Dans le repas des célébrités qui ressemblaient à des vieux insignifiants

Je reviens du déjeuner mensuel des artistes de Paris, à Saint Roch. C’était génial, mais ça remue (je me suis retrouvé à côté du compagnon du fameux danseur-étoile de l’Opéra Serge Peretti : ils sont restés 35 ans fidèles ensemble. Ça pousse au respect et à l’humilité). Que c’est mystérieux, ce que demande l’Église sur l’homosexualité… Je me sens bien petit.
 

Par ailleurs, nous étions une vingtaine à table. De l’extérieur, ça ressemblait à une équipe de bras cassés, de vieilles en canne et de papys croulants (j’étais de loin le plus jeune, et pour se rendre à la salle des convives, trois dames devant moi avec leur canne peinaient à gravir l’escalier…). Mais quel voyage dans le temps quand a commencé le tour de table et de présentation. J’ai découvert que ceux et celles qui avaient l’air de vieux paroissiens ennuyeux cachaient une vie de danseur ou danseuse étoile, d’écrivain, de grand acteur qui a donné la réplique aux monstres sacrés du cinéma et du théâtre français (à Claude Rich, Michel Simon, etc., au brodeur François Lesage), de cinéaste (il y avait Dominique Delouche), a été l’épouse d’une tête d’affiche de la Comédie Française (il y avait la femme d’André Falcon, Nicole), a été l’élève de la grande chorégraphe Marguerite Long, etc… La maison de retraite, ce n’était finalement que la façade bien trompeuse d’un cercle de têtes d’affiches ! J’étais entouré de réalisateurs, peintres, sculpteurs, comédiennes, qui avaient conservé toute leur prestance, leur noblesse et leur humour, malgré parfois leur grand âge. Tout ça mené de main de maître par le père Luc Reydel. Bref, un repas extraordinaire, où j’aurais pu rester des heures à écouter chacun des convives tellement leur vie est une histoire incroyable ! Tout Homme est une histoire sacrée, l’Homme est à l’image de Dieu.

Elisabeth Schemla n’a pas écouté mes conseils


 

Elisabeth Schemla sort son livre Les homos sont-ils des hétéros comme les autres ? (Éditions de l’Observatoire). Je constate, suite à notre entretien personnel, qu’elle m’a pris pour un ascète-extraterrestre et un ennemi de la sexualité (que je ne suis pas), et qu’elle n’a absolument pas tenu compte de ce que je lui ai dit sur l’hétérosexualité : elle est partie bille en tête sur son idée que l’homosexualité et l’hétérosexualité étaient différentes, alors qu’elles sont synonymes. Triste. Encore un livre inutile sur le sujet, qui va taper sur les conséquences (PMA, GPA, le « lobby gay ») dont il chérie les causes (« l’identité homo », « l’Amour homo »). Pourtant, j’avais bien expliqué. Mais quand quelqu’un veut justifier l’ « amour » homo pour en réalité régler ses comptes avec la sexualité d’une part, l’Église d’autre part, et enfin la communauté homosexuelle, en se servant de l’homosexualité, difficile de le faire changer d’avis. En tout cas, j’aurais essayé. Et le journal Causeur, bobo à souhait, cautionne cette contradiction. Évidemment.

Attento alla omofobia ! (Le mépris croissant pour l’homophobie)

Osservo sempre lo stesso (e drammatico) disprezzo dei cattolici (specialmente italiani, più fan del cardinale Sarah e del cardenale Caffarra che di Papa Francesco e di Cristo) per la parola « omofobia ». Lo considerano erroneamente allo stesso tempo un insulto ma anche una irrealtà. Non capivano nulla che scrivessi e spieghi. Al di là dell’immagine mediatica o della sua strumentalizzazione, l’omofobia è una vera paura e ha conseguenze reali. Se vuole mantenere la mia amicizia, devi ascoltarmi.
 

J’observe toujours le même (et dramatique) mépris des catholiques (en particulier italiens, et plus fans du cardinal Sarah et du cardinal Caffarra que du Pape François et du Christ) pour le mot « homophobie ». Ils considèrent à tort à la fois que c’est une insulte et une irréalité. Ils n’ont rien compris à ce que j’écris et explique. Au-delà de l’image médiatique ou de son instrumentalisation, l’homophobie est une peur réelle et a des conséquences réelles. Si vous voulez garder mon amitié, il va falloir m’écouter.

Le désintérêt pour l’homosexualité


 

Je regarde un documentaire suisse de personnes homosexuelles des années 1970 interrogées sur leur vie, leurs sentiments, leur homosexualité. C’est rare et beau. Aujourd’hui, les reportages et les journalistes n’en ont rien à faire de nous : ils ne s’intéressent qu’aux lois politiques qui passent en notre nom. Notre personne, notre vie, et finalement l’homosexualité, ils s’en moquent complètement.

Qui a écrit le discours du Pape François sur l’Europe ?


 

Qui écrit les discours papaux ? Parce que là, le Pape doit se réveiller sérieusement car il marche à la botte des francs-maçons de la Curie.
 

Je me penche par hasard sur le discours du Pape François, donné il y a 3 jours, devant la COMECE (Commission des Épiscopats de la Communauté Européenne) et juste après le cardinal Marx (ça ne s’improvise pas, un nom pareil… ! En plus, ce cardinal applaudit Emmanuel Macron, et est lui-même applaudi par les journalistes « chrétiens » francs-maçons tout droit sortis des écoles d’ingénieurs des Arts et Métiers… : tout va bien). Et franchement, vous voulez mon ressenti profond ? Je suis affolé. J’espère que ce n’est pas le Pape en personne qui rédige ses discours. Ou alors on est mal. Je crois plutôt que ce sont les cardinaux les plus francs-maçons qui soient qui les lui pondent… et que le Pape, pour l’instant, ne tilte pas. J’ai écrit, dans mon dernier livre Homo-Bobo-Apo : « Le Pape François continuera à diriger tant bien que mal l’Église. À un moment donné, il se laissera piéger par les traîtres qui l’entoureront et prendra une mauvaise décision. J’ai appris par une personne en odeur de sainteté, que prochainement, la très grande majorité des évêques allait signer un contrat avec le Gouvernement Mondial… et que seuls deux ou trois d’entre eux auront la force de s’y opposer. Le Pape finira par s’en rendre compte et cherchera à faire marche arrière. » (p. 308) Je ne pensais pas que ce serait si vrai si vite !
 

 

 

 

 

J’ai lu en entier son 5e discours du 28 octobre dernier, et ce qui ressort, c’est qu’il emprunte tout le lexique de la Franc-Maçonnerie. Il faut savoir que la Franc-Maçonnerie mondiale appuie son idéologie de la construction, de l’amélioration et du Salut de l’Homme par Lui-même et par ses propres actes de solidarité, sur 3 lexiques principaux : la lumière, l’architecture (construction) et l’humanisme intégral (les valeurs du Christ sans le Christ). Dans le récent discours du Pape, c’est un festival franc-maçon :
 

Il emploie (j’ai compté) 10 fois le verbe « construire ». Rien que ça… (« se construiront », « construit », « construire », « contribuer à construire » « un lieu de dialogue, à la fois sincère et constructif » « le rôle positif et constructif de la religion », « constructif », « Dans un cas, on détruit les ponts et dans l’autre, on construit des murs », « la construction d’un monde toujours plus humain », « construisent les maisons ».
 

Le Pape parle Lumières. Il appelle à « éclairer la voie de l’avenir de l’Europe ». Le champ lexical de la lumière et du tissu, comme je l’écris dans mes livres sur la Franc-Maçonnerie, vont souvent de pair : « Sans éducation, la culture ne se forme pas et le tissu vital des communautés se dessèche. »
 

Le Pape centre tout son discours sur l’Homme et ses valeurs humanistes, sans jamais parler de Jésus (L’humanisme intégral, je le rappelle, est l’autre nom de la Bête de l’Apocalypse) : « défis », « processus » ; « valoriser les différences », « œuvrer pour promouvoir la personne humaine dans sa perfection, ainsi que pour assurer le bien de la société terrestre et la construction d’un monde toujours plus humain » ; « ‘Développement’ est à entendre dans le sens que le bienheureux Paul VI a donné à ce mot : ‘Pour être authentique, il doit être intégral, c’est-à-dire promouvoir tout homme et tout l’homme.’ » ; « Ce qui compte pour nous, c’est l’homme, chaque homme, chaque groupement d’hommes, jusqu’à l’humanité tout entière. », « développement humain »,
 

Le Pape dit des phrases au mieux apprises, au pire incompréhensibles : « Personne et communauté sont donc les fondements de l’Europe que, en tant que chrétiens, nous voulons et pouvons contribuer à construire. Les pierres de cet édifice s’appellent : dialogue, inclusion, solidarité, développement et paix. » ; « Être dirigeant exige des études, de la préparation et de l’expérience. » ; « Redevenir une communauté solidaire signifie redécouvrir la valeur de son propre passé, pour enrichir le présent et transmettre à la postérité un avenir d’espérance. » ; « [Nous devons] affirmer le droit à la paix. C’est un droit. » (Depuis quand la Paix est un « droit » ?) ; « Être artisans de paix signifie se faire promoteurs d’une culture de la paix. Cela exige l’amour de la vérité, sans laquelle il ne peut y avoir de relations humaines authentiques, la recherche de la justice, sans laquelle l’oppression est la norme prédominante dans n’importe quelle communauté. » ; « La paix exige de la pure créativité. » ; « avoir le courage de travailler pour poursuivre pleinement le rêve des Pères fondateurs d’une Europe unie et unanime, une communauté de peuples désireux de partager un destin de développement et de paix. » ; « En ce temps, les chrétiens sont appelés à redonner une âme à l’Europe, à réveiller sa conscience, non pas pour occuper les espaces – ce serait du prosélytisme – mais pour encourager les processus qui créent de nouveaux dynamismes dans la société. » (Un carambar pour celui qui est capable d’interpréter le sens de cette phrase ! Et le mot « processus » est la ritournelle du Gouvernement Mondial) ; « changer le monde ».
 

On retrouve dans le discours papal tout le lexique des architectes : « (Re)penser l’Europe. Une contribution chrétienne à l’avenir du projet européen » ; « modelées » ; « civilisation » ; « ruines » ; « ville » ; « Empire » ; « l’édification commune » ; « Nous sommes appelés à édifier une Europe dans laquelle on peut se rencontrer et échanger à tous les niveaux » ; « polis » ; « ériger » ; « Œuvrer pour une communauté inclusive signifie édifier un espace de solidarité. » ; « transmettre aux jeunes les instruments matériels et culturels pour affronter l’avenir », « tâche », « développement des civilisations » ; « travail », « se renouveler » ; « construire » ; « inventif », « construisent les maisons », « fondamentales », « travailleurs », « entreprise », « ressort », « développement », « œuvrer », « travailler », « fondateurs de l’Europe » ; « les travaux ». Il ne manquait plus que le mot « chantiers » et la boucle était bouclée !
 

Il est question à deux reprises d’un « cercle », comme s’il se fondait une petite loge. Sans compter les occurrences du mot « communauté » : « appartenance à une communauté »
 

Même saint Benoît est transformé par le Pape en Grand Architecte ! : « Saint Benoît a été messager de paix, artisan d’union, maître de civilisation. »
 
 

 

Bref, ce qui est appelé une « contribution des chrétiens » (mot répété 4 fois) est en réalité une véritable collaboration avec le Gouvernement Mondial, avec la Franc-Maçonnerie (basée sur l’humanisme intégral, la communication et la solidarité). Et la majorité des prêtres européistes – et inconsciemment francs-maçons – jubile. Mon Dieu, réveillez-nous de ce cauchemar dans lequel nous rentrons. Moi, j’appelle le Pape ou les cardinaux qui le côtoient (les rares qui sont honnêtes) à se réveiller sérieusement et à arrêter de se laisser manipuler.
 

 

Macron parlant aujourd’hui au Conseil de l’Europe de la « démocratie par le Droit » et qui présente Pierre-Yves Leborgn, Commissaire des Droits de l’Homme, comme un « véritable pèlerin ».

Voyage astral final


 

Je vous ai prévenu depuis longtemps que le rond, le triangle, le carré et le X sont les quatre figures géométriques employées par la Franc-Maçonnerie actuelle et le Gouvernement Mondial Antéchristique pour assurer le voyage astral de l’Humanité vers sa perte. Je ne suis pas fou.
 

Et ce soir, c’est un nouvel épisode sur Joséphine Ange Gardien qui va parler comme par hasard de l’Égypte et nouvelles technologies. Mimi Mathy, c’est vraiment la pute du Système. Je vais écrire un article sur les deux derniers épisodes de Joséphine.
 

Si c’est pas Gambart, je me barre !

Je me rends à la messe à saint Médard. Et quand je vois que ce n’est pas le père Gambart, je me barre ! (haha). Je reviendrai ce soir à 19h, car c’est lui qui célèbre. En revanche, super moment où on s’est retrouvés tous les deux à discuter dans le fond de l’église comme deux frères (… ou plutôt deux cancres qui « sèchent le début de la messe »), trop contents de se retrouver pour parler en Vérité de Jésus ! Il est génial, ce prêtre, et très conscient des limites de son « paquebot » ( = sa paroisse), comme il dit, qu’il conduit par amour et obéissance.
 

Rajout du soir : J’adore aller à la messe. Parce que, si on est bien attentif, il se passe plein d’événements surnaturels dans l’assemblée, que parfois les prêtres ne voient même pas. Ce soir, à la messe de 19h à saint Médard, il y avait une dame d’une soixantaine d’années dans l’assistance qui, pendant tout l’office, parlait à voix haute. Même si je n’étais pas très loin, je n’arrivais pas à comprendre distinctement ce qu’elle disait. Je l’ai juste entendu jurer contre un des prêtres qui concélébrait juste après la consécration : elle a lâché un « J’t’emmerde ! », comme si elle le jalousait. Seulement pendant les chants, elle se taisait. Et aussi quand le père Gambart parlait (il a d’ailleurs fait une super homélie). Il semble avoir une autorité sur elle. D’ailleurs, au moment de la communion, elle s’est précipitée sur lui pour communier la première. Il y avait deux jeunes filles qui étaient assises dans la rangée devant elles, et qui au départ étaient l’objet des suspicions et des regards courroucés de la part de leur entourage proche qui croyait que les bavardages intempestifs provenaient d’elles. C’est à l’issue de la messe que je suis allé les voir pour leur demander ce qu’elles avaient entendu de la bouche de la dame derrière elle, qui n’avait rien d’une folle, mais plutôt d’une femme possédée. Apparemment, à les en croire, elle prononçait des phrases la plupart du temps incompréhensibles, parfois en langue étrangère (c’est souvent le cas des personnes possédées). À un moment, elle s’adressait à un « Christopher » en lui disant qu’« il n’était qu’un salopard ». Les personnes qui parlent toutes seules, ou alors qui ont des syndromes genre Gilles de la Tourette, ça me fascine, car en général, même si elles font peur, impressionnent, et semblent incontrôlables, en réalité, elles sont hyper dociles. J’en tiens pour preuve la femme du deuxième étage de mon logement, qui est capable d’animer de ses cris et de ses injures (alcoolisées) tout l’immeuble, mais qui, à chaque fois qu’elle sent que j’approche de son étage, se tait, se tient à carreau, ou vient carrément me voir gentiment (chose qu’elle ne fait pas avec les autres voisins : elle est capable de les prendre par surprise, de débouler et de les faire hurler de peur). Ces gens – qui ont des problèmes psychiatriques mais pas que, parce qu’ils sont vachement futés – m’apprennent que les démons sont hyper trouillards, en réalité.

Spectacle « En État d’urgence » de Mathieu Madenian au Bataclan : le vide absolu


 

Je reviens d’aller voir Mathieu Madenian au Bataclan. Spectacle vide. Sans message, sans Vérité, sans risque. Et le comble, c’est que ça se fait passer pour « engagé » et « courageux »… Maintenant, la lâcheté a de la prétention.
 

Sur scène, Madenian est un provocateur en carton. Il semble traiter de tous les sujets tabous, mais en réalité, ils tirent sur des ambulances (anti-féminisme, anti-racisme, anti-société de consommation, anti-médecins, anti-province, anti-banquiers, anti-djihad, anti-flics, anti-vieux, anti-malades, anti-personnes handicapées, anti-ados, anti-fascistes, anti-extrême droite, anti-FN, anti-curés, anti-bobos, anti-parisiens, anti-vegans et bio, anti-porno, anti-public, anti-pédophiles, anti-gros, anti-Daesh, anti-réchauffement climatique, anti-Trump, anti-Corée du Nord, anti-nains, anti-terroristes…). Que des thèmes qui ne risquent pas de griller sa carrière. Qu’un semblant de courage. Lui-même a ironisé à l’issue de sa prestation sur l’absence d’« idées » dans son spectacle. Effectivement, sur ce seul point-là, on se rejoint.
 

Et ce n’est pas en rajoutant dans la forme des grossièretés et de la violence que ça suffit à muscler le truc. Ce n’est pas en prononçant des mots diabolisés massivement en société (ex : Mein Kampf), en parlant de sexe et de mort (super nouveau dans une société qui n’exhibe que ça), en manquant de respect à sa propre famille, en s’inventant des ennemis (trois pauvres « skinheads » qui font le salut nazi et interrompent son spectacle) ou des attaques et une censure fictive, en jouant sur un champ de bataille (le Bataclan : bien aseptisé et customisé par la Franc-Maçonnerie, depuis novembre 2015, avec triangles de lumière, damier-mosaïque en guise de scène…), en intitulant son show « En État d’urgence », en avouant sa propre lâcheté et impuissance à la fin, que ça rajoute du courage ou que ça conjure la lâcheté. Bien au contraire. C’est de la macronnade ultra-réchauffée.
 

 

Tu veux faire un vrai spectacle risqué, où tu joues ta vie et ta carrière, où tu ne rempliras pas tes salles tellement c’est dangereux, et tu ne risques pas de faire rire le bourgeois, où tu peux mourir pour tes idées ? Eh bien tu traites du mal qu’est l’Islam, du mal qu’est la pratique homosexuelle, du mal qu’est l’avortement de masse en Occident, des persécutions anti-chrétiennes ou du mal à l’intérieur de l’Église, tu parles de Jésus, tu dénonces le diable, tu défends la Vérité, tu parles de l’imminence de la Fin des Temps. Ça, oui, c’est du courage.
 

Mathieu Madenian, lui, ne défend que son portefeuilles (je le cite : « C’est pas grave : j’ai de l’argent. »), que ses bières, qu’une provocateur attitude. C’est à chier. On ressort de là sans avoir entendu aucune Vérité qui fait vivre. La révolution que Madenian propose n’est qu’une image de gêneur, qu’un simulacre de pourfendeur des interdits, qu’un humanisme publicitaire (autre phrase qu’il a dite : « Nous, on aime bien les slogans. », en parlant de ses potes du Charlie Hebdo). Le boboïsme dans toute sa splendeur.
 

Aujourd’hui, les artistes et les humoristes, même s’ils font rire sur le moment, ne jouent plus leur rôle d’annonciateur de la Vérité et sont des révolutionnaires en carton, car ils ne croient plus en Jésus et ne défendent que de la merde (leur argent, leur réputation, leurs petits coups de gueule de bourgeois). Mathieu Madenian allonge malheureusement la liste. Et quasi personne n’osera le dire ni le verra. Triste époque.

Ce que je pense de la communion dans la main

Alors c’est la confusion générale chez les catholiques (sur plein de sujets : le Pape, la Fin des Temps, la sexualité, et en particulier l’homosexualité, les nouvelles technologies). Et pourtant, il s’en trouve encore qui, par les temps qui courent, viennent me consulter pour savoir ce que je pense de la communion dans la main… (en me citant en plus le site pathologique d’Islam et Vérité du père Pagès… pour finalement me traîner moi en procès de « manquement à la charité »). Pour ceux qui l’ignorent, la communion dans la main, ou le port de la soutane, ou plus récemment le positionnement papal sur les migrants, sont les sujets sur lesquels s’excitent les bobos pharisiens d’extrême droite qui ne savent pas occuper leurs journées ni les réseaux sociaux. Ce que je pense de la communion dans la main, c’est « Va te faire foutre ».