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Les chantres actuels de l’ADN et du « Tout génétique »

L’idée que nous serions notre ADN, nos propres tables de la Loi, une programmation naturelle, un processus intouchable et inéluctable avec sa cohérence propre (parce qu’hérité y compris comme un don de Dieu), revient de plus en plus souvent dans les discours de notre monde d’aujourd’hui (je l’ai même entendu récemment dans des sphères catholiques – c’est pour vous dire ! – quand des personnalités carriéristes qui veulent tout régenter ne souffrent pas la moindre contradiction : « C’est dans l’ADN de notre association. » = traduction « Pas touche ! » ou « Ta gueule »). Écoutez par exemple les publicités de CISCOQu’est-ce qui nous rend humains ? Avancer ensemble. C’est dans notre ADN. »), ou encore de la voiture électrique Audi e-tronEn y injectant l’ADN Audi »). Un robot ou une voiture aurait des « gènes », serait une personnalité hybride mi-humaine mi bestiale : voyez-vous cela !
 

Ces chantres du « Tout génétique » sont en réalité des ennemis de l’Esprit Saint, des adeptes de la Bête technologique, même si par ailleurs ils peuvent tenir un discours très spirite, christique ou holistique. Ils veulent surtout imposer leur volonté à tous sous couvert de « réalité », d’« instinct/intuition/inspiration » ou de « respect de la nature des choses ». C’est assez terrible, cet orgueil s’habillant de pragmatisme, d’humanisme, de spiritualisme.
 


L’homosexualité n’a rien à voir avec le transhumanisme !

 

Non non non. L’homosexualité n’a rien, mais absolument rien à voir avec le numérique et le transhumanisme technologique, me soutiennent la plupart des « catholiques ». C’est moi qui ferais une fixette égocentrique sur « mon » sujet, et prendrais mon cas pour une généralité… hum hum. #QuandOnEstConsOnEstCons
 

Conférence incontournable de Natalia Trouiller sur le gnosticisme


 

Un exposé de Natalia Trouiller sur le gnosticisme (c’est-à-dire la Franc-Maçonnerie et les sectes) qui est absolument à voir car c’est une vraie mine d’or d’informations sur l’histoire et le fonctionnement de la Nouvelle Religion mondiale. Elle reprend – de manière beaucoup plus fine et pointue que moi – ce que j’ai écrit sur le channeling, même si ça le rejoint. En plus, elle reconnaît que Lyon est une place forte du boboïsme (même si elle ne le dit pas comme ça : elle dit juste qu’« à Lyon, on connaît tout » au niveau doctrines gnostiques). J’applaudis des deux mains sa dénonciation de l’idéologie gnostique de Laurent Alexandre (chercheur applaudi par beaucoup de catholiques), par exemple. Et c’est la première fois qu’on m’explique de manière aussi claire le transhumanisme, ou encore la cosmovision des mormons. Une conférence d’une heure incontournable. Une réussite. Même si tout ça gagne à être vulgarisé et surtout à être retraduit/universalisé tel que les gens d’aujourd’hui ingurgitent ces gnoses, à savoir à travers les mots « hétérosexualité », « homosexualité », « homophobie » et « bobo ».

Méthode Serpent d’Airain


 

J’ai décidé, concernant les Fins dernières, d’adopter la méthode « serpent d’Airain » de Moïse. Montrer le mal qui s’enroule dans l’Église, montrer la Bête dans l’Église, et faire qu’à sa vue, le maximum de gens soient guéris. Il nous faut regarder la Bête (et ses noms d’emprunt : « hétérosexualité », « Franc-Maçonnerie », « Boboïsme », « Antéchrist », « Blockchain », « homosexualité ») en face ! Et il nous faut arrêter les mots qui ne nomment pas le mal (« Gender », « transhumanisme », « GPA », « Cyborg », « homme augmenté », « Espérance », « vulnérabilité », « limites », etc.) et qui sont de l’esbroufe catholique inopérante.

Cédric Villani ou Vilainie ?


 

Alors là, je suis sur le cul. Dans cette vidéo, Cédric Villani, pseudo « mathématicien », et futur ministre du Gouvernement (ben ouais), promeut ouvertement l’Intelligence Artificielle, pour la démystifier, nous rassurer… et surtout nous infantiliser (Chantal Goya dixneuvièmiste « victorienne »), mais avec le discours franc-maçon positiviste des Illuminati. C’est dingue, la fulgurance et la rapidité avec lesquelles le Gouvernement Mondial dégaine : ils y vont, et ils annoncent cash leur projet. Et comme les gens ne sont globalement pas informés du danger de l’IA, ils vont gober le conte technologiste sans broncher. Alarmant. Vite que mon bouquin sorte ! (j’y parle abondamment de l’IA et de la Blockchain)
 

P.S. : Je viens de remarquer que Villani arbore une petite araignée en broche. Copiteur !!!^^

La mise à mort de la médecine

Le plus ahurissant, c’est cette censure mondiale actuelle de la médecine, de la science. La culture et l’intelligence sont mises à l’index. Et la médecine est tout simplement gommée, lissée. Exemple avec la traduction très approximative du discours d’Iris Mittenaere lors de son élection à Miss Univers. Elle parle à 3 reprises (quand même!) de « médecine », et c’est complètement occulté par le traducteur. La médecine n’est plus citée, ou alors elle est remplacée par le « mannequinat » et par un discours bébé « On peut apprendre de ses erreurs et se relever ».
 

 

On se trouve à un tournant transhumaniste tout à fait saisissant. L’Humanité veut rejeter la Science et Dieu… pour adopter la gnose.

Film « Au-delà » de Clint Eastwood : la déchristianisation bobo de la vie après la mort


 

a) Boboland nous parle de la vie après la mort :

J’ai vu hier soir le film « Au-Delà » (« Hereafter », 2010) de Clint Eastwood, diffusé sur France 3. C’est tellement un condensé de boboïsme et de la Religion Naturelle antéchristique que je me suis vu obligé d’en faire une critique. Oh my God… c’est vraiment le tsunami spirituel en ce moment… C’est incroyable comme l’Antéchrist est proche d’arriver (et Jésus derrière pour lui later la gueule et lui rappeler qui est le Maître !)
 

 

De prime abord, le film d’Eastwood aligne les lieux communs du boboïsme (cf. je vous renvoie aux 60 codes bobos de mon livre Les Bobos en Vérité : la ville européenne (exemple : Paris et Londres), les bougies, les bouquets de fleurs blanches, le voyage en Asie du Sud-Est, le gauchisme (exemple : la défense de François Mitterrand comme un héros visionnaire, l’autocollant du Che Guevara sur les casiers, etc.), la casquette de Gavroche (l’objet sacralisé qui sauve la vie), le barbu (Didier), la chambre et le mobilier bobo (la chambre d’hôtel de Marie), l’adjectif « petit » et le goût du rétro (exemple : Little Dorrit de Charles Dickens), la confusion entre goût et amour (Mélanie et George prennent des cours hebdomadaires de cuisine, le soir à San Francisco), l’enterrement bobo (avec les cendres), etc. Mais ça, on va dire que c’est le côté folklorique anecdotique. Ce qui nous intéresse le plus, c’est le sens profond de ce boboïsme.
 

 
 

b) Le rejet de la différence des sexes :

Ce qui caractérise le boboïsme franc-maçon, c’est d’une part le rejet de la différence des sexes, d’autre part le rejet de l’Église Catholique et de Jésus (et non du spirituel).
 

 

Concernant d’abord l’expulsion de la différence des sexes, Clint Eastwood donne dans son film une image des hommes (excepté le personnage de George) et des pères minable (par exemple : Didier, l’homme marié volage, qui finit même par tromper sa maîtresse Marie), une image des mère et des femmes (excepté le personnage de Marie) déplorable (exemple : la mère de Marcus et Jason est alcoolique, les assistantes sociales et les mères des familles d’accueil sont des vampires). Le sous-texte misandre et misogyne du film ressort bien. Au passage, le spectateur peut identifier une légère promotion de l’homosexualité (exemple : le jeune guichetier homo) et aussi de l’asexualité (exemple : les jumeaux sont désignés comme un seul et même être : l’unicité des personnes est niée).
 

 

En clair, à travers le film « Au-Delà », c’est le mariage et la famille qui passent à l’échafaud. Aux yeux de Clint Eastwood, visiblement, la famille de cœur, et surtout la famille irrationnelle/intuitive, serait plus forte, plus authentique que la famille de sang, biologique. Il nous fait croire à une connexion surnaturelle et divine (mais sans le Christ) entre les voyants (Marie, Marcus et George), eux-mêmes rejetés par leur entourage. Il nous fait croire à une insoupçonnée universalité des isolés, des anticonformistes, à une interconnexion des élus. Trois « destins », trois « univers » apparemment incompatibles, se croisent et se complètent mystérieusement… C’est la nouvelle Famille de l’Irrationnel. Les humains sont transformés en messagers les uns des autres, en anges gardiens laïcisés placés sur la route les uns des autres. Il s’agit d’une sorte de Trinité ou de Famille du Troisième Type.
 

Mélanie et George


 

Eastwood va même un peu plus loin que le bobeauf : selon lui, le goût rassemble moins que la croyance/l’expérience de l’irrationnel. La spiritualité, c’est le nouveau conte de fée moderne, c’est le nouveau filtre d’amour (exemple : la scène finale du film, cucul à souhait, où George et Marie vont s’unir, sous une pluie de violons, grâce à leur expérience et conscience communes de l’Au-Delà). Là, c’est le comble du boboïsme (= croyance en l’amour énergétique) : on ne croit pas en Dieu mais on fait comme si.
 

c) Rejet spiritualiste de la différence Créateur-créatures :

Parlons-en, de Dieu, justement ! Concernant dans un second temps le rejet de la différence Créateur-créatures (c’est-à-dire Jésus et l’Église Catholique) propre au boboïsme, on peut constater que Clint Eastwood est parfois applaudi par les catholiques comme un catholique, à l’instar de Mel Gibson, alors que pourtant, il prône la Religion Naturelle de l’Antéchrist. Le film « Au-Delà » traduit un refus catégorique non de l’irrationnel ni du spirituel ni de l’éternel, mais de connecter ces derniers (appelés « l’Au-Delà ») avec Jésus. La personne de Jésus, ainsi que sa croix et son Église Catholique, sont clairement rejetés. Regardez par exemple la scène de l’enterrement du petit Jason : pas de croix dans l’église, incinération (ce qui n’est pas conseillé par l’Église), curé sans croix (pas sûr que ce soit un prêtre catholique), homélie christique mais protestante, etc. Autre exemple parlant : lorsque Marcus visionne, pour trouver des réponses sur la vie après la mort, une vidéo Youtube d’un conférencier chrétien qui en appelle à s’en remettre entièrement à Jésus (« Si vous avez foi en Jésus, vous ne craignez rien du tout. »), le spectateur le voit clairement faire « Non » de la tête.
 

Dr Rousseau et Marie


 

Çà et là dans le film, les personnages, qui se présentent parfois comme athées, mais qui sont en réalité déistes ou théistes (cf. voir la différence entre les deux dans cet article), tirent sur l’Église et le catholicisme. Par exemple, le docteur allemand Rousseau, femme qui dans sa clinique en montagne se retrouve en contact fréquent avec des accidentés graves qui ont vécu des expériences de mort imminente (les fameuses NDE : Near Death Experience), s’avoue vaincue par l’évidence de l’existence de la vie après la mort, et affirme que si ses patients ont cru voir Jésus-Christ ou une lumière Lui ressemblant ou un Jardin d’Éden, c’est juste parce qu’ils étaient « culturellement conditionnés » pour ça. Autrement dit, ce médecin croit en une force énergétique mais ne l’identifie pas à Jésus. C’est bien cela, au bout du compte, l’Antéchrist : une force énergétique désincarnée, angélique. Un peu plus tard, Marie Lelay, une autre des voyantes, défend bec et ongles son nouveau livre-témoignage intitulé Au-Delà : la Conspiration du silence, où elle relate ses visions de l’Au-Delà. Elle reproche à Michel, son manager, de ne pas se mouiller pour l’aider à se faire éditer, et de la prendre pour une folle. Pour prouver sa bonne foi et sa bonne santé mentale, elle tacle au passage l’Église Catholique et Jésus, en soutenant que la censure et le désamour du sujet des NDE viendrait de la récupération malsaine des croyants officiels qui l’auraient impopularisé (« C’est un sujet traqué par les lobbys religieux ! »). En filigrane, on entend que jusqu’à présent, ce serait l’Église Catholique qui se serait appropriée (le traitement de) la mort et la vie après la mort. En gros, Jésus a piqué la Résurrection ! Dans l’imaginaire collectif, Lui et son Église auraient monopolisé l’Éternité ! Alors que le sujet appartient à tous : c’est une quête personnelle ! Bienvenue en Franc-Maçonnerie.
 

Dans « Au-Delà », la spiritualité est considérée comme une propriété privée, et non d’abord comme un don gratuit de Jésus. En effet, les personnages du film disent « avoir un vrai don » (comme George, le médium), ont des flashs, « vivent avec des hallucinations ». Dieu est le produit de leur subjectivité, de leur perception, d’une quête, et non une personne qui les a créée et qui les dépasse. Pour le coup, dès que les héros de « Au-Delà » appliquent leur conception égoïste et magique de la spiritualité, ils violent l’intériorité des autres (exemple : Mélanie se sent violée par les prophéties de George), les perdent et s’isolent, en pensant (à raison) qu’ils sont habités pour une force maléfique. Et en effet, une divinité déconnectée de Jésus devient maléfique. C’est la raison pour laquelle, à certains moments du film, on entend carrément parler de l’Antéchrist. Par exemple, le jeune Marcus, en regardant un site Internet avec un télévangéliste américain, reçoit l’avertissement général selon lequel personne ne pourra pas échapper à l’Antéchrist : « L’Ange de Dieu te retrouvera. » Clint Eastwood joue même avec la numérologie (exemple : « la salle n°133 »). Il tue le hasard. Il veut nous faire croire en la prédestination, au pouvoir de l’intuition. Son film louvoie avec la croyance en la réincarnation, au monisme (= le Moi dilué dans un Tout énergétique) : « Tu ne peux pas savoir ce que c’est que d’être n’importe quelle chose et tout à la fois. » (l’esprit de Jason mort s’adressant à son frère Marcus vivant, à travers George) ; « Jason est là en toi. Pour toujours. Une seule cellule. Une seule personne. » (George s’adressant à Marcus à propos de Jason, le frère jumeau de ce dernier)
 

 

À noter que l’au-delà est toujours lié dans ce film à la technologie. Internet sert davantage d’interface et de porte vers l’Au-Delà que la science (on voit plein de scientifiques charlatans), que l’argent (Billy, le frère de George, veut ouvrir un cabinet pour son frère et faire des pouvoirs de médium de ce dernier un business : en vain), que l’Église (présentée comme une institution racontant des salades), et que l’humilité. La technologie est montrée comme la vraie et seule voie vers la transcendance. « J’ai été voir sur internet. Vous êtes médium ! » s’exclame le jeune Marcus en reconnaissant George le médium dans un salon du livre ; « Si c’est une séance que tu veux, c’est hors de question. » le repousse George. En gros, rejeter Internet ou la séance de spiritisme revient au même, dans la bouche des protagonistes. À ce propos, il n’est pas anodin que le film d’Eastwood fasse de la main technologisée le vecteur et la clé de la communication entre les êtres humains et les esprits disparus. Mains serrées, mains jointes, poignées de main… Vive le digital ! Prendre la main, c’est entrer en connexion avec l’Au-Delà. Et la perdre, c’est couper cette connexion : « J’ai dû perdre la main. » conclut par exemple George, le médium qui entend les voix des morts-vivants, lorsqu’un de ses patients le contredit à tort dans l’une de ses inspirations.
 

 

Malgré la teinte clairement ésotérique que se donne « Au-Delà » de Clint Eastwood, je vous le dis très sérieusement : ce film est dangereux et antéchristique. Il n’est même pas vaguement crypto-catholique, et n’aide pas « un peu » l’Église. Au contraire, il La méprise et cherche clairement à La couler. Alors sans paranoïa et avec joie, allumons les Warnings, restons en alerte, et récoltons tous les indices qu’il sème pour mieux identifier le langage de l’Antéchrist et le transhumanisme.

Jésus, seul rempart au transhumanisme

 

Ce soir, je me suis rendu à nouveau à un Café-Philo dans le (e arrondissement, avec une trentaine de personnes. Thème : « Le transhumanisme : chance ou péril? ». Tous les discours étaient centrés sur la peur du progrès et la promotion du progrès tant qu’il est contrôlé et a des limites. Moi, devant tout le monde, j’ai expliqué la puce électronique (et sa forme : la Blockchain), l’Antéchrist (et son plan homicide mondial). J’ai également dit que j’étais pour le transhumanisme (l’au-delà de l’Humain), mais uniquement dans la Gloire de la Vie éternelle, et vécu en Christ (le transhumanisme proposé par le Gouvernement Mondial veut nous transformer en anges désincarnés et en objets). Et quand on m’a demandé : « Mais quelle est la limite qui va réussir à arrêter la course folle du transhumanisme technologique progressiste? », j’ai répondu du tac au tac : « C’est la Croix de Jésus. L’unique transhumanisme – c’est-à-dire l’au-delà de l’Homme – qui respectera notre humanité et nous gardera dans l’humilité, c’est Jésus. » Eh bien figurez-vous que j’étais hyper écouté. Et que Jésus, Il intéresse tout le monde ! 🙂

Les phrases de la flatterie narcissique que met en place l’Antéchrist pour séduire les Hommes avant de les détruire (Positive Wording)


 

En ce moment, dans les médias et dans les discussions avec nos contemporains qui alignent les phrases bobos en ayant pourtant l’impression d’être hyper profonds et aimants, c’est le Festival de la combattivité optimiste, conquérante et individualiste. Le programme de l’Antéchrist, il est simple, et il se trouve résumé texto dans la chanson « Bien après l’au-delà » de la comédie musicale Cléopâtre (vous en avez aussi un bel échantillon dans les chansons de Tal, Amel Bent, Kenzah Farah, Céline Dion, et bien sûr dans toutes les émissions de télé-réalité comme The Voice et The Voice Kids) : il s’agit, dans une compétitivité présentée comme « saine », « éthique », « ouverte », « authentique », « originale », « naturelle », « émouvante », « esthétique », « spirituelle », « fraternelle » et « altruiste » (alors qu’en réalité, c’est souvent un combat sans merci et chacun pour sa gueule), de se réaliser par soi-même, de se créer soi-même et de décider de sa vie et de son corps (comme si ces derniers nous appartenaient…), sans renoncer à soi et à sa volonté individuelle, sans tolérer les limites, les efforts, les influence extérieures, les images, les clichés, les regards des autres, les jugements, les conditionnements, les héritages, les cadres, les interdits, les cas de figure imposés, les faiblesses, les échecs, sans obéir à d’autre instance que son instinct, son intuition, ses émotions, ses choix, sa subjectivité individuelle. En nous flattant, notre monde – de plus en plus guidé par l’Antéchrist – essaie de nous transformer en Bêtes à gagner, en stars capricieuses, entreprenantes, agressivement solidaires, impérieuses, qui sait où elles vont et ce qu’elles veulent (même si c’est absolument faux), toujours cools et déterminées. Des prétentieux sans prétention. En perpétuelle « évolution » et « développement ».
 
pour-aller-plus-loin
 

Alors qu’en réalité, la vraie vie et la véritable réalisation de soi se trouvent dans l’abandon à Jésus, l’effacement à la dernière place, la vulnérabilité, le pardon (c’est beaucoup plus dur d’aimer ses ennemis que ses amis et ceux qui nous veulent du bien et avec qui on est « bien » !), le renoncement à soi, l’acceptation du jugement, la conformité à Jésus et à la Vierge, l’obéissance à Jésus et à l’Église, la privation et l’ascèse, l’acceptation de sa vulnérabilité, de ses limites et de sa Croix, le consentement à notre condition de créatures et à notre petitesse/humilité face à Quelqu’un (Jésus) qui nous dépasse et qui nous aime et qui nous a créés.
 
Réalisation de soi
 

Je vous fais un rapide tour d’horizon des formules made in « Joséphine Ange-Gardien » et Najat Vallaud-Belkacem, bref, made in la Franc-Maçonnerie et le Gouvernement Mondial, désormais très implantés dans l’Église catholique et qui se servent de concepts cathos – comme par exemple la « Vérité » ou l’« Espérance » – pour que vous ne vous fassiez pas entuber/youtuber… Je la complèterai, à l’occasion, car on baigne dedans jusqu’au cou ! :
 

« S’aimer soi-même »; « Retrouver l’estime de soi » ; « Aller jusqu’au bout »; « Ne jamais laisser tomber » ; « Ne jamais baisser les bras » ; « la résilience » ; « Croire en ses rêves » ; « Suivre sa passion » ; « Croire en soi » ; « Ne jamais renoncer » ; « Prends sur toi » ; « Se dépasser » ; « Donner le meilleur de soi-même » ; « Se respecter/se faire respecter » ; « Faire valoir ses droits » ; « Répondre aux défis et aux nouveaux challenge » ; « Aller plus fort, plus loin, au-delà » ; « Construire demain » ; « Se relever » ; « On apprend toujours de ses erreurs. » ; « Se réinventer, aller de l’avant, avancer » ; « Savoir où on va » ; « Défendre ses valeurs » ; « Il faut que j’apprenne à me protéger » ; « L’important, c’est la communication » ; « J’adore les voyages : ils ouvrent l’esprit. » ; « Si je le sens comme ça… » ; « J’ai envie. » ; « C’est mon avis, mon point de vue. Je vois les choses différemment de toi (alors t’as rien à me dire). » ; « J’ai trouvé le sens de ma vie » ; « Mon intuition et mon cœur ne me trompent jamais. » ; « J’ai ça dans le cœur. » ; « J’ai des étoiles dans les yeux. » ; « J’ai des papillons dans le ventre. » ; « Avoir une étincelle, le déclic. » ; « Sois toi-même. » ; « Je sais ce que je veux. » ; « J’ai toujours voulu faire ça » ; « Ne laisse jamais personne décider à ta place. » ; « Je ne veux vivre que pour mes amis et ceux qui m’apportent quelque chose » ; « J’ai les poils (qui se dressent) » ; « Je ne veux pas décider à l’avance : je fais toujours les choses à l’improviste, comme je les sens. » ; « Se sentir soi-même. » ; « J’adore ce qu’il fait. » ; « Avoir un porte-bonheur » ; « Se faire plaisir » ; « Ça me rend heureux, alors je le fais. » ; « J’ai été ému donc j’ai été vrai. » ; « Prendre un nouveau départ. » ; « S’inventer » ; « S’évader » ; « S’éclater un maximum » ; « Voyager » ; « Rêver et offrir du rêve. » ; « Se réaliser soi-même » ; « Se retrouver » ; « Développer toutes ses capacités ; « Donner de l’amour et en recevoir. » ; « Partager son univers, ses couleurs. » ; « Tout le monde a sa chance. » ; « Persévérer » ; « Parler vrai ; être en Vérité » ; « C’est mon choix » ; « J’ai toujours voulu faire ça. » ; « Transmettre de vraies émotions, pures » ; « Partager son univers » ; « Savoir ce qu’on veut » ; « Avoir du caractère » ; « Prendre toute la place » ; « Sortir du lot » ; « Je suis déterminé. Rien ne va contrecarrer mes plans. » ; « Construire sa propre identité » ; « Être un Show Man » ; « Je veux. J’aurai. » ; « Pense différent » ; « Cultive ton propre style » ; « Ne jamais s’arrêter » ; « Se réinventer sans cesse » ; « C’est ma vie, j’en fais ce que je veux. » ; « J’ai le droit de vivre, j’ai le droit d’être amoureux » ; « Je fais ce qui me plaît (et je vous emmerde). » ; « J’adore » ; « Ne rien lâcher » ; « J’ai confiance en moi » ; « Aller plus haut »; « Plus rien ne m’effraie » ; « Espoir » ; « Il suffit d’oser » ; « Je ne veux faire que ce que j’aime vraiment. » ; etc.
 
Manuela
 

Vous constatez que toutes ces phrases de l’affirmation de soi, et prônant la suprématie de sa volonté, du don de soi, de ses actions créatives/solidaires, de l’Humain, et de son ressenti, témoignent d’un manque d’assurance, démontrent en réalité une dévitalisation progressive du corps humain, une absence de personnalité et de vie intérieure, un égoïsme croissant, un misanthropie (qui aime l’Homme sans Jésus se prend pour Dieu et n’aime pas l’Homme au final). Comme je plains les gens qui n’ont pas la foi, qui ne connaissent pas Jésus, et qui vivent pour leurs petits plaisirs, sans grand But puisqu’ils ont fait d’eux-mêmes leur but, en fait.
 

Culte bobo de l'autonomie, du refus d'appartenir et de mourir à soi-même

Culte bobo de l’autonomie, du refus d’appartenir et de mourir à soi-même


 
Gloire de l'insoumission

Gloire de l’insoumission


 
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Film d’animation « Le Monde de Dory » : l’Homme n’aura plus besoin d’aimer puisqu’il est « connecté »!

dory affiche
 

Bon, je suis allé voir « Le Monde de Dory » avec mon père et mes neveux à Cholet. Alors : pas de couple lesbien à l’horizon (désolé), mais quand même énormément de choses à dire sur le Gouvernement Mondial noachide. Alors je fais une recension. Obligé !
 

Voilà le programme de votre lavage de cerveau !

Voilà le programme de votre lavage de cerveau !


 

Il serait naïf de croire que « Le Monde de Dory », sous son aspect innocent, virtuel et humoristique, ne véhicule pas des messages qui, sans être violents ni de prime abord scandaleux, aboutissent à un éloignement du Réel et donc de l’Humain, et donc à long terme vers un monde homicide. En effet, ce film ne défend absolument pas la Réalité et ses 4 socles fondateurs humanisants : la différence des sexes, la différence des générations, la différence des espaces et la différence Créateur-créatures. Au contraire, c’est un dessin animé libertaire (dans le sens de l’énonciation d’un refus des limites, des différences fondatrices du Réel, de l’obéissance, de la mort, de la souffrance, et dans le culte de l’autonomie, de la réalisation de soi, du Salut de l’homme-animal androïde chimérique par lui-même.), dans la plus pure tradition des films d’animation Pixar à la sauce « Libérée, délivrée ! » nord-américaine. D’ailleurs, à la fin du film, tous les poissons enfermés dans les aquariums scandent en chœur le slogan « Liberté ! Liberté ! Liberté ! » avant de quitter leur camion pour rejoindre leur milieu naturel marin.
 

En quoi ce film d’animation apparemment innocent gomme les 4 différences du Réel, encourage à une virtualisation et une déshumanisation progressive du genre humain ?
 
 
 

a) Différence des sexes : l’homosexualité et l’asexualité à l’honneur

Par exemple, concernant la différence des sexes, les poissons sont des allégories chimériques du désir humain d’asexualité et d’androgénéité. De plus, quand je suis allé voir « Le Monde de Dory » à Cholet (49, Maine-et-Loire), juste devant moi, au rang inférieur, un « couple » de deux jeunes hommes se bécotait discrètement de temps en temps pendant la projection : j’ai remarqué que le public adulte de ces films est assez souvent gay ou/et gay friendly. Enfin, la voix nord-américaine qui a doublé l’héroïne du film, Dory, c’est comme par hasard Ellen DeGeneres, la présentatrice lesbienne la plus populaire des États-Unis. Donc l’accointance entre homosexualité et cinéma d’animation n’est pas si complotiste ni si délirante que ça.
 
Ellen
 
 

b) Différence des générations : je suis mes propres parents et ma propre origine

Concernant la transgression de la différence des générations, « Le Monde de Dory » nous offre un message sur la filiation aussi paradoxal que la chanson « Papaoutai » de Stromae entonnée à l’unisson par les pro-mariage-pour-tous alors même qu’elle dénonçait inconsciemment la Loi Taubira. Le film de « Dory » passe son temps à pleurer les conséquences dont il chérit inconsciemment les causes. C’est toute la schizophrénie de la société libertaire, infanticide et parricide. Une phrase tourne en boucle pendant l’histoire : « J’m’appelle Dory. Et je cherche mes parents. Vous pouvez m’aider ? » Des appels inconscients du monde qui s’interroge lui-même sur son propre homicide/parricide, sans pour autant le réparer, étant donné que c’est la famille de cœur et non la famille corporelle de sang qui finalement l’emporte : « On est ta famille ! » avouent Némo et Marin les poissons-clowns dans une vibrante déclaration d’amitié à Dory. La recherche des origines n’est pas due à un appel des parents, ni à une vocation, mais à une recherche et une reconstitution personnelle. « C’est moi qui me construis mes propres origines, qui reconstitue mes propres souvenirs. » Au bout du compte, les parents de Dory, une fois retrouvés, s’intègrent comme les autres dans la « grande famille humaine/poisson » de l’héroïne. Ils ne sont pas préférés. Ils deviennent un Monsieur et Madame Tout le Monde. Il n’y a plus de hiérarchie ni primauté. La différence des générations s’aligne sur les autres différences annexes (l’amitié, l’apparence, les expériences, les aventures, etc.). Elle passait presque in extremis à la trappe de la mémoire de poisson de Dory !
 
 

c) Différence des espaces : la pulvérisation des bocaux, des aquariums, et l’océanification des territoires

 
dory espace
 

Concernant la transgression de la différence des espaces, l’Océan dans « Le Monde de Dory » est la métaphore du cerveau humain (à la merci de l’imaginaire !), est dépeint comme un immense magma cosmique que seraient l’Homme et sa conscience. « Y’a pas de murs dans l’Océan. » déclare l’un des personnes à un moment donné. Pas de frontière ! Pas de limite ! La seule chose qui circonscrit et sépare dans l’espace aquatique dorien, à savoir les courants, est montrée comme ultra-dangereuse. Mais sinon, le poisson humanisé est un caméléon qui se fond dans tous les espaces, à l’instar de Hank, le poulpe.
 

Dory et Hank communiquent alors qu'ils sont dans deux univers dits "opposés"

Dory et Hank communiquent en faisant totalement abstraction de leurs deux univers « opposés » et séparés


 

De plus, le film met énormément l’accent sur l’interconnexion, l’alchimie scientifique entre les êtres vivants, gommant ainsi toute individualité et tout espace corporel, géographique. Ça fonctionne par télépathie, par transfert. L’intuition, tout ça. D’ailleurs, dans le Parc National Aquatique (Institut de Vie Marine), il y a carrément des panneaux lumineux qui font la promotion de l’écholocalisation. Pour ceux d’entre vous qui l’ignorent, l’écholocalisation humaine est la capacité des humains de détecter des objets dans leur environnement au travers d’échos reçus de ces objets. À travers le « Monde de Dory », non seulement les animaux virtuels remplacent les humains et en adoptent les réactions (noachisme et religion naturelle, quand vous nous tenez…), mais en plus, on nous fait croire que les êtres humains à nageoire sont décorporéisés, peuvent pénétrer dans la conscience et dans la peau des autres, se substituer les uns aux autres dans un grand Tout énergétique unifié. Soi-même est vu comme un autre. Par exemple, Dory passe son temps à se demander « Que ferait Dory ? ». Quant à Marin et Némo, ils invoquent également Dory comme un esprit inspirateur : « Qu’aurait fait Dory ? ». L’autre ou bien soi-même est détaché du corps pour être spiritualisé en valeur, en qualité, en trait de caractère, en esprit dans lequel s’incorporer mentalement. Ça se fait passer pour de la confiance. Mais c’est en réalité de la schizophrénie spiritualiste, de l’animisme angéliste.
 

Enfin, dans le « Monde de Dory », le déni de la différence des espaces est illustré par une conception ésotérique et individualiste de l’Homme : l’humain-microcosme. L’Humain est vu comme un univers, et comme son propre monde. D’ailleurs, l’héroïne Dory prouverait qu’en étant coupée du monde, en « étant dans son monde », on pourrait créer un monde parallèle encore plus génial. Dory est dans son monde et elle est son monde. C’est l’ultra-moderne solitude, mais version « coquillages et crustacés dans les yeux »…
 
 

d) Différence Créateur/créatures : je me construis moi-même :

Concernant la transgression de la différence Créateur/créatures, pour terminer,
 

Le film « Le Monde de Dory » est un hymne à l’auto-reconstitution et l’auto-réalisation : « Tu peux faire tout ce que tu décides de faire. » conclut la mère de Dory en s’adressant à sa fille.
 

La mémoire n’est pas tellement reliée à l’amour ou à la relation : elle est surtout considérée comme une potentialité, une intuition surnaturelle, un pouvoir PERSONNEL : « Tu nous as retrouvés parce que tu as de la mémoire. Tu y es arrivée toute seule. » (les parents de Dory s’adressant à leur fille en lui assurant qu’ils n’y sont quasiment pour rien) Dans « Le Monde de Dory », l’accent est mis sur l’ambition personnelle, sur le fait de réussir tout tout seul, par soi-même. Systématiquement dans ce genre de films la volonté individuelle, fût-elle altruiste, est couronnée par le succès. Zéro tolérance à l’échec, au vide, à la déception, à la limite, à l’inutilité, à la perte, au manque, au mal. Ne jamais lâcher et croire en ses rêves !
 

Aux yeux du Gouvernement Mondial, le sacrilège maximal, le crime de lèse-majesté, c’est le renoncement à soi-même. C’est parler d’échec, de faute, de péché, d’impossible ! Ne jamais dire « Je n’y arriverai jamais » !! « Il y a toujours un autre moyen. » déclare la Grande Prêtresse Dory. Il y a toujours une solution ! Il faut réaliser ses rêves, et l’adjectif « impossible » doit être banni de notre vocabulaire ! « C’est pas possible : il y a toujours un autre moyen. » s’exclame Dory face à Hank. Le Salut est remis entre les mains de l’économie de moyens, le savoir-faire, et la foi (dans le sens de « croire en soi » ou « y croire » : pas de « s’en remettre à Jésus ». Faut pas rêver non plus…). Cette foi n’a volontairement pas de forme, pas d’identité, pas d’incarnation humaine, et donc pas d’Amour. C’est une pure « énergie cosmique ». On retrouve d’ailleurs dans « Le Monde de Dory » tout le lexique superstitieux et matérialiste de l’énergie dénuée d’amour. Il s’agit d’être précisément connecté à des objets magiques (exemple : les coquillages, les hiéroglyphes, les cryptogrammes, l’étiquette numérotée agissant comme un tatouage numérique connecté), de porter des outils qui nous font voir plus loin (exemple : « les lunettes les plus puissantes du monde »), de croire en sa destinée (exemple : la meilleure amie d’enfance de Dory se prénomme « Destinée »), de tomber sur les bons messagers avec qui on échange des flux de perception et d’intuition (exemples : Destinée portant le titre de « correspondante » de Dory et non d’« amie » ; Bailey, le béluga, qui parle de « ses supers pouvoirs » et qui reçoit « des images » qui lui parviennent à distance, comme les charismatiques…). Nous sommes à l’ère de la physique moléculaire, par ondes : finie l’archaïsme et l’hégémonie scientifique de la physique quantique ! Nous sommes aussi à l’ère du numérique écologique : finies les croyances aux relations, en l’amitié, en l’amour, en Dieu. C’est plus physique, énergétique et plus rationnel que ça, voyons !
 

Bailey, le poisson-télépathe

Bailey, le poisson-télépathe


 

Le film est imprégné de scientisme. Il y a peu de romantisme et de sentiments, en réalité. L’Amour n’est quasiment que le produit d’un phénomène physique. Les vibrations, l’instinct, les sensations, deviennent pressentiment, sentiments, émotions humaines, et commandent ces derniers. Toute cette alchimie, humanisation de la nature et personnification des bêtes, se font par l’entremise de la mémoire et du savoir (connaissance, gnose) scientifique ou sensoriel. « Tu captes ? C’est bon ? Tu as du réseau ? », demande Destinée à Bailey. Il est question de connexion avec un au-delà, d’art divinatoire scientifique (la physique par les ondes), d’hypnose, de foi au « hasard » plus qu’en l’Amour : « Les meilleures choses dans la vie arrivent par hasard. » conclut Maîtresse Dory (cf. code bobo 52 « J’aime là où je ne désire pas/ne m’engage pas »). Il est question de « réactivation de la mémoire et des souvenirs », de neurobiologie et de neuro-sciences… mais il n’est pas fait vraiment référence à l’Histoire réelle (d’ailleurs, culturellement, on n’apprend quasiment rien dans ces films d’animation : c’est le no man’s land de la pensée), ni à l’Amour réel. Pas très aimant, tout ça… C’est « magique » mais pas dans le bon sens du terme. L’Humain-Divin est si loin !
 

Œil mort de l’oiseau mécanique hypnotisé

Œil mort de l’oiseau mécanique hypnotisé


 

Avec « Le Monde de Dory », on passe, c’est sûr, un moment sympathique. Mais surtout, on ressort de là gavé d’effets spéciaux, de messages naturalistes et libertaires hyper pas naturels, en se demandant ce qu’on a appris de nouveau (à savoir rien si on ne sait pas le décrypter). Ce film est froid, visqueux et lisse… comme un poisson. Et puis n’oublions pas que l’oubli fictionnel a toujours bon dos, et cache souvent un viol de conscience qu’il feint d’ignorer.
 

Prochaine bouze noachide et superprimitiviste de Disney, prévue pour cet hiver

Prochaine bouze noachide et superprimitiviste de Disney, prévue pour cet hiver