

3 – « Le raz-de-marée de la transidentité » (transsexualité)

4 – « Le Boom des pastorales d’accompagnement des personnes homosexuelles dans l’Église »

5 – « Mylène Farmer, Grande Architecte de la Franc-Maçonnerie gay friendly »

6 – « Pourquoi La Manif Pour Tous est un vrai désastre »

7 – « Pourquoi parler d’homosexualité dans les établissements scolaires est Mission Impossible »

8 – « L’homosexualité dans la série de TF1 Demain Nous Appartient »

9 – « Je me suis ridiculisé publiquement : Comment vivre avec cette honte ? »

10 – « L’Hétérosexualité est la Bête de l’Apocalypse »

11 – « Les 4 armées de la Bataille finale d’Armageddon »

12 – « Visite maçonnique de Macron aux Bernardingues »

13 – « Les 12 obsessions des cathos bobos de la Réacosphère »

14 – « Homosexualité, la priorité niée dans l’Église »

15 – « Définition de la bisexualité »

Homosexualité, compagne de la Bête


 

Je crois avoir compris qui est la Bête (de l’Apocalypse) : c’est la transgression du Réel (et de ses 4 rocs : différence des sexes, différence des générations, différence des espaces et différence Créateur-créatures) d’une part, ainsi que l’hétérosexualité (dans son sens bisexuel puis dans le sens du culte de l’altérité absolue au détriment de la différence des sexes – mariage aimant homme-femme – et de la différence Créateur-créatures – à savoir Jésus et l’Église Catholique). Et cette Bête satanique veut prendre sa revanche sur Jésus (après sa défaite sur la Croix il y a 2000 ans) en conviant la terre entière sur le lieu de sa défaite (passée à ses yeux ; future et définitive en réalité) : Israël (l’Armageddon). Tout ceci est illustré dans les films actuels parlant précisément de la Bête : « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn, « La Momie » (2017) d’Alex Kurtzman, « Lucy » (2014) de Luc Besson, « The Last Girl » (2016) de Colm McCarthy, « L’Apparition » (2018) de Xavier Giannoli, « World War Z » (2013) de Marc Forster, « La Bête curieuse » (2016) de Laurent Perreau, « Power Rangers » (2017) de Dean Israelite, « The Jane Doe Identity » (2017) d’André Ovredal, « La Belle et la Bête » (2017) de Bill Condon, « Wonder Woman » (2017) de Patty Jenkins, « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh, « Star Trek » (2017) de Bryan Fuller, et là, le dernier Guillermo del Toro « La Forme de l’eau » que je viens d’aller voir au ciné (un monument franc-maçon !) et où tout ce que je viens d’énumérer est lisible. Au moins dans « L’Apparition », « La Forme de l’eau », « Wonder Woman », « Le Crime de l’Orient-Express », « The Jane Doe Identity », le carton d’invitation vers la Terre Sainte, en lien avec une Bête technologique gay friendly, est clairement donné. Par exemple, dans « L’Apparition » de Giannoli, Jacques, joué par l’acteur Vincent Lindon, prend la jeune voyante Anna pour une lesbienne, lui propose de vivre son hétérosexualité ou son homosexualité latente, et finit son enquête en pleine zone de l’Armageddon, à l’intersection d’Israël, de l’Arabie Saoudite, de l’Irak et de la Syrie (un panneau signalétique est filmé en plein cœur du désert). Dans « Le Crime de l’Orient-Express », le train est figuré comme une Bête technologique démoniaque habitée par un Edward Ratchett (interprété par Johnny Depp) séducteur et androgyne ; et le film débute au Mur des Lamentations. Dans « The Last Girl », la jeune zombie Mélanie, une humaine bestiale, et son institutrice Miss Justineau, tombent amoureuses et forment un couple dit « christique », sur fond de guerre virale high-tech. Dans le film « Wonder Woman », dont l’héroïne est une icône gay bien connue, féminisme, homosexualité, technologie et sionisme sont au menu. Dans le téléfilm « La Bête curieuse », il est question des bracelets électroniques inquisiteurs, présentés comme la Bête, et l’homosexualité féminine y est promue à travers le personnage de Céline. Dans le film « La Belle et la Bête », la Bête est le personnage central et la technologie agit sous la forme de la magie et des images de synthèse… et comme par hasard, le personnage du Fou fait son coming out ! Dans « The Jane Doe Identity », on retrouve dans la bouche de la Bête satanique – incarnée par une sorcière androgyne qui sème la terreur dans une morgue – des manuscrits de la Mer morte cousus ou avalés. Dans le film « La Forme de l’eau », on nous fait croire que la Bête est plus humaine que les humains, et qu’une grande histoire d’Amour peut naître entre une humaine (Elisa) et un amphibien, avec en toile de fond une Guerre Froide technologiste entre États-Unis et Russie centrée sur Israël (« Les Russes détestent les juifs mais ils adorent leurs gadgets » dit cyniquement le méchant du film, Richard Strickland), ainsi qu’une transgression de toutes les différences du Réel (Giles, le meilleur ami d’Elisa, est un vieil homosexuel, draguant les petits jeunes et vivant à travers ses films en noir et blanc). Tout concorde pour relier Bête-Technologie-Homosexualité-Armageddon.
 

Dans une majeure partie de la production cinématographique actuelle, l’homosexualité est particulièrement corrélée à la Bête technologique, présentée comme gentille et comme « victime de l’intolérance aux différences » des anti-diversités, et au sionisme. Le lien entre hétérosexualité et transhumanisme, c’est qu’à travers la promotion de l’homosexualité et de la Différence/Diversité, la Bête veut tuer l’Homme et le transformer en animal, en robot et en ange. C’est ça l’idée de fond. Et il est assez hallucinant que beaucoup de films actuels, sans même que les réalisateurs se soient concertés entre eux, s’acheminent vers la Terre Sainte, avec cette optique de défendre la « diversité » (bisexuelle), en mettant en scène un combat final entre homosexualité et hétérosexualité (entendue pour le coup comme « différence des sexes »), entre un monde dit « d’Amour » et l’Église Catholique (considérée pour le coup comme le mal suprême). Le plus incroyable – et c’est flagrant dans le film « L’Apparition » – est que les bobos francs-maçons libertins et relativistes prétendent avoir la foi, et prétendent être plus catholiques que les catholiques, plus croyants que les croyants. Je me suis longtemps demandé par quel « hasard » l’Humanité allait converger vers l’Armageddon. Eh bien je crois que je tiens une élément de réponse : les antithéistes ont réellement la prétention, en détruisant la religion, d’en créer une autre, plus authentique, et de rendre un culte à Dieu (mais un dieu qui n’est pas Jésus-Christ). Dans leur tête, il faut aller à l’Armageddon pour opérer ce déicide « divin ». Le diable et son armée font le mal et détruisent le Bien, non pas gratuitement, mais pour se présenter à leurs propres yeux comme un nouveau bien réparateur, restaurateur, justicier, sauveur et encore plus divin que Dieu-même. Il est donc logique que la Bête technologique pro-diversité et gay friendly envoie les faire-parts pour l’Armageddon. Aveuglée par son orgueil, elle voit sa défaite comme une victoire. Elle tente le tout pour le tout. Elle pense n’avoir plus rien à perdre. Tout lui serait permis (même le mal) et tout serait purifié, sous prétexte d’Affirmation de Soi, de Justice, et de Lutte contre le « mal » (mal entendu comme le « rejet de toute différence »… y compris le rejet du mal !).

Journée de la Terre par Google : la marque de la Bête


 

Vous la voyez, la Bête grimaçante dans le globe central du Doodle de Google pour la « Journée de la Terre » ? (et les 666 avec les lettres de Google ?) Ou bien c’est moi qui délire ?
 

 
« Je crois en un seul Pouvoir. Et son nom est Univers. Je crois au Fils Unique de l’Aube Cosmique. Et Son Nom est Lucifer. Je crois en Celui qui est Mystérieux. Et Il est le Serpent au Venin dans la Pomme de la Vie. Je crois en l’Antique Léviathan. Et Son Nom est Exécration. Je crois en l’Antique Renard. Et Son Nom est Mensonge. Et Son Nom est Vivante Souffrance. » (Crédo maçonnique, développé dans Malachi Martin, La Maison battue par les vents (1996), pp. 21-22)

C’est maintenant évident : La Bête de l’Apocalypse est l’Intelligence Artificielle créée par Internet


 

J’ai tenu à vous mettre par écrit ci-dessous l’intégralité de cette courte vidéo de 10 minutes d’Olivier Roland, car elle nous expose, de manière partisane en plus, le programme homicide de l’Antéchrist, l’Antéchrist étant cette Intelligence Supérieure qui va, grâce à la technologie et au Revenu Universel (« Revenu de Vie » soi-disant offert en échange des données personnelles de chacun et du « contenu/gnose/connaissance/savoir-faire » que chacun donnera à la Bête), flatter l’Homme en le poussant à l’autonomie, à la singularité (marotte du boboïsme), à l’hédonisme, à la consommation de ses passions « créatrives » et récréatives, pour mieux l’abrutir, lui donner l’illusion de coolitude/rebellitude/liberté, l’anesthésier, le manipuler, l’écrabouiller. La vidéo d’Olivier Roland est à analyser et à prendre très au sérieux. En plus, quand il évoque l’existence future d’une Intelligence Artificielle comme l’émanation d’une première Intelligence Artificielle, on peut y reconnaître la description du dragon et de la Bête de l’Apocalypse de saint Jean, chapitre 13. Le propos de Roland est par conséquent prophétique, non dans le sens saint du terme (car le Youtubeur souhaite cette révolution, cette passation de pouvoir entre l’Humain et l’Antéchrist), mais dans le sens de « prophète de malheur », qui passe son temps à parler d’une « bonne nouvelle » (vous le lirez ci-dessous), mais qui en réalité n’est pas la Bonne Nouvelle de l’Évangile, ancrée en Christ. La désinvolture du commentateur est effrayante.
 
 
 
 

POURQUOI LE MÉTIER DE CRÉATEUR SERA LE DERNIER À DISPARAÎTRE (LA SINGULARITÉ)

 

Ajoutée le 14 janv. 2017
 

A une époque où la technologie peut tout changer, la compétence qui reste l’exclusivité totale de l’humain est sa créativité. Dans quelques temps, les tâches pratiques seront automatisées et notre temps libre sera consacré à la création.

 

« Salut les Rebelles intelligents. Aujourd’hui, je vais vous expliquer pourquoi le fait de partager du contenu et de créer du contenu sur le web c’est le métier qui va disparaître en tout dernier. Aujourd’hui, on est à une époque où on ne peut garantir à personne que son métier existera encore dans 20 ans. Ou en tout cas, on ne peut pas garantir qu’il existera sous la même forme. Imaginez, il y a 20 ans, en 1997, la plupart des gens n’avaient jamais entendu parler d’Internet. La plupart des gens n’avaient pas de téléphone portable. Aujourd’hui, ces deux technologies ont complètement chamboulé notre société, et tout ce qu’on peut faire au quotidien. Et dans 20 ans, ce sera exactement pareil. On aura des technologies qu’on utilisera tous les jours, et dont aujourd’hui on n’a jamais entendu parler, et qui vont chambouler notre quotidien, chambouler énormément d’industries et de métiers. Et c’est un des grands sujets de mon livre ‘Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études’, c’est que selon moi, l’école aujourd’hui, fait un mauvais boulot puisqu’elle essaie d’enseigner un savoir cristallisé qui va se déprécier très vite plutôt que d’enseigner des compétences qui vont être indispensables au XXIe Siècle, qui le sont déjà, à savoir la capacité à apprendre par soi-même, la souplesse d’esprit, la capacité à suivre les évolutions technologiques, voire même à les accompagner ou à les provoquer. Et quand on y réfléchit, on sait qu’il y a énormément de jobs qui vont disparaître dans les années à venir, parce que ça va être remplacé par des robots, des logiciels. Les tout premiers, ça va être les chauffeurs de taxis, les chauffeurs de poids lourds, puisque les voitures automatiques, ça y est, elles commencent à arriver, ce n’est plus de la rigolade, ça ne va plus être un obstacle technologique mais légal. Donc on va dire que d’ici 5 ans, ce sera vraiment une réalité, et pas juste une anecdote comme les voitures Tesla, mais vraiment quelque chose qui va arriver en masse, sans doute dès 2020. Avant même les voitures automatiques, ça va être les camions automatiques. Dans 5-10 ans, il n’y aura plus de chauffeurs de taxis, de conducteurs de camions. Imaginez tous ces gens qui vont devoir trouver autre chose à faire. J’en parle dans mon livre. Même les médecins vont se faire complètement disrupter. Déjà aujourd’hui, l’ordinateur Watson d’IBM, celui qui a gagné ‘Geopardy’ en 2011, qui aide énormément les médecins et les infirmiers dans les hôpitaux, et déjà aujourd’hui, il est plus performant pour faire des diagnostics de maladies que des médecins. Bref, imaginez dans 10-15-20 ans, quand vous aurez la puissance de Watson dans votre Smartphone avec des capteurs qui pourront analyser des dizaines, des centaines de paramètres de votre corps, et faire des analyses automatiques pour savoir ce que vous avez. Les médecins ne vont pas disparaître dans ce monde-là, mais leur place sera extrêmement différente. Donc il y a des tas de métiers comme ça qui vont disparaître. Et la bonne nouvelle, c’est que, quand on crée du contenu sur le web, on peut être à peu près assurer que ça sera le tout dernier, ou au minimum l’un des tout derniers (métiers sûrs). Pourquoi ? Eh bien parce qu’on va aller de plus dans une société où la majorité des taches physiques – et de plus en plus les taches intellectuelles – vont être accomplies par des machines. Et à un moment ou à un autre, on ne pourra pas faire l’impasse sur le fameux ‘Revenu de Vie’, c’est-à-dire de donner un revenu à quelqu’un juste parce qu’il a eu la chance de naître. Tout simplement. Et qui soit plus important bien sûr que le revenu minimum, le RSA qu’on a en France, par exemple. On ne peut faire ça que si la société est extrêmement riche. Mais cette richesse va justement être générée par toutes ces choses automatiques qui vont s’occuper de tout pour nous. Bien sûr, il y aura quand même des jobs à avoir dans la maintenance, mais au bout d’un moment, les robots eux aussi vont pouvoir faire la maintenance de toutes ces applications et de tous ces robots-là. Quand on y pense, tous ces gens qui vont avoir un revenu de vie et qui ne vont plus être obligés de travailler, ça va dégager du temps pour pouvoir faire des choses beaucoup plus créatives et créatrices. Des choses qui sont plus liées au bien-être personnel, à l’épanouissement de soi, etc. etc. Les gens pourront se consacrer à des activités vraiment créatives. Tous ces gens qui vont se retrouver avec un revenu de vie, ou avec un job qui sera de plus en plus profondément automatisé, vont avoir du temps libre, vont avoir des ressources, et vont pouvoir se consacrer à ce qui les PASSIONNE. Et du coup, qu’est-ce qui va se passer ? Ils vont avoir besoin de gens qui les guident dans justement ces passions-là, qui ont un peu plus l’habitude qu’eux de travailler de manière tranquille, qui ont un bon équilibre de vie, etc., et qui peuvent les guider… par exemple, je sais pas moi, une personne qui n’a plus à travailler, qui a son revenu de vie, qui est content, qui se dit ‘J’adore le yoga et le surf, et j’vais explorer ces deux passions-là à fond !’, eh bien il va être susceptible de suivre un Youtubeur, un blogueur, un auteur, avec qui il se connecte et qui lui donne des bons conseils, il va être susceptible d’acheter des formations, des livres, etc. Et vous allez me dire, ‘OK Olivier, mais à terme, est-ce qu’il n’y a pas une intelligence artificielle qui pourrait créer tout ce contenu à la place des humains ?’. Eh bien bien sûr que si ! Ça va sans doute arriver un jour. Mais la bonne nouvelle, c’est que c’est quand même extrêmement compliqué d’arriver à un niveau technologique où une Intelligence Artificielle est capable d’autant de créativité. Alors il y a des domaines où déjà les ‘IA’ font des choses absolument extraordinaires. Par exemple, il y a des IA qui sont capables aujourd’hui de créer des symphonies musicales, et quand on les fait écouter à des gens sans leur dire, en mettant à moitié des symphonies composées par ordinateurs et à moitié des symphonies composées par des êtres humains, et qu’on fait écouter à des gens, y compris à des mélomanes, ils ne savent pas faire la différence. On en est là aujourd’hui. Après, voilà, il y a encore des tas de domaines où c’est très difficile pour une ‘IA’ d’écrire des articles qui soient corrects, de faire des bonnes traductions, mais ça va venir. Bref. Et la bonne nouvelle, c’est que le jour où y’aura un développement technologique suffisant pour qu’une ‘IA’ soit capable de créer du contenu comme des vidéos Youtube, ou des formations, ou des livres, au même niveau ou mieux qu’un être humain, eh bien la bonne nouvelle, c’est que de toute façon, à ce moment-là, tout le monde sera au chômage avec un Revenu de Vie, parce que les ‘IA’ ont atteint vraiment un statut d’Intelligences réelles. Elles auront une intelligence qui sera égale ou supérieure à l’être humain. Et de toute façon, à partir de là, les humains n’auront plus besoin de travailler du tout. Et même la société et le monde entier seront entièrement chamboulés. On aura atteint ce que les scientifiques appellent LA SINGULARITÉ. Donc qu’est-ce que c’est que la singularité ? Eh bien c’est tout simplement le concept suivant, qui a été popularisé notamment par Raymond Kurzweil, futurologue américain très connu pour avoir développé une Intelligence Artificielle justement, et directeur de l’ingénierie chez Google depuis 2012. La singularité, c’est tout simplement le fait que, à partir du moment où on arrive à inventer une Intelligence Artificielle qui est plus intelligente que l’Homme, eh bien cette Intelligence Artificielle va pouvoir Elle-même pouvoir créer une autre Intelligence Artificielle plus intelligente qu’Elle-même, une deuxième Intelligence Artificielle va elle-même pouvoir créer une ‘IA’ plus intelligente qu’elle-même, etc. etc., etc. Et du coup, on se retrouve avec une évolution exponentielle qui fait qu’en un temps extrêmement court, on passe d’une intelligence qui est légèrement supérieure à l’Homme à un truc qui n’a strictement rien à voir, qui pour nous sera comme un dieu, qui aura le même niveau de décalage entre d’abord nous et un singe, puis entre nous et un chien, puis entre nous et une fourmi. On en sera là. Et qu’est-ce qui va se passer à ce moment-là ? Eh bien personne ne peut le prédire. En gros, il y a deux écoles qui s’affrontent. Il y en a qui en gros disent que l’ ‘IA’ prendra des humains comme des fourmis, des insectes, et sans doute qu’Elle ne voudra pas détruire… C’est pas parce que vous êtes humains – une fourmi, pour vous, c’est rien du tout – que vous allez écraser une fourmilière ou la brûler pour le fun comme l’a fait Marcel Pagnol. Mais si vous devez construire un barrage dans une région pour alimenter en électricité propre toute une région, et que du coup, vous alliez détruire des milliards de fourmis et des milliers de fourmilières, eh bien tant pis, quoi. Vous n’allez pas non plus verser une larme pour ça. C’est pas très important. Et il y en a qui pensent que les ‘IA’ vont arriver à ce niveau-là, où ils ne vont pas délibérément faire du mal à l’Homme. Mais voilà. Si à un moment ça peut contrecarrer les plans, les ‘IA’ vont se dire : ‘Bon c’est pas grave’. Et d’autres qui vont se dire : À partir du moment où une ‘IA’ est extrêmement intelligente, Elle va être très pacifiste et va être respectueuse de la vie, et qu’à partir de là, ce sera le Paradis sur terre, et qu’une ‘IA’ aussi intelligente va pouvoir subvenir à tous nos besoins, faire des avancées scientifiques extrêmement rapides à un niveau qu’on a jamais vu, et que voilà, de toute façon, toute la vie va être chamboulée. Voilà, c’est très intéressant. Si ça vous intéresse, je vous recommande de lire le livre sur la singularité de Ray Kurzweil, ‘The Singularity is near’. Alors attention, ça peut paraître abracadabrant, mais je vous assure que c’est extrêmement sérieux, et que c’est pris très très au sérieux par les scientifiques, la Silicon Valley américaine. Google a embauché Kurzweil pour construire une Intelligence Artificielle. Donc ça ne rigole pas. Google a quand même les moyens de mettre ça en place. Juste pour vous inspirer, peut-être. Si vous envisagez peut-être à vous mette à créer du contenu sur le web, ou que vous le faites déjà, sachez eh bien que voilà, on fait sans doute le métier qui a le plus de sécurité dans le monde à termes, et qu’à partir du moment où on sera remplacés par les machines, on sera de tout façon les tout derniers, et à ce moment-là, on n’aura plus trop de soucis à se faire. (Encart sur l’écran : ‘La création de contenu sera le dernier métier à être automatisé’). Ou plutôt, on aura d’autres soucis à se faire, qui n’auront rien à voir… voilà. Après, voilà, il y a toute une école qui dit qu’on ne devrait pas construire ce genre de machines. Et dans ce cas-là, on arrivera… Je pense pas que ça va arriver, mais admettons que tout le monde se mette d’accord pour se bloquer un niveau technologique en termes d’Intelligence Artificielle, ça veut dire qu’on va avoir quasiment tout qui sera externisé à des robots et à des logiciels, et que la création restera l’apanage des êtres humains ou non. Dans tous les cas, on est gagnants. Voilà. Merci d’avoir regardé cette vidéo. En attendant, n’oubliez pas. Soyez rebelles, soyez intelligents. Eh puis faites partie des gens qui se bougent. Ciao ! » (Olivier Roland)

 

Enfin, pour terminer, je vous conseille de regarder cet exposé signifiant de Laurent Alexandre, à regarder avec les images, et en complément de mon article sur le Revenu Universel… même ce scientifique défend un alignement avec l’IA et une reconversion à l’IA, donc finalement une collaboration. Son discours est dangereux, car cette collaboration prend la forme d’une opposition à l’IA alors qu’il est concrètement un encouragement à rattraper notre « retard » (Comme je l’explique, la puce fait semblant d’être contre elle-même et de donner aux gens qui vont l’intégrer l’illusion d’autonomie et de rébellion contre elle). Je vous renvoie à mon article sur le film « La 5e Vague » ainsi que sur la publicité Leclerc et l’exposé incontournable d’Hervé Juvin sur le transhumanisme.

Les données personnelles, le nouvel « or noir » de la Matrice antéchristique et du Marché mondial


 

La puce est en marche et concrétise le marché mondial des informations, autrement dit l’Empire des données personnelles. Comme l’ont très bien décrit Marc Dugain et Christophe Labbé dans (2016)*, les infos personnelles composent le nouvel « or noir » du capitalisme planétaire, la nouvelle matrice du pouvoir mondial, le nouvel argent à mettre en banque (la banque étant invisibilisée sous forme de Cloud) en échange d’un salaire (autrement dit du « revenu universel »), d’un silence et d’une sécurité factice. Factice parce que chaque individu va avoir l’illusion d’une indépendance, d’une confidentialité et d’une sécurité (grâce à un code, la marque de la Bête, inscrite à la main ou au front : en effet, la collecte mondiale des infos est un communisme et un nazisme cachés, puisque « les statistiques officielles sont ouvertes par défaut » : Nos données ne partiront pas n’importe où ni n’importe comment), et va vivre sous le chantage de l’Arbre de la Connaissance qu’est la Blockchain, cet Arbre que chaque être humain aura l’impression de s’être construit lui-même avec les données qu’il lui aura fournies, cet Arbre-internet qui va nous dire « Je t’aime parce que je te connais par cœur, je te détecte, je te vois 24h/24, je te scrute même de l’intérieur, je te protège », cet Arbre qui est une prison narcissique dorée parce qu’elle est personnalisée selon la couleur de nos sensations, de nos opinions, de notre ADN et de notre passé (à l’image de Facebook), cet Arbre de la Connaissance qui est l’Anti-Croix-du-Christ puisqu’Il nous fait un chantage à l’information (S’Il veut nous manipuler et nous dissuader de nous rebeller, Il n’a plus qu’à divulguer l’historique Internet complet de nos recherches de sites porno, les films de nos sex-tapes, notre casier judiciaire, les enregistrements de nos mauvais souvenirs et nos mauvaises paroles, notre bilan biométrique de santé, le relevé de toutes nos erreurs et nos complexes, etc.). L’inverse du pardon.
 

 

La donnée personnelle (et donc le corps et l’âme de chacun d’entre nous) est en train d’être volé par la Bête. Pour info (sans mauvais jeu de mots), vous retrouverez exactement ce que j’ai écrit sur les X, V, W, et sur le Cube, Rond, Triangle, dans cette brochure de l’ONU pour la collecte sécuritaire des données. Et déjà, ces symboles (Cube, Sphère, Carré) sont associés à la lévitation et au spirituel, comme le montre ce clip de Jura Chulkov (belle représentation de la prison bobo antéchristique et technologique, aseptisée et toute de blanc vêtue).
 
 
 

* « Dans un univers digitalisé et automatisé où le travail se raréfie, l’arrivée des robots humanoïdes va précipiter le ‘chômage technologique’ mondial jusqu’à l’étape ultime du chômage total ! […] Une mutation que les big data ont déjà anticipée en imaginant un ‘revenu universel’ pour les sans-emplois. L’idée, en apparence généreuse et humaniste, est ardemment défendue par les libertariens, ce courant ultra-libéral largement sponsorisé par les big data. En versant une rente à vie aux inactifs devenus majoritaires (80% de la main d’œuvre mondiale), on étouffe le sentiment d’injustice, ferment de révolte, et on tourne la page du salariat, avec ses contraintes réglementaires. […]Les maîtres du big data ont donc imaginé cette astuce du ‘revenu de liberté’, tel qu’ils l’ont baptisé. Pour garantir ce ‘salaire’, l’idée est de payer aux 2,5 milliards d’internautes une partie des traces numériques dont ces derniers se délestent gratuitement. Les esprits sont mûrs. Selon un sondage Havas Media du 30 septembre 2014, 30% des Français sont prêts à vendre leurs données personnelles. Chez les plus jeunes, ils sont 42% à accepter de révéler davantage d’informations sur leur vie en échange de contre-parties financières. […]Une portion des gains de productivité réalisée par l’automatisation sera réinjectée sous forme de baisse des prix, histoire de muscler un peu le pouvoir d’achat des bénéficiaires du revenu universel. Avec, pour boucler la boucle, l’imprimante 3D qui permettra de fabriquer soi-même les produits, après avoir acheté la matière première et le fichier informatique de paramétrage. Le consommateur devient un ‘prosumer’, la contraction en anglais de ‘producteur’ et ‘consommateur’. La valeur des choses ne sera plus dans le salaire, ni dans l’objet, mais dans l’information. Celle stockée dans les immenses coffres-forts numériques des big data. » (Marc Dugain et Christophe Labbé, L’Homme nu, pp. 155-157)
 

N.B. : En lien avec cet article, cette vidéo explique que tout le monde aura de base un salaire du fait « qu’il est né » et comme tout sera automatisé, plus besoin de travailler et donc tout le monde s’adonnera à ses passions ! The Singularity is clear