Homosexualité : la planque mondiale n°1 privilégiée par le diable

astérix

Aux vues des nombreuses attaques et manifestations d’ordre surnaturel que j’identifie autour de moi en ce moment, je peux dire qu’actuellement, dans notre monde d’aujourd’hui, le diable a spécialement élu domicile dans l’homosexualité (homosexualité en tant qu’acte et en tant que mot ou étiquette). Pourquoi ? C’est très simple. L’homosexualité est la seule chose qui est objectivement violente, mauvaise (elle exclut la différence des sexes qui est le fondement de notre existence humaine, de notre identité et de notre amour) mais que pour autant notre Monde et nos contemporains sont capables de massivement/passivement reconnaître comme une identité humaine ou un amour magnifiques, banals et indiscutables. Autant l’avortement, la contraception, le vol, le divorce, l’euthanasie, la GPA, le clonage, la prostitution, l’adultère, les guerres, sont un peu plus unanimement reconnus comme « mauvais » par la masse, autant le seul sujet de société qui divise et anesthésie les gens, ce sera uniquement l’homosexualité. Il est alors logique que le diable se serve de l’homosexualité comme principal pare-feu, comme rideau rose derrière lequel il pourra planquer toutes les souffrances et toutes les violences humaines dont il est l’auteur : il sait que très peu de personnes se risqueront à analyser ce rideau rose et à le soulever (il n’est pas du tout content, d’ailleurs, quand quelqu’un s’en approche de trop près !). Et il fait tout pour que tout le monde applaudisse les speakerines parlant devant ce cache-misère fleuri et qui sont prêtes à se caricaturer en « homos » ou en « hétéros gays friendly » pour faire diversion, pour faire leurs intéressantes ou jouer les victimes indignées d’elles-mêmes. J’ai compris que l’homosexualité était la planque privilégiée du diable d’une part quand j’ai perçu l’importance universelle de la différence des sexes (importance que la pratique homo remettait directement en cause), et puis surtout quand je vois qu’après mes conférences, ou bien dans les mails que je reçois, les gens me racontent tous leurs malheurs et leurs souffrances, y compris ceux qui n’auraient a priori rien à voir avec l’homosexualité. C’est donc que l’homosexualité éclaire et fait écho à toutes les souffrances humaines, sans exception. Non pas que l’homosexualité serait à l’origine de tous les maux de la Planète. Mais en tous cas, elle en est le signe et l’alibi n°1. C’est la raison pour laquelle il est central de prendre ce sujet très au sérieux, et même d’en faire LA priorité de nos combats contre le transhumanisme homicide et cet humanisme intégral prônant l’Homme sans Dieu et sans différence des sexes.