Archives par mot-clé : La Bête

Shooting avec la Bête (de l’Apocalypse) dans les Jardins du Palais Royal (Part 1) prise par Zoubir le 4 septembre 2018

 

Avec la Bête, on a des supers lectures en ce moment…
 
🐺🐯🐻🐲
 

(Ces photos ne sont qu’un gentil apéritif du shooting bestial de la semaine dernière aux jardins du Palais Royal à Paris ; merci à Zoubir de les avoir prises)
 


Shooting canin : au poil !


 

Hier en soirée, j’ai eu la chance de participer à un shooting photos gratuit dans Paris, avec un petit groupe de photographes amateurs et de modèles. C’était du côté des Jardins du Palais Royal. Et j’ai fait sensation avec mes pantoufles-fantaisie en forme de chiens énormes et mon projet de faire une série photographique pour illustrer mon prochain livre sur la Bête ! On a bien rigolé. Et surtout, j’ai osé demander à un jeune couple de promeneurs super sympas et maîtres d’un doberman impressionnant si je pouvais poser avec leur molosse pas rassurant du tout mais tout gentil. Guidé par la voix de son maître à distance, il a pris calmement la pose avec moi (son maître a pris l’adresse de mon blog après), et on a pu faire des photos-délire absolument improbables tous les deux (haha). Le doberman, à l’attention plus que relative et versatile, a quand même regardé mes chaussons canins à un furtif moment, et s’est mis à les lécher (Il a dû apprécier le shooting puisqu’il s’est même mis à avoir la trique mdr ! Pourtant, je vous jure que je n’ai rien dit, rien fait, rien touché haha). J’avais aussi créé trois couvertures parodiques de magazine (une sur le cardinal Sarah – « C’est LUI le Sauveur !!! » -, une autre sur la Bête – « La Bête n’existe pas ! » – et enfin une sur Joséphine – « Je ne suis pas si bête que ça ! »). On verra le résultat des clichés. Mais la séance shooting fut mémorable !

La Bête PASSION


 

Je vous avais dit précédemment que pour moi, la Bête de l’Apocalypse était trois choses : l’hétérosexualité (culte des différences), la puce électronique (Blockchain avec sa marque 666) et l’humanisme intégral (pacifisme sans Jésus). Mais j’en rajoute une quatrième : la passion (… pour les passions).
 

 

Grâce à mon étude sur la série Joséphine ange-gardien (où il est constamment question de la passion : vous le verrez quand j’aurai fini mon livre), mais également à mon observation des réseaux sociaux, je réalise que la PASSION est l’autre nom de la Bête technologique (n’est-ce pas Omar Sharif, avec tes bêbêtes numérotées ?). Sur les réseaux sociaux, les maîtres de la Bête font tout, en ce moment, pour nous bestialiser, pour que nous nous excitions (en rires, en plaintes et en insultes : nous avons quitté même la sobriété du cynisme et des larmes), en nous jetant en pâture des bouts de viandes vivants (des starlettes jouant les victimes – les Kim Kardashian, les Loana, les Nabilla, les Clémentine de Koh-Lanta – et des criminels attestés ou supposés : les Dutroux, les Nordhal Lelandais, les DSK, les Bernard Tapis, les Benzema, les Kaaris et Booba, les cardinal Barbarin) pour que nous nous bagarrions entre Humains et que nous nous fendions d’un tweet de réaction inutile, impulsive, épidermique, insultante, odieuse, instinctive (bestiale, quoi) qui viendra se rajouter à la pile de tweets-bashing de la Grande Meute réactionnaire informe (réactionnaire vient de « réaction », non ?).
 

 

 

Le Gouvernement Mondial fait tout pour que, pris dans l’avalanche informative d’Internet, et aveuglés par l’instantanéité, nous soyons prisonniers de nos passions humaines (on ne parle pas ici de la Passion du Christ, bien évidemment, mais au contraire des « désirs enflammés » décrits par saint Paul dans Rm 1, 27) et que nous soyons embrasés par elles.
 

 

 

Et le pire, c’est que ça marche. Comme de l’huile jetée sur le feu ! Parlez-nous à présent de demande de pardon, d’aide, d’apaisement, de calme, d’empathie, de compréhension, de réflexion, de nuance, d’abnégation, de prudence, de joie, de virginité, de célibat. Demandez à la foule internétique de faire des efforts, de renoncer, d’abandonner, de se taire, de relativiser, de faire preuve de clémence et de longanimité, d’offrir une seconde chance. Elle ouvrira sa gueule de Bête hideuse pour vous cracher à la figure son venin et sa… bêtise. Et les « journalistes » qui ont allumé l’incendie des scandales (voire carrément de leurs mensonges et de la calomnie) comptent les points, ramassent la moisson des raisins de la colère, frétillent avec ceux qui frétillent et récriminent, ricanent (« canis » en latin signifie « chien ») avec ceux qui ricanent, se choquent avec ceux qui se choquent, jubilent intérieurement de leur pouvoir de contrôle des masses abruties et sincères (avec des procès d’intention et plein d’abusifs « parce que »), feignent hypocritement de déplorer les conséquences des causes qu’ils ont créées.
 

 

 

Alors je vais nous donner une astuce pour ne pas être marqué du sceau de la Bête : dépassionnons-nous. Tout BÊTEment.

Le chat qui passe sur le clavier

Il m’arrive des trucs de dingue ces temps-ci. Je discute par mails avec Jérémy, et sans réaliser que j’écris en ce moment sur la Bête, les bêtes et la Marque de la Bête (le 666), il interrompt son récit épistolaire en me signalant que son chaton (il vient d’adopter un chat : no comment…) vient de passer sur le clavier de son ordi en écrivant « accidentellement » ceci :
 

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Vous croyez au hasard, vous? Moi, pas du tout.
(Ça me froisse même un chouia, mais bon… le Seigneur essaie sans doute de m’envoyer des signes.)
 

Émission Radio Courtoisie du 28 juillet 2018 sur la Bête électronique : Romain Guérin, auteur du roman Le Journal d’Anne-France, à l’épreuve de la Bête…

Romain Guérin à l’épreuve de la Bête technologique…
 

 

Cette émission du « Libre Journal de la Nouvelle France » a été pré-enregistrée le 18 juillet 2018 et a été diffusée sur Radio Courtoisie le 28 juillet. Elle est animée par Anne-Laure Malleyre, et co-animée par Philippe Ariño, essayiste et auteur de Homo-Bobo-Apo. Ariño a proposé deux courtes chroniques sur la Coupe du Monde 2018 ainsi que sur la Bête Technologique : il s’est notamment appuyé sur l’essai Monstres 2.0 de Pauline Escande-Gauquié et Bertrand Naivin. En deuxième partie, Anne-Laure Malleyre et Philippe Ariño interviewent le jeune poète lyonnais Romain Guérin, auteur du roman Le Journal d’Anne-France au titre volontairement provocateur. Ce livre décrit la lente décadence de la France. Romain Guérin à l’épreuve de la Bête technologique…

L’effrayante publicité de Cisco défendant l’Humanisme Intégral, donc la Bête


 

Je trouve cette publicité Cisco 2018 absolument effrayante. Elle prouve que la Bête de l’Apocalypse, comme le disait le frère Samuel (exorciste), est l’HUMANISME INTÉGRAL, c’est-à-dire un idéalisme communiste faussement anti-technologies, anthropocentré et franchement franc-maçon : « Qu’est-ce qui nous rend humains ? Avancer ensemble. C’est dans notre ADN. En travaillant ensemble et en tirant parti des idées de chacun, on peut accomplir des choses extraordinaires et faire avancer le monde. La technologie est censée nous y aider, mais elle peut parfois être un frein. Et s’il existait une meilleure approche ? Et si la technologie s’effaçait complètement pour laisser le champ libre à notre créativité humaine ? Et si notre liberté d’innover était plus forte que jamais ? Si l’on pouvait échanger même à l’autre bout du monde. Faire que nos idées soient vues, entendues, et comprises. Alors nous n’aurions plus ce sentiment d’avancer tout seuls. Tel est le pouvoir de la collaboration humaine. Avec les bons outils, notre créativité et notre intuition nous feront accomplir des choses exceptionnelles. Parce que plus nous travaillons ensemble, plus nous exprimerons notre humanité. »
 

Le dessin-animé « Mutafukaz », illustration parfaite de la Bête de l’Apocalypse


 

J’ai eu la chance d’aller voir hier un dessin-animé franco-japonais pour adultes, « Mutafukaz », très peu diffusé en salles en France, qui brille par son éclairage eschatologique (Fin des Temps), et qui dépeint parfaitement la Bête de l’Apocalypse, à savoir l’Humanisme intégral. Il y est fait la promotion de l’hétérosexualité (culte de la Différence en elle-même), de la volonté individualiste mondialisée, de l’être soi, de la Franc-Maçonnerie (j’y ai même vu des triangles avec un oeil à l’intérieur). Exactement comme dans les films « La Forme de l’eau » ou bien encore « Wonder Woman », la Bête fait semblant de s’humaniser en se présentant comme ennemie d’elle-même par la mise en scène du massacre d’une autre Bête censée être plus monstrueuse et diabolique qu’elle, et en faisant croire qu’elle est gentille parce qu’elle refuserait la puce (en fait, elle feint de la rejeter pour mieux l’incorporer sous sa forme bobo écolo anti-technologiste : Angelino, le héros, ne vit que par sa télé ; il est suivi pour une cour de cafards) et par la mise en scène de son dithéisme (la bipolarité bonté/méchanceté, Humanité/monstruosité) « résolu » par son libre arbitre (et non sa liberté, qui ne peut reposer qu’en Jésus) de choisir entre la bonne partie d’elle-même (l’« Humain », la « Différence », l’« être soi-même », la « marginalité », l’« anti-conformisme », les « pauvres », les « frères », l’« héroïsme », etc.) plutôt que la mauvaise (les puissances angéliques, le 666, le diable, la technologie, l’ombre)… mais c’est là l’orgueil de Satan qui veut choisir le bien et le mal par lui-même. Le frère Samuel, bénédictin exorciste, a parfaitement raison d’écrire dans Les Attaques du démon contre l’Église, que « La Bête est l’Humanisme intégral ».
 

Le film « Deadpool 2 » de David Leitch : nouvelle missive gay friendly de la Fin des Temps


 

C’est incroyable comme en ce moment, la Bête s’excite, et toujours en lien avec l’homosexualité, la puce électronique, la Franc-Maçonnerie mondiale et la Fin des Temps (cf. mon article sur la « Bête-Hétérosexualité » et mon livre Homo-Bobo-Apo). On en trouve un parfait exemple avec le film « Deadpool 2 » (2018) de David Leitch, où l’homosexualité se trouve à tous les carrefours :
 

Wade et Cable


 

Le héros, Wade (« Deadpool »), présenté comme hétérosexuel, tripote pourtant (accidentellement ?) le cul de son ami Colossus, se voit porté un peu plus tard par lui comme une mariée dans ses bras. Leurs rapprochements corporels sont tellement équivoques que même Vanessa, la compagne officielle de Wade, demeurant dans l’Au-delà, lui conseille ironiquement « de ne pas coucher avec Colossus » (« Don’t Fuck Colossus »).
 

 

Il n’y a pas que le super-héros principal de ce Marveil Film qui est concerné par une homosexualité latente (cf. le code « Super-héros » de mon Dictionnaire des Codes homosexuels) : on retrouve aussi le personnage de Weasel (le jeune Indien hyper-sensible qui s’identifie à l’actrice Kirsten Dunst : Wade lui caresse d’ailleurs langoureusement les cheveux pendant que Weasel conduit son taxi), le personnage de Cable (d’abord ennemi de Wade, puis qui finalement vire sa cuti et fait carrément sa déclaration à Wade : « Tu me rappelles ma femme. » ; c’est tellement le grand amour entre eux qu’il le traite de « beau gosse »), le personnage de Negasonic Teenage Warhead (la baby Butch garçon manqué, officiellement en « couple » avec une autre super-héroïne, sa copine asiatique Yukio : Wade renchérit en les félicitant toutes les deux « Vous formez un très joli couple »). En clair, on a vraiment l’impression que tout le monde est bisexuel dans ce film pourtant ouvertement hétérosexuel et destiné à un public beauf hétéro.
 

 

Les références homosexuelles prédominent dans les dialogues : par exemple, Wade se fait le chantre de toutes les transgressions qui heurtent la morale, à commencer par la transgression de la différence des sexes (il déclare à plusieurs reprises que « Les règles sont là pour qu’on les viole ») ; à un autre moment, il se targue de « maîtriser les câlins » ; enfin, il mentionne le site de rencontres homosexuelles Grindr comme corollaire à Tinder, deux applis que Cable consulterait.
 

 

Concernant cette fois l’équipe du film, les scénaristes – en particulier Rhett Reese – ne brillent pas par leur masculinité. C’est plutôt voix haut perchée et gestuelle très maniérée. Je ne me lancerai pas dans des spéculations hasardeuses. Mais je n’en pense pas moins. Ils avouent eux-mêmes leurs sympathies LGBT et qu’ils ont tenu à inclure dans « Deadpool 2 » des clins d’oeil ouvertement gays.
 

 

La thématique homosexuelle n’est bien sûr pas traitée, mais juste affichée et diluée dans un panel de diversités appelé « altruisme » (le mot apparaît) ou « variétés ». Comme dans le film Ready Player One de Steven Spielberg, « Deadpool 2 » nous offre des séquences Nostalgie saupoudrées de références gays-kitsch des années 1980, comme A-ha. Et il est fascinant de voir encore une fois l’homosexualité associée à la fois à la puce électronique (il est question des X – le gang carnavalesque de Wade s’appelle « X-Force » -, des cubes – « Moi Tupac, toi le Cube » déclare Russell à Juggernaut, des énergies cosmiques – Domino suit ses « étoiles cosmiques » -, etc.), à la fois à l’Apocalypse (il est question de la Bête ; Cable dit qu’il voit « Le monde se chier dessus avant l’Apocalypse » ; quant au directeur du pensionnant de Russell, il joue les prophètes de malheur juste avant d’être écrasé par le taxi de Weasel : « L’heure du jugement est arrivée ! »).
 

 

La Fin des Temps et l’arrivée de Jésus sont vraiment imminentes. Beaucoup de films actuels l’annoncent à leur insu.

Nouvelle confirmation que l’homosexualité est la compagne de la Bête

Non, je ne me trompe pas quand je dis que la Bête (ou le monstre) est la compagne de l’homosexualité, et qu’elle s’appelle l’hétérosexualité. À l’instant, je découvre la bande-annonce d’une film traitant de l’homosexualité, défendant la pratique homo, et pourtant la mélangeant à la Bête : le film « Closet Monster » (2015) de Stephen Dunn. Je ne le fais pas exprès.
 

 

(cf. mon article « L’Hétérosexualité est la Bête de l’Apocalypse »)