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Barbarin ≠ Barbare-rien

Ayant étudié de manière fouillée et approfondie les nombreux liens non-causaux entre homosexualité et inceste, ou bien entre homosexualité et multi-partenariat/adultère/infidélité (cf. mon « Dictionnaire des Codes homosexuels »), je suis scandalisé par le mauvais accueil social qui a été réservé récemment au Cardinal Barbarin. Manipulés par certains médias, un grand nombre de gens (homosexuels, certes, mais aussi beaucoup d’individus « gay friendly » et de Messieurs Tout-le-monde) se sont indignés que Monseigneur ait osé dénoncer explicitement quelques-unes des violences que cache, illustre et annonce concrètement la pratique et la justification du désir homosexuel. Ils n’y connaissent rien à l’homosexualité, ne savent pas de quoi ils parlent, s’improvisent défenseurs de leurs brebis immaculées homosexuelles (sans reconnaître pour autant les drames et les réalités qu’elles vivent vraiment, sans s’intéresser à elles), s’offusquent de simplement entendre qu’il puisse y avoir une relation entre homosexualité et violence, entre homosexualité et souffrance. Et l’un des seuls à mettre les pieds dans le plat pour dénoncer à juste titre leur hypocrisie (ignorante d’elle-même), ils se permettent de le faire passer pour le Grand Méchant Loup?!? Alors que ce sont eux, les Méchants Loups déguisés en grand-mère compatissante !!! On nage en plein délire ! Si un jour j’ai la chance que Monseigneur Barbarin lise ces lignes, j’ai envie de lui demander pardon pour la bêtise et la violence de mes frangins (très barbares, hein?), de l’encourager à poursuivre son combat pour la Vérité et la défense lucide des plus fragiles de notre société, de lui dire bravo pour avoir nommé les choses (…avant que ce ne soit les pierres qui le fassent). Il n’a pas à avoir honte de ce qu’il a dit. Je n’ai vu aucun dérapage. L’Amour, ce n’est ni mou ni cucul. On peut très bien être dans l’Amour vrai par la dénonciation de certains désirs et de certains actes, et par la crainte justifiée de leurs conséquences. Il y a des peurs saintes : elles s’appellent la crainte.