Aimer, c’est comme se laver

 

En me rasant, en me lavant, en faisant des machines de linge ou le ménage, je mesure combien aimer, c’est comme laver ou se laver : ça comporte une grosse part d’efforts, de volonté, parfois de souffrance, et que notre Monde qui nous dit qu’on peut aimer sans effort est un monde bien sale, qui pue et qui n’aime pas.